Promesses diaboliques semblables à celle de l’industrie pharmacochimique vaccinolâtre qui veut faire croire à une population trop naïve que s’injecter du poison savamment élaboré dans ses labos pourraient lui apporter l’espoir vain de ne pas vieillir, vivre jeune en bonne santé quasi éternellement… 😈😈😈
Bref …
C’est quoi en fait cet effet Faust ?
Mais d’abord, revenons-en à notre fameux effet Dunning-Kruger...
(Extrait d'un article que je publiais déjà en 2017) :
• Les pro-vaccins sont victimes d'un biais cognitif, c'est la science qui le dit... (*)
Beaucoup sont convaincus que leur raisonnement est le bon, contrairement aux faits établis !!!
... Perso, en tant "qu'enfant Vie Claire" (donc non vacciné et pourtant en excellente santé :) ), ce n'est pas d'hier que je m'intéresse au sujet mais bien avant même l'invention d'Internet .... Il y a plusieurs décennies déjà .... Et avec bien des dizaines de livres et des centaines de publications (...)
(Quand des pro-vaccins de FB tentent donc leur habituelle technique de dénigrement et autres "considérations" toutes plus arrogantes et méprisantes les unes que les autres, je me dis vraiment qu'ils illustrent en fait à la perfection ce fameux "Effet Dunning/Kruger" qu'eux-mêmes pourtant aiment tant projeter sur les "anti"vaccins (!) ) (*)
Bref....
Ma conviction est donc claire aujourd'hui que la vaccination est un leurre, une croyance quasi religieuse.... Tandis que le "principe vaccinal" lui, n'est rien d'autre qu'un véritable charlatanisme médical ....
(*) Eh oui.... Une conclusion plus partisane que scientifique !!!
[Propos basés sur les inepties assenées dans cet article de pisse-copie décérébré :
http://www.slate.fr/story/164543/effet-dunning-kruger-convictions-anti-vaccins]
Simple :
Le fait « d’accepter » de s’inoculer le vaccin (pas obligatoire malgré il est vrai toutes les pressions sociales et psychologiques exercées pour nous forcer à y consentir (!!!)), c’est comme signer le fameux pacte de Faust avec le diable !…
Et à partir de là, on ne veux plus, on ne peux plus, admettre que l’on a vraiment fait n’importe quoi, et que l’on a remis notre âme au diable et en fait signer notre propre arrêt de mort !
(Quand des pro-vaccins de FB tentent donc leur habituelle technique de dénigrement et autres "considérations" toutes plus arrogantes et méprisantes les unes que les autres, je me dis vraiment qu'ils illustrent en fait à la perfection ce fameux "Effet Dunning/Kruger" qu'eux-mêmes pourtant aiment tant projeter sur les "anti"vaccins (!) ) (*)
Bref....
Ma conviction est donc claire aujourd'hui que la vaccination est un leurre, une croyance quasi religieuse.... Tandis que le "principe vaccinal" lui, n'est rien d'autre qu'un véritable charlatanisme médical ....
Comme le disait le docteur Méric, auteur de "Vaccination, je ne serais plus complice" :
« La vaccination est à la médecine,
ce que l’astrologie est à l’astrophysique...
Il est temps de redevenir scientifique !... »
(*) Eh oui.... Une conclusion plus partisane que scientifique !!!
[Propos basés sur les inepties assenées dans cet article de pisse-copie décérébré :
http://www.slate.fr/story/164543/effet-dunning-kruger-convictions-anti-vaccins]
Et l’effet Faust donc ?
Simple :
Le fait « d’accepter » de s’inoculer le vaccin (pas obligatoire malgré il est vrai toutes les pressions sociales et psychologiques exercées pour nous forcer à y consentir (!!!)), c’est comme signer le fameux pacte de Faust avec le diable !…
Et à partir de là, on ne veux plus, on ne peux plus, admettre que l’on a vraiment fait n’importe quoi, et que l’on a remis notre âme au diable et en fait signer notre propre arrêt de mort !
☠️💀☠️
Total « DÉNI DE RÉALITÉ » !!!
Malgré des effets secondaires dès la première dose, et encore à la seconde et plus encore à la troisième…
Ils sont toujours prêts à aller se faire injecter la quatrième dose, quitte à en mourir carrément en croyant se protéger contre des virus imaginaires médiatiquement contagieux !
C’est l’effet Faust …
Et là en plus, on a parlé que des victimes ; imaginez avec les « tortionnaires » !
(Ceux qui pratiquent l’injection (Sans oublier aussi ceux qui l'ont prôné (!!!))
Le déni de réalité est pire encore avec ceux qui ont inoculé le poison vaccinal une fois, dix fois, cent fois,… des milliers de fois !
À moins d’avoir déjà l’âme d’un tueur en série, le serial piqueur ne peut plus admettre que ce qu’il pratiquait - avec parfois à l’origine une conviction généreuse et humaniste - n’est en réalité qu’un empoisonnement caractérisé de son patient !
Donc un acte criminel !!! 😵
Comment se pardonner ?
Il vaut donc mieux continuer à nier le problème ; continuer à nier la réalité et croire à tout prix à la légende que le vaccin a sauvé la vie de tous les inoculés qui sinon seraient sans eux tous morts dans d’atroces souffrances (!!!)
« L’effet FAUST !… »
Sur la légende Faustienne :
👿 Entre désir de toute puissance et désir tout court, Faust représente l’éternel combat de l’homme entre le Bien et le Mal. Ainsi la caractéristique de ce mythe réside en sa modernité toujours renouvelée. Pour André Dabezies, professeur à l’université Paris I, Faust « exprime combien la liberté humaine est capable de s’engager à fond dans le mal, jusqu’à se lier à lui […] et à s’aliéner tout à fait. C’est même le désir le plus profond de l’homme […] qui l’induit en cette tentation radicale. Faust nous rappelle en somme que tout homme doit choisir, engager sa liberté entre le bien et le mal. »
Cf. https://actualitte.com/article/34288/numerique/l-homme-qui-avait-tente-de-negocier-avec-le-diable-le-mythe-de-faust
👿 Personnage central d’innombrables récits, pièces de théâtre, opéras et films, Faust est sans conteste l’une des figures les plus célèbres de la culture européenne. Si son histoire a adopté diverses variantes, Faust apparaît le plus souvent comme un érudit humaniste versé dans toutes les sciences, mais frustré car les livres n’arrivent pas à rassasier sa soif de connaissances. Pour accéder par ses propres moyens à tous les savoirs et plaisirs du monde, il a recours à la magie et aux forces surnaturelles. Ainsi, une nuit, il trace un cercle magique et invoque Méphistophélès, un ange déchu au service de Lucifer.
Méphistophélès propose un pacte à Faust : il pourra profiter pleinement de la vie pendant un certain nombre d’années – les versions les plus courantes parlent de 24 ans – au terme desquelles il devra donner son âme à Lucifer et passer l’éternité en enfer. Faust accepte et signe le pacte de son propre sang, convaincu que Méphistophélès sera incapable de satisfaire tous ses désirs. Dès lors, conseillé par le Malin, le mage jouit de tous les plaisirs de la vie, connaît l’amour et la beauté, et voyage dans l’espace et le temps. Mais, en fin de compte, il prend conscience de la vanité de ses actes et interroge le démon sur la mort et l’enfer qui l’attendent inévitablement. Seule la version de Goethe raconte l’intervention de Dieu pour le sauver in extremis.
Cf. https://www.nationalgeographic.fr/histoire/faust-lalchimiste-qui-vendit-son-ame-au-diable
👿 Une précision encore : aux premiers temps du pacte, Faust, pourtant excellent théologien, mène une vie épicurienne qui lui fait croire « qu’il n’y eût ni Dieu, ni Enfer, ni Diable, et pensant que l’âme mourait en même temps que le corps » (VB., 84). Cette notation n’est pas dénuée d’importance : elle donne à penser que, lors de la signature du pacte, Faust était dans des dispositions d’esprit matérialistes et athées, ne croyant ni à Dieu, ni à diable – persuadé de sa toute-puissance personnelle, et convaincu alors par devers lui qu’il ne s’engageait à rien en livrant son âme au Diable au-delà de sa mort. N’est-il pas persuadé, en cet instant, avoir lui-même dupé Lucifer, rendant l’engagement sans objet (sans contrepartie) dans le chef du Malin ? On peut sérieusement le penser, à la fois au regard de ses dispositions d’esprit et de la tradition populaire des diables bernés que nous avons déjà évoquée.
Bien entendu, Faust ne tardera pas à déchanter, Méphistophilès lui-même ne lui cachant rien, au cours de leurs longs entretiens démonologiques, de la réalité des châtiments infernaux. Il est à remarquer cependant que, jamais au cours des vingt-quatre années qui suivirent, Faust ne remettra en question la validité juridique du Pacte. N’avait-il pas conclu celui-ci de ces mots : « en toute possession de mon esprit et jugement, de ma pensée et volonté, l’ai fermée [la présente promesse] et attestée de mon sceau ».
Cf. https://books.openedition.org/pusl/21160
(« Faust ou les frontières du savoir - Le pacte faustien ou les avatars de la liberté » - Presses de l’Université Saint-Louis) …
[A noter que cet « Effet Faust » est à ajouter à ce que dénonçait de son côté Idriss Aberkane en parlant non seulement de cette fameuse « Dissonance Cognitive », mais aussi :
LA DISSONANCE CITOYENNE !!!
Et toujours comme pour les « 30 » publications précédentes, les captures d’écran :
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BONUS