dimanche 27 mars 2011

PETIT "HISTÉRIQUE" DU NUCLÉAIRE

  


Eh oui : un "historique"... sur l'hystérie nucléophile !
En complément de mes deux précédents articles sur le sujet...
Eux-mêmes d'ailleurs généreusement complétés depuis leur apparition sur "2013 Continuum"
(Notez bien chers lecteurs, qu'en cliquant sur la petite "porte des étoiles" toujours située en bas des articles de ce blog, vous serez téléportés sur son "Sommaire spatio-temporel" !!! :oD)



Une petite déclaration historique de Anne Lauvergeon - quel est le rêveur qui croyait que "la femme était l'avenir de l'homme" ?  ;o) - que j'avais entendu sur Europe 1 le 4 mars dernier (c'était le matin vers 8h20) :
« LA VISION DU NUCLÉAIRE A CHANGÉ...
IL FAUT DES ÉNERGIES NON POLLUANTES EN CO2, LE NUCLÉAIRE EST DONC L'ÉNERGIE D'AVENIR » ! (sic) (*)

(On peut également lire dans le passionnant hors-série spécial nucléaire de Science et Vie - "NUCLÉAIRE, LE CHOC" (avril 2011) - le même genre de "vision satanique nucléophile" :
« Avant l'accident de Fukushima, le Japon tirait  30% de son énergie de ses centrales nucléaires (55 réacteurs)... et prévoyait de faire monter la part de l'atome jusqu'à 70% !!! »
Et encore : « Avant l'accident de Fukushima, celui de Tchernobyl s'était fait un peu oublier, et les craintes liées au réchauffement climatique étaient passées au premier plan. Une aubaine pour l'énergie nucléaire - qui se proclame mensongèrement (note de Daneel) - très faiblement émettrice de gaz à effet de serre... Elle était même parvenue à semer le doute dans l'esprit de ses opposants de la première heure (...) (!!!) Ainsi, l'industrie nucléaire ne manquait-elle pas d'arguments pour envisager sereinement son essor.
65 réacteurs sont d'ailleurs en construction dans le monde. Ils s'ajouteront aux 442 réacteurs aujourd'hui en service. Un nombre qui devait doubler dans les 15 ans !... »)

 Heureusement, notre bonne Gaïa ne l'a pas apprécié du tout cette "nouvelle vision lauvergeonnienne", et avant qu'il ne soit trop tard et que ces grands malades mentaux nucléophiles ne nous couvrent la planète de centaines, voire de milliers de centrales nucléaire... BOUM !!!
Séismes, tsunamis... Notre pauvre "Terre-Mère" si malmenée montre qu'il faut compter avec elle...
Et "la vision du nucléaire" change encore ! OUF...
Et si on tentait enfin de réfléchir ensuite un peu mieux à ce qui se passe ?

(*) (A propos, on peut voir ici ce qu'il en est vraiment de cette énergie soi-disant "non polluante en CO2" :


« Le "tout nucléaire" fut lancé le 5 mars 1974 par le premier ministre Pierre Messmer (1916-2007), seul, et sans consultation préalable du parlement, consistant en la construction de treize centrales nucléaires pour assurer l’alternative énergétique même si elle ne modifiait pas l’indépendance au pétrole (il avait mis en oeuvre dès 1960, en tant que ministre des Armées, la force de frappe nucléaire voulue par Charles de Gaulle qui refusait la dépendance américaine).... »

(Extrait de la préface de Marie-Lise Geffroy, le 13 février 2010, à la réédition de Campagne 75 de "La Vie Claire" :
- « Péril mortel : LES CENTRALES NUCLÉAIRES (Le vrai problème de l’énergie ; Comment faire échec au programme nucléaire)») ....



Extrait de cette brochure de 1975, distribuée gratuitement à des centaines de milliers d'exemplaires par tout le réseau de magasins de LA VIE CLAIRE :
«... Dans 10 ans, le plutonium produit dans les centrales atomiques « pacifiques » permettra de produire 10.000 bombes atomiques par an.
Belle tentation de jouer à la guerre, pour des chefs d’Etat irresponsables !
Mais quelques ingénieurs atomistes qui réussiraient à subtiliser quelques kilos de plutonium pourraient aussi fabriquer une bombe artisanale et se muer en terroristes pour poser des revendications politiques, idéologiques ou personnelles. Au fait, que sont devenues les tonnes d’uranium et plutonium dont on a découvert en janvier 1975 la disparition mystérieuse dans des usines américaines ?
Et le plutonium est par ailleurs la substance la plus toxique connue : sa toxicité commence avec l’absorption d’une dose d’un millième de milligramme par personne... La production de grandes quantités de plutonium est le plus grand risque qui ait jamais été pris par l’homme !

Reste à se débarrasser des déchets radio-actifs inutilisables, qui représentent déjà annuellement quelque chose comme 300.000 m3, dont la radio-activité restera dangereuse pendant des millénaires.
Les techniciens ont fait à leur sujet les propositions les plus folles, par exemple de les mettre dans de grosses fusées - à propulsion atomique - et de les envoyer dans le soleil ! Projet séduisant pour pallier l’impossibilité de continuer à les jeter à la mer ou à les enterrer dans des mines de sel. Mais le moins qu’on puisse dire est qu’il ne diminuerait pas le prix de revient de l’énergie atomique, et il y aurait du suspense à chaque lancement : il suffirait qu’une seule grande fusée retombe et se consume pour polluer irrémédiablement toute la biosphère...
On a dit que la civilisation était l’art de refiler ses déchets au voisin.
Avec les centrales atomiques, ce serait l’art de se servir de l’énergie tout de suite et de laisser de gigantesques dépôts de déchets épouvantablement dangereux aux générations futures.


 Il n’est pas pensable que la sécurité puisse être assurée et maintenue à travers les siècles assez strictement pour éviter tout accident. Il y en a d’ailleurs eu déjà beaucoup, par exemple quand le surgénérateur russe a explosé ou quand le réacteur anglais de Windscale a partiellement fondu, libérant un nuage radio-actif qui était encore détectable au-dessus du Danemark ; quand des containers immergés dans l’Océan ont été trouvés par le Commandant Cousteau « baillant comme des huîtres » après avoir laissé filer leur contenu ; quand un satellite américain contenant un petit réacteur, a brûlé prématurément dans l’atmosphère, y répandant son plutonium, etc.
L’immense dilution des substances radio-actives dans la nature peut-elle les rendre inoffensives au regard de la radio-activité naturelle ? Même pas. Car certaines, comme le strontium 90, ont la propriété de se fixer dans les êtres vivants en se concentrant d’une espèce à l’autre le long des chaînes alimentaires. Comme les pesticides, elles peuvent ainsi parvenir à l’homme, en passant par l’herbe, le lait, la viande, 10.000 fois plus concentrées que dans le milieu ambiant.

Un réacteur atomique pose un autre problème de pollution radio-active le jour où, après quelques dizaines d’années de fonctionnement, il est « usé » et doit être arrêté. La radio-activité qui s’y est accumulée pendant son activité a contaminé toute sa masse et en interdit la manipulation. Tout au plus pourrait-on le démonter par télé-manipulation, avec des risques énormes et des frais exorbitants, mais il resterait à éliminer les débris radio-actifs. La seule solution que l’on ait trouvée consiste à déverser sur le réacteur hors de service un gigantesque tas de béton pour lui servir de tombeau éternel et empêcher à jamais quiconque d’approcher des ruines. La multiplication des centrales atomiques débouche donc sur la multiplication de sites maudits à jamais. (...)

Mais que dire alors du choix officiel de la source d’énergie de l’avenir ?
En 1974, le Premier ministre annonçait qu’on ne construirait plus de centrales que nucléaires : tous les oeufs dans le même panier, une fois de plus !
Or l’énergie nucléaire a les mêmes inconvénients que le pétrole, mais à une échelle de gravité beaucoup plus grande :
- Elle est coûteuse.

 Immédiatement après la guerre, on affirmait qu’on allait accéder, grâce à l’atome, à l’âge d’or de l’énergie illimitée tellement bon marché que l’on ne prendrait même plus la peine de poser des compteurs !

Mais il a fallu différer la généralisation des centrales atomiques jusqu’à ce que la hausse dramatique du pétrole permette de reposer le problème de leur compétitivité. Actuellement, les experts affirment leur supériorité dans le domaine du prix de revient.
Mais ils oublient certains postes dans leurs calculs.
Ils oublient par exemple que le combustible atomique est, actuellement, pour une très large part, un sous-produit de la fabrication des bombes, et que les utilisations militaires supportent une partie du prix de revient.

En outre, les prix de vente pratiqués par les Etats-Unis sont « manipulés », pour aider les Américains à conquérir le marché.
On connaît l’histoire de Rockefeller qui distribuait gratuitement des lampes à pétrole aux Chinois, pour créer un besoin et le satisfaire ensuite à un prix rémunérateur.
Que deviendra le prix quand il existera une forte demande ?
Et dans dix ans, quand il y aura pénurie d’uranium ?
Les projets actuels exigent que la production d’uranium soit multipliée par 10 en moins de 15 ans !
On voit d’ici, dans ce cas, ce que feraient les prix !... »

Au fait, c'était quoi "les projets actuels" en 1975 ?...
Construire, en France, pas moins de DEUX CENTS CENTRALES NUCLÉAIRES !!!!


Or, on sait bien que, finalement - certainement grâce à cette première grande campagne anti-nucléaire initiée par LA VIE CLAIRE (!!!) - ce n'est pas 200 centrales nucléaires qui nous ont été imposées à la fois par la force et le "Secret d'État.... mais même pas 10% de ce qui était initialement prévu !... "OUF" !!!


 



A noter aussi la récente parution du journal "L'Ére nouvelle" de mon ami Pierre Lance - n°200 de mars-avril 2011 - où l'on peut notamment lire dans son éditorial intitulé "Le Titanic Nucléaire" :
« ... Après le naufrage du Titanic, qui était réputé insubmersible (Daneel : ses promoteurs avaient même publiquement déclarés que leur navire était si sûr et puissant qu'il pourrait "DÉFIER DIEU" ! (sic)), on analysa en détail les facteurs humains qui avaient conduit au désastre : imprévoyance, négligence, présomption, confiance exagérée en la technologie, manque de vigilance, défis imprudents, soumission aux puissants...
C'est ce qu'on peut appeler le "syndrome du Titanic", ou, si l'on préfère, le "syndrome de Tchernobyl", que l'on nommera sans doute bientôt le "syndrome de Fukushima"...
On le retrouve dans toutes les catastrophes majeures, et il vient de se révéler au Japon de façon spectaculaire.

On connaît le leitmotiv imbécile derrière lequel se retranchent tous les irresponsables : "Le risque zéro n'existe pas !"...
Planqués derrière cette évidence, ils se laissent glisser béatement vers le risque 10, le risque 20, le risque 30... et ils en arrivent à construire des centrales nucléaires qui sont autant de bombes potentielles, tout au long d'une île surpeuplée campée en plein milieu d'une faille tectonique...
C'est-à-dire le pays le plus "secoué" au monde à longueur d'année, et qui, de surcroît, héberge le peuple qui a fait le premier l'expérience du cataclysme atomique lors des bombardements d'Hiroshima et de Nagasaki, à la fin de la seconde guerre mondiale !
De ce fait, on est amené fatalement à se poser la question : les Japonais sont-il fous ?


Ils ne le sont certainement pas plus que les Français, mais ils ont avec eux quelque chose en commun : leurs politiciens et leurs technocrates ont truffé leurs pays de "CHAUDRONS DE SORCIÈRE" d'une dangerosité extrême sans jamais leur avoir demandé leur avis !!!


 Car l'industrie nucléaire n'est pas seulement un rêve d'apprentis-sorciers, c'est aussi une violation des principes élémentaires de la démocratie !...

Dans cette affaire, le "peuple souverain" a été baîllonné.

Oui, mais, nous dit-on, le peuple souverain réclame de l'électricité ! sans doute, mais pas au prix de risques mortels et de souffrances extrêmes.
Et il y a cent façons de faire de l'électricité sans pollution et sans danger.

Voici d'ailleurs un extrait d'un article intitulé :
LE GANG TECHNOCRATIQUE ÉTOUFFE L'ÉNERGIE SOLAIRE !!!


"Pourquoi impose-t-on aux français une infrastructure pesante, coûteuse, polluante, destructrice d'environnement, parfois même dangereuse, nécessitant d'énormes transports de matériaux et de combustibles, augmentant de surcroît notre dette extérieure et notre dépendance vis-à-vis de l'étranger ? (...)
Oui, pourquoi ?
Alors que si les dizaines de milliards consacrés par EDF à l'investissement nucléaire avaient été attribués au solaire et continuaient de l'être, la France serait avant 1990 le paradis de l'énergie propre, décentralisée, indépendante et gratuite ?"

Avant 1990 ?
En effet, car ce texte est extrait du n°2 de "l'Ère nouvelle" daté de janvier 1981 !
Voici donc 30 ans que nous demandons à "sortir du nucléaire" et à développer les multiples sources d'énergie que nous offre la nature.

Les "experts" - tous à la solde de l'industrie nucléophile bien entendu ! (Daneel) - nous répètent sur tous les tons qu'elles ne peuvent pas suffire à assurer nos besoins...
Il n'y a que deux possibilités :
ILS MENTENT EFFRONTÉMENT...
OU BIEN ILS SONT STUPIDES !


Un seul exemple :
Plus du quart du territoire français dispose dans son sous-sol de nappes à une température de 200°.
C'est la géothermie, dont l'exploitation est demeurée à l'état symbolique, parce que ça n'intéresse pas "ces messieurs".

En réalité, la planète regorge d'énergie, et au Japon plus que partout ailleurs...
il est grand temps que les peuples se révoltent contre ces rois de l'esbrouffe ! » ...

 


A propos... ne manquez pas cet édifiant témoignage d'actualité de Bernard Laponche :
Il y a une forte probabilité d'un accident nucléaire majeur en Europe” !!!
Bref extrait :
Nicolas Sarkozy affirme que si l'on refuse le nucléaire, on doit accepter de s'éclairer à la bougie.
Qu'en pensez-vous ?


Il est lassant d'entendre des dirigeants qui n'y connaissent rien continuer à dire n'importe quoi !!!
Nicolas Sarkozy ne croit pas si bien dire ; un jour, et pourquoi pas dès cet été, les Français s'éclaireront à la bougie : comme nous sommes le seul pays au monde à avoir choisi de produire 80 % de notre électricité avec une seule source, le nucléaire, et une seule technique, le réacteur à eau pressurisée, si nous sommes contraints d'arrêter nos réacteurs, nous retournerons à la bougie !

Pas besoin d'une catastrophe, juste un gros pépin générique, ou une sécheresse et une canicule exceptionnelles. Car on ne peut pas faire bouillir l'eau des rivières.
En revanche, si l'on décidait de sortir du nucléaire en vingt ans, on pourrait démultiplier notre inventivité énergétique pour justement éviter la bougie. (...)


Physicien nucléaire, polytechnicien, Bernard Laponche est formel :
La France est dans l'erreur.
Avec le nucléaire, elle s'obstine à privilégier une énergie non seulement dangereuse mais obsolète.
Alors que d'autres solutions existent...


 Autre extrait édifiant de cette fameuse "Campagne 1975" lançée par LA VIE CLAIRE pour faire justement obstacle à ce projet français démentiel :
- Rien qu’en France, l’installation, d’ici l’an 2000, de 200 centrales atomiques représentera un chiffre d’affaires de 3.000 milliards de francs actuels. C’est le vrai marché du siècle, à côté duquel celui du chasseur-bombardier est une plaisanterie. Le morceau est évidemment gros à avaler pour la collectivité qui payera la facture, mais on s’emploie à lui faire croire qu’elle a absolument besoin de doubler sa consommation d’électricité tous les 10 ans et que les centrales atomiques le permettent seules ! L’opération comporte bien un petit ennui : la mise en service d’innombrables centrales atomiques transformerait la planète en désert, éliminant les êtres supérieurs, en particulier les hommes, puis les êtres inférieurs, et laissant peut-être survivre quelques formes primitives résistantes, comme certains insectes. ...

(Il est à noter que, malgré les apparences, cette campagne menée par Henri-Charles Geffroy POUR "faire échec au programme nucléaire" à été un véritable succès...
Car en tout et pour tout, ce n'est heureusement pas 200 centrales nucléaires qui se sont implantées dans notre hexagone... mais "seulement" 19 (pour 58 réacteurs)....

Note : On peut notamment télécharger - en pdf - l'intégral de ce document ici (en cliquant sur les titres "Campagne 1975" ou "Péril mortel ...")... 
Ou même sur mes forums amis "Planète-Attitude" ou "Planète Vivante" :


« À noter que l’on peut aussi se prémunir de la menace nucléaire, notamment ses effets radioactifs : en appliquant strictement l’Alimentation saine (et la Vie saine), comme indiqué dans un article de La Vie Claire de février 1962 (repris en annexe VII du livre “P.D.G. mon frère”, par H.-Ch. Geffroy, éditions La Table Ronde, 1972) dont nous reparlerons... »
(Cf. La Lettre de l'Agnvs du 21 février 2009 : Une quelconque "Menace NRBC" ?...)

Et dans La Lettre de l'Agnvs du 5 avril 2009 :
« Nous avons évoqué le 21 février dernier les risques encourus par notre chère nation d’une des menaces NRBC (nucléaire, radiologique, bactériologique et chimique). (...)
Compte tenu des sujets défendus par l’A.G.N.V.S. (Agriculture biologique, Écologie, Environnement, Alimentation saine bio-végétalienne, Santé, etc.), il nous avait paru évident de suggérer la suppression en priorité des “engrais agricoles” chimiques tant il existe de solutions alternatives !
Puis nous nous étions reportés aux écrits de Henri-Charles Geffroy qui avait entrepris dès les années 40 “Une Véritable OEUVRE DE PAIX”, les Français craignant à l’époque une guerre bactériologique. Il n’avait pas manqué d’évoquer cette menace d’“INVASION” en pages centrales du N° 1 d’août 1946 de son journal « La Vie Claire », à travers son article titré “Pour échapper au nouveau péril de la guerre scientifique, l’invasion microbienne”...
Nous avions alors développé d’importants éléments qu’il nous avait légués il y a tant d’années sachant que cette menace est toujours présente aujourd’hui.
(N’oublions pas que Henri-Charles Geffroy avait découvert en 1935 les bienfaits d’une alimentation naturelle végétalienne, qu’il propagea autour de lui après l’avoir lui-même essayée : ultime recours pour un “Gazé” de 1914-18 !)
En outre, nous avions précisé que l’on pouvait aussi se prémunir de la menace nucléaire, notamment ses effets radioactifs : en appliquant strictement l’Alimentation saine (et la Vie saine), comme indiqué dans un article de La Vie Claire de février 1962...

 




ÉDIFIANTS TÉMOIGNAGES DE PROTECTION CONTRE LES RADIATIONS NOCIVES


Voici le résumé de l’article de La Vie Claire “Une sensationnelle expérience de protection anti-atomique” (fév. 62) :
« En général, ceux qui s’imposent une hygiène et une discipline très strictes, sont ceux qui luttent ou ont lutté avec l’énergie du désespoir pour échapper à un grave danger.
C’est ainsi en particulier que nombre de malades graves, tuberculeux, diabétiques, etc., ont réussi à rétablir leur santé, à force de courage et de ténacité, et ont tiré tellement d’avantages de leurs efforts qu’ils ne voudraient faire marche arrière pour rien au monde. D’autres, par contre, qui jouissent apparemment d’une bonne santé, nous suivent sur certains points, mais sans renoncer à tout ce que certains appellent les plaisirs de l’existence. Pour beaucoup, ce n’est d’ailleurs qu’une lente évolution qui les amènera, sans heurts, ni précipitation, à des habitudes rationnelles (...) »

Premier témoignage
« Le mari de Madame "x". (...) a un métier très particulier. Il est technicien dans un centre de recherches nucléaires.
Assez curieusement, c’est le métier de son mari qui l’a amenée, elle, à l’alimentation saine, et c’est l’alimentation saine qui lui a permis de sauver son mari !
M. "x". travaille à l’Energie atomique à peu près depuis les débuts. Il a connu l’époque héroïque des premiers essais et des premières piles expérimentales, débuts que l’on peut rapprocher des débuts de l’emploi médical des rayons X.
Les premiers appareils à rayons X étaient rudimentaires. 
Comme on ignorait alors les dangers que présentait l’exposition prolongée aux rayonnements, dont on ne voulait connaître que les perspectives intéressantes, on ne prenait guère de précautions, et on ne compte plus les médecins qui furent amputés des mains, puis des bras, et moururent des effets des brûlures par les rayons.
Il en fut de même, dans les premières années des piles atomiques, et de nombreux techniciens furent alors exposés à des bombardements radio-actifs plus ou moins intenses.
Ce n’est que plus tard que des appareils furent créés pour permettre la manipulation à distance des produits dangereux.

On ne saura probablement jamais combien jusqu’ici, les rayons gamma et les photons ont fait de victimes, car il est difficile de déterminer la cause principale d’une maladie dégénérative telle que la maladie des rayons.
Une chose est certaine : des techniciens, des employés qui approchaient journellement les produits radio-actifs, pratiquement aucun n’est resté absolument insensible aux influences dangereuses.
Professionnellement (si l’on peut dire, puisque la maladie « atomique » n’est pas encore classée comme maladie professionnelle), les symptômes sont les suivants :
- Grande fatigue, commençant par les jambes. Le sujet, atteint par des doses importantes de rayonnements, ne peut rester longtemps debout. Il s’assied chaque fois qu’il le peut, ou s’appuie comme un convalescent qui a gardé le lit plusieurs semaines ; grande fatigue musculaire. Les muscles perdent leur force et leur souplesse. Le sujet devient « paresseux » ; mauvaise résistance de l’organisme aux agressions. La moindre grippe dure un ou deux mois ; le poids augmente. 90 % des techniciens de l’atome grossissent notablement ; coloration des urines ; formule sanguine déficiente ; perpétuelle envie de dormir ; chute des cheveux, etc. »

 Madame "x". avait ainsi décrit l’état de son mari :
« Au bout de quelques mois de travail, mon mari avait perdu son dynamisme, et, au bout d’un an, il était perpétuellement fatigué. Sa numération globulaire accusait une baisse sensible, sans être toutefois particulièrement inquiétante : 3.600.000 globules rouges, etc.
Il avait bon appétit, dormait bien, mais il prenait du poids et perdait ses forces petit à petit.
Les vacances lui permirent de retrouver une meilleure forme, mais la fatigue revint dès le début de l’hiver. Une grippe banale fut longue à guérir. La résistance de l’organisme aux microbes faiblissait.
Puis ce furent d’autres symptômes qui apparurent : lourdeur des jambes, faiblesse des reins, etc. Il ne pouvait plus faire des efforts moyens. Les poids des objets lui semblaient avoir triplé, ses muscles étaient moins souples et lui paraissaient « raccourcis ». 
Encore une fois, les vacances améliorèrent son état mais pas pour longtemps. La station debout le fatiguait, et il lui fallait toujours s’appuyer ou s’asseoir. Il était comme un convalescent qui recommence à se lever. Il devint paresseux, avait toujours sommeil, et les nuits n’étaient jamais assez longues. Il ne récupérait plus. Il avait pourtant toujours bonne mine et bon appétit, mais continuait à prendre du poids, 106 kilos pour une taille de 1 m 75. Puis il fallut l’aider à se lever et à s’habiller pour qu’il aille à son travail. Il trouvait les journées longues et pénibles. Il avait perdu le goût de la vie. Seul, le repos comptait ; tout le fatiguait. Au bout de trois ans, sa tension était descendue à 10-7.

C’est à cette époque que j’ai lu plusieurs livres sur l’alimentation, en particulier “Nourris ton corps (Ndlr : aujourd’hui publié aux éditions Aquarius).

Comme mon mari n’était pas le seul, loin de là, à présenter des symptômes alarmants, nous avons pensé que l’alimentation habituelle ne fournissait probablement pas tout ce qui est nécessaire à l’organisme pour se défendre contre les radiations, régénérer les globules détruits, etc.
Nous avons alors suivi un régime végétarien, avec pain complet, fruits secs, etc. et l’état de mon mari s’est en effet progressivement amélioré. Son poids, par exemple, est redescendu à 96 kilos.

Puis nous sommes venus au végétalisme, et, au bout de six mois, mon mari avait apparemment retrouvé son équilibre normal : poids : 89 kilos ; globules rouges : 4.600.000 ; tension : 13-8.
Il a maintenant repris goût à la vie comme avant, se trouve rajeuni et heureux, et pourtant, il a toujours le même emploi.
« On comprend facilement l’obstination avec laquelle M. "x" persévère dans la pratique de l’alimentation saine qui lui a, d’ores et déjà, permis de remonter la pente qui fut fatale à bien d’autres.
Quand nous lui avons demandé s’il était strictement végétarien et pourquoi, il a simplement répondu :
« Parce que je tiens à ma peau ! »

Si l’expérience de M. "x" était le seul indice qui laisse penser que l’alimentation usuelle diminue l’auto-défense de l’organisme, et que l’alimentation saine la renforce dans des proportions souvent inespérées, on pourrait douter de sa valeur et être tenté d’attribuer la disparition de ses symptômes à tout autre cause naturelle, et en particulier au temps qui efface tout...
Mais il existe tout un faisceau de confirmations dans différents domaines (...) »


Deuxième témoignage :
la transmission du mal aux enfants
« On sait également que les troubles dus aux irradiations prolongées n’ont pas tendance à guérir par eux-mêmes et subsistent très longtemps, pouvant même se transmettre aux descendants. On se souvient à ce sujet de la plainte déposée il y a quelques mois contre le Commissariat à l’Energie Atomique par “l’atomisée de Saclay”. »
Voici ce qu’a déclaré Mme Majoni au journaliste de l’Aurore (9.9.61), qui souffrait depuis huit ans de troubles analogues à ceux de personnes irradiées :
« Je ne peux jamais prévoir quand j’aurai une crise qui m’obligera à rester alitée. De plus, je me fatigue très vite et il me serait impossible de m’occuper seule de mes enfants.
Lorsque j’ai été victime des radiations, j’attendais Pierre, l’aîné, âgé aujourd’hui de cinq ans.
Il présente les mêmes symptômes d’anémie que moi. Il a fallu le retirer de l’école maternelle. C’était trop fatigant pour lui. Alors, vous pensez, qu’est-ce que ce sera lorsqu’il sera à la grande école !
Tout son avenir risque d’être compromis.
Ma fille, âgée de trois ans, semble avoir été épargnée, mais la dernière née, qui n’a que six mois, présente elle aussi des symptômes inquiétants. C’est surtout pour eux que j’ai attaqué le Commissariat à l’Energie Atomique en dommages intérêts. Et puis, je l’ai fait aussi pour alerter l’opinion publique, afin que des mesures soient prises, et que d’autres cas semblables ne puissent plus se produire (...) »

 



Troisième témoignage :
« On ne  peut pas s’empêcher de rapprocher ces faits récents d’une constatation rapportée en 1945, à la suite du bombardement de Nagasaki.
La bombe A était tombée à égale distance de deux hôpitaux.
Dans l’un, il y eut des milliers de morts et quelques survivants ; dans l’autre, quelques morts et des milliers de survivants pratiquement indemnes.
Or, coïncidence remarquable, il se trouve que, dans ce dernier, pour des raisons qui n’avaient évidemment rien à voir avec le danger atomique, un régime exclusivement végétarien à base de céréales, était servi à tous les malades et à tout le personnel !...

Enfin, on sait aussi que la consommation de blé entier, qui est à la base de l’alimentation saine, protège les animaux contre le cancer expérimental comme l’ont montré des expériences extrêmement nombreuses, faites sur des rats, et devenues classiques (ndlr : expérience du savant Yoshida, au Japon, en 1929 rapportée dans “Défends ta peau !” par Henri-Charles Geffroy. Précisons que nous condamnons l’expérimentation animale, cruelle et inutile !). (...) D’autre part, nous avons constaté un certain nombre de guérisons de cancers chez des personnes nourries sainement.... »

 



PROTECTION PAR L’ALIMENTATION SAINE



 
« (...) On peut donc penser, sans optimisme exagéré, que les différents procédés de défense de l’organisme contre les maladies, que nous recommandons, en particulier l’alimentation saine, la vie saine en général, etc., constitue une protection solide contre les dangers créés de toute pièce par l’industrie atomique et ses sous-produits comme d’ailleurs contre de nombreux autres dangers (...). »
Indépendamment du danger direct des radiations, l’industrie atomique pose le problème de la pollution de l’air, de l’eau et des aliments :
« Le plus exposé est peut-être le lait, dont la production se fait au jour le jour, et qui peut se trouver brusquement contaminé d’un jour à l’autre par des pluies radioactives, ou par un accident industriel quelconque, comme cela s’est déjà produit, sans parler naturellement d’un accident militaire (...). »
(Rappelons que le lait est strictement déconseillé dans le cadre de l’alimentation saine, bio-végétalienne)
« N’oublions pas que les plus grands dangers qui menacent actuellement l’homme et la terre entière, ne sont pas tellement l’épouvantable explosion d’une super bombe, que l’insidieux progrès des agressions microscopiques et toujours renouvelées contre notre organisme qui en souffre d’autant plus profondément qu’il vit dans des conditions plus artificiellement écartées des conditions de vie que la nature a toujours offertes à l’organisme humain. »

L’ALIMENTATION SAINE : ANTI-POLLUTION CHIMIQUE... ET RADIOACTIVE !

« Extraits d’un article du professeur Raymond Lautié, docteur ès sciences, paru dans La Vie Claire de février 1962,  auteur de “Le danger atomique” (il s’occupa du laboratoire de La Vie Claire afin de contrôler la qualité des produits).
« ... D’après nos propres travaux, nous continuons de penser que l’alimentation saine, comme la respiration profonde d’un air pur, aide puissamment à se défendre de radiations pénétrantes X ou Y (gamma) et de radio-isotopes. Selon nous, le but fondamental à atteindre n’est pas la découverte d’un aliment spécifique ; mais par dessus tout, de créer ou de maintenir des tissus sains et vigoureux par un régime naturel, pour qu’ils réagissent d’eux-mêmes contre le mal en général et contre les fréquences hyper-élevées ou les substances instables, dans le cas qui nous occupe à présent.
Comme pour la lutte antituberculeuse ou anticancéreuse, l’essentiel dans la bataille antiradioactive si difficile, reste d’assainir les cellules et de leur offrir une nourriture adaptée, complète et variée.
Cela réalisé, les chances de surmonter le mal, quelle que soit la forme qu’il revêt, deviennent grandes, tant notre corps trouve en lui de parades inattendues.

Loin de nous de prétendre que l’alimentation naturelle nous sauve à tout coup, des retombées radioactives subites que le mauvais génie de l’homme a engendrées. En effet, nos tissus mettent parfois trop de temps à bien réagir et à déclencher ces contre-attaques décisives. Cependant, la diète convenable est seule capable de les mettre dans les conditions de défense les plus efficaces.
Enfin, s’il s’agit d’une intoxication radioactive progressive et de faible valeur, nous avons par le régime, la possibilité de nous sortir d’affaire sans trop d’ennuis et plus spécialement de nous éloigner à temps des zones contaminées. Nous devons affirmer que c’est une protection précieuse des radioactivités lentes et peu intenses, peut-être même la seule tant que ne jouent pas les terribles effets d’accumulation et de sélectivité irréversible. Malheureusement, l’alimentation la plus saine ne nous protège pas en toute certitude, si les rayons X ou Y frappent fort ou s’ils prolongent leurs actions à des doses relativement grandes.

Pourtant, même dans ces circonstances défavorables, elle rend encore de puissants services et bien mieux que tous les produits pharmaceutiques proposés un peu partout à coup de publicité tapageuse.

Non, le régime ne triomphe pas chaque fois ; mais il reste le pivot de la bataille, dans toutes les agressions, soit à titre préventif, soit à titre curatif.
Allant plus loin, nous estimons de plus en plus qu’il est l’arme par excellence contre les intoxications radioactives comme il l’est contre les intoxications chimiques (...).

Les corps gras insaturés sont bénéfiques contre les radiations, ne serait-ce que parce qu’ils renforcent nos tissus et favorisent des éliminations ; mais nous ne pensons pas que ces substances favorables suffisent à nous protéger avec certitude et dans n’importe quel cas.
C’est là une différence profonde.

 Dans son combat incessant contre les mille attaques du milieu extérieur l’organisme fait appel constamment à des matériaux d’une étonnante diversité, tantôt à des doses massives, tantôt à doses homéopathiques, preuve de sa subtile adaptation à des situations multiples. Un seul produit, même de haute valeur, ne peut pas le protéger pleinement, lui permettre de catalyser ses innombrables synthèses.
Toujours, en chaque circonstance, notre corps est contraint de faire appel à un très grand nombre de substances qu’il ne sait pas fabriquer. Donc, il serait dangereux de ne s’occuper que D’UN aliment unique quand on prétend maintenir la santé et a fortiori la sauver (...).

Nous parviendrons à résister à des radioactivités assez légères si nos digestions ne sont ni lentes, ni incomplètes ; si nous évitons la redoutable hyposphyxie de la sédentarité. Facilitons au maximum la tâche écrasante de l’organisme en péril, en ne lui imposant pas des mets indigestes, mal assemblés. Pas d’excès de table. De la frugalité, de la mesure, de la régularité et du calme.
Pas de nervins (ndlr : “excitants”), depuis le café jusqu’au tabac, en passant par l’alcool. Il serait inepte de fouetter l’organisme, de le contraindre à des efforts supplémentaires et désordonnés de purification, alors que l’heure sonne de le ménager, de faciliter ses éliminations.

Dès le départ, une assimilation complète s’impose dans la protection contre les radiations.
Sans ce soin, le poison digestif aggrave le poison radioactif, accablant en sus et irrémédiablement, des tissus en désorganisation.
Oublierait-on que le cancer habituel est fréquemment la conséquence de digestions imparfaites ? (...)

Les corps gras trop cuits, trop vieux, trop oxydés, les viandes lourdes et graisseuses sont contraires à une diète antiradioactive, car ils ralentissent les processus digestifs, facilitent indirectement les putréfactions intestinales qui engendrent des ptomaïnes et acidifient le sang, détériorent nerfs et foie par les poisons du “craquage” culinaire.
Nous restons convaincus que l’unique régime est celui axé sur des fruits sains et mûrs, soit frais, soit secs, mais pas trop vieux, surtout en grande variété, en rapport avec la capacité du système digestif.
Base de notre alimentation, nous devons les associer aux salades vertes crues, plutôt sauvages, aux oignons doux, à l’ail, au persil, au pain complet, aux céréales en quantité mesurée et avec levures douces (...).
Hors cette règle, pas de réussite durable.

Nous regrettons que les spécialistes précités (ndlr : deux chercheurs madrilènes qui avaient fait une étude sur des rats montrant l’action protectrice et assez efficace de l’huile d’olive contre des doses progressives de rayons X) ne mettent point l’accent sur la nécessité du régime complet et qu’ils laissent supposer que l’huile d’olive résout, à elle seule, l’angoissant problème des maladies de la radioactivité.
Nous, nous précisons qu’elle ne doit pas être le seul lipide de la ration quotidienne et que, de plus, elle doit être vraiment vierge, extraite à froid et sans solvant. Cela nous paraît nécessaire pour qu’elle demeure un complexe équilibré et par cela même efficace (...) ».

De plus, n’oublions jamais que la ration lipidique quotidienne : « doit contenir à la fois des acides gras saturés et des acides gras insaturés sous forme d’esters, de préférence à bas point de fusion. Il serait aussi néfaste de se priver du premier groupe que du second, car l’un et l’autre ont leur rôle à jouer soit pour lubrifier les côlons et favoriser la vésicule biliaire, soit pour protéger tissus et peaux, soit pour échafauder l’édifice spécifique des cellules, soit pour fournir une part d’énergie (...).
Nous disons que l’huile vierge contient de bons insaturés, en excellente proportion, mais pas tous ceux dont nous avons besoin, surtout en défense antiradioactive (...). 
Aussi, insistons nous pour qu’on utilise toujours des fruits variés - olives noires, noix, noisettes, amandes, etc. - que le vieillissement n’a pas dénaturés par l’oxydation lente à l’air, et à défaut ou en supplément, des huiles vierges d’origines différentes, depuis l’huile d’olive jusqu’au tournesol, sans aucune exclusive, à condition qu’on n’arrive pas à des quantités abusives.
C’est grâce à cette grande variété de lipides végétaux non cuits que l’organisme a le plus de chances de trouver à temps, des associations lipidiques naturelles ou presque, parfois à doses homéopathiques mais suffisantes qui lui permettent de protéger les cellules nerveuses, de constituer des cellules saines, de réparer des tissus lésés et d’éliminer enfin des poisons radioactifs en les bloquant dans des complexes organiques (...) »

Le professeur Lautié conseillait aussi, en cure : un mélange de divers sels de magnésium pour aider notre corps à « éliminer des radioactivités par déplacement ionique ou à accélérer les cicatrisations des lésions qu’elles ont provoquées. »






BONUS



 Et n'oubliez-pas... j'ai intégré le lien sur certaines images de cet article (je rappelle d'ailleurs en passant pour mes amis internautes inattentifs ou trop pressés que je "cache" très souvent des liens derrière les images, et cela quasiment dans tous les articles de ce blog !)... mais je l'indique ici en clair : pour avoir encore plus d'infos - et des "costauds" (!) - lisez la fameuse "Gazette Nucléaire" de mon amie Monique Séné !
Vous trouverez là près de trente-cinq ans d'archives :
http://resosol.org/Gazette/retrospective.html





Peut-être avez-vous déjà été informé par ailleurs des excellents résultats - contre les effets de la radioactivité, que celle-ci provienne des bombes nucléaires ou des centrales éponymes - des "soupes de miso" ou des "pectines de pomme"...
On en parlait justement sur le forum des "Citoyens Responsables de France" :
http://crefrance.ning.com/profiles/blogs/nucleaire-soyons-realistes






ET CE QUI DEVAIT ARRIVER...
AREVA !!!

On peut notamment lire dans ce numéro de Zélium - revue satirique particulièrement "Hard", qui rappelle furieusement "Psychopathe" ou "Hara-Kiri" - ces propos eux aussi très "hards" évidemment mais qui sonnent si vrais :
« Lundi 14 mars, la présidente du groupe Areva Anne Lauvergeon, annonçait que si les réacteurs un et trois de Fukushima s'étaient fait sauter la casquette :
Cela n'avait "rien à voir avec une catastrophe nucléaire"...
Elle a une excuse : elle est abrutie. De travail ?

IL EST VRAI QU'IL Y AURA TOUJOURS DES ABRUTIS QUI JUSTIFIERONT QUE LE NUCLÉAIRE RESTE SANS RÉEL DANGER, QUE LES ACCIDENTS N'ARRIVENT QU'AUX AUTRES...
IL EST AUSSI VRAI QU'ILS ONT UNE EXCUSE DE TAILLE : CE SONT DES ABRUTIS ! 
»