samedi 23 février 2013

"DIANE" : PILULES A MERES !!!


Alors que 13 500 plaintes avaient été déposées en 2011 aux Etats-Unis contre le laboratoire Bayer pour une pilule de troisième génération, la première plainte sera déposée en France le 14 décembre 2012 par une jeune femme lourdement handicapée (paralysie de la main droite et crises régulières d’épilepsie) à la suite d’un accident vasculaire cérébral imputable à une autre pilule de troisième génération du même Bayer...


Ce 1er février 2013, un ami médecin - toujours en activité en France malgré sa farouche dénonciation de la religion vaccinaliste (!) - m'envoyait notamment son avis sur l'interdiction "si inopinée" de la tristement célèbre pilule Diane 35 :
« Le média médical egora.fr raporte à la date du 31/01/2013, une étude de la revue médicale indépendante Prescrire (la seule revue qui ne reçoit pas un centime de l'industrie pharmaceutique) sous le titre : "Médicaments : les effets secondaires...
A l'origine de 10 000 à 20 000 décès par an !"

Une étude de 1998 conclut que 0,12% des patients (soit environ 14.400) hospitalisés décèdent suite aux effets secondaires des médicaments.
"On peut considérer que chaque année 20.000 patients ou invalides décèdent, en France, d'effets indésirables des médicaments", selon la revue indépendante Prescrire.

Tout ceci pour vous dire que ce brave médicament qu'est le Diane 35, avec ses 4 (malheureux) morts en 25 ans, fait bien pâle figure face à la concurrence, qui, dans le même temps, en avait descendu trois cent soixante mille (300.000 !!!)... On comprend alors toute l'urgence qu'il y avait à se débarrasser de cet enfant de choeur qu'est Diane 35.
Et le bon peuple est content, et Gerard Bapt, député PS de Toulouse, médecin-cardiologue, membre du conseil d'administration de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (dont on a souvent applaudi les exploits prédictifs), pavoise sur ce formidable succès de la pharmaco-vigilance, et annonce à tout hasard un scandaleux 90% de détournement d'usage pour Diane 35, ce qui me parait être un gros-gros mensonge à mon humble échelle. Il est vrai qu'un cardiologue ne prescrit pas souvent la pilule, pas plus que son compère Douste Blazy ne prescrit le vaccin anti Hépatite B. Ce qui leur donne à tous deux grande autorité pour en parler. (...) Maintenant, on peut se demander s'il n'y aurait pas, par hasard, une intention cachée là dessous... Il est vrai que j'ai un très mauvais esprit.
Mais quand même, cette affaire me donne des boutons... »


Je lui répondais alors immédiatement :
« M'ouais...
"4 morts"... c'est la version OFFICIELLE !
En vérité, je crois que ce serait plutôt plusiuers zéros qui faudrait ajouter derrière... sans même compter celles qui n'en sont heureusement pas mortes, mais qui ont eu bien d'autres pathologies iatrogènes !


 C'est comme pour les ravages post-vaccinaux :
Chaque fois qu'une personne en souffre ou même en décède, on NIE fermement que "l'incident" soit lié à la vaccination, "puisque les vaccins n'ont aucun effet secondaire" (!)...
Du coup, forcément, le problème ne vient pas du vaccin mais d'autre chose !!! ...
Il en est de même avec beaucoup d'autres "médicaments", tel la fameuse pilule "anti-conceptionnelle" (pilule tueuse donc, déjà, par essence !)... Combien de jeunes femmes en sont mortes, sans que cela soit répertorié puisque "le problème ne pouvait pas venir de la pilule mais forcément d'autre chose" (!!!)...
Déjà, en 1995, Christiane Laupie, l'une des responsables de "Pro Anima" témoignait ainsi du décès de sa fille :
« Fin Août 1994, des chercheurs munichois ont essayé d'alerter l'opinion publique d'outre-Rhin sur les dangers de la pilule Diane, sur le marché depuis les années 1970. Nous savions qu'elle présentait des effets secondaires graves : risque de caillots sanguins, trouble de l'acuité visuelle, maux de tête importants, tout cela est écrit sur la notice et n'a nullement empêché une gynécologue de la prescrire, sans analyse de sang préalable, à une jeune fille de 18 ans, Georgina... Un an plus tard, Georgina décédait, victime d'une embolie à la suite d'un caillot sanguin. Quinze jours avant son décès, comme elle était essoufflée et se plaignait de douleurs dans les jambes d'abord, puis au bras gauche, elle avait consulté trois médecins : outre la gynécologue, un généraliste et un cardiologue. Aucun n'a réagi en apprenant qu'elle prenait la pilule Diane 35. Le lendemain de son décès, les médecins se renvoyaient la balle quant à leur responsabilité ! ... »

Mais non, voyons, ce n'est bien sûr pas la faute des médecins, ni même de la pilule...
Ni Coupable, ni Responsable !
Georgina n'était pas morte à cause de cette satanée pilule (qu'au Canada on avait déjà baptisé depuis plus de 13 ans "La pilule qui tue" (!)), mais à cause : « d'une malformation cardiaque congénitale » (sic)

 4 morts seulement ? Ou plutôt 400, 4.000, 40.000 morts ???
Comment savoir vraiment la vérité vu que nos si chères "autorités de santé" ont joué le déni de réalité pendant tant et tant et tant et tant d'années ?!...


Bref extrait du remarquable dossier de notre grand expert "es médicaments" Marc Girard :
Sur le seul exemple du risque thrombo-embolique (on aurait pu en trouver bien d’autres), je viens d’illustrer en trois épisodes, étalés sur plus de cinquante ans, l’incroyable légèreté réglementaire, scientifique et éthique avec laquelle les professionnels de santé, dans leur immense majorité, ont autorisé, prescrit et délivré des produits pharmaceutiques pourtant radicalement défectueux, destinés à des femmes jeunes et en parfaite santé !


En Avril 1995, Christiane Laupie, l'une des responsables de "Pro Anima" apportait ce vibrant témoignage :
« Fin Août 1994, des chercheurs munichois ont essayé d'alerter l'opinion publique d'outre-Rhin sur les dangers de la pilule Diane, sur le marché depuis les années 1970.
Nous savions qu'elle présentait des effets secondaires graves : risque de caillots sanguins, trouble de l'acuité visuelle, maux de tête importants, tout cela est écrit sur la notice et n'a nullement empêché une gynécologue de la prescrire, sans analyse de sang préalable, à une jeune fille de 18 ans, Georgina...
Un an plus tard, Georgina décédait, victime d'une embolie à la suite d'un caillot sanguin.

Quinze jours avant son décès, comme elle était essoufflée et se plaignait de douleurs dans les jambes d'abord, puis au bras gauche, elle avait consulté trois médecins : outre la gynécologue, un généraliste et un cardiologue. Aucun n'a réagi en apprenant qu'elle prenait la pilule Diane 35.
Le lendemain de son décès, les médecins se renvoyaient la balle quant à leur responsabilité ! ...

Cela ne vous rappelle rien ?
(NDLR : Le "Sang contaminé" par exemple, ou "l'amiante", ou encore "le vaccin hépatite B"... ou maintenant - entre autres - le fameux "Zyban" très efficace pour aider les fumeurs à ne plus fumer : il les tue !!!)

Mais non, voyons, ce n'est bien sûr pas la faute des médecins, ni même de la pilule. Ni Coupable, ni Responsable !
Georgina devait avoir : "une malformation cardiaque congénitale" (sic)

(NDLR : Malformation évidemment indémontrable.
Encore une affirmation sans preuve... comme pour le Zyban, comme pour les vaccins, et comme pour tant d'autres "médicaments" encore..., qui suffit cependant - le plus souvent - à faire retomber dans leur torpeur toutes les familles de victimes, qui cessent alors de se poser des questions gênantes, et replongent avec sérénité dans le vaste lavage de cerveau collectif qui, jour après jour, dans les médias les plus variés et même jusque dans les livres scolaires et universitaires, nous assène la pire désinformation de tous les temps... "pour le plus grand bonheur de l'humanité"...
Ben oui, avec la mafia médicale, on retrouve à chaque fois ce même genre de justification, identique à celle qu'évoquait Fernand Raynaud avec son fameux "tailleur" où le travail était si mauvais que pour l'ajuster, c'est le client qui devait se contorsionner et se déformer le physique : "Mon travail est très bien, c'est vous qui êtes mal foutu !!!") (...)

Dix ans ont passé, emportant avec le chagrin d'autres êtres aimés...
Nous entendons bien parler de quelques accidents, de thromboses... mais le silence règne chez les médecins et dans les médias.

En cette fin de siècle où tout s'achète, où l'éthique remplace la morale, où la désinformation sans scrupule encombre les médias...
Où sont donc les Bossuet, les Zola ?

Comment travailler à un monde meilleur quand tout est silence et complaisance autour de vous ?????????????... »

PS. C'était le 10 avril 2003 (eh oui, presque 10 ans déjà !), sur divers forums... et notamment mon site "CULTURE NET 2013" :
- "http://fr.groups.yahoo.com/group/culturenet2013/message/27" ...
  • Jean-Yves Casgha aime ça.
  • Hari Seldon Georgina, Delphine,... deux prénoms noyés dans cette masse de gens anonymes "morts pour la finance" (!), mais dont la douleur des proches, elle, n'est certes pas anonyme, et touche tous ceux qui ont encore un minimum d'empathie ou de compassion.
    Mais e
    n ce qui concerne la contraception chimique malheureusement, il n'y a pas que "Diane" qui soit dangereuse :
    - En effet, les pilules anticonceptionnelles (...) ont leurs contrecoups néfastes sur l'harmonie biologique de l'organisme, et lui nuisent de la même façon que les autres médicaments chimiques, antibiotiques, vaccins et autres opérations allopathiques.

    ************

    LA PILULE DIANE ???

    Il y a quelques années déjà, une révélation - vite étouffée encore, car elle porte préjudice à un chiffre d'affaire de 400 millions de marks - a défrayé pendant quelques jours la presse allemande :
    - En 1994, le "Bundesinstitut für Arzneimittel und Medikamente", l'organisme chargé de contrôler la mise sur le marché des médicaments, a tenté d'alerter les quinze millions de femmes qui utilisent le contraceptif du groupe pharmaceutique Schering (la pilule "Diane", remboursée par les caisses d'assurance maladie, car elle est aussi prescrite au nom de prétendues vertus thérapeutiques) de ses graves réactions "secondaires" (comme pour toutes les pilules !!!), tels que : cancers du foie, embolies, thromboses, ostéoporose, troubles de l'acuité visuelle...
    (Et, ai-je encore lu dans le "Quid", p. 1424 : "ennuis digestifs et veineux, congestion des seins, accidents vasculaires et métaboliques, hémorragies,...")

  • Hari Seldon A propos :
    http://www.proanima.fr/actualites-diane-35-25-ans-d-immobilisme_130.html
    -------------


    www.proanima.fr
    Pro-Anima est un comité scientifique pour la promotion des méthodes substitutives à l'expérimentation animale, pour une science avec conscience.




Eh oui, comme je le disais déjà dans mes brefs communiqués sur Facebook (voir le copié-collé ci-dessus) : Il y a plus de 10 ans déjà que j'avais dénoncé "vertement" dans les pages de "La Lettre de l'AGNVS" cette fameuse pilule... pourtant mise en cause par ailleurs depuis près d'une vingtaine d'années !

C'était le 10 avril 2003 sur divers forums... et notamment mon site "CULTURE NET 2013" !!!

Extrait : « Fin Août 1994, des chercheurs munichois ont essayé d'alerter l'opinion publique d'outre-Rhin sur les dangers de la pilule Diane, sur le marché depuis les années 1970. Nous savions qu'elle présentait des effets secondaires graves : risque de caillots sanguins, trouble de l'acuité visuelle, maux de tête importants, tout cela est écrit sur la notice et n'a nullement empêché une gynécologue de la prescrire, sans analyse de sang préalable, à une jeune fille de 18 ans, Georgina... Un an plus tard, Georgina décédait, victime d'une embolie à la suite d'un caillot sanguin. Quinze jours avant son décès, comme elle était essoufflée et se plaignait de douleurs dans les jambes d'abord, puis au bras gauche, elle avait consulté trois médecins : outre la gynécologue, un généraliste et un cardiologue. Aucun n'a réagi en apprenant qu'elle prenait la pilule Diane 35. Le lendemain de son décès, les médecins se renvoyaient la balle quant à leur responsabilité ! ...
Cela ne vous rappelle rien ?...

Mais non, voyons, ce n'est bien sûr pas la faute des médecins, ni même de la pilule.
Ni Coupable, ni Responsable !
Georgina devait avoir : "une malformation cardiaque congénitale" (sic)...

Dix ans ont passé, emportant avec le chagrin d'autres êtres aimés...
Nous entendons bien parler de quelques accidents, de thromboses...
Mais le silence règne chez les médecins et dans les médias !

En cette fin de siècle où tout s'achète, où l'éthique remplace la morale, où la désinformation sans scrupule encombre les médias, où sont les Bossuet, les Zola ?

Oui, Georgina est morte, mais pas pour moi, sa mère. Il faut qu'elle vive, et elle vit, à travers "Pro Anima" ("anima", en latin : "souffle de vie"), au service des autres pour que d'autres drames ne puissent se produire... Mais comment travailler à un monde meilleur quand tout est silence et complaisance autour de vous ?... »


« Les médecins savent qu’au moins 60% des médicaments sont “iatrogènes”   !
(Médicaments dont les effets secondaires sont quelque fois plus dangereux
que la maladie qu’ils prétendent soigner)...
Sans parler de l’infection microbienne des hôpitaux
qui provoque dix mille décès par an dont on parle en sourdine !... »

(Cf. “Appel aux Maires de France” du Docteur Maurice Gillard (2002))


Comme on pouvait également le lire en mai 2011 sur "2013 Continuum", dans un dossier consacré au fameux "Médiator" (Cf. "MÉDIS A TORT ?") :
- “La Lettre de l'AGNVS” d’octobre 2002 annonçait le décès à 25 ans de Delphine, fin août, qui voulait arrêter de fumer. Elle avait pris du Zyban :
« C’est pour qu’enfin l’on ne parle plus de tout ces drames “en sourdine”, pour que le plus grand nombre ne soit plus tenu dans l’ignorance - et la souffrance ! -, que nous avions décidé, suite au drame que viennent encore de connaître les parents de Delphine (et évidemment tous leurs proches), de créer particulièrement en son honneur ce dossier intitulé :


Un grand et édifiant dossier sur ces milliers et milliers de drames que l’on pourrait pourtant éviter, mais qui ne cessent de se poursuivre parce que dans notre ère de sur-information, nous sommes cependant tenus dans l’ignorance des choses essentielles, mésinformés, voire même désinformés !

Alors, pour que la mort de Delphine ne soit pas inutile, qu’elle puisse servir à tous ceux qu’elle aimait, et tous ceux qu’elle ne pourra malheureusement plus aimer...
Voici ces articles réédités, actualisés ou créés spécialement pour elle, pour que son bref séjour sur Terre ne s’achève pas aussi brutalement, et qu’elle continue ainsi à... servir LA VIE ! »


Extrait :
« Dans “La Lettre de l’AGNVS” de décembre 2001 (et celle d’octobre 2002), on pouvait déjà découvrir :
Pendant le mois d’août 2001, la firme pharmaceutique “BAYER” était cette fois la cible judiciaire des survivants de son médicament anti-cholestérol, commercialisé sous des noms divers tels Baycol (ou Bacyol), Staltor, Cholstat, Lipobay...
Nous étions alors de passage dans le sud de la France, et, les 24 et 25 août 2001, nous avions pu lire dans le journal “Nice Matin” :
Traité au Cholstat, Frédéric, un retraité niçois, a perdu l’usage d’un oeil et souffre de douleurs musculaires. (...) Un autre Niçois, M. Jean L., traité au Staltor, marche aujourd’hui avec des béquilles, et souffre de douleurs épouvantables (...) Près de six millions de patients étaient traités dans le monde avec ce type de produit utilisant une même molécule, la cétivastatine. Une récente étude allemande a recensé deux cent trente quatre (234) effets secondaires indésirables...” (...)

Le groupe Bayer lui-même a indiqué que son cher médicament : “était soupçonné (sic) d’être à l’origine de plus d’un millier d’incidents (re-sic) dans le monde dont 52 mortels”...
(Eh oui, vous avez bien vu :
Pour ces industries de la mort et de la souffrance, même les décès ne sont que des “incidents” !!!) ... »


A propos...
Voilà un exemple de ce que l'on pouvait lire dans "Bayer... et les médicaments mortels !"
(Extrait du grand Dossier : "CONSCIENCE DE CHACUN = SANTE DE TOUS" / Extrait déjà publié dans "la lettre de l'AGNVS" de décembre 2001... et complété en octobre 2002) :
 - Pendant le mois d'août 2001, donc, la firme pharmaceutique "BAYER" était dans le collimateur de la Justice... Ce même "Bayer", qui, nous annonçait le Quotidien de l'Economie "Les Echos" du 11 juillet 2001 s'apprêtait alors à devenir "le leader mondial de l'agrochimie" en reprenant la totalité de la filiale agrochimique "CropScience" du groupe "Aventis" (le créateur du maïs génétiquement modifié "Starlink") ; lui-même issu des fusions entre les industries "Pasteur", "Mérieux", et "Rhône-Poulenc"...
Au sujet de ces industries, le supplément spécial de la "Lettre de l'AGNVS" de juin 2001, "Les Vaccins de l'Ignorance", nous apprenait aussi - par exemple - que :
« Longtemps associé à "l'Institut", Alain Mérieux (fortune personnelle évaluée à 17 milliards de francs, et dont sa propre famille n'est pas vaccinée !), qui fut le propriétaire du "Laboratoire Mérieux" devenu "l'Institut Mérieux" puis "Pasteur-Mérieux", revendit son entreprise à "Rhône-Poulenc" et elle devint "Aventis-Pasteur" * (actionnaire majoritaire de "Transgènes" et de "Bio Mérieux Alliance") (...)
Siègent également au conseil d'administration de l'Institut Mérieux : Charles René Recordon, qui représente le groupe "Rhône-Poulenc", devenu "Aventis" (...)
En 1998, le budget annuel de l'Institut Pasteur atteignait 1 milliard de francs, dont 38% payés par les contribuables (...)

Et voici la nouvelle stratégie des marchands d'OGM : le "Council for Biotechnology Information" qui siège à Washington et a été fondée en avril 2000 par Aventis, Crop Sciences, Bayer, Monsanto, (...).
Curieusement, le "C.B.I." compte parmi ses membres l'association de l'industrie de la viande américaine ("American Meat Industry") qui aimerait tant nous fourguer sa viande aux hormones (...)
(A noter aussi que Bush a nommé à la Cour suprême l'avocat de Monsanto, Clarence Thomas, et, comme secrétaire d'État à l'Agriculture Ann Veneman, de Calgène, devenu Monsanto.) (...) » 



Message de "La Lettre de l'AGNVS" du 14 décembre 2002 :

- Nous venons aujourd'hui même de recevoir le tout dernier numéro de "SCIENCES ENJEUX SANTÉ" (La Lettre de Pro Anima n°27, de Décembre 2002), pour y découvrir un ahurissant dossier central reprenant précisément - en les complétant !!! - les données citées précédemment, rédigé par la célèbre journaliste scientifique Sylvie Simon, et intitulé << Médicaments prétendus "sûrs" : plus que des bavures, des hécatombes ! >>

Mais ce n'est pas tout.
Car ce même numéro publie notre superbe logo dans sa page "Les Pros à l'action", avec ce texte d'accompagnement : 
<< Le numéro du 21 octobre dernier consacre un grand dossier aux médicaments dangereux.
Intitulé "Attention médecine dangereuse", ce dossier traite des dangers de certains médicaments et de leurs effets iatrogènes.
Sont cités plusieurs médicaments mortels, dont certains produits des laboratoires Bayer et des laboratoires Glaxo SmithKline, comme le Zyban, responsable de plusieurs décès dont celui de Delphine O. à 25 ans.
Sont cités également des contraceptifs comme la pilule Diane des laboratoires Sherring, responsable du décès de Georgina à 18 ans... >>


N'hésitez pas à diffuser cet article (et tous les autres publiés par l'AGNVS - ou "Daneel Olivaw" -) à tous vos amis et correspondants (internautes ou non) ; pour lutter contre cette désinformation ignoble, responsable déjà de bien trop de morts et de souffrances, il n'y a que l'information bénévole et aussi désintéressée que possible ! (merci donc de soutenir l'action de notre association, par une adhésion si vous le pouvez, ou simplement par votre aide de diffusion de nos articles, dossiers et informations diverses...



Et là encore, en septembre 2003, dans le premier tome de "ATTENTION : MÉDECINE DANGEREUSE" :
Je croyais vous avoir déjà offert ce gros dossier, qui avait fait l'objet de plusieurs publications par "La Lettre de l'AGNVS" (en octobre 2002, puis décembre et février 2003), mais en voulant y rechercher un témoignage particulier... je me suis rendu compte que j'avais complètement oublié de l'offrir à Culture Net 2013 ... En voiçi donc la première partie :
==> Pour le futur site Internet de l'AGNVS, nous avions commencé à mettre au point un grand Dossier du même nom, qui reprendrait quelques articles déjà publié par l'AGNVS (tels "les indéniables progrès de la médecine" en avril 2001, et "Bayer... et les médicaments mortels" en décembre 2001) et les compléterait et les réactualiserait avec de nouveaux articles tout aussi édifiants consacrés par exemple à la pilule Diane... ou au Zyban, ce sinistre médicament "anti-nicotine" dont l'éditorial a dénoncé les "incidents" (!)...

Nous ne pensions alors pas en reparler de sitôt dans "La Lettre de l'AGNVS", mais l'urgence de l'actualité (en effet, une amie proche de l'un de nos collaborateurs vient d'en mourir), nous incite à publier dès ce mois d'octobre 2002 un extrait de ce dossier. (...) Dans notre"Lettre de l'AGNVS" d'août 2002, consacrée essentiellement aux travaux et découvertes du Docteur Jean-Pierre Maschi sur les maladies liées à la pollution électro-magnétique (et sur les moyens d'en guérir), nous avions également diffusé un "Appel aux Maires de France" du Docteur Maurice Gillard, où il déclarait notamment : « Les médecins savent qu'au moins 60% des médicaments sont "iatrogènes" (médicaments dont les effets secondaires sont quelque fois plus dangereux que la maladie qu'ils prétendent soigner). (...)  Sans parler de l'infection microbienne des hôpitaux qui provoque selon une étude sérieuse dix mille décès par an dont on parle en sourdine ... »
(10.000 morts chaque année par ce qu'on appelle les "infections nocosomiales",... mais on estime aussi qu'il y a entre 600.000 et 1 million de patients (!!!) qui, chaque année, sont ainsi affectés lors d'une hospitalisation : "dans les services de court séjour en France (médecine et chirurgie)" (source : "Courrier mutualiste" n°18, et "Vivre en Harmonie" n°554 - octobre 2002)) ...

 C'est pour qu'enfin l'on ne parle plus de tout ces drames "en sourdine", pour que le plus grand nombre ne soit plus tenu dans l'ignorance - et la souffrance ! -, que nous avons décidé, suite au drame que viennent encore de connaître les parents de Delphine (et évidemment tous leurs proches), de créer particulièrement en son honneur ce dossier intitulé "Attention : Médecine Dangereuse" ; un grand et édifiant dossier sur ces milliers et milliers de drames que l'on pourrait pourtant éviter, mais qui ne cessent de se poursuivre parce que dans notre ère de surinformation, nous sommes cependant tenus dans l'ignorance des choses essentielles, mésinformés, voire même désinformés !

Alors, pour que la mort de Delphine ne soit pas inutile, qu'elle puisse servir à tous ceux qu'elle aimait, et tout ceux qu'elle ne pourra malheureusement plus aimer...
Voici ces articles réédités, actualisés ou créés spécialement pour elle, pour que son bref séjour sur Terre ne s'achève pas aussi brutalement, et qu'elle continue ainsi à... servir LA VIE :
Articles présentés :
- "Bayer... et les médicaments mortels !"
- "Les indéniables progrès de la Médecine !"
- "GSK... et les médicaments meurtriers !"
-  "A propos du Tabac !"
- "Le Procès de l'Aspartam"
- "L'Expérimentation animale = grande fraude scientifique"
- "A propos de la pilule Diane..." (et des autres pilules contraceptives !)

(Extrait de "Pour les enfants du monde entier,...", l'encyclopédie non-conformiste du IIIème millénaire de R. Daneel Olivaw) .............


Le triomphe du Dr. Knock :
"Tout bien portant est un malade qui s'ignore"...

Georgina, Delphine,... deux prénoms noyés dans cette masse de gens anonymes "morts pour la finance" (!), mais dont la douleur des proches, elle, n'est certes pas anonyme, et touche tous ceux qui ont encore un minimum d'empathie ou de compassion.
Mais en ce qui concerne la contraception chimique malheureusement, il n'y a pas que "Diane" qui soit dangereuse :
- En effet, les pilules anticonceptionnelles (...) ont leurs contrecoups néfastes sur l'harmonie biologique de l'organisme, et lui nuisent de la même façon que les autres médicaments chimiques, antibiotiques, vaccins et autres opérations allopathiques.


Il y a quelques années déjà, une révélation - vite étouffée encore, car elle porte préjudice à un chiffre d'affaire de 400 millions de marks - a défrayé pendant quelques jours la presse allemande :
- En 1994, le "Bundesinstitut für Arzneimittel und Medikamente", l'organisme chargé de contrôler la mise sur le marché des médicaments, a tenté d'alerter les quinze millions de femmes qui utilisent le contraceptif du groupe pharmaceutique Schering (la pilule "Diane", remboursée par les caisses d'assurance maladie, car elle est aussi prescrite au nom de prétendues vertus thérapeutiques) de ses graves réactions "secondaires" (comme pour toutes les pilules !!!), tels que : cancers du foie, embolies, thromboses, ostéoporose, troubles de l'acuité visuelle...
(Et, ai-je encore lu dans le "Quid", p. 1424 : "ennuis digestifs et veineux, congestion des seins, accidents vasculaires et métaboliques, hémorragies,...")

(Petite anecdote très importante :
S'il est vrai, dans une certaine mesure, que le "Bundesinstitut für Arzneimittel und Medikamente" fait du zèle - comme l'ont accusé ses détracteurs : les actionnaires du laboratoire criminel - (!), c'est parce qu'il succède en effet à "l'Office fédéral de la Santé", dissout au début de 1994 à cause de l'affaire des transfusions de sang contaminé.
D'où sa propension effrénée à prévenir plutôt que guérir !...
Mais il est bien connu que le peuple préfère s'acharner sur des boucs émissaires, une fois le carnage accompli, plutôt que de se prendre en mains, se responsabiliser, et prendre les mesures de sécurité qui s'imposent avant qu'il ne soit trop tard !)

 Il y a déjà quelques années, le Dr. Roger Dommergue Polacco Lévis de Menasce, président de "l'Institut Alexis Carrel", dénonçait dans "Vers la Revie", les conséquences physiologiques de ces fameuses pilules, stupidement devenues le symbole de la libération féminine (la libération d'on ne sait quoi, pour s'enfermer dans l'esclavage du médicament et de la maladie) :
« Le Pr. Jamain, président du Syndicat National des Gynécologues et Obstétriciens français, avait déclaré dans une solennelle protestation que la pilule déterminait chez les adolescentes : blocages ovariens, arrêt de croissance, stérilité, frigidité...
Cette pathologie prenant chez les adultes de multiples formes : cancer, frigidité, obésité, embolie pulmonaire, déséquilibres hormonaux, etc. ...

D'autre part, le Pr. Baruk nous informait il y a quelques années : qu'un autre médicament banal, le Tofranil, induisait deux gravissimes maladies : les syndromes de Wilson et de Parkinson... Un ami pharmacien à qui je rapportais le fait, eut cette réplique immédiate :
"Et encore, c'est un des moins dangereux" ! (...) » 

(Nos articles suivants sauront parfaitement vous édifier à ce sujet ; étudiez-les attentivement car ils sont absolument indispensables pour vous sauver la vie et préserver celle de tous ceux que vous aimez !!!!!!!)

Pour les pilules
ou n'importe quelle autre "DROGUE" de l'industrie pharmacochimique,
c'est exactement  comme avec les vaccins : ils ne servent à rien, sont totalement inefficaces pour guérir quoique ce soit ou même prévenir quoique ce soit...
mais ils sont toxiques... et même souvent mortels !...


Et le 22 Août 1996, voilà que la fameuse O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) se décide enfin à attirer l'attention des consommateurs sur la nocivité des pilules contraceptives, car celles-ci - pourtant si longtemps vantées comme absolument sans risque - peuvent aussi provoquer de graves accidents vasculaires cérébraux, notamment chez celles qui souffrent déjà d'hypertension (laquelle d'ailleurs peut être également provoquée par l'utilisation régulière de pilules contraceptives) : « Le risque d'hémorragie cérébrale augmente chez les femmes de plus de 35 ans qui prennent la pilule !... »

Il y a aussi quelques années (en 1993), le grand pionnier de la Naturothérapie en France, le Docteur André Passebecq, nous informait dans sa revue "Vie et Action" :
« Effectivement, les atteintes oculaires sont plus fréquentes, à court ou à long terme, chez les femmes qui ont pris la pilule anticonceptionnelle.
Par exemple, les oestroprogestagènes au long cours peuvent entraîner une cataracte.
Egalement, au niveau du nerf optique, on a noté des atteintes dues aux contraceptifs oraux.
Sont possibles également des hallucinations visuelles lors de la prise de ces hormones. (...)
En plus des risques accrus de cancer, nous pouvons craindre que de nombreuses anomalies de santé oculaire puissent être causées par la pilule, même dite "légère"... »

(Mais là encore, les pilules ne sont pas les seuls "médicaments" à agir aussi négativement sur notre vue - mais n'est-ce pas là, après tout un juste retour des choses ? : nous restons aveugles depuis si longtemps face à toutes les turpitudes de la mafia pharmacochimique !!! - ...
Par exemple, on pouvait lire dans le "Pélerin Magazine" du 19 janvier 1996 :
« La cortisone entraîne une réelle toxicité sur l'organisme : cataracte (opacification du cristallin), glaucome, sont les incidents les plus fréquents que la cortisone déclenche au niveau oculaire. (...) Par ailleurs, des troubles de la vue (vision double) peuvent être dus à la prise d'aspirine ou de médicaments contre la migraine ... »)

Le Docteur Philippe Musy déclarait également :
« La contraception chimique est très négative pour la femme, lui occasionnant de nombreuses pathologies !... »

Tandis que l'on pouvait lire aussi dans "Réussir votre Santé" :
« "L'utilisation de contraceptifs oraux peut être dommageable pour la femme en terme d'espérance de vie", affirment des chercheurs australiens, qui ont compilé des études récentes publiées sur ce sujet.

"L'Australian Journal of Pharmacy" publie, dans le même numéro, deux articles dans lesquels il lance un avertissement aux millions de femmes qui prennent la pilule. L'un des articles de John Wilks, chercheur en pharmacie, affirme "que les implications des contraceptifs oraux pour l'espérance de vie d'une femme, sont d'autant plus préoccupantes qu'elles sont évidentes".
Le Professeur Wilks base son affirmation sur plusieurs études et cite spécialement deux recherches publiées respectivement par la revue britannique "The Lancet" et dans "l'Australian Journal of Pharmacy" :
"On peut conclure, au terme de notre étude, que l'utilisation de contraceptifs oraux se paie parfois au prix fort", souligne Wilks dans son article "The pill, a high price to pay". Les femmes sont en droit de prendre de telles décisions en pleine connaissance de cause et en étant parfaitement au courant de toutes les conséquences éventuelles de leurs actes. "C'est un minimum", a-t-il ajouté... »



C'était en décembre 2010...
Soit plus de 2 ans avant que nos chers médias officiels ne se décident enfin à parler de cette tristement célèbre pilule Diane, dont on sait officieusement depuis de bien longues années déjà que non seulement elle tue... mais aussi provoque bien d'autres problèmes "presque aussi graves" !

Voilà déjà ce qu'en disait notre si remarquable "EXPERT" - un vrai lui, contrairement à toutes ces lavettes qui pérorent dans les médias (!) - le Docteur Marc Girard :
- Nos "officiels" admettent maintenant que "il y a d’abord eu le scandale de l’Isoméride" avant de soutenir sans rire : "pourquoi pas un troisième [scandale] ?"
Un "troisième" ?!!

Les pauvres n’ont pas dû entendre parler :
- du Distilbène,
- de l’hormone de croissance,
- de Glifanan,
- de Gabrène,
- de Vioxx,
- de Cholstat,
- d’Acomplia,
- d’Avandia,
- de l’hormonothérapie de substitution,
- d’Hexavac,
- de Champix,
- de Protelos,
- de Ketek,
- de Stilnox,
- de GenHevac,
- de Gardasil,
- de Diane,
- des vaccins H1N1,
- des antidépresseurs sérotoninergiques,
- des biphosphonates ou des fluoroquinolones.....

Pour ne citer que ceux-là !!!




Un autre article du Docteur Marc Girard :

Un médicament comme les autres ?
La base Martindale - The complete drug reference - est, à ma connaissance, la plus synthétique et la plus concise des sources raisonnablement fiables sur les médicaments en général. Or, cette base - dont on ne sache pas qu’elle soit financée par le Vatican et qui, insistons-y, fonctionne sur un principe de concision maximale - consacre pas moins d’une cinquantaine de pages A4 aux effets indésirables de la contraception orale : c’est dire que la question des thromboses sous pilule de 3e ou de 4e génération est loin de résumer à elle seule le préoccupant chapitre des nombreuses toxicités ou intolérances imputables à cette classe thérapeutique...
Or, depuis quand les utilisatrices - et, plus largement (suivez mon regard...) : les bénéficiaires - de cette contraception ont-ils été clairement informés quant à cette tolérance à tout le moins problématique ? Outre les effrontés menteurs dont on vient de rappeler les tristes exploits, faut-il re-citer les gynécologues féministes soutenant sans un frémissement de pudeur que "les pilules n’ont pas d’effet secondaire". Faut-il citer tous ces médecins-amis-des-femmes proclamant qu’avec la pilule, il y a "plus de peur que de mal" sur la base de raisonnements aussi convaincants que celui opposant les risques de la contraception orale à ceux... d’un accouchement "en Afrique rurale" !!!
Ce que les femmes découvrent aujourd’hui, c’est que cette contraception qu’on leur a présentée comme un mémorable acquis de leur "émancipation" n’est rien d’autre qu’un médicament. Faut-il rappeler que c’est pour permettre l’introduction de cette classe qu’il a fallu, dans les années 1960, modifier la législation pharmaceutique via la notion de "médicament par fonction" tant, jusqu’alors, il n’avait jamais traversé l’idée de quiconque qu’une personne en parfaite santé puisse ingérer un médicament sans la moindre intention ni de guérir, ni de prévenir une quelconque maladie.

D’où, forcément, la question : elle était où, "l’émancipation", d’exposer - unilatéralement - son corps aux effets indésirables pourtant conséquents de ces "médicaments" jusqu’alors inouïs ?
Quelle "émancipation" ?
Elle était où, l’émancipation, quand il est patent que les destinataires de ce type de médicaments ont été constamment induites en erreur relativement à leur innocuité ?
A partir des années 1990, la promotion des pilules de 3e génération s’est faite sur l’argument - rétrospectivement controuvé - d’un risque thrombo-embolique diminué : mais jusqu’alors, qui avait averti les femmes - ou leurs partenaires - que l’utilisation d’une contraception orale les exposait à un tel risque, parfois fatal ?
A partir des années 2000, la promotion des pilules de 4e génération s’est faite sur l’argument de "la seule contraception orale" évitant la prise de poids : mais jusqu’alors, comment étaient reçues les femmes qui croyaient bon de se plaindre à leur médecin qu’elles avaient grossi sous pilule ?
Les temps ayant changé, je suis frappé du nombre de jeunes femmes qui me confient se sentir "castrées" sous pilule, impression dont il ne serait pas bien difficile de trouver une explication pharmacologique. Balivernes, cependant, rétorquent nos super sexologues du moment, qui soutiennent que "les nouvelles pilules montrent une quasi absence d’effets sur la libido" par contraste, cela va de soi, avec les pilules précédentes qui avaient "un même impact très fort sur la libido, en raison de [leur] dosage hormonal" (c’est moi qui souligne). Mais aux temps censément révolus de ces pilules apparemment surdosées, qui se souvient de la façon dont étaient traitées les femmes assez connes pour évoquer un impact "très fort" sur leur libido ?
Et qui, aujourd’hui, confierait le destin de son corps sexué à des "spécialistes" qui assument de façon aussi éhontée l’abomination de leurs mensonges historiques ?



Et encore :

Un médicament récent sur cinq disponible sur ordonnance est plus dangereux qu’utile.
C’est ce qu’affirme la revue médicale indépendante Prescrire, qui vient de dresser une colossale liste noire d’une centaine de médicaments à retirer du marché sur la base de ses analyses réalisées entre 2010 et 2012.
Cardiologie, dermatologie, douleur, psychiatrie, ORL, gynécologie…
Il ne manque pas une spécialité dans cet inventaire très précis, qui épingle tout à la fois médicaments anciens et récents et, rappelle le livre polémique des professeurs Even et Debré Le guide des 4 000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux.

Des exemples ?
La dompéridone (Motilium), un neuroleptique prescrit contre les reflux gastro-œsophagiens ou les nausées, et qui expose à des troubles du rythme cardiaque et des morts subites…
Le Ketum en gel, plus susceptible que d’autres antalgiques de provoquer des troubles cutanés.
Ou encore la trimétazidine (Vastarel), utilisée pour soulager l’angine de poitrine, mais qui peut provoquer syndromes parkinsoniens ou hallucinations...


En plein scandale sanitaire autour de la Diane 35, la revue médicale Prescrire publie sur son site la liste de plusieurs dizaines de médicaments plus dangereux qu’efficaces...
Et dénonce au passage le lobbying des firmes pharmaceutiques...
Et la complaisance des autorités de santé !!!



Et comment ne pas rappeler ici un bref extrait de mon précédent article de mai 2001, consacré alors au si tristement célèbre "Mediator" (Cf. "MÉDIS A TORT ?") :

LE TRIOMPHE DE LA MÉDECINE ?

« C’est à cause d’un “inoffensif” (sic) analgésique - on avait torturé des milliers d’animaux pour réussir à le démontrer !!! -, le “Paracétamol”, qu’en 1971 : 1500 personnes ont dû être hospitalisées en Grande- Bretagne (et il y en a eu aussi dans d’autres pays, ne l’oublions pas, car ils sont toujours vendus sous d’autres dénominations !)...
Aux Etats-Unis, “l’Orabilex” a causé des détériorations rénales à issue fatale !...
Le “Stilboestrol” des cancers vaginaux chez des fillettes nées de mères ayant absorbé le “médicament” (après qu’il eut été vanté longtemps comme : “guérissant le cancer” (!))...
Le “Métaqualone” des troubles psychiques responsables d’au moins 366 morts (suicides et homicides).
Le “MEL/29” des cas de cataracte. Le “Chloramphénicol” des altérations du sang provoquant la mort.... 
En 1973, le spray “lsoprotérénol” fabriqué en Angleterre n’a été retiré du marché qu’après avoir expédié à la tombe 3.500 asthmatiques (si bien que le Dr. Paul Stolley parla de “La pire catastrophe thérapeutique jamais enregistrée !”)...

Depuis lors, ces catastrophes n’ont fait que s’aggraver !
Mais heureusement pour tous ces laboratoires vivisectionnistes,
l’expérimentation animale les lave de toute responsabilité !...
(Il faut savoir en effet qu'il suffit de trouver des animaux qui survivent à tel ou tel poison pour que le "médicament" ait son AMM (Autorisation de Mise sur le Marché)
(Voir par exemple : "TÉLÉTHON... ET VIVISECTION !!!")

 


Et à un point tel que ça en devient ubuesque :
Nous savons parfaitement que ce n’est pas le HlV qui tue le malade du “SIDA” mais ses prétendus médicaments, particulièrement violents, dont le mortel AZT !...
Ceux qui ont eu le courage de dénoncer la toxicité de ce “médicament” - très lucratif lui aussi -, ont relevé qu’il provoquait le cancer chez les souris... Mais nos braves et valeureux vivisecteurs se sont alors empressés d’expliquer que ces résultats ne prouvaient rien en ce qui concerne l’homme... et nos “lanceurs d’alerte” ont donc été déboutés sous prétexte que les tests d’expérimentation animale... “sont inapplicables à l’être humain” ! (sic) (Cela laisse songeur n’est-ce pas ?)

En 1976, en Grande-Bretagne, après que des centaines de consommateurs aient souffert, pour beaucoup à en mourir, de graves troubles des yeux et de l’appareil digestif... le géant “ICI” (“lmperial Chemical Industries”) annonça qu’il avait commencé à indemniser les victimes - ou plutôt leurs familles ! - de son tonicardiaque “Eraldin”...
En 1977, la “Ciba-Geigy Corporation” retira du commerce aux U.S.A son "Phenphormin", qui avait été prescrit aux diabétiques pendant 18 ans, car il avait été prouvé que ses effets secondaires avaient causé pas moins de : UN MILLIER DE DÉCÈS... ANNUELLEMENT !!!

“Primodos”, “Aménorone fort”, “Bendectin” et “Debendox” répètent allègrement la tragédie de la “Thalidomide”, et font naître des bébés phocomèles aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne.
Les amphétamines “Préludine” et “Maxiton”, utilisés pour couper l’appétit sont également retirés du marché car ils conduisaient à des troubles graves, cardiaques et nerveux, jusqu’à la folie, aux psychoses, etc.

Au fait, le saviez-vous, le fameux “Prozac”, censé soigner les gens “déprimés”, est lui aussi soupçonné d’un mal gravissime : il rend fou furieux !

(Eh oui, il est à l’origine de plusieurs “crises” de folie meurtrière : le tristement célèbre “tueur de Nanterre”, qui a massacré une foule d’élus à la fin d’une réunion municipale... était - comme ce forcené du Kentucky qui avait commis un carnage au fusil d’assaut en 1989 - : sous Prozac !!!!!!!

(Il est par ailleurs très révélateur de savoir, par exemple, que le Dr. David Healy, un spécialiste mondialement connu pour ses recherches sur les dépressions nerveuses, a été révoqué de son contrat au Centre de toxicomanie et de santé mentale de Toronto, accompagné d’un poste de professeur en psychiatrie à l’Université de Toronto, peu après une conférence lors de laquelle il avait souligné certains risques liés à la consommation du produit. Évidemment, un porte-parole de l’Université de Toronto a nié toute interférence de la part de compagnies pharmaceutiques.. bien que celles-ci contribuent à plus de la moitié du financement du programme du Centre de santé mentale que le Dr Healy devait diriger !!!...))

Et le fameux “anti-dépresseur Zyban” - aussi utilisé pour “aider les fumeurs” (!) - : il a été retiré du marché, car au bout d’un certain temps, il s’était avéré par trop flagrant que cet anti-dépresseur... “déprimait” davantage encore son consommateur !!!...

La “Réserpine” utilisée contre l’hypertension artérielle, multiplie par trois les risques de cancer du sein et est également un facteur important de risque dans les cancers du cerveau, du pancréas, de la peau, du col de l’utérus et des ovaires.
Le laxatif “Phénolphtaléine” provoque vomissements, albumine, troubles nerveux, délire et même la mort...
Le “Cyclophosphamide” utilisé contre le cancer provoque des névroses diffuses qui souvent tuent le patient avant même le cancer...
Le “Chloramphénicol”, antibiotique, provoque la destruction de la moelle des os, l’anémie grave, des collapsus cardiovasculaires et parfois la mort (En France, le Dr. Pradal en avait demandé l’interdiction, suite à de nombreux décès !) (...)


Et il y en a tant et tant d’autres encore, qu’il nous faudrait plusieurs pages comme celle-ci rien que pour les énumérer...
“L’Amydopyrine”, médicament anti-douleur, a provoqué de nombreux accidents mortels : il est maintenant interdit... mais seulement dans quelques pays...

A cause des troubles graves qu’elle provoquait, surtout chez les enfants, la “Morzine”, utilisée contre les nausées et le mal des voyages, a également été retirée du marché... mais seulement dans quelques pays, comme la Suisse et l’Italie...

Un autre scandale est celui du “Duogynon”, soupçonné (!) de provoquer de graves malformations au niveau du foetus. Ce “soupçon” existe depuis des années, et en effet le fabricant berlinois Schering - déjà responsable de la meurtrière pilule “Diane” - a déjà dû retirer ce produit du marché de Grande-Bretagne, de Suède, de Finlande, d’Italie, des Pays-Bas et d’Espagne (imaginez le nombre de mamans avec un bébé malformé, à cause d’une industrie criminelle qui trouve ça : “lucratif” !)
Cependant, les presses suisse et allemande annonçaient qu’on en continuait la vente mais - “par  prudence” (?!?) - : “sous un autre nom !” (SIC)...

En Août 1978, un tribunal de Tokyo reconnut trois firmes pharmaceutiques coupables d’avoir vendu des médicaments contenant le “Clioquinol”, responsable notamment d’une nouvelle maladie nerveuse, très grave, dénommée “Smon” (“Neuropathie myélo-optique subaiguë”)... Il avait fallu que les Japonais comptent 1.000 morts et plus de 30.000 handicapés, aveugles, aux jambes paralysées, pour que l’attention soit enfin attirée sur sa nocivité. Ce n’est qu’alors qu’on s’est rendu compte que ce produit était aussi le responsable de nombreux morts et handicapés en France, en Allemagne, aux Pays-Bas, au Danemark, en Grande-Bretagne, en Belgique, en Italie, en Suède, etc.
La vente en est-elle interdite ?
Non, comme beaucoup d’autres médicaments reconnus nocifs et retirés d’un pays : il continu à être vendu dans d’autres pays moins informés, ou carrément dans le même pays... mais sous d’autres dénominations !!! »


Et après tout ça, on assiste à ces exaspérantes supercheries comme le “Téléthon” et toutes les propagandes comparables, peut-être sincères, mais finalement destinées à enrichir ceux qui nous empoisonnent en provoquant ces maladies graves qu’ils prétendent ensuite vouloir soigner !

La liste est quasiment infinie, et ne cesse de s’allonger chaque jour davantage :
En février 1996, on apprenait encore que le médicament anti-oestrogène le plus utilisé dans le monde contre les cancers du sein (“Tamoxifène”, “Nolvadex” - ou “Tamofène” pour les laboratoires “Rhône-Poulenc Rorer”) était en fait : « CANCÉROGÈNE » (!), et a été classé par l’agence de recherche de l’OMS sur la liste des produits présentant un risque réel  de cancer : dans la monographie sur “l’évaluation des risques cancérogènes pour les êtres humains”, avec plusieurs autres “médicaments” tels : la “cyclosporine” et  notamment ... « plusieurs anti-cancéreux !... » (sic) (...)



Et on recommence encore et encore, comme par exemple avec le terrifiant “Redux” - nouveau nom du mortel “Isoméride” -, déjà responsable de la destruction impitoyable de nombreux reins et poumons !!!... (Vous savez “l’ISOMÉRIDE”... également recyclé sous le nom de “MEDIATOR” !!!)

Et là, dans le “Nice Matin” du 26 décembre 2002, on apprend encore que les nouveaux traitements anticancéreux tuent des centaines de patients :
« Les effets secondaires d’un médicament anticancéreux, le “Gefitinib”, commercialisé sous le nom d’“Iressa”, ont entraîné la mort de 124 patients. Les victimes figuraient parmi 494 patients souffrant de troubles pulmonaires dont des pneumonies interstitielles dues au médicament. (...) En octobre dernier, le bilan de l’Iressa était de 39 décès avérés par le laboratoire pharmaceutique produisant du Gefitinib, le géant anglo-suédois Astra-Zeneca... »

Tout récemment, dans “Le Parisien/Aujourd’hui en France” du 23 novembre 2010, on peut lire que “Le Di-Antalvic sera interdit plus tôt que prévu” -  en septembre 2011 (!!!)  - : « à la suite de risques cardiaques et respiratoires... et de modifications inquiétantes de l’électrocardiogramme pouvant conduire à la mort ! »
(On peut vraiment se permettre d’attendre encore 1 an ???)


Dans un rapport qui fut publié il y a quelques années par le “Journal of the American Medical Association”, le Dr. L. Leape, du “Harvard School of Public Health”, avait alors calculé que :
« 180 000 personnes meurent chaque année aux Etats-Unis des suites d'une atteinte iatrogène, soit l'équivalent de trois Jumbo jets remplis de passagers qui s'écraseraient tous les deux jours !!! ».

Dans un autre numéro, le même journal attirait l'attention sur le fait étonnant que :
« Les lésions dues aux traitements médicaux dépassent de plus de 45 000 les chiffres annuels de la mortalité due aux accidents de la route, et causent davantage de morts que toutes les autres causes d'accidents mises ensemble... »

Et dans d’autres articles d’estimation du nombre des victimes de “la médecine officielle”, on pouvait également découvrir ces comparaisons pas moins dramatiques et évocatrices :
Entre 90.000 et 160.000 morts par an rien qu’aux États-Unis.
Cela équivaut à un crash de Boeing 747 tous les jours !

Tandis qu’en Australie, chaque année :
- 9.000 personnes meurent de “mésaventures médicales évitables” (!!!)...
- Et que 30.000 personnes sont mutilées par des “incidents médicaux” !...

En France, les médicaments causeraient, chaque année,  au moins 10.000 à 20.000 décès !
C’est-à-dire beaucoup plus que tous les accidents de la route de ces dernières années !!!



Dans son édition du 16 novembre, “Le Parisien / Aujourd’hui en France” nous rappelait que déjà, dès 1997, l’une des plus importantes revues médicales, le “New England Journal of Medicine”, détaillait les effets néfastes du Mediator sur les valves cardiaques ! Et pourtant...
Comme nous le rappelle aussi ce quotidien, qui interview “LA FEMME QUI A RÉVÉLÉ L’AFFAIRE” :
« Irène Frachon est une femme médecin “anonyme” de l’hôpital de Brest qui a fait éclater l’affaire du Mediator. Pourtant, rien ne prédisposait au départ cette pneumologue de formation à débusquer un grand scandale sanitaire. (NDLR : que le laboratoire incriminé s’obstine évidemment à nier, nier nier .... tels les lobbys pétroliers qui eux aussi s’obstinent de la même manière à nier la réalité du réchauffement climatique anthropique !)
Elle n’est pas un ponte de la médecine, juste une praticienne qui se dit “opiniâtre” et ne veut “rien lâcher”. Elle a raconté son combat pour faire jaillir la vérité dans un livre :
“MEDIATOR : COMBIEN DE MORTS ?”...

En réponse, le laboratoire Servier - déjà impliqué dans de troubles affaires de “barbouzes” et de “fichages homophobes” - avait engagé une procédure devant les tribunaux pour demander, avec succès (Ce labo pesant tout de même plusieurs milliards d’euros de Chiffre d’Affaire annuel !), que le bandeau “Combien de morts ?” soit retiré des exemplaires mis en vente...

En février 2008, la docteur Frachon contacte l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé pour faire part de sa découverte :
“Mais ils n’en ont pas vraiment tenu compte. Ils nous ont dit que cela n’était pas très fiable. Ils ne semblaient pas très combatifs à l’idée de dénoncer ce médicament dangereux”...
“Je me suis intéressé à ce Mediator en me demandant si ce n’était pas un cousin de l’Isoméride.
C’était un vrai polar sanitaire.
On a ouvert des dizaines de dossiers médicaux de patients qui avaient eu des valvulopathies, et on a vu qu’ils avaient en commun de prendre du Mediator (...)

Moi, je me considère comme un lanceur d’alerte, mais que c’est dur !  On se prend des coups de fils de “chers confrères” qui estiment que vous racontez n’importe quoi... ” » 



Et ce grand quotidien national du 16 novembre 2010, de nous passer aussi en revue - très brièvement - les précédents scandales sanitaires dont la France est devenue spécialiste :
« Personne ne s’est vraiment étonné lorsque l’hiver dernier, les Français ont boycotté la campagne de vaccination contre le vaccin H1N1...
Depuis l’affaire du sang contaminé, première d’une longue liste de scandales sanitaires, les patients ont fini par se méfier de toutes les injonctions thérapeutiques et des effets indésirables des médicaments :
- L’ISOMÉRIDE : premier coupe-faim meurtrier du même laboratoire Servier mis en cause dans l’affaire du Mediator (...)
- LE DISTILBÈNE : des filles marquées sur plusieurs générations ; Les filles de femmes traitées par ce médicament souffrant de malformations de l’utérus... 160.000 personnes victimes sont recensées sur le territoire (...)
- L’HORMONE DE CROISSANCE : ils croyaient aider leurs enfants à grandir... Ils sont morts jeunes, atteints de l’épouvantable maladie de Creutzfeldt-Jakob (...)
- L’Anti-inflammatoire VIOXX : retiré brutalement du marché en 2004 après 5 ans de commercialisation, accusé d’augmenter le risque cardiaque des malades traités (...)
- L’épouvantable épisode du TALC MORHANGE : dans les années 1970, 36 bébés morts, 160 intoxications... Ce talc mélangé accidentellement avec du chlore provoqua des brûlures cutanées, coma, et infirmités à vie...
- LE SANG CONTAMINÉ : l’affaire sans doute la plus traumatisante en France.
En 1991, la journaliste Anne-Marie Casteret révèle que le Centre national de transfusion sanguine distribue aux hémophiles des lots de sang contaminé par le sida... Beaucoup mourront. L’affaire mènera un Premier ministre, Laurent Fabius, et deux ministres en justice.
Avec in fine, de nombreuses relaxes ! »


Mais il y en a eu tant et tant d’autres en vérité.
Scandales médiatiquement étouffés, occultés...
Ou simplement :... “OUBLIÉS” !!!


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