mercredi 13 janvier 2021

La Médecine covidique... Ou le triomphe des "Dr. Knock" !!!

Ça vous gratouille, ou ça vous chatouille ? 😉

En 1922, l’année précédant la première de Knock, sort le film de Murnau "Nosferatu le vampire". 

L'employé du Comte Orlock (Nosferatu) se nomme Knock. 
Nosferatu voyage sur un bateau, dont il décime l'équipage, tout en amenant la peste.

 Dans la pièce de Romains, Knock avoue avoir commencé à exercer sur un bateau dont tout l'équipage devient malade.
 Knock vampire-dictateur !!!…

(Au final, avec son Knock, Jules Romains dénonce le viol des consciences et l’asservissement des foules -comme purent le faire, sous d’autres formes, Aldous Huxley et Georges Orwell. )




Tout bien portant est un malade qui s'ignore

"S’il n’y avait que les vrais malades à soigner, la médecine serait en situation économiquement difficile. 
Il faut donc convaincre l’ensemble de la population qu’elle est potentiellement malade et vendre des médicaments à ceux qui n’en ont pas besoin" !... 
(Dr. Knock)

Début janvier, alors que sur Facebook une amie publiait une étude démontrant que non, les "bien-portants"  - baptisés aujourd'hui par des milliers de clones de Knock "asymptomatiques" - n'étaient décidément pas malades et pas non plus contagieux (Contrairement aux vaccinés hein, cela dit en passant. Vaccinés qui en plus développent des "variants" à ladite maladie contre laquelle le vaccin est censé les préserver 😕), j'avais spontanément énoncé cette si fameuse phrase de Jules Romains dans "Dr. Knock, ou le triomphe de la médecine" :
- Ben oui hein, c'est bien connu, tout bien portant est un malade qui s'ignore 😁

Hou là là.... que n'avais-je pas osé dire là, déclenchant les foudres d'une inconnue que j'ai surnommée là "Dr. Knockette" (1), et qui finalement m'a incité à rédiger cet article !

Mais faisons d'abord un petit tour dans notre actualité ; tiens, justement... l'un des nombreux clones de Knock - le Professeur Knockard (je crois que vous devinerez aisément les deux mots qui ont servi à faire ce nom 😂) -, vient de nous sortir ça (il devait être drogué car ce qu'il raconte est presque incompréhensible (!)) :
« Faudra-t-il vacciner les enfants ? .... Oui, on en viendra à vacciner les enfants. Si on ne vaccine pas les enfants, même s'ils ne faisaient que des formes asymptomatiques, ce qui n'est pas le cas, à ce moment-là, ce qui se passerait, c'est qu'ils vont nous fabriquer des variants qui vont tuer les grands-pères et les pères et les mamans et les grands-mères. Donc, bien sûr il va falloir vacciner les enfants en dernière position, pourquoi ? Parce qu'effectivement, ce sont des formes asymptomatiques et qu'ils ne risquent pas, aller presque pas, d'être malades et encore moins graves. Mais on y viendra, oui, quand on aura vacciné tous les adultes. ...»

Et les grands médias (qui on le sait ne survivent que grâce au soutien financier des labos (!)), de nous faire peur en gros titres ;
COVID-19 : "Des millions de cas !..."

On va tous mouriiiiiiiiiiir !!!!!!!!!!!!!
😱😱😱😱😱😱😱

Whaou ça fout les j'tons hein... 😰😨😰


Mais des prétendus millions de quoi au fait ...
De morts ?
NON !!!

De malades alors ?
Ben non plus !

Mais de quoi alors ?
De cas dits "positifs"
(Positifs selon des tests qui sont en fait très négatifs car très imprécis.... Très flous.... Surtout très "bidons" !)

Parmis la plupart de ces personnes positives, on trouve surtout des personnes baptisées "asymptomatiques" !

C'est à dire ?
Ben... Des personnes asymptomatiques ce sont des personnes qui n'ont aucun symptôme de la maladie ...
(Ça veut dire en fait qu'elles ne sont pas malades ! ;) )

Bref.... On a surtout franchi la barre symbolique de millions de personnes qui ne sont pas malades !!! :D

Ah oui, mais comme le disait le célèbre personnage de Jules Romain dans son Œuvre "Dr. Knock, ou le triomphe de la médecine" :
<< Tout bien portant est un malade qui s'ignore ! >> ;)

La suite plus tard ;

 j'y travaille... 😇 PATIENCE !!!!


Eh oui :
"Tout bien portant est un malade qui s'ignore !" 
 
Vous connaissez certainement cette célèbre réplique du Dr. Knock il y a quasiment un siècle dans l'œuvre de Jules Romains "Dr. Knock, ou le Triomphe de la médecine" (1923))

Eh ben... Celui qui a inventé le principe du "malade asymptomatique"  pour notre fameuse covid-19 n'a rien inventé d'autre que ce grand principe Knockien de faire croire à des gens qui ne sont pas malades.... qu'ils le sont ! :/

!!!

Franchement hein...



Enfin bref...
Au pire tout ça n'est qu'une vaste fumisterie (ah pardon, il faudrait peut-être mieux parler en fait de mascarade (!) ;) )...
Au mieux ce n'est qu'une énième psychose collective auto alimentée par des citoyens terrorisés et des journalistes et politiques qui le sont tout autant sinon plus !

Allez, un p'tit cours d'histoire tant que j'ai encore bien la tête sur les épaules (!) [ben oui, par les temps qui courent, remettre en cause les dogmes de la grande religion mondiale triomphante nous expose à la guillotine .... Voire au bûcher :P ] : 

•... Une petite anecdote au sujet des “épidémies”, voici, relaté dans le Corpus 10 de “l’Encyclopaedia Universalis”, l’histoire de “l’épidémie de virus Epstein-Barr” (virus Herpès, tumeur leucémique de Burkitt) ; Comme le HIV, il était alors complètement inconnu (vers 1960). Puis les savants de laboratoire, comme pour le HIV, accumulent les preuves de sa culpabilité dans la maladie... 
ON VA MÊME JUSQU'À LE PROUVER en réussissant à l’inoculer à un malheureux singe, le marmoset d’Amérique.
Puis - comme cela se passera certainement aussi tôt ou tard avec le VIH ou autres microbes, virus, rétrovirus ou coronavirus (!) - c’est la grande surprise :
=> Ce fameux virus - dont on avait "irréfutablement prouvé" qu’il était l’agent de cette maladie étroitement localisée (!) -... était en réalité un virus universel, on le trouve partout dans le monde, plus répandu encore que de nombreux autres virus très connu comme celui de la varicelle ou de la rougeole !!!

Pour mieux comprendre encore ce phénomène d’hystérie collective, fruit d’une focalisation générale, voici une histoire vraie qui illustre parfaitement toutes ces supercheries  "HIV/Sida" ou "Sars Cov 2/Covid-19" : 
- Un jour, un habitant de la ville de Seattle (USA) découvre que son pare-brise est griffé. Il fait sa déposition au commissariat du quartier. 
Le lendemain, un voisin, apprenant les faits, découvre lui aussi qu'il a été la cible du même vandale. 
Un autre voisin examine sa voiture et c'est ainsi que de voisin en voisin, le commissariat se retrouve rapidement envahi par des plaintes similaires...

D'abord les journaux, puis les radios, puis les chaînes de télévision répercutent la nouvelle. 
Les autres régions sont progressivement touchées par le phénomène. 
On ne pense plus que le coupable est un individu, mais qu'il s'agit plutôt d'un phénomène collectif inquiétant. 
Jusqu'au Président Eisenhower qui charge une équipe d'experts d'élucider ce mystère. 

Deux causes furent envisagées : des retombées dues aux récents essais nucléaires (ceux effectués par les Russes bien-sûr !!!), ou des gouttes d'acides provenant du revêtement des autoroutes avec un produit nouveau !...

 Finalement, cette “épidémie de virus du pare-brise” prit fin lorsqu'on apprit qu'il n'y avait pas plus de pare-brise griffés qu'auparavant. 
En fait, il s'agissait d'un cas isolé : quelqu'un avait observé son pare-brise sous un éclairage particulier et avait constaté qu'il était griffé.
 La presse ayant grossi l'information, chaque automobiliste s'était mis à examiner consciencieusement le pare-brise de sa voiture et avait constaté également sa détérioration. 

L'idée n'était venue à personne que le pare-brise d'une voiture utilisée depuis un certain temps était normalement griffé. 
En observant minutieusement les pare-brise, on avait simplement mis en évidence un fait qui n’avait jamais été relevé auparavant !...

Et il en est ainsi pour les autres “épidémies” : 
Les virus ont toujours existé, certains ont été répertoriés, d’autres non. 
Cependant, si on a depuis longtemps observé la présence spécifique de tel ou tel virus ou microbe pour tel ou tel type de maladie, il n’existe aucune preuve causale de la maladie par le virus, seulement une forte croyance, un dogme partagé par la quasi totalité des médecins ...

(Évidemment, lors de leurs études, ils ont tous été conditionnés de la même manière ! 
Il faut d’ailleurs avouer que toutes les recherches et les travaux des labos ne visent qu'à nous conforter dans cette croyance des méchants microbes responsables de tous les maux de la Terre (!))

Les chercheurs encore obnubilés et aveuglés par les travaux de Pasteur, n’ont fait que mettre en évidence certains virus que l’on trouve plus couramment chez les malades souffrant de déficiences immunitaires, et se sont imaginés qu’ils pourraient bien être la cause des maladies, dont récemment la covid-19 comme auparavant le Sida !...

Maintenant, notre monde dispose de moyens technologiques merveilleux, notre siècle a vu naître et se développer d’une manière quasi-exponentielle : l’automobile, l’aviation, l’informatique, l’audio-visuel et les “images virtuelles holographiques” (dont tout un organisme humain en images de synthèse), l’électro-ménager, l’astronautique, internet, etc.
Aujourd’hui, nous organisons des rencontres spatiales entre navette américaine et station orbitale russe, et des chercheurs étudient même les bactéries et virus en impesanteur !...

Pourtant, malgré l’effarant arsenal de vaccins, d’antibiotiques et de désinfectants, la population est de plus en plus malade, et notre espérance de vie - actuellement en baisse - est encore moins élevée que dans les grandes civilisations du passé (eh oui, malgré les discours trompeurs qui voudraient nous faire croire que nos ancêtres du Moyen-âge et de l’Antiquité ne dépassaient pas la quarantaine d’années, voire même 15-20 ans comme j’ai pu le lire dans certains documents). 

Pourquoi ?!...

Notre science médicale est parasitée à sa base par une croyance erronée très tenace qui inhibe toute vraie révolution de la Santé. 
Comme à l’époque de Quinton, la science officielle doit de nouveau rectifier toutes ses données. 
C’est le renversement de la théorie allopathique et vivisectionniste qui est maintenant requise pour pouvoir continuer à évoluer !...

{Pour lire la suite :
===> "De la Maladie, des épidémies et pandémies : 
LEUR VÉRITABLE ORIGINE !"


• LE TRIOMPHE DE KNOCK !
Le dogmatisme médical pourrait être comparé aux pratiques de l’Inquisition qui brûlait tout ce qui dépassait son entendement ou risquait de mettre en péril l’hégémonie de l’Eglise Catholique.

Dans notre pays où Voltaire et Diderot ont théoriquement détrôné la superstition et le fanatisme, la sagesse n’est guère de mise et les lavages de cerveau qui vont bon train causent des dégâts irréparables. 

Il serait grand temps de nous réveiller et de secouer le joug des idées reçues.
 Il serait grand temps de penser par nous-mêmes, au lieu de laisser aux « experts » (!) le soin de le faire à notre place.

Devant la puissance financière des laboratoires, leur mainmise sur la politique de santé, sommes-nous condamnés à développer une certaine désobéissance civique ? Refusant aux Pouvoirs Publics le droit de nous imposer ces vaccins inutiles et dangereux au nom de la solidarité publique. 
Pourquoi ne pas utiliser cette arme que n’apprécient ni les fabricants de vaccins, ni les gouvernements, en attendant qu’une évolution législative respectueuse des droits de l’homme et de la liberté des citoyens s’instaure ?

- Dès l’école, nous apprenons que Pasteur « a sauvé le petit joseph Meister, mordu à la main par un chien enragé ». (!!!) :O

À vrai dire, il n’existait aucune certitude que le chien fut enragé car on ne signala aucune autre morsure ; de plus, quand bien même il l’aurait été, le risque pour le jeune Meister était infime, car un animal réellement enragé – ce qui est extrêmement rare – ne transmet la maladie que dans 5 à 15 % des cas.
L’affaire de la rage est l’exemple même des mensonges de Pasteur qui ont été répétés et introduits par ses admirateurs dans la mémoire collective, au point d’être devenus des vérités pour le commun des mortels.
Le vaccin de Pasteur, à base de moelle desséchée, était très dangereux et fut bien vite abandonné, et le jeune Meister a eu beaucoup de chance d’en réchapper.

L’histoire n’a retenu que le succès de ce vaccin, mais a oublié de dire qu’il avait multiplié les décès par la rage !
(Entre 1869 et 1872, Pasteur a énoncé trois postulats de base erronés qui servent encore aujourd’hui de fondement à la vaccination.) ...


Nombreux aussi sont ceux qui estiment que la plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations et qui refusent de mettre en doute leur efficacité. 
Pourtant, certaines épidémies qui ont ravagé nos pays ont bel et bien disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins font mine d’ignorer.
Mais lorsqu’on montre les courbes de décroissance des maladies, elles débutent au moment des campagnes de vaccination et non des années ou des siècles plus tôt, ce qui nous permettrait de constater que la diminution de ces maladies a commencé bien avant l’introduction du vaccin. 

D’ailleurs, la plupart des médecins l’ignorent, et les partisans de la vaccination s’appuient sur ces statistiques, pour la plupart tronquées et donc inexactes, pour « prouver » l’efficacité des vaccins, quand ils ne se bornent pas à la seule affirmation péremptoire que n’étaye aucune sorte de démonstration.

Ils ne se demandent jamais pourquoi ces épidémies ne continuent pas de sévir dans les pays qui n’ont pas pratiqué les vaccinations ou qui les ont abandonnées, tout comme ils semblent ignorer que l’épidémiologie et la presse scientifique internationale attestent que des épidémies se déclarent encore dans les pays où la couverture vaccinale est presque totale.
Les immunologistes s’interrogent sur les poussées épidémiques qui surviennent dans les populations vaccinées contre la rougeole, la polio, la tuberculose, la diphtérie et la coqueluche.
Ce constat est évidemment embarrassant pour eux car, à l’évidence, il s’agit d’une faillite de la vaccination. ...

Ce leitmotiv qu’il n’existe aucun lien entre ce vaccin et la sclérose en plaques est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais, outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un éventail d’une soixantaine d’autres pathologies. Bien avant cette campagne mensongère, la liste des complications signalées était déjà impressionnante : poussées de sclérose en plaques, syndromes de Guillain-Barré, névrites optiques, paralysies faciales, myélites aiguës, lupus érythémateux, polyarthrites, péricardites, uvéites postérieures, urticaire, érythème polymorphe, lichen plan et bien d’autres....


Et l'AUTISME ?
L’autisme se manifeste en général au cours des trois premières années, période pendant laquelle les enfants subissent de nombreuses vaccinations. Serait-ce un des curieux "hasards" qui jalonnent le parcours des vaccins ?
Les cas d’autisme se sont multipliés depuis une trentaine d’années.
Alors qu’aux Etats-Unis on avait détecté seulement une poignée de cas les années quarante, vingt ans plus tard, après la généralisation du vaccin diphtérie-Tétanos-coqueluche et l’arrivée du vaccin contre la rougeole, les consultations pour des cas d’autisme devinrent de plus en plus fréquente, et elles ont décuplé avec l’introduction du ROR et du vaccin anti-hépatite B. A présent les scientifiques sont très inquiets.
S’agit-il d’une simple coïncidence, qu’avant l’introduction de ces vaccins, il y a eu si peu de cas et qu’ils se soient multiplié plus de dix fois depuis la vaccination ?
Comment se fait-il qu’on ne cherche pas à approfondir les études sur ces coïncidences temporelles ?
Comment se fait-il que les pouvoirs discréditent toute étude sérieuse mettant en cause la toxicité des vaccins alors qu’ils tiennent compte et plébiscitent certaines études simplistes et non rigoureuses pour les promouvoir ?
Pourquoi les accidents relèvent-ils toujours de coïncidence ?
Pouvoirs publics, médecins, et médias persistent à répéter la même rengaine : « Le vaccin reste la meilleure protection contre la maladie et cette maladie est fréquente et parfois mortelle », alors que les rougeoles sont rarissimes et parfaitement bénignes en Europe, dans les familles qui nourrissent correctement leur enfant.
Les mensonges que nous dénonçons concernent tous les pays de la planète. Ainsi, lorsque débutèrent les premières vaccinations ROR au Japon, le Ministère de la santé signala les effets indésirables dans un cas sur 200 000. Quelques années plus tard, ayant « révisé » les chiffres, le même ministère annonçait un accident pour 3000 vaccinés. Les statistiques ayant été à nouveau "révisées", il fut reconnu un accident pour 1 300 vaccinés, chiffre étrangement différent de ceux précédemment publiés.
Mais en France, nous n’avons aucun problème avec le ROR et l’on continue à administrer ce vaccin et à l’exiger pour l’admission en crèche.
:'(

Les vaccins ne sont pas des médicaments - dans le sens qu'un médicament est administré à un patient pour tenter de le soigner d'un mal dont il souffre déjà - .... Non, le vaccin n'est pas un médicament ; il est destiné à des êtres en bonne santé dans le but de prévenir une maladie hypothétique. 
Aussi, il serait normal que tout candidat aux vaccins reçoive une information honnête, précise et complète, sur les risques de la maladie dont il veut se protéger, mais aussi sur les risques qu’il court en se faisant vacciner. 
Or non seulement l’information, quand elle existe est tronquée et falsifiée, mais souvent elle est parfaitement mensongère.

Mais comme l’avait recommandé Joseph Goebbels, ministre de la propagande nazie, qui connaissait bien la question : "Répétez un mensonge mille fois, il restera un mensonge ; répétez dix mille fois, il deviendra une vérité".

=> C’est exactement ce qui se passe dans ce domaine, où des mensonges dix milles fois répétés sont devenus des dogmes qui déclenchent des crises d'hystérie dès lors qu’on ose les remettre en cause !!!!!!!

Aucun vaccin n’est jamais sûr à 100%, personne n’oserait prétendre le contraire. Cependant, en France, chaque fois que le Ministère de la santé est attaqué dans le cadre des accidents vaccinaux, il oppose l’absence de lien direct entre la vaccination et l’accident, parlant de simples "coïncidences".

Comme il est très difficile de démontrer un lien de cause à effet, surtout quand la mauvaise foi s’en mêle, cette complexité aboutit à faire porter aux victimes tout le fardeau de la preuve.

Ainsi les autorités se refusent-elles à enregistrer comme "réactions vaccinales" les accidents malheureux qu’on présume être le fruit du hasard. 

Faute de preuves juridiquement défendables, nombre de complications vaccinales ne sont pas rapportées officiellement. 

Il serait plus logique et plus moral que ce soit les laboratoires qui apportent la preuve que leurs substances ne sont pas dangereuses. Mais cela semble impossible étant donné les falsifications, de plus en plus reconnues de leurs essais sur leurs produits.

Nos voisins de la CEE sont beaucoup plus honnêtes dans leur déclaration d’accidents. Aux Etats-unis, depuis 1990, la loi oblige tous les médecins à déclarer les complications vaccinales. Aussi, de 1991 à 1996, on a officiellement enregistré 48743 complications vaccinales...
Alors qu’en France, nos pouvoirs publics clament sur tous les toits que les vaccins ne génèrent pas d’accidents secondaires, surtout chez les enfants (?!?!?!?) :(


[L’histoire de la vaccination est jalonnée de falsifications, de dissimulations et de mensonges.
Sylvie Simon a opté pour les dix plus gros flagrants, chacun ayant engendré des dizaines de plus petits mensonges :

- Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins :

En bonus :
"La question des vaccins"
Sylvie Simon (15mn)

Toutes les victimes de ces vaccins "sans le moindre danger une étude l'a prouvée " (!).... ont certainement été très heureux de l'apprendre !
:(







• MAIS REVENONS-EN À NOTRE FAMEUX DOCTEUR KNOCK :

Décidément .... Certains "professionnels de santé" ont des lacunes littéraires phénoménales ! 

Par exemple à quelqu'un qui contredisait les célèbres paroles du Docteur Knock sans apparemment connaître cette œuvre, et me tenait donc ces propos (aux tout premiers jours de cette année) : "... Pourquoi se faire chier à se former pendant des années pour chaque profession qui existe, puisque visiblement grâce à des gens comme vous, on est tous des experts, même dans ce qu'on connaît absolument pas. Avant de vous inviter à vous renseigner sur la définition du porteur sain, qui n'est pas apparue avec le covid 19, je vous signale néanmoins que chatouiller et gratouiller sont des symptômes ..."
[Voir le chapitre plus bas : " (1) (KNOCKETTE)"]

- Sérieux ? 
Vous n'avez vraiment jamais lu le roman Knock ou même vu un film sur ce chef-d'œuvre de Jules Romains ?

Résumé :
• Knock avant d’être médecin a fait ses débuts dans le négoce des cravates et de l’arachide. 
Quand il explique : « J’estime que, malgré toutes les tentations contraires, nous devons travailler à la conservation du malade », cela veut bien dire qu’il entretiendra les maladies de ses patients, source de fructueux revenus !...
Knock, en avance sur son temps, a également le sens de la publicité, utilisant les services du garde-champêtre local pour appâter le chaland avec des consultations gratuites... 
Et, en quelque sorte, le nouveau médecin de Saint-Maurice se révèle un pionnier du réseau de soins ayant bien compris que sa réussite ne peut être qu’un travail de groupe où chacun a sa place : l’instituteur, le pharmacien, l’hôtelière...
 En résumé, Knock est plus un psychologue avisé et un comédien de génie qu’un bon médecin, sa science lui venant principalement de la lecture des notices des boîtes de médicaments. ...

Jules Romains a voulu, avec Knock, dénoncer l’asservissement des foules aux mirages scientifiques et publicitaires à travers ce portrait de praticien sans scrupules qui joue sur les peurs ataviques de ces patients et qui se croit investi d’une mission sociale, voulant « mettre toute une population au lit pour voir ». (*)


Un petit extrait de l'un des meilleurs films (celui avec Omar Sy étant malheureusement très décevant (***))

Une analyse passionnante :

Et aussi :
• 


• 

Un peu de lecture ;)
(A noter que toute ressemblance avec la coronapsychose que nous avons vécu en 2020 et en ce début d'année encore ne serait pas totalement fortuite (!))

•... On connaît la trame en trois actes de "Knock ou le Triomphe de la médecine", la pièce de Jules Romains jouée pour la première fois en décembre 1923 au théâtre des Champs-Elysées. 
Avec, déjà, Jouvet.

Le rire naît ainsi de cette utilisation dévoyée, contraire à l’éthique, d’un savoir et d’une connaissance supposée. Mais là où Molière pouvait faire rire du médecin objet de satire, Romains et Jouvet font rire des patients bien portants transformés en malades qui s’ignoraient !!!

Canton perdu de Saint-Maurice. Knock, homme étrange et solitaire se présentant comme médecin, a racheté la plus que maigre clientèle du Docteur Parpalaid, qui fuit s’installer à Lyon. Où l’on assiste à la mise en œuvre immédiate et progressive de l’ensemble des techniques de manipulations publicitaires et commerciales, techniques alors naissantes et appliquées ici à l’exercice de la médecine. À commencer par ce must qu’est la matinée de consultations gratuites. Créer le besoin avant de le satisfaire aussitôt.

Le jargon devient un langage de pouvoir. L’inefficacité disparaît puisque la maladie n’est pas là. Et l’effroi suivra avec la démonstration de l’emprise grandissante de Knock : par cercles concentriques, il étend son pouvoir sur l’ensemble des classes sociales, s’allie avec le maître d’école, le pharmacien et la tenancière de l’hôtel, bientôt transformé en établissement hospitalier.

S’installe ainsi un régime médical à la fois dictatorial et démocratique : chacun est, d’une manière ou d’une autre, sous la dépendance de celui qui dicte maladies et guérisons et qui a fait de Saint-Maurice la destination d’un nouveau pèlerinage. (...)

Avec Romains et Knock, l’ère de la médecine moderne pouvait enfin commencer. 
En sommes-nous sortis ?

«Car leur tort, c'est de dormir, dans une sécurité trompeuse dont les réveille trop tard le coup de foudre de la maladie.»

La boucle se referme avec le retour à Saint-Maurice, trois mois plus tard, d’un Docteur Parpalaid venu toucher son échéance. 
Un trimestre durant lequel la révolution s’est faite. 

La machine tourne à plein régime. Celles et ceux qui ne sont pas condamnés au lit et à la diète travaillent pour faire triompher la médecine. 

Reste une épreuve pour Knock : 
Convaincre son confrère qu’il est, lui aussi, malade. 
Il y parvient mais en confiant, pour la première fois, les symptômes de la folie de toute-puissance qui l’habite.

Nous sommes loin, alors des rires du «gratouille-chatouille». 
Ce que l’on imaginait être un banal esprit de lucre commercial se révèle d’une autre nature. Et celui dont on ne sait toujours pas s’il a le titre de Docteur en médecine se confie à ce confrère malade :
«Que voulez-vous, cela se fait un peu malgré moi. Dès que je suis en présence de quelqu'un, je ne puis m'empêcher qu'un diagnostic s'ébauche en moi... même si c'est parfaitement inutile et hors de propos. À ce point que, depuis quelque temps, j'évite de me regarder dans la glace.»

«Je vous dis que malgré moi, quand je rencontre un visage, mon regard se jette, sans même que j’y pense, sur un tas de petits signes imperceptibles… la peau, la sclérotique, les pupilles, les capillaires, l’allure du souffle, le poil… que sais-je encore, et mon appareil à construire des diagnostics fonctionne tout seul. Il faudra que je me surveille car cela devient idiot.»

Jules Romains lève sa plume. 
Louis Jouvet retourne en coulisses. 

Nul ne sait jusqu’où serait allée cette dystopie médicale sur les corps et les consciences !


==> Un parallèle peut ici être fait, saisissant :
 En 1922, l’année précédant la première de Knock, sort le film de Murnau "Nosferatu le vampire". 
L'employé du Comte Orlock (Nosferatu) se nomme Knock. 
Nosferatu voyage sur un bateau, dont il décime l'équipage, tout en amenant la peste.

 Dans la pièce de Romains, Knock avoue avoir commencé à exercer sur un bateau dont tout l'équipage devient malade.
 Knock vampire-dictateur…


Au final, avec son Knock, Jules Romains dénonce le viol des consciences et l’asservissement des foules -comme purent le faire, sous d’autres formes, Aldous Huxley et Georges Orwell. Car Knock n’est pas un escroc avide d’argent. Ou plus précisément, l’exercice de la médecine épuise vite ses premiers appétits.

Apparaît alors un missionnaire sans religion ni idéologie, un visionnaire ayant compris ce que pouvait offrir l’exercice d’une médecine enfin moderne, débarrassée de toute forme de déontologie : l’avènement de «l’âge médical».

Que reste-t-il de Knock dans la médecine telle qu’elle est pratiquée aujourd’hui ? 
Et qu’en sera-t-il demain, quand triompheront biologistes et généticiens ?


(Cf.

Ouais ... On peut se poser la question...
Mais déjà là on peut s'en rendre compte avec cette prétendue "Crise sanitaire du covid" (!!!)





(**) ... Knock connaît le succès grâce à l’emprise de sa personnalité sur ses patients !

À vrai dire c’est d’abord un grand comédien qui a le don de la mise en scène. Il a su pénétrer "le style de la profession" :
- D’abord on ne doit s’adresser à lui qu’avec la dénomination de Docteur tant il connaît la magie des titres sur l’esprit du vulgaire. 
Comme ses prédécesseurs moqués par Molière, il utilise le jargon, illustre ses démonstrations de schémas, se sert du pouvoir émotionnel et inquiétant des photos, s’attache à autosuggestionner ses victimes et à les rendre réellement souffrantes par un traitement qui les affaiblira. 

Fin psychologue, il a tôt fait de découvrir les petits travers de ses patients ou de ses associés et il les exploite sans vergogne : altruisme et orgueil intellectuel de l’instituteur, insatisfaction du pharmacien, vanité du tambour…
 Il n’hésite pas à briser ceux qui voudraient lui tenir tête : les deux amis hilares ou Raffalens.
 Il joue sur les engouements incontrôlés, la force coercitive du groupe. 
Il entend s’appuyer sur l’autorité de la science ; c’est pourquoi il s’inquiète de savoir si le canton est agité par le spiritisme, la magie ou d’une manière plus générale par des comportements irrationnels ce qui constituerait un milieu peu propice à la diffusion de sa théorie. 

Même il n’hésite pas à fabriquer de toutes pièces une citation pour pouvoir s’appuyer indûment sur le prestige du grand Claude Bernard :
 « les gens bien portants sont des malades qui s’ignorent » !...


=> Avec Knock, Jules Romains dénonce le viol des consciences, l’asservissement des foules à l’âge scientifique et commercial, lorsqu’un être sans scrupule spécule sur nos peurs ataviques ou joue de nos travers.

Mais ce qui est encore plus inquiétant, c’est que Jules Romains ne nous a pas dépeint un escroc de génie, mais un être persuadé de sa mission sociale, l’apôtre d’une nouvelle religion, un filou visionnaire qui voudrait « mettre toute une population au lit pour voir, pour voir »..

. En fin de compte, ce qui passionne Knock, c’est son emprise sur les individus par la science ou par toute autre voie : 
« Il n’y a de vrai décidément que la médecine, peut-être aussi la politique, la finance et le sacerdoce que je n’ai pas encore essayés ».


(***) Un film "très décevant" est le moins qu'on puisse dire :
«Ça vous gratouille ou ça vous chatouille?» 
La mémoire collective résonne encore de la voix atonale et sévère de Louis Jouvet dans le film de 1950. 
La pièce de Jules Romains, une satire féroce de la médecine, connaît une nouvelle adaptation cinématographique, au format «feel good» (...)

> Un film macronien  !!! :O

Souscrivant à la mode de la psychologisation des personnages, la réalisatrice invente un passé inintéressant et hors sujet à Knock, histoire de justifier ses petites escroqueries. Contresens absolu, ce médecin vénal que meut une volonté de puissance confinant à la folie se voit gratifié d’un cœur en or. 
Le Knock 2017 protège l’orpheline tuberculeuse et fait la fortune de ce village de malades imaginaires en ouvrant une clinique de luxe.

La comédie relevée d’une pointe de mélodrame se double d’un éloge de l’esprit d’entreprise : Knock est un film macronien. 

Où est passé l’esprit caustique de Jules Romains ? [Racontant le triomphe d'un médecin-escroc, qui, selon le principe que «tout bien portant est un malade qui s’ignore», va faire fortune en révélant l’hypocondrie latente de chaque robuste citoyen.]
Certainement pas dans la séquence au cours de laquelle le toubib se venge d’un vieil ennemi en lui fourguant un laxatif éruptif. (...)


{Dans une interview à RTL, Omar Sy explique qu'il était intéressant d'"utiliser le sourire de Docteur Knock pour faire autre chose". 
66 ans après Louis Jouvet, qui a lui-même interprété le rôle au cinéma, l'acteur ne voulait pas non plus se glisser dans le même costume.

"Il reste le personnage qui met en pratique une méthode peu scrupuleuse pour s'enrichir aux dépens d'une population qu'il gruge. Chez Jules Romains, c'est fait sans tendresse et avec une dureté folle. Chez moi, le personnage est un filou, mais il y a une tendresse sous-jacente pour chacun des personnages", précise Lorraine Lévy dans l'Est Républicain..."


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BONUS ;)

Voici des lustres que le brave docteur Parpalaid exerce son sacerdoce dans le bourg de Saint- Maurice. Il faut dire que son cabinet est bien calme puisque tous les habitants du village sont des gens en bonne santé n'ayant donc jamais recours au médecin. De plus, si consultation, le brave toubib ne se fait payer qu'une fois par an en vertu d'une coutume bien établie. Toutefois Parpalaid et sa femme n'ont qu'une ambition : partir à Lyon, la grande ville. Ce serait pour le docteur une promotion eu égard à l'afflux potentiel de clientèle. Pour céder son misérable cabinet de Saint-Maurice, il lui faut trouver le gogo et c'est alors que se présente Knock qui n'a de docteur que le titre qu'il s'est plus ou moins attribué. Néanmoins cet homme, plus camelot que médecin, décide de relever le défi.
Pour cela, il va faire preuve d'une imagination débordante en partant du principe que : "les gens bien portants sont des malades qui s'ignorent". 

Pour en arriver là, il faut fidéliser la clientèle et c'est ainsi qu'il institue une consultation gratuite tous les lundis. 
La population, appâtée par ces conditions, afflue chez le docteur mais ressort avec un diagnostic à faire pâlir le roi de l'optimisme. 
Les "malades" , condamnés à des traitements de longue durée, sont ainsi contraints de revenir et de payer les consultations. 
Le docteur Knock atteint alors la notoriété et la confiance de la population. 

Lorsqu'à la date prévue, Parpalaid et sa femme viennent toucher leur terme, ils sont d'abord surpris du train de vie de Knock . Celui-ci, en bon charlatan, arrivera même à convaincre son confrère qu'une maladie inquiétante le ronge...

Vous ne pourrez échapper à la plus célèbre des répliques de la pièce de Jules Romains : 
"Est-ce que ça vous chatouille, ou est-ce que ça vous gratouille ?".

C'est par cette question posée gravement et d'un ton docte au brave garde-champêtre que la notoriété d'un homme peu scrupuleux et manipulateur, ayant acheté son titre de docteur , va traumatiser et bouleverser la quiétude de ses concitoyens. 
C'est vrai que l'on vit vieux à Saint-Maurice et que la maladie est le cadet des soucis de chacun. 
A ce régime, le vieux docteur Parpalaid, aux méthodes traditionnelles, n'a d'autre choix que celui de s'exiler dans une grande ville.
 Pour cela il lui faut vendre son cabinet et une clientèle qu' il n'a pas. Seul un naïf ou un rusé peut profiter de l'occasion. C'est donc le rusé qui débarque, sûr de sa méthode : consulter gratuitement le jour du marché et trouver à chacun un mal imaginaire pour faire revenir les patients moyennant finances.
 C'est ainsi qu'en bernant tout son petit monde il atteint la notoriété et devient le sauveur et le personnage incontournable de Saint-Maurice.
 Il a trouvé une astuce imparable : tout être même bien portant a besoin d'être rassuré car la peur de la maladie, voire de la mort, vient un jour ou l'autre torturer les pensées même des plus optimistes. 

Le médecin rassurant de la vielle école laisse place au praticien fouineur à l'air sceptique conduisant les gens à se faire peur et à devenir hypocondriaques pour le plus grand profit du docteur Knock et de son allié, le pharmacien. 

Cette histoire nous démontre en fait tout le profit financier que l'on peut tirer de la maladie en utilisant la supercherie et en influant sur la crédulité des pseudo-malades !...


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(1) (KNOCKETTE)
 Eh oui.... C'est la nouveauté de 2020-2021 :
LES ASYMPTOMATIQUES !!!

"Tout bien portant est un malade qui s'ignore"

Et la plupart des médecins incultes y croient dur comme fer ; exemple entendu encore en ce tout début d'année 2021 lors d'une conversation sur FB avec "Docteure Knockette", suite à la publication par une tierce personne d'une étude chinoise portant sur 10 millions de personnes. 

["A Wuhan, le dépistage de 9 865 404 participants sans antécédents de COVID-19 n’a révélé aucun cas de malades covid-19, et a identifié 300 cas positifs asymptomatiques. 1174 contacts étroits des cas positifs asymptomatiques ont été identifiés, tous testés négatifs pour le COVID-19." (Cf. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-bien-portants-dits-asymptomatiques-ne-transmettent-pas-le-covid19-etude)]

Cette tierce personne - Isabelle de son prénom ;) -, ajoutais alors juste ce commentaire à sa publi : "Les asymptomatiques ne sont pas contagieux. Et donc, toute cette mascarade autour "des gestes barrières" ne sont qu'une mesure politique pour continuer ... (!)"  

Et moi évidemment d'ajouter vite fait en passant :
« C'est tellement évident pourtant que les gens pas malades ne transmettent pas une maladie qu'ils n'ont pas !
Mais bon, comme le disait le bon Docteur : "Tout bien portant est un malade qui s'ignore" 😉 »

Voilà c'est tout.
Et ça aurait pu s'arrêter là...
Mais c'était sans compter sur l'arrivée d'une vaccinolâtre hargneuse que je rebaptiserais ici "Docteure Knockette" (!) :
- "Cela s'appelle la période d'incubation... On est contaminants et asymptomatiques ... La quantité de maladies concernée est très grande..."

Evidemment, face à cet argument de pur knockisme, je me contente de répondre :
« Ça gratouille ou ça chatouille ? 😉»

Là encore ça aurait pu s'arrêter là, et l'on aurait certainement oublié l'épisode pour passer à autre chose ...
Mais c'était sans compter que le Dr. Knock a malheureusement formé de bons disciples, tenaces et hargneux à souhait.
Notre Docteur Knockette de répliquer donc :
- Je ne suis pas sûre de bien vous comprendre, je ne sais pas si vous remettiez le principe de porteur sain en médecine en jeu ou pas. Parce que si c'est le cas les bras m'en tombent...

Moi :
- « Euh....C'est juste une référence au célèbre Dr. Knock hein ....
"Tout bien portant est un malade qui s'ignore" ... ("Le triomphe de la Médecine".... Du knokisme pur jus. :) )

Bon vous pouvez ramasser vos bras ça changera pas grand chose de toute façon. Alors, ça vous chatouille ou ça vous gratouille ? 😃 »

Docteure Knockette :
- "Je ne vais pas réagir à vos lacunes évidentes qui expliquent d'ailleurs le néant de tout capacité argumentative de ce que vous avancez avec de l'ironie et de l'arrogance qui sont sidérantes. 
Néanmoins, pour ne citer qu'un seul exemple parmi des centaines de maladies, vous n'avez visiblement rien compris au fléau du sida, et à sa transmission. Qu'on connaît depuis des décennies. L'utilisation du préservatif est donc complètement stupide en préventif, puisque pour l'attraper visiblement, grâce à vos connaissances aiguës, il faut voir que l'autre est symptomatique, choisir de ne pas mettre de préservatif et paf, on est content, on devient donc à son tour seropositif. Youpi ! On est vraiment trop stupides à vouloir protéger les gens avec des campagnes immenses, les gens vont le choix de l'avoir, en voyant que l'autre en a "les symptômes". Pourquoi se faire chier à se former pendant des années pour chaque profession qui existe, puisque visiblement grâce à des gens comme vous, on est tous des experts, même dans ce qu'on connaît absolument pas. Avant de vous inviter à vous renseigner sur la définition du porteur sain, qui n'est pas apparue avec le covid 19, je vous signale néanmoins que chatouiller et gratouiller sont des symptômes. 
Je vous laisse trouver ce commentaire hilarant...."
(SIC)

{Ouf.... Quelle diarrhée verbale !
Et encore, j'ai élagué un peu ...
:P }

Moi :
- « Décidément .... Vos lacunes littéraires sont phénoménales 😃
Sérieux ?
Vous n'avez vraiment jamais lu le roman Knock ou même vu un film sur ce chef-d'œuvre de Jules Romains ?
Un petit extrait de l'un des meilleurs films (celui avec Omar Sy étant malheureusement très décevant)
("ça vous grattouille ou ça vous chatouille ?", un petit extrait de même pas trois minutes de Knock, en 1951) »

Docteure Knockette :
- "Être méprisant, alors que vous êtes celui qui est capable d'affirmer en n'ayant aucune compétence quelqu'elle soit (bien au delà que covid) rend encore plus sidérant votre incapacité à admettre qu effectivement vous êtes limité, et pour le coup complètement à côté de la plaque (quelqu'un qui n'est pas malade ne transmettrait pas une maladie qu'il ne porte pas).... 😐 Ce n'est pas comme si la littérature à ce sujet était très très très vaste. Porteur sain, vecteur, modes de contamination et transmission etc etc. C'est vraiment désolant."
(RE-SIC)

Moi :
« Euh....Vous savez quand-même que vous partez là dans un délire absolu dont vous êtes la seule et unique interlocutrice ?
Merci quand même pour toute cette pédanterie ; vous êtes digne du grand Docteur Knock ! Bonne année :)
(Juste pour savoir : vous êtes vraiment médecin ?) »

{A noter que notre illustre inconnue, probablement médecin (?) (ou peut-être pharmacienne, ou infirmière, ou laborantine dans une officine vaccinale (???)) n'a jamais daigné répondre à mes questions, se contentant juste de m'agresser et m'injurier à foison, alors que je n'avais alors  pas prononcé la moindre critique à son égard  :/ }

Docteure Knockette :
- "Alors que vous êtes literallelement le seul à avoir affirmé dès le début quelque chose que vous ne connaissez pas du tout ? Qui est parti dans un réel délire tout seul faute de pouvoir répondre à une pauvre question ? À chaque fois ? Juste parce que vous êtes incapable d'au moins argumenter à minima, ce que vous affirmez ! Vous le seul à délirer, le seul à être méprisant hautain et arrogant et il n'y a littéralement que vous qui trouvez ça très drôle. Le seul. C'est sidérant."
(RE-RE-SIC)

Moi :
« Je citais juste une grande œuvre littéraire hein, que je croyais pourtant être très connue - mais apparemment pas par tout le monde (!) -.... Et vous vous êtes toute seule embarquée dans une croisade à la Don Quichotte ! (Non lui c'est pas un docteur.... C'est encore une œuvre littéraire ;) )
Bisous .... »

Docteure Knockette :
- "Mais que viennent faire vos références littéraires sur un commentaire, de votre part, qui concerne la science ? C'est sur ça et uniquement sur ça que je vous ai interrogé. Et que vous refusez, de répondre alors que vous êtes celui qui justement affirme une aberration complète pourtant très largement connue, dans le monde médical et vétérinaire. Pour quelqu'un qui est dans la PA vous devriez justement connaître ce processus mieux que n'importe qui. Votre référence littéraire n'a littéralement rien à faire ici, je ne vois pas pourquoi j'y répondrai. Je ne vous conseille pas non plus de me lancer sur des œuvres hispaniques. Là encore vous allez manger un mur. Heureusement qu'au moins, à minima, ce qui nous distingue c'est de connaître ses limites sur les domaines que l'on connaît, et je ne parle pas pour vous."
(RE-RE-RE-SIC) :D

Moi :
« Vous me faites vraiment penser de plus en plus au Docteur Knock ....

Incroyable, vous auriez donc connu Jules Romains pour l'inspirer ainsi dans son personnage ?

:D

Je repose la question :
Vous êtes vraiment médecin ? »


Docteure Knockette :
- "Vous êtes conscient que pas une seule fois vous n'êtez revenu sur l'affirmation sur vous même avez porté. Pas une seule fois. Isabelle honnêtement je t'invite à me dégager aussi vite que tu en auras envie, parce que figure toi qu'il devient un tout petit peu normal d'être halluciné de voir 2029283773388292 affirmations scientifiques qui sont on ne peut plus fausses, on ne peut plus distinctes du covid 19 en tant que tel, on ne peut plus déjà étudiées et connues. Cette capacité totalement hallucinante d'affirmer autant de conneries et en rire je peux pas. Je ne vois même pas là où il y a "débat" puisqu il n'y en a pas. Même là je reste hyper calme et j invite ton ami a confirmer ou infirmer son affirmation immensément bête, car dangereuse, et ça passe crème. Honnêtement je ne reviens pas. Ce n'est absolument pas drôle. Et si tu trouve normal de faire exactement ce que tu hais le plus (que des gens qui ne savent pas te disent à toi ce que tu connais le mieux au monde) alors ainsi soit il. Mais je ne peux pas le cautionner. Ce n'est pas un débat d'idée ou d'opinion. Ce n'est pas une religion ou une croyance. ....."
(RE-RE-RE-RE-SIC) 

[Isabelle répondant notamment : 
« Je ne vois pas trop pourquoi tu parles de croyance ou d’opinion. L’article au dessus parle d’une étude et émane de France Soir, pas d’un média «complotiste». De plus, les scientifiques ne sont pas d’accord entre eux : un coup on nous dit "le vaccin ne protège pas de la contagion", ensuite si et là aujourd’hui encore le contraire. 
Je n’affirme rien, une future vaccination obligatoire me fait tout sauf rire. 
(Je pointe simplement des incohérences et je considère que j’en ai le droit : https://www.lesechos.fr/economie-france/social/covid-larrivee-du-vaccin-ravive-le-debat-sur-un-passeport-sanitaire-1278716)...]

Docteure Knockette : 
- "Isabelle alors déjà c'est pas une question de modérer, tu as vu un peu l'échange ? Sérieusement ? Donc en fait vous en avez absolument rien à foutre de ce qui est dit. C'est merveilleux. Je te parle même pas de la communauté scientifique qui travaille sur une maladie en cours, je te parle d être capable d affirmer que les porteurs sains n'existent pas, sérieusement ???? Je ne peux juste pas le croire ! Qui en plus n'ont rien à voir avec le covid ! Affirmer ça c'est littéralement sidérant, rien que pour l'exemple que j'ai donné, qui est le sida. Qui est techniquement connu un peu quand même. Mai écoutes vu qu'on est tous complètement teubes, moi aussi je dis stop. Je ne commente pas ce qui est en cours d'étude, mais quand je vois qu'on nous chie à la gueule alors que ce qui est dit est totalement faux non merci. C'est hallucinant. ....
... Mais enfin là ce n'est absolument pas un échange 😳😳 c'est zéro. Nada. On affirme et.... Sérieusement? Donc pour toi quand on a pas de symptômes on a pas de maladie ? Mais Isabelle tu es sérieuse ?? Je ne parle même pas du covid ! Rien que le sida, qui est un minuscule exemple, devrait te faire comprendre ce que je dis ! C'est juste la base en fait. Pour des tonnes et des tonnes de maladies ! Humain ET veto ! Mais c'est pas grave laissons des affirmations complètement hallucinantes être faites (et pas du tout sur le covid en particulier en plus), j'ai essayé moulte fois de demander si c'était bien ce qu'il était entrain d affirmer, regarde qui essaye d'avoir des réponses et qui pzrt dans de lenfumage comme jamais qui n'a aucun rapport avec la choucroute. Zéro échange. Zéro dialogue. Zéro discussion. Ben dis donc quel mépris je trouve ça vmt dingue et flippant en fait. Plus aucun respect de chacun...."

[Et blablabla bla bla bla ....
Et que je pleure et que je chiale ....
Et que je passe pour la pauvre victime scientifique du vilain crétin complotiste moqueur et méchant :P ]

Moi (qui provoque un peu ; fatigué de tant de haine et d'agressivité, et à deux doigts de bloquer l'intruse bien malvenue) :
- « Encore a combattre les moulins à vent docteur ?
:)

Je me demande quand-même si vous connaissez cette œuvre de Jules Romains ?
Apparemment pas du tout vu votre réaction si hallucinante :D »
...

Blocage !

[A noter que je lui avais posté aussi tous les textes sur cette fameuse œuvre littéraire "Knock, ou le triomphe de la médecine"que l'on a déjà vu ici un peu plus tôt  !]


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Knock et Ruesch ...
(BONUS)

==> En publiant il y a quelques temps la liste de tous les ouvrages que j'avais étudié (*).... Je me suis souvenu que j'avais en fait oublié les premiers qui m'avaient ouvert la conscience à cette grande arnaque de la vaccination en particulier, et de la fumisterie de la médecine allopathique en général : 
=> L'Œuvre de Hans Ruesch, avec notamment "Les faussaires de la science" !!!

Avant ce livre je ne soupçonnais même pas que cela puisse exister ...
Eh si :(
Et ensuite encore je croyais que cela ne pouvais déjà plus exister ...
Eh si :'(
 
Eh oui...
Car c'est bel et bien grâce à l'expérimentation animale, que les vaccinalistes et vivisectionnistes, véritables empoisonneurs de l'humanité - tant mentalement que physiquement (!) - peuvent, non seulement tuer nos semblables en toute légalité, se réfugiant derrière leurs tests "bidon" couronnés d'une A.M.M., mais aussi, et c'est là encore le pire : détruire irrémédiablement nos défenses immunitaires naturelles, et dégénérer notre espèce au point que chaque être humain devienne dépendant de leurs drogues pharmaceutiques, esclave docile contraint de leur obéir pour ne plus souffrir !!!

Hans Ruesch expose dans ses ouvrages (**) comment, avec l'aide des agences de presse et par la vénalité des mass médias, le public a subi un lavage de cerveau le poussant à mettre "soins médicaux" et "santé" sur un même pied d'égalité, alors qu'en réalité il s'agit précisément du contraire :
=> La médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies !
C'est ainsi qu'en un an, 1,5 million d'Américains ont dû être hospitalisés par suite de l'administration de drogues qui auraient dû les "guérir" d'une chose ou d'une autre. 

L'expérimentation animale, immanquablement trompeuse, est évidemment l'alibi forgé par la Puissance Médicale pour extorquer de fabuleuses subventions pour une fausse recherche et pour protéger les fabricants de médicaments contre les poursuites en justice chaque fois que les suites néfastes de l'un de leurs produits ne peuvent plus être cachées. 

Hans Ruesch explique pourquoi autant de nouvelles maladies apparaissent de par le monde à l'heure où la recherche médicale prétend s'investir à fond. 
Pourquoi le public est-il soumis continuellement à de la désinformation sur la santé ?
 Il révèle le massacre qui est orchestré sous couvert de l'absorption de produits chimiques qui portent le nom de "médicaments" ! 

Il expose aussi l'opinion de médecins et de chercheurs réellement conscients des problèmes causés par la vivisection, des exemples d'homicides impunis, mais également un point de vue sur le cancer et sur la fraude des mass médias... (avec 140 photos inédites et très éloquentes).

Bien sûr, nous connaissons l'opinion générale : "La vivisection est parfois cruelle, mais elle sauve des vies. A choisir entre un chat et un enfant, je choisis l'enfant."
Mais il ne s'agit là que d'une monstrueuse tromperie, due à la coalition d'une industrie pharmaceutique toute-puissante et d'une certaine médecine qui a tourné le dos à Hippocrate, l'antivivisectionniste de la première heure !

Ces livres sont accablants pour la recherche médicale actuelle : ils font une démonstration éclairante des contre-vérités dans lesquelles baigne notre société :

=> Contrairement aux mensonges sans cesse répétés par d'importants groupes d'intérêt, toutes les grandes découvertes médicales ne doivent rien à la vivisection (aspirine, chloroforme, éther, iode, digitaline, quinine, belladone, strophantine, pénicilline, radium, rayons X, théorie bacillaire, etc).

=> Au contraire, l'utilisation des bêtes, qui sont notablement différentes des hommes, ne fait que fausser les tests. (La Thalidomide et d'autres responsables de dizaines de milliers de malformations, le Stilboestrol cause de milliers de cancers, ont été, abondamment, testés sur des animaux.)

=> Les animaux souffrent doublement des traitements qu'ils doivent subir. On prétend qu'ils sont anesthésiés. Il s'agit d'un alibi officiel : ou bien "l'expérience" est incompatible avec l'emploi de l'anesthésie (observation post-opératoire, tests de toxicité, toute expérience de longue haleine, sur le système nerveux, sur la douleur, sur le comportement, sur le stress, toutes celles qui provoquent des maladies), ou bien l'anesthésie est administrée brièvement pour permettre une opération sans révolte, et la souffrance reprend peu après.

=> Tout ce système est fondé sur l'appât du gain et des honneurs, sur le carriérisme, qui vont souvent de pair avec un sadisme inimaginable.

=> Les profits de l'industrie pharmaceutique sont formidables. Les fonds recueillis pour la recherche fondée sur la vivisection sont énormes. 
Pour quels résultats ?
 Une étude sérieuse des statistiques montre que l'espérance de vie n'augmente pratiquement plus depuis longtemps et que la seule grande évolution, due à l'hygiène, a été la diminution, déjà lointaine, de la mortalité infantile. 

La santé doit plus à l'alimentation, à la génétique, au mode de vie, aux soins corporels, à l'instruction et à l'environnement qu'aux médicaments et aux vaccins !...

Au contraire, depuis que le nombre des spécialités se multiplie, on assiste à une augmentation constante des maladies, notamment des cancers, des malformations, de l'épilepsie, du diabète, des rhumatismes, des arthrites et de toutes les maladies chroniques en général.

=> Les élements sains, éclairés et non déformés du corps médical ont dénoncé depuis longtemps la vivisection. 
Dans l'historique de la médecine que contient son premier livre, Hans Ruesch souligne que les découvertes médicales dont nous sommes si fiers, grandes ou petites, ne proviennent pas de l'expérience animale. Au contraire, la vivisection ne fait qu'entretenir des intérêts néfastes pour la santé humaine.

Il dénonce l'inutile martyre des animaux victimes de la prétendue recherche médicale. Pour la première fois, l'auteur utilise une méthode scientifique et des arguments médicaux. Avec Hippocrate, Léonard de Vinci, Voltaire, Goethe, Schiller, Victor Hugo, Tolstoï, Mark Twain, G.B. Shaw, Gandhi, C.G. Jung, les Prix Nobel Hermann Hesse et Albert Schweitzer, tous antivivisectionnistes, il dit non à ce fléau, aussi ignoble qu'inutile !...

Tous ses livres fournissent les preuves de ce qui est avancé et expose au grand jour des faits que nombre d'individus puissants voudraient voir enterrés à tout jamais !!! 
:( :( :( :( :( :( :(


(*) Petite bibliographie ;)
 Des références bibliographiques autres que ceux des marchands de vaccins et leurs bons employés 
pour s'informer vraiment sur la réalité de la vaccination :
- "Les faussaires de la science", Hans Ruesch, éditions CIVIS

- "l'Impératrice nue" (Honte et Échec de la médecine), Hans Ruesch, éditions CIVIS / Nouvelles Presses Internationales  

– "Danse avec le diable", Günther SCHWAB, ed. Courrier du livre

- "Némésis médicale", Ivan Illich, éditions du Seuil

- "Vaccinations, les vérités indésirables", Michel Georget, édition Dangles

- "Vaccination, l'overdose" de Sylvie Simon, éditions Déjà

 - "Les vaccins- Ce qu'on nous cache sur leurs effets indésirables" de Sylvie Simon, éditions Grancher.

 - “Vaccination, erreur médicale du siècle”, Dr Louis de Brouwer, éd. Louise Courteau

 - "Vaccinations, je ne serai plus complice !" Dr Jean Méric, éditions Marco Pietteur

 - "Pour en finir avec Pasteur", Dr Eric Ancelet, éditions Marco Pietteur

 - "Vaccins, abus de conscience", Dr Alain Perrier, éditions Marco Pietteur

- "Ce qu'on nous cache sur les vaccins", Sylvie Simon, Delville Santé
 
- "Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins", Sylvie Simon, éditions Dangles
 
- "Autisme et vaccination" Sylvie Simon, édition Guy Trédaniel
 
- "Pasteur: la réalité après la légende", Pierre-Yves Laurioz, éditions de Paris

 - "Un bon Pasteur?", Marc Avérous, éditions Louise Courteau

- "Qui aime bien vaccine peu", groupe médical suisse de réflexion sur les vaccins, Jouvence
 
- "Vaccinations, le droit de choisir", Dr François Choffat, Jouvence
 
- "Les vaccins sont des poisons", Dr Christian Tal-Schaller, éditions Vivez Soleil

- "Vaccins, un génocide planétaire?", Dr Christian Tal-Schaller, éditions Testez

 - "Faut-il faire vacciner son enfant?", Virginie Belle, Edition Max Milo 
 
- "Le dossier noir du vaccin contre l'hépatite B", Lucienne Foucras, édition du Rocher
(NB: A présent, la version actualisée de cet ouvrage s'intitule "Le nouveau dossier noir du vaccin hépatite B", du même auteur, aux éditions Marco Pietteur)
 
- "Vaccin hépatite B, les coulisses d'un scandale", Dr Marc Vercoutère et Sylvie Simon, édition Marco Pietteur
 
- "La santé publique en otage, les scandales du vaccin contre l'hépatite B", Eric Giacometti, éditions Albin Michel
 
- "Nous te protégerons! La poliomyélite, quels vaccins, quels risques?", Dr Jean Pilette
 
- "Vaccinations, le marché de l'angoisse", Dr Gerhard Buchwald, éditions Alis
 
- "La vaccination en question" synthèse du colloque européen sous la direction de Paul Lannoye, éditions  Frisons-Roche

- "Vaccination: la grande illusion", René Bickel

 - "Vaccins, Mensonges et Propagande", Sylvie Simon, édition Thierry Soucar

 - " Vaccins. Comment s'y retrouver", Pr Henri Joyeux, éditions du Rocher.

- "Alertes grippales: comprendre et choisir" Dr Marc Girard, éd. Dangles 

- "Grippe, pas de panique", Dr François Choffat, éd Jouvence
 
- "Vaccins, l'avis d'un avocat: on nous aurait menti?", Me Jean-Pierre Joseph, éditions Testez

- "Vaccins, Docteure maman en a assez!", Monique Morin, éditions Covivia

- " La griffe du loup garou", Jacqueline Lardy

- "Majeur et vacciné" ou...le droit de vivre? , Giorgio Tremante

 - "Autisme: Une fatalité génétique,- L'enquête d'une mère: des vérités qui dérangent", Marie-Christine Dépréaux, éditions Testez
 
- "Faut-il avoir peur des vaccinations?" synthèse du colloque à Paris en 1999 sous la direction de Sylvie Simon

- "La piqûre de trop", Catherine Riva & Dr Jean-Pierre Spinosa, éditions Xénia [concerne la vaccination anti-HPV]

 - "Déjà vacciné ? Comment s'en sortir" de Sylvie Simon et Dr André Banos

- " Vaccinations... pourquoi?", Raymond Dextreit
 
- “Les dessous des vaccinations” Dr Alain Scohy, Ed. Cheminements
 
- "La médecine retrouvée" Dr Jean Elmiger

 - "Maladies auto-immunes", Dr Jean Elmiger

- "L'intoxication vaccinale", Fernand Delarue

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- " Les vaccinations n'ont pas fait régresser les épidémies", Fernand Delarue

- "Les nouveaux parias", Fernand Delarue

- " La rançon des vaccinations", Simone Delarue

- " Où nous mènent les vaccinations à virus?", Simone Delarue

- " Les vaccinations: racket et poisons?", Dr Paul-Emile Chèvrefils

 - "La santé des enfants non vaccinés; au-delà de la polémique", Dr Françoise Berthoud, éditions Jouvence

- "On peut tuer ton enfant", Dr Paul Chavanon

- "La guerre microbienne est commencée", Dr Paul Chavanon

- "La faillite du BCG", Pr Marcel Ferru

- " Tuberculine & BCG: les deux vérités", Bernard Guennebaud, éd ALIS

- "Tétanos: le mirage de la vaccination", Françoise Joët, éditions Alis

- " Hépatites: les vaccins catastrophes.", Françoise Joët et Claude Bernard

- "Vaccinations: les lois" Françoise Joët, édition ALIS

- "Les vérités indésirables", Dr Philippe Decourt, dispo chez ALIS

- "Les microbes sont-ils vraiment nos ennemis?", Dr Jean Marc Emily

- "Immunologie et vaccination", Dr Jacques Kalmar

- "Phobie des microbes et manie vaccinale", Dr Yves Couzigou

- " A l'ombre de Pasteur", Dr Adrien Loir

- Enquête participative d'Agoravox sur les vaccinations, menée par Jean-Luc Martin Lagardette
(Nexus n°55 de mars-avril 2008 : "Vaccination, êtes-vous encore dupe?")

- Alternative Santé l'Impatient, le hors série, Guide des Vaccinations.

- "Vaccins et vaccination; synthèse de la situation actuelle; analyse des risques"

- Un dossier sur "les constituants des vaccins, vaccin par vaccin" par le Dr Jean Pilette

- “Des enfants sains même sans médecin”, Dr Mendelsohn

 - "Les bases de l'immunologie fondamentale et clinique", Abul K Abas, Andrew Lichtman, Elsevier éditions
 
- "Psycho-neuroimmunologie", Francesco Bottaccioli, éditions Marco Pietteur

- " Maladies auto-immunes", Dr Jean Elmiger
 
- "La mafia médicale", Dr Ghislaine Lanctôt (radiée pour avoir osé écrire ce livre)
 
- "Le procès de la mafia médicale" de Joachim Schaffer (raconte le simili procès fait à cette médecin par   l'ordre médical du Québec)

- "SIDA: le vertige", Dr Louis de Brouwer et Dr M. Schar-Manzoli
 
- "La société cancérigène, lutte-t-on vraiment contre le cancer?", Dr Geneviève Barbier et Armand Farrachi, éditions de la Martinière
 
- "Les inventeurs de maladie", Jörg Blech, éditions Actes Sud

 - "Votre santé n'intéresse que vous: comment ne plus être dépendant des industries de la santé", Sylvie Simon, éd. Alphée

 - "Ordre & désordres", Sylvie Simon, Editions Mosaïque-Santé
 
- "Le grand secret de l'industrie pharmaceutique", Philippe Pignare, édition La découverte

- "Les mafias pharmaceutiques et agro-alimentaires", Dr Louis de Brouwer

 - "Notre poison quotidien" de Marie-Monique Robin (auteure de l'excellent "Le Monde selon Monsanto)

- "Nous sommes tous des cobayes", Dr Louis de Brouwer, éditions Trédaniel

 - "ABUS" (Si, ça se peut! "), Sylvie Renault

- "L'affaire Schaller; mon Combat contre la Rumeur", Dr Christian Tal Schaller, édition Marco Pietteur

- " La vérité sur les compagnies pharmaceutiques: Comment elles nous trompent et comment les contrecarrer.", Dr Marcia Angell, ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine.
 
- "La nouvelle dictature médico-pharmaceutique; l'emprise des lobbies sur notre santé", Sylvie Simon, éditions Dangles

- "Les charlatans de la médecine", C-V D'autrec
 
- "Information ou désinformation?" Sylvie Simon, éditions Guy Trédaniel
 
- "Exercice illégal de la guérison", Sylvie Simon, édition Marco Pietteur
 
- "Les radis de la colère", Me Jean-Pierre Joseph, éditions Louise Courteau
 
- "Savants maudits, chercheurs exclus" (4 tomes), Pierre Lance, éditions Guy Trédaniel
 
- " La santé confisquée", Mirko &Monique Beljanski, éditions Guy Trédaniel

- "Mirko Beljanski, chronique d'une fatwa scientifique", Monique Beljanski, Editions Trédaniel

 - "Complot mondial contre la santé", Claire Séverac, éditions Alphée

 - "Lobbying & santé: patient, élus, chercheurs... nous sommes tous des proies!", Roger Lenglet, Editions Pascal.

 - "La face cachée des médicaments", Dr Nicole Delépine, éditions Michalon.

 - "Ma liberté de soigner", Dr Nicole Delépine, éditions Michalon
 
- "Des lobbies contre notre santé", Bernard Topuz et Roger Lenglet, éditions Syros
 
- "L'OMS, bateau ivre de la santé publique", Bernard Deveaud et Bertrand Lemmenicier, éditions l'Harmattan
 
- "Qui décide de notre santé? Le citoyen face aux experts" sous la direction de Bernard Cassou et Michel  Schiff, éditions Syros

- "Médecine, religion et peur", Olivier Clerc, éditions Jouvence, gratuitement et entièrement accessible en PDF.
 
- "Santé, mensonges et propagande", Thierry Souccar et Isabelle Robard, éditions du Seuil

 - "Maladies liées aux métaux lourds", Francine Lehner-Gallay en collaboration avec le Dr Kisfaludy, Editions à la Carte (4° édition revue et augmentée)

- "Pour une médecine écologique", Christian Portal, éditions Alphée

- "Science dans la lumière", Jacqueline Bousquet (Dr. es Sciences)

- "Au coeur du vivant", Jacqueline Bousquet

- "Et si la santé c'était naturel!", Geneviève Dormoy,éd. du Fraysse
 
- "Silence, on intoxique", André Aschieri, éditions de La découverte
 
- "Députés sous influence", Hélène Constanty, Vincent Nouzille, éditions Fayard
 
- "Le monde selon Monsanto (car la ressemblance est très percutante avec les vaccins...),  Marie-Monique Robin, Arte éditions
 
- "Vérités sur les maladies émergentes" de Françoise Cambayrac, éditions Marco Pietteur

 - "Maladies émergentes: comment s'en sortir?", Editions Mosaïque-Santé.

 - “La médecine nous tue” de Marc Ménant, édition du Rocher (comprend un chapitre sur Pasteur et un autre sur “La folie vaccinale”…..)

 - " Médicaments dangereux, à qui la faute? ", Dr Marc Girard, Editions Dangles.

- "Le malade enchaîné", René Bickel, devenu " Le malade déchaîné" (aux Ed. Altess)

- "Sur les chemins de la souveraineté individuelle", René Bickel

 - "Médecine irresponsable, Ils ont renié Hippocrate! ", Marc Averous, Editions Marco Pietteur

 - "Hold-up sur la santé" Dr François Choffat, éditions Jouvence

 - "Hippocrate, si tu savais...Lettre à nos médecins", Lucienne Foucras, éditions Marco Pietteur (mars 2010), préface du Pr Albert Jacquard

 - "Enquête sur un survivant illégal", Sophie Chervet, Editions Trédaniel.

 - "Infiltreuse médicale malgré moi", Marie-Christine Diétrich, Medicalire.

 -  "La Coupe est pleine (nos enfants sont plus précieux que le CAC40)", Claire Séverac & Sylvie Simon, éd. Elie & Mado.

 - "Votre santé n'intéresse que vous, comment ne plus être dépendant des industries de la santé", Sylvie Simon, éditions Alphée.

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Abordons maintenant un autre sujet tout aussi exemplaire de leurs techniques de manipulation mentale de la population en écumant autrefois les conférences et aujourd'hui les réseaux sociaux, pour lâcher - de manière apparemment innocente et spontanée (!) - leurs petites bombes à fragmentation, genre :
- "j'ai connu un proche qui n'a pas été vacciné contre la polio et a souffert horriblement toute sa vie" (?)... 
- "C'est parce que j'ai été vacciné que je n'ai pas fini paralysé à cause de la polio" (?).... 

[Bref, ce petit genre de commentaires qui se la jouent "corde sensible" mais ne fait partie que d'une vaste stratégie de communication pour entretenir le mythe ...
... Stratégie de communication largement favorisé par toute une cohorte "d'idiots utiles" qui eux ne touchent pourtant pas un centime de l'industrie vaccinaliste et médica-menteuse, mais qui se croient investis d'une mission pour défendre coûte que coûte tous les dogmes dont cette même industrie leur a préalablement bourré la cervelle :/] :
- Le mythe vivisectionniste de la méningite tuberculeuse !!!...

=> En mars 1979, le grand Historien de la Médecine - mais "non conformiste" (!) - Hans Ruesch avait fait une conférence à Strasbourg.
Un événement "sans importance" (aucun journal ne l'avait annoncé !...).
Néanmoins, à la fin de la conférence, un monsieur aux cheveux blancs et très distingué se leva et s'adressa au public (la distinction et une politesse souriante et constante sont imposées aux représentants de la combine dans tous les débats sur la vivisection (ou sur la vaccination !... Il y a d'ailleurs des instructions «ad hoc» aux Etats-Unis, et dans la plupart des pays "occidentalisés"))...

C'était le Pr. Paul Mandel du CNRS de Strasbourg, Centre de neurochimie (où l'on fait d'habitude les expériences sur le système nerveux de chats non anesthésiés), et il dit : « Jusqu'ici vous n'avez entendu que de la brillante rhétorique. Maintenant vous entendrez des faits. En travaillant sur des chiens, j'ai découvert, il y a quelques semaines, comment guérir la méningite tuberculeuse, qui tue tant d'enfants... » :O :O :O

Une déclaration pareille, par un professeur universitaire renommé, ne pouvait rater son effet sur un public de profanes !
(Qui certes ne pouvait se douter qu'il ne s'agissait que d'une blague, d'une fanfaronnade, d'une pure invention...)

Le lendemain, Hans Ruesch adressait au Pr Mandel une lettre recommandée :
« ... Je vous prie de me faire parvenir la documentation relative à votre grande découverte médicale, que sûrement vous vous êtes hâté de faire connaître à vos collègues, afin d'en faire bénéficier le plus grand nombre possible de malades... ».

Pas de réponse...

En effet, le Pr Mandel, tout en «travaillant» sur un grand nombre de chiens et de chats tout au long de sa carrière, n'avait jamais rien trouvé de nouveau, pas plus que tous ses collègues vivisecteurs !...

« Nous savons de plus que la méningite, qui tue pas mal d'enfants, est aussi provoquée par l'ingestion de produits de laboratoire et par différents vaccins comme le BCG (bacille bovin), prôné comme étant "absolument sans danger" par les savants de l'Institut Pasteur, malgré toutes les preuves contraires !... »
(Cf. "L'intoxication vaccinale" de Fernand Delarue, éd. du Seuil, 1977)

[Et pourtant, on lit encore dans "l'Union" du 8-08-96, que de grands chercheurs belges et américains, grâce aux « techniques révolutionnaires du génie génétique » - et par de nouvelles expérimentations animales (sur des souris) -, vont développer de nouveaux vaccins contre la tuberculose en traficotant directement notre matériel génétique (apprentis sorciers ?!...)]

L'affirmation gratuite de la méningite tuberculeuse miraculeusement guérie par des travaux faits sur des chiens fut entendue encore une fois en décembre de la même année.

Ce fut au cours d'une discussion au tribunal de Marseille qui, sur la demande du Pr Henri Sarles de l'INSERM, allait déclarer « irrecevable » une plainte déposée par la "Ligue antivivisectionniste française" contre ce professeur qui fit tout pour se dérober au débat.

En cette occasion, ce fut l'avocat du Pr Sarles qui récita le conte de fées de la méningite tuberculeuse guérie grâce aux chiens, mais cette fois la découverte miraculeuse était attribuée à un autre vétéran de la vivisection, le Pr. Jean Bernard de Paris (président du Comité d'éthique), qui aurait réussi son exploit, selon l'avocat, une vingtaine d'années auparavant (!), contredisant ainsi le Pr. Mandel qui s'était arrogé, lui, tout récemment cette découverte miraculeuse... qui n'a jamais eu lieu !!!...

Jean Bernard fait aussi partie de ce Pouvoir Médical qui, chaque année - à la veille de la récolte de fonds publics pour les héroïques luttes contre le cancer, le sida et les maladies dites génétiques -, annonce les extraordinaires progrès faits en ce domaine, bien que ces progrès ne touchent que les fatalités qui ne cessent d'augmenter ! :'(

Revenant au conte de fées de la méningite miraculeusement guérie grâce aux chiens, ce fut à Marseille que l'on pu découvrir qu'il ne s'agissait là que d'une nouvelle invention promue cheval de bataille du Syndicat, confiant qu'il faudrait beaucoup de temps pour que quelqu'un diagnostique ce «cheval» tout aussi mort-né que celui de la Thalidomide, cause de tant de malformations génétiques...
==> Ainsi, au Ministère de la mésinformation médicale, le noir est blanc, le blanc est noir !...

{« Non contents d'avoir fabriqué par incompétence, vanité, ambition ou cupidité, de graves maladies, y compris des cancers, des paralysies, des encéphalites et méningites fatales dont meurent un nombre incalculable d'êtres humains, ces messieurs des laboratoires vivisectionnistes et chimico-pharmaceutiques ont l'effronterie d'affirmer qu'ils les guérissent, ces maladies !...

Et les mass médias les acclament, par vénalité, servilité, ou ignorance, fermant les yeux devant toute la documentation irréfutable des Béchamp , Tissot, Ferru, Quinton, Delarue, Dextreit, Duesberg, et tant d'autres, vrais connaisseurs des lois de la Santé, mais... "dissidents", et donc accusés - comme Semmelweiss -, d'escrocs ou de psychopathes... »}

Dans sa réponse du 10 mars 1981, ce grand «chercheur», député au Grand Conseil vaudois, professeur à la Faculté de médecine de Lausanne, déclarait dans un préambule qu'il se rendait bien compte du but de sa demande.

De ce fait, il y répondait avec une extrême prudence, qui la rendait trop prolixe pour être reproduite intégralement, mais en voici un passage fondamental, très révélateur : « La méningite tuberculeuse ne peut pas être reproduite chez les animaux de laboratoire normalement accessibles. Elle pourrait peut-être l'être chez certaines espèces de singes... »

Cette déclaration suffit à elle seule pour réfuter l'affirmation gratuite que P. Mandel d'un côté, Jean Bernard de l'autre, « en travaillant sur des chiens », auraient résolu le problème qu'en fait ils n'ont jamais réussi !...

Avant la constitution du CIVIS par Hans Ruesch, ces messieurs de "La Recherche" ont pu affirmer n'importe quoi : la plupart des antivivisectionnistes étant malheureusement tout aussi ignares dans les questions médicales que les pseudo-chercheurs eux-mêmes ; ils étaient incapables de les démentir !
 (Et à ceux, très rares, qui en étaient capables, il suffisait de leur refuser la parole, ou tout simplement de les discréditer, comme cela se fit pour le malheureux Dr. Semmelweiss, et le malheureux Dr. Mayer !!!...)

La parole est encore au Pr. G. Peters : « Les médicaments efficaces utilisés dans le traitement à l'heure actuelle, sont des médicaments qui interfèrent avec la croissance ou la survie des bacilles de tuberculose. Après avoir été sélectionnés sur la base d'expérience in vitro et chez des animaux infectés en d'autres endroits que leurs méninges par les bacilles de la tuberculose, un médicament devant être utilisé dans le traitement de la méningite tuberculeuse doit être testé sur des animaux à différents stades de son évolution avant qu'on ne puisse justifier son application dans le traitement de la méningite tuberculeuse humaine. On doit vérifier par expériences sur des animaux si le médicament choisi n'a pas d'effets toxiques généraux rendant impossible son application chez l'homme comme chez les animaux... »

Bref, on notera que, comme tous ces messieurs de la Recherche, le Pr. Peters se limite à des généralisations, sans la moindre indication précise.

On notera aussi que ce professeur (qui enseigne en 1981, et travaille surtout sur le système nerveux des chats et des singes), croit encore à la validité des tests de toxicité de l'époque Bernadienne du siècle dernier, n'ayant pas encore découvert que l'animal réagit d'une façon différente de l'homme et différente d'autres espèces, et que même deux animaux de la même espèce réagissent différemment !...

De toute façon, par un excès de scrupules, le CIVIS a envoyé la lettre de ce professeur à un des meilleurs experts de la tuberculose de notre temps, le Pr. Pietro Croce, antivivisectionniste, autorité médicale d'expérience internationale, agrégé de l'Université de Milan, membre du "College of American Pathologists" et de l' "American Society of Clinical Pathologists", chef de laboratoire à l'Hôpital «L. Sacco» de Milan, qui lui donna son opinion :
- « Il est impossible de répondre à l'avalanche de sottises énoncées par ce Pr. Peters.
Plutôt, sommes-nous certains qu'il s'agit bien d'un médecin ?
Sommes-nous certains que quelqu'un ne se soit pas approprié du papier à lettre du Pr. Peters, à son insu ?

J'ai travaillé de 1946 à 1973 dans les Hôpitaux de l'INPS (sécurité sociale italienne). En plus, j'ai travaillé pendant plus d'une année au National Jewish Hospital à Denver (Colorado), spécialisé dans la cure et la recherche sur la tuberculose. J'ai publié un livre, «Vita e morte dei microbatteri», 476 pages, 113 illustrations, préface du Pr. Paul Hauduroy, bactériologue de l'Université de Lausanne et de la Sorbonne....
Je crois donc pouvoir me considérer comme expert en matière de tuberculose. Et c'est justement cela qui m'empêche de répondre au soi-disant Pr. Peters.
Vous pouvez faire l'usage que vous voudrez de ma lettre, vous pouvez me citer ou ne pas me citer, comme cela vous semblera plus utile pour votre lutte, que vous conduisez en premier lieu pour la défense de l'homme !... ».

Un ministre de la santé publique Monsieur Cl. Perey, conseiller d'Etat, chef du Département de l'intérieur et de la Santé publique du canton de Vaud (Suisse), répondait le 21-07-79 à l'ATA qui lui avait demandé des renseignements sur l'expérimentation animale que son bureau subventionnait avec l'argent du contribuable suisse.
 La lettre de M. Perey disait notamment : « Les connaissances acquises lors de l'étude de la répercussion d'une ischémie sur la paroi de l'intestin grêle ont permis, entre autres, d'identifier une des complications très importantes de l'adaptation du nouveau-né à la vie extra-utérine, soit d'identifier les causes de l'entérocolite nécrosante. Dès lors, un traitement adéquat a permis de faire disparaître presque complètement cette complication de la période néonatale. »

La réponse de ce «ministre de la santé» vaudois démontre jusqu'à quel point les autorités gouvernementales suisses, pas moins qu'ailleurs, se prêtent à mener la propagande vivisectionniste qui leur est dictée par le Pouvoir médical allié au Syndicat chimique, qui ne se sont jamais souciés de la santé du peuple, mais exclusivement de leur propres intérêts pécuniaires !...

Monsieur Cl. Perey fait des affirmations qui ne peuvent être les siennes, puisqu'il n'est ni chercheur ni médecin, mais un simple magistrat.
De toute façon, il en assume la responsabilité par sa signature sur du papier à lettre officiel...

Le 31-12-80, Hans Ruesch écrivait à M.Cl. Perey : « Je conteste catégoriquement la véracité de vos affirmations et je vous défie de m'en donner les preuves scientifiques, et non seulement des mots scientifiques, qui dorénavant ne suffiront plus à duper l'opinion publique !...

J'attends donc, dans le plus bref délai, une description des travaux qui auraient été faits sur les animaux pour arriver à l'identification en question, et de quelle façon les chercheurs, en travaillant sur des animaux, auraient pu apprendre à prévenir l'entérocolite nécrosante, ou à la guérir.
Car c'est bien de cela qu'il s'agit ? 
De prévenir et guérir des maladies humaines, en utilisant des animaux comme "modèles" ?!... »

« Les explications que vous m'avez données représentent un tas de sottises, compilées par des laborantins totalement ignares en matière médicale, dans l'espoir de confondre des gens qu'ils espèrent être tout aussi ignorants qu'eux.

On prétendrait nous faire croire qu'en provoquant artificiellement dans l'animal l'ischémie (suppression de la circulation sanguine) sur la paroi de l'intestin grêle, on aurait réussi à comprendre la pathogénèse de l'entérocolite nécrosante.

C'est encore une fanfaronnade, car l'ischémie de n'importe quelle partie d'un organisme vivant provoque toujours et inévitablement une nécrose !

Il n'en pourrait être autrement, et vos laborantins, comme tous leurs collègues vivisecteurs, n'ont rien appris et rien enseigné de nouveau, sauf comment gaspiller des fonds publics-argent du contribuable !...

L'entérocolite nécrosante est une maladie très probablement d'origine infectieuse, comme le démontre le fait que parfois elle se manifeste épidémiquement dans les hôpitaux, source principale de maladies.

En ajoutant que l'entérocolite nécrosante est une des complications très importantes de l'adaptation du nouveau-né à la vie extra-utérine, vos informateurs voudraient nous faire croire que "l'adaptation à la vie extra-utérine" entraîne des complications !...
Mais depuis quand l'adaptation à la vie extra-utérine est-elle une maladie avec la possibilité de complications ?!... Si ce n'est des complications infligées par l'incompétence de l'actuelle Science médicale qui est devenue, comme il a été universellement reconnu, la principale cause de maladie.

Et c'est vous, M. Perey, et vos alliés, qui octroyez a de pareils «chercheurs» des subventions publiques pour pouvoir continuer leurs expériences de Grand-Guignol dans les laboratoires vivisectionnistes !

Laissez-moi vous dire, Monsieur le Conseiller, que vous êtes très mal conseillé !... »

N'ayant évidemment pas bien digéré la lettre que lui avait adressé le fondateur de CIVIS, le conseiller d'Etat Cl. Perey la passa à la Direction Générale du CHUV, avec la prière de le sortir du bain dans lequel ses «savants» l'avaient mis par leurs déclarations téméraires.

C'était bien la première fois que quelqu'un osait mettre en doute publiquement - et intelligemment - la compétence scientifique des gros bonnets des laboratoires.

Et puisque CIVIS n'avait pas l'air de vouloir en démordre, il fallait bien lui fournir quelque bonne «explication». N'importe quoi.

Celle-ci arriva sous forme d'une lettre de trois pages, signée par « Le Doyen de la Faculté de médecine Prof.Rivier » et « La Direction générale du Centre hospitalier universitaire vaudois, Professeur Prod'hom, Directeur général ».

Bien que ces grands manitous de la Recherche devaient avoir travaillé pas mal de temps à la compilation de leur réponse, qui ne portait la date que du 28 avril 1981, elle ne contenait, elle aussi, pas une seule des élucidations scientifiques qui avaient été requises, mais rien d'autre que des généralisations, des affirmations gratuites, sans preuve, à savoir : « Les connaissances des mécanismes conditionnant l'apparition de l'entérocolite nécrosante ont pu être élucidées seulement par l'expérimentation animale », ou « La connaissance des mécanismes physiopathologiques décrits a été acquise exclusivement grâce à l'apport de l'expérimentation animale... ».

Mais de quelle façon ?
Ça, on ne nous le dit jamais de façon claire et précise.
Donc, affirmations, affirmations, affirmations...

Preuves : NÉANT, comme de coutume !...

(La lettre se terminait par une énumération de huit publications américaines, dont la lecture était recommandée !
Le titre de l'une d'elles indiquait, par exemple, qu'on avait fait des expériences vivisectionnistes sur des... cochonnets nouveau-nés,... asphyxiés (!)) (...)

Revenons-en maintenant à notre exemple de "l'entérocolite nécrosante" :
- Il est possible que les chercheurs aient su construire un système expérimental cohérent (bien que la lettre précitée n'en donne aucune indication) et avec ceci un schéma, ou une série de schémas conceptuels, capables de fournir des prétextes pour d'innombrables discussions, publications et nouvelles expérimentations sanglantes et rémunératrices.

Mais ils ne veulent pas s'apercevoir que leur machine s'appuie sur des prémisses qui ne tiennent pas debout. Ils préfèrent rester aveugles aux grossières différences entre l'enfant (souvent prématuré) atteint d'une entérocolite néonatale et le modèle, arbitraire, du chien (probablement) adulte, ou du cochonnet : L'ischémie induite (probablement par des moyens mécaniques brutaux) chez le chien ou le cochonnet n'a rien à voir avec l'ischémie qui surgit, à la suite de mécanismes tout à fait différents, chez l'enfant prématuré ou de toute façon atteint déjà pendant la période prénatale...

En somme, ils ont fabriqué chez le chien ou autre animal une maladie qui singe grotesquement celle de l'enfant, mais qui est une maladie complètement différente !

Ils déclarent avec une profonde satisfaction qu'on ne pouvait faire cela que chez un animal, et jamais dans une culture cellulaire !...
Mais que le modèle soit vrai ou faux, peu importe.
Ce qui importe, c'est de pouvoir publier, se pavaner dans les congrès, demander des subventions... surtout demander des subventions !!!...


En 1979-80, le Pr. Henri Sarles de l'INSERM de Marseille jouit d'une notoriété éphémère grâce à des démêlés en justice avec Brigitte Bardot, qui avait fait des déclarations défavorables à son égard sans en avoir les preuves en main.

L'appareil de propagande du Ministère de la mésinformation se mit immédiatement à l'oeuvre.

Les gros bonnets de la vivisection rivalisèrent entre eux pour chanter les louanges de leur collègue, et les journaux s'empressèrent de les étaler dans leurs colonnes, en profitant de l'occasion pour exalter les «miracles» de la Recherche.

Comme de coutume, ils se refusèrent à publier les réfutations les plus documentées.

Ainsi, Le Figaro du 4-12-79 rapportait une affirmation aussi lapidaire que gratuite d'un Pr. de Vernejoul, présenté comme « membre de l'Académie des Sciences, président de l'Académie » : 
- « Ses travaux ont permis au Pr. Sarles de faire des découvertes dont profitent de très nombreux malades. L'expérimentation sur l'animal est donc indispensable ». (Sic)

Aucune des contestations de cette phrase, qui ne contient pas un mot de vérité, ne parut dans Le Figaro, qui pourtant en reçut un grand nombre...

En compagnie d'une nombreuse équipe d'aficionados, principalement de sexe féminin, le Pr Sarles martyrise - avec l'argent du contribuable français, ignare et dupe - des chiens des années durant pour «démontrer» les ravages de l'alcool, que déjà les Romains de l'Antiquité n'ignoraient pas !
(En fait, ils savaient déjà tout ce qu'on sait aujourd'hui à ce sujet, à savoir, que la seule façon d'en éviter les ravages est d'en réduire l'absorption)...

En singeant des expériences qui ont été faites depuis les temps de Claude Bernard dans des dizaines de milliers de laboratoires physiologiques du monde entier, le Pr Sarles force nombre de chiens à boire quotidiennement une quantité d'alcool, et ensuite leur prélève, trois fois par semaine, à l'aide d'une sorte de robinet métallique implanté en permanence dans leur pancréas mutilé, le suc pancréatique, à des fins d'analyse. Cela pendant quatre à cinq ans, sauf pour ceux qui ont la chance de crever bien avant.
Les chiens sont supposés ne jamais se coucher sur le ventre, car cela pourrait tout gâcher...

Dans une déclaration à la presse en décembre 1979, le Pr Sarles avait dit : « J'aime beaucoup les animaux, mais j'aime encore davantage les hommes ».

Son grand amour pour l'humanité inclut aussi les ivrognes, car c'est sous le prétexte de chercher un moyen qui leur permettra de continuer à se soûler sans mourir d'une cirrhose qu'il s'acharne sur ses chiens bien-aimés ... (!!!)

Ah oui : tous sont très forts lorsqu'il s'agit d'accomplir la première moitié du programme, c'est-à-dire à endommager leurs victimes ; c'est lorsqu'il s'agit de trouver un remède qu'ils échouent tous sans exception !...

[En 1992, Louis Bériot, directeur de programmes de France 2, nous fait découvrir - dans son ouvrage "Le Grand Défi : tous centenaires et en bonne santé" - un autre grand vivisecteur : le Dr. D.L. Knook, directeur du centre expérimental de gérontologie au TNO (équivalent de l'INSERM), situé à La Haye en Hollande (C'est pas le fameux "Dr. Knock", mais c'est tout comme (!) ;) )...
Outre que l'on y apprend un futur gaspillage de 200 millions de francs, on y constate aussi toute l'ampleur grand-guignolesque de cette ubuesque "Recherche Médicale Scientifique" : « Une des lacunes de notre fameux mode de vie, c'est la propension générale à boire de l'alcool et de plus en plus de whisky.
Cela intrigue tellement le docteur Knook qu'il a décidé de lancer un programme de recherche sur le sujet.
Il n'y va pas par quatre chemins : il offre à des singes une bouteille de whisky par jour, et à des rats, de l'eau coupée de cet alcool dans la proportion de 50%... Que les buveurs de whisky se rassurent, ce n'est pas du "hors d'âge", c'est de l'ordinaire acheté - aux frais du contribuable - au supermarché du coin (sic) (...)
L'expérience venait de commencer. Il faudra attendre un moment avant de pouvoir interpréter les résultats de travaux aussi singuliers...
Le TNO étudie aussi sur des chimpanzés des traitements de l'hépatite et du sida.

Je demande au Dr. Knook pourquoi il ne faisait pas cela directement sur les hommes (ce ne sont pas les imbibés qui manquent), et s'il n'avait pas de protestations des ligues de défense des animaux : "Sur les hommes ce ne serait pas possible parce qu'il faudrait les prendre intacts et les faire boire, nous aurions quelques difficultés à faire admettre cela. Pour le reste, nous ne faisons pas trop de publicité !!!

{Et dire qu'ils sont des centaines, voire des milliers à infliger à d'innocentes créatures ces expériences... "sans trop de publicité" !!! :'( }

Un litre par jour, c'est tout de même un peu barbare, et, par un sentiment sans doute incohérent, j'en viens à trouver cela ignoble pour le singe et normal pour le rat. (!!!) (?!?!?)
M. Knook m'a donné une autre information qui peut justifier d'une certaine façon le groupe "Eurage" (Cf. tentative européenne de "Coordination de la Recherche", dotée en 1990 d'un budget d'un million de francs !!!...) :
- Eurage permet l'échange de rats ! (sic)...

Un rat de trois ans vaut 1.500 francs ; quant on sait que des dizaines de milliers de ces animaux sont les cobayes préférés des chercheurs, on comprend que des crédits-rats substantiels soient nécessaires.

Ces rongeurs ont cependant un inconvénient : Ils ne sont pas fiables pour étudier les démences...
Il est très difficile de savoir si un rat est fou ou ne l'est pas ! » 
(C'est déjà si difficile pour les hommes n'est-ce pas ;) )]

Peut-être, mais ensuite ?!...

Garder des années durant un robinet dans un pancréas partiellement détruit et qui est ensuite soumis à différentes manipulations, équivaut très vraisemblablement à un martyre auquel le Pr. Sarles ne se soumettrait jamais ; mais aux chiens qui ont le toupet de protester on peut toujours faire subir le supplice supplémentaire du tranchage des cordes vocales. 

Une nouvelle diffamation de ce grand philanthrope ?
Pas du tout : le professeur le confirme, dans le même article de Nice-Matin : « Quant au Pr. Henri Sarles, il s'est expliqué sur la résection des cordes vocales des chiens, procédé couramment utilisé, selon lui, pour éviter que les bêtes n'aboient à chaque bruit qu'elles perçoivent près du chenil » (SIC)...

Le nom du Pr. Sarles réapparaît depuis, sporadiquement, dans les articles prônant plus ou moins sournoisement la vivisection.

Ils sont devenus de plus en plus fréquents, non seulement dans des organes officieux de cette pratique, comme "Science et Vie" (le "n°1 de la presse scientifique européenne" (!)), mais aussi dans la grande presse !...

Dans un de ces articles, lardés des principales contrevérités vivisectionnistes, paru dans Figaro-Magazine (14-02-81), le journaliste Yves Christen et le Pr. Sarles joignent les mains pour faire l'apologie de la vivisection :
Après avoir attribué la responsabilité de son expansion aux... consommateurs ! [Comme s'ils avaient vraiment un choix, avec toute cette désinformation dont on les abreuve ! (La Liberté n'existe que si l'on est réellement INFORMÉ... La désinformation et la mésinformation ne sont qu'une privation de notre liberté et de notre libre arbitre. Une sorte d'inquisition fasciste que je n'hésite pas à comparer à un "crime contre l'humanité", et à une forme moderne d'esclavagisme !...)]

... Yves Christen écrit : « Il reste bien une solution : expérimenter sur l'homme. Ce que préconisent quelques antivivisectionnistes de choc qui suggèrent de "remplacer les animaux par des foetus, des prisonniers, des émigrés, des chercheurs, et  des enfants !" »...

Il fallait oser, ils ont osé !...

Voilà un mensonge particulièrement odieux, vu que c'est justement les antivivisectionnistes qui dénoncent régulièrement ces pratiques des chercheurs qui expérimentent sur les humains, de préférence sur les enfants et les déshérités...

Yves Christen, serviteur zélé du système, poursuit ses efforts en affirmant : « On le voit, entre l'homme et l'animal il faut choisir » (SIC).

Après quoi il redonne la parole au Pr Sarles : « Le fond de l'affaire, dit le professeur, est en réalité la déviation psychique d'un certain nombre de misanthropes qui ont reporté sur les animaux un amour pathologique associé à une profonde haine de l'humanité ».

==> L'arrogance de vouloir assimiler le mépris envers les vivisecteurs à la misanthropie n'est pas seulement, elle, un signe de déviation psychique, mais aussi d'un manque de logique.

Évidemment, qui déteste les vivisecteurs, n'est pas misanthrope mais, au contraire, un humaniste dans le plein sens du mot :
- Il ne déteste qu'une part bien déterminée du genre humain, justement la plus déshumanisée, la plus méprisable.

Celui qui prend la défense des animaux, aime en eux leurs qualités "humaines", qu'il sait reconnaître et apprécier, et non pas des qualités "bestiales", qu'on trouve malheureusement surtout chez certains êtres humains qui, comme les vivisecteurs, ne sont pas dignes de cette appellation ("HUMAIN" !)...

Sûrement le Pr. Sarles ignore tout cela, car il a démontré ignorer même la littérature scientifique française, que ses collègues du monde entier ne cessent de citer.
Dans une lettre parue le 4-3-1980 dans "Marseille Sept", le Pr. Sarles a affirmé : « Le terme de vivisection a été créé par la femme de Claude Bernard. Elle n'aimait pas son mari... Ce terme signifie dans la bouche de ceux qui le profèrent "expérimentation sans anesthésie"... »

Voilà une déclaration accablante pour un homme qui, - comme d'ailleurs tout vaccinaliste (!!!) -, accuse toujours ses adversaires d'ignorance ; elle démontre qu'il ne connaît même pas les oeuvres de son maître, le grand apôtre de la vivisection, justement Claude Bernard !

Le terme vivisection n'est pas une invention de sa femme, mais était employé couramment par lui-même et ses collègues comme synonyme d'expérimentation animale.

Or, n'ayant pas lu ses oeuvres, le Pr. Sarles ne pouvait pas savoir que Claude Bernard faisait déjà, au siècle dernier, les expériences inutiles et cruelles que lui, Sarles, comme tous ses collègues, font aujourd'hui, et avec le même résultat : NÉANT !!!!!!!!!!!!!


[Extrait de "La Fraude des Mass-Médias, ou : petite histoire de la désinformation, du mensonge et de l’hypocrisie"(https://fr.groups.yahoo.com/neo/groups/culturenet2013/conversations/messages/221)]


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Dans une vidéo qui a été rendue publique par l’association de défense des animaux Peta France, elle dépeint les deux sentiments qui l'ont poussée à s’exprimer : la désillusion, parce qu’aucun traitement majeur contre la myopathie n’a été mis au point après des décennies de "recherche scientifique" (!) ; la colère, parce que des millions d’animaux ont subi de la vivisection dans les laboratoires. "Pour rien" :

- "Tant de recherches, aucune guérison. Pourquoi ? Tout simplement parce que je ne suis pas un chien." ...

"La communauté scientifique a fait un choix culturel à la fin du XIXe siècle d’expérimenter sur des animaux, parce qu’elle était convaincue que les similitudes entre les espèces animales et l’humain étaient plus importantes que ce qui les différencie. Un foie de chien n’était grosso modo qu’un foie d’humain en taille réduite. On sait aujourd’hui que c’est faux, alors pourquoi s’obstiner ? C’est comme si, pour guérir une girafe, on expérimentait sur un perroquet !"

Et l’ancien vétérinaire de donner cette statistique :
"Selon la Food and Drug Administration [l’administration de la santé américaine, NDLR], neuf molécules qui ont réussi sur des animaux échouent une fois testées sur l’humain. 10%, c’est plus faible que de tirer à pile ou face !"


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<< J'ai une interrogation... - écrivait une VG sur l'un de nos forums (!) -  et vos réponses vont me servir pour une étude, cette question se pose aux personnes qui sont sensibles à l'horreur des produits testés sur les animaux ! 

Je suis moi même végétarienne, j'essaye au max de consommer mieux et de faire attention, je fais de mon mieux pour acheter des produits non testés et je vois que de plus en plus les gens se bougent pour y penser  MAIS car il y a tjrs un mais, on sait tous que beaucoups de recherches médicales se font sur des animaux.... Alors à tous ceux qui sont sensibles à cette cause et qui le revendique haut et fort...si un jour (et je ne vous le souhaite pas) un de vos proches (maris, femmes, enfants, parents...) est malheureusement atteint d'une grave maladie qui nécessite des soins ou médicaments qui forcément seront testés.... Que faites-vous ?! Comment réagissez-vous ?! Remballer son éthique , abdiquer ?! Comment le vivrez vous ?!.... >>

==> La réponse de "Daneel Olivaw" 
(J'aime trop ce pseudo ;) ) :
- L'expérimentation animale n'a JAMAIS permise de sauver qui que ce soit !
Ce chantage affectif est une pure invention des vivisecteurs pour tenter de valoriser leurs penchants pervers et morbides !

Voici un petit extrait de l'un de mes articles à ce sujet :
=> Suite à ton commentaire défendant la vivisection (Cf. « Je te renvois à un épisode de "Nos années Collège" - j'étais moi même au collège quand ca passait - où l'un des héros s'horrifie de la vivisection, montre notamment un film où l'on voit un singe soumis à ce genre d'expérimentation médicale... et à un moment de l'épisode, il demande à la fille dont il aimerait faire sa copine pourquoi elle ne le suit pas dans son combat... et elle lui réponds : "La vidéo que tu montre, c'est une expérience pour trouver comment soigner une maladie dont je suis atteinte...." »), je t'informe que cet épisode est là une "manipulation de conscience" typique de la mafia des labos vivisectionnistes destinée à formater les jeunes cerveaux encore trop naïfs et confiants aux discours des séries TV (ils aiment bien nous faire pleurer sur le sort de ces pauvres malades que l'expérimentation animale serait seule susceptible de sauver... alors qu'en vérité, la plupart du temps, ces malades sont dans cet état justement à cause de ces mêmes labos et de leurs si fumeuses expérimentations sur les animaux !!!)

La réalité, c'est que les expériences sur les animaux ne démontrent jamais rien d'utile pour les hommes, et ont au contraire toujours été la source de nombreuses pathologies humaines !...

Si cet épisode avait été honnête, le jeune aurait alors pu démontrer à sa copine que cette expérience vivisectionniste n'aurait jamais pu lui apporter la moindre chance de guérir, juste de torturer encore davantage les animaux... et d'engranger au passage de quoi remplir abondamment les comptes en banque des labos et de leurs "chercheurs" !!! .....


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Et ça, c'était en décembre 2015 :
-... Montrer comment s'effectue la recherche irait à l'encontre même des objectifs du Téléthon et surtout de sa méthode : l'impact émotionnel !

Les chiens ne peuvent plus s'alimenter et vivent donc avec une sonde pour être nourris. 
Ils ont des difficultés respiratoires et matrices très lourdes.
 Certains chiots ressemblent déjà à des robots et ne font quelques pas qu'aux prix d'un essoufflement accablant. 

Cette souffrance est dénoncée par les associations de protection animale qui soulignent l'inutilité de ces protocoles pour une maladie dont l'évolution sans traitement est bien connu. 

Dans le chenil des chiens myopathes de l'école vétérinaire de Maisons-Alfort, on ne soigne pas, on reçoit des animaux génétiquement modifiés pour naître myopathes sur lesquels on teste différents protocoles.

Ils viennent d'un élevage qui fait polémique : le CEDS, le centre d'élevage du domaine des Souches, situé à Mézilles, un petit village de l'Yonne.

Les chiens myopathes sont confinés dans des animaleries qui ressemblent à des bunkers. Ils vivront sans voir la lumière du jour, dans des cages souvent situées en sous-sol, subissant des expériences quotidiennes avant d'être euthanasiés. 

Nous demandons à l'AFM Téléthon de changer ses méthodes scientifiques. 
Que l'association prenne l'exemple de l'Italie qui a trouvé des méthodes éthiques et alternatives sans animaux, grâce à deux chercheuses Michele Kuan (biologiste) et au Dr Susanna Penca, chercheuse en médecine expérimentale.


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En décembre 2016 :
Si vous aussi vous participez à cette escroquerie monumentale qui torture des animaux et surtout des chiens, lisez ceci, que vous sachiez pourquoi et qui vous donnez : 
C’est scandaleux,le Téléthon rapporte chaque année autant que le budget de fonctionnement de l’Inserm tout entier,les gens croient qu’ils donnent de l’argent pour soigner. Or la thérapie génique n’est pas efficace. Si les gens savaient que leur argent va d’abord servir à financer des publications scientifiques, voire la prise de brevets par quelques entreprises, puis à éliminer des embryons présentant certains gènes déficients, ils changeraient d’avis. Le professeur Marc Peschanski, l’un des artisans de cette thérapie génique, a déclaré qu’on fait fausse route. On progresse dans le diagnostic, mais pas pour guérir. 
De plus, si on progresse techniquement, on ne comprend pas mieux la complexité du vivant. 
Faute de pouvoir guérir les vraies maladies, on va chercher à les découvrir en amont, avant qu’elles ne se manifestent. Cela permettra une mainmise absolue sur l’homme, sur une certaine définition de l’homme" !
[Jacques Testard, directeur de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), spécialiste en biologie de la reproduction, "père scientifique" du premier bébé éprouvette français, et auteur de plusieurs essais témoignant de son engagement pour "une science contenue dans les limites de la dignité humaine", dans une interview accordée à Médecines-Douces.com.]

Testard écrit aussi sur son blog : "Les OGM sont disséminés sans nécessité puisqu’ils n’ont pas démontré leur potentiel et présentent des risques réels pour l’environnement, la santé et l’économie. Ils ne sont donc que des avatars de l’agriculture intensive qui permettent aux industriels de faire fructifier les brevets sur le vivant. Au contraire, les essais thérapeutiques sur les humains sont justifiés quand ils sont la seule chance, même minime, de sauver une vie. Mais il est contraire à l’éthique scientifique (et médicale) de faire miroiter des succès imminents des uns ou des autres. Malgré la persistance des échecs, les tenants de la thérapie génique (qui sont souvent les mêmes que ceux des OGM) affirment que « ça va finir par marcher », et ont su créer une telle attente sociale que la « mystique du gène » s’impose partout, jusque dans l’imaginaire de chacun. Le succès constant du Téléthon démontre cet effet puisqu’à coups de promesses toujours réitérées, et grâce à la complicité de personnalités médiatiques et scientifiques, cette opération recueille des dons dont le montant avoisine celui du budget de fonctionnement de toute la recherche médicale en France. 
Cette manne affecte dramatiquement la recherche en biologie puisque le lobby de l’ADN dispose alors du quasi monopole des moyens financiers (crédits publics, industriels, et caritatifs) et intellectuels (focalisation des revues, congrès, contrats, accaparement des étudiants…). Alors, la plupart des autres recherches se retrouvent gravement paupérisées - une conséquence qui paraît échapper aux généreux donateurs de cette énorme opération caritative…"

Dernière citation pour la route, extraite de l’ouvrage de Testard, Le vélo, le mur et le citoyen : "Technoscience et mystification : le téléthon. Depuis bientôt deux décennies, deux jours de programme d’une télévision publique sont exclusivement réservés chaque année à une opération remarquablement orchestrée, à laquelle contribuent tous les autres médias : le Téléthon. Ainsi, des pathologies, certes dramatiques mais qui concernent fort heureusement assez peu de personnes (deux ou trois fois moins que la seule trisomie 21 par exemple), mobilisent davantage la population et recueillent infiniment plus d’argent que des maladies tout aussi terribles et cent ou mille fois plus fréquentes. 
On pourrait ne voir là que le succès mérité d’un lobbying efficace, et conseiller à toutes les victimes de toutes les maladies de s’organiser pour faire aussi bien. 
Ce serait omettre, par exemple, que :
- le potentiel caritatif n’est pas illimité. Ce que l’on donne aujourd’hui contre les myopathies, on ne le donnera pas demain contre le paludisme (2 millions de morts chaque année, presque tous en Afrique) ;

- presque la moitié des sommes recueillies (qui sont équivalentes au budget de fonctionnement annuel de toute la recherche médicale française) alimentent d’innombrables laboratoires dont elles influencent fortement les orientations. Ainsi, contribuer à la suprématie financière de l’Association française contre les myopathies (l’AFM, qui recueille et redistribue à sa guise les fonds collectés), c’est aussi et surtout empêcher les chercheurs (statutaires pour la plupart, et donc payés par l’État, mais aussi thésards et, surtout, post-doctorants vivant sur des financements de l’AFM, forcément fléchés) de contribuer à lutter contre d’autres pathologies, ou d’ouvrir de nouvelles pistes ;

- il ne suffit pas de disposer des moyens financiers pour guérir toutes les pathologies. Laisser croire à cette toute puissance de la médecine, comme le fait le Téléthon, c’est tromper les malades et leurs familles ;

- après vingt ans de promesses, la thérapie génique, ne semble plus être une stratégie compétente pour guérir la plupart des maladies génétiques ;

- lorsque des sommes aussi importantes sont recueillies, et induisent de telles conséquences, leur usage mériterait d’être décidé par un conseil scientifique et social qui ne soit pas inféodé à l’organisme qui les collecte.

Mais comment aussi ne pas s’interroger sur le contenu magique d’une opération où des gens, allumés par la foi scientifique, courent jusqu’à l’épuisement ou font nager leur chien dans la piscine municipale... pour "vaincre la myopathie" ? Au bout de la technoscience, pointent les oracles et les sacrifices de temps qu’on croyait révolus..."