mercredi 4 mai 2011

LES PRODUITS LAITIERS SONT-ILS VRAIMENT NOS AMIS POUR LA VIE ?... OÙ PLUTÔT : "POUR LA MALADIE" ???




En ce début d'année 2011, vous connaissez certainement cette campagne de publicité notamment subventionnée par "l'Europe" (!), afin de pousser les citoyens à la surconsommation laitière... Tout est bon pour faire croire au malheureux citoyen lambda que le lait lui est indispensable à sa survie, ou à sa croissance si le citoyen est jeune et donc encore si impressionnable et malléable !!!... 
Saviez-vous que cette campagne "les produits laitiers nos amis pour la vie", existait déjà avec le même genre de délire depuis les années 90 ?
Eh oui...
Et déjà, excédé par toutes ces inepties et désinformations outrancières - nos autorités sont en fait les rois des fake-news et des intox contre lesquelles ils prétendent lutter aujourd'hui, notamment dans l'univers des vaccins encore plus mensonger que celui-ci (!!!) -, j'avais, en mai 1998 (il y a donc exactement 13 ans (enfin, plus de 20 maintenant 😉)), concocté tout un dossier intitulé :
"Les produits laitiers sont-ils vraiment nos amis pour la vie" ?

A noter que la réponse est évidemment : NON !!!
Et que je concluais notamment tout ce dossier de plusieurs dizaines de pages, par cette édifiante et percutante citation du Dr. Michio Kushi :
« Mentalement et psychologiquement, les produits laitiers affectent le cerveau et le système nerveux, contribuant à la lenteur d'esprit, à la passivité,... et à la dépendance ! »


Ce document fut à l'époque abondamment diffusé - par la voie postale, j'avais pas encore internet a l'époque -... et notamment publié dès le début des années 2000 par l'association AGNVS !

En 2003, j'arrivais sur la toile... et ce dossier fit évidemment l'honneur de mon premier forum "CULTURE NET 2013". Ce qui suit est la réédition - même pas complétée - de ce qui avait donc été diffusé à l'époque. La première partie de ce dossier étant le message n°170 de "Culture Net 2013", daté du jeudi 6 Novembre 2003 !!!

Les produits laitiers sont-ils vraiment "nos amis pour la vie" ?
(extrait du grand dossier "L'art de bien s'alimenter" / cf : "Encyclopédie Non-Conformiste du Troisième Millénaire")



. Henri-Charles Geffroy, le génial fondateur en 1946 de "La Vie Claire",témoignait déjà dans "Tu vivras cent ans" (1978) :
« Lorsque j'ai entrepris d'enseigner au public l'art de vivre en bonne santé, je pensais bien que je rencontrerais certaines résistances notamment de la part des trusts intéressés dans la fabrication d'aliments susceptibles de nuire à la santé publique et dont je me trouvais obligé de déconseiller l'emploi... Mais je ne pouvais imaginer que je serais combattu aussi par les dirigeants du pays, qu'un certain nombre de ministères et de services publics multiplieraient les brimades contre moi et que même certains d'entre eux s'ingénieraient à promulguer des décrets destinés à entraver mon action.
Il en fut pourtant ainsi et les procès se multiplièrent contre moi, de sorte que je fus plus d'une fois traîné devant des tribunaux correctionnels, avec des inculpations invraisemblables !...

(...) Or, je ne me suis jamais considéré comme déshonoré pour autant, même lorsque j'étais condamné, estimant en toute conscience que c'étaient les personnages qui m'attaquaient qui étaient de dangereux malfaiteurs et que mon devoir était de leur tenir tête, quels que fussent les inconvénients qui devaient en résulter pour moi. En ceci, je n'ai fait que suivre l'enseignement de Gandhi pour qui j'ai une grande admiration. Dans "Ethical Religion", il écrit : "Nul ne peut être qualifié de vertueux qui n'est pas intrépide pour former aussi bien que pour exprimer ses opinions, et qui n'exécute pas inébranlablement les ordres de sa conscience" (vertueux devant être compris dans le sens étymologique "virtus", "virtutis" : "courage"... Le courage, selon Jean Jaurès : c'est chercher la vérité, et la dire !!!)

Je ne prétends pas me poser en modèle de vertu, ni en guide. Il me faudrait vivre encore bien des années avant d'atteindre le minimum de sagesse auquel il faut accéder pour se permettre de guider les autres... J'essaie seulement de donner au lecteur quelques indications que je crois susceptibles de l'aider à voir clair dans la confusion actuelle. Je voudrais que le mouvement que j'ai créé en fondant "La Vie Claire" sur des bases complètement opposées à celles de la société dans laquelle nous vivons, serve de "démonstration" de ce qu'il est possible de faire lorsqu'on refuse de subir l'influence d'un milieu social qui ne convient pas à la personne humaine normale, et que l'on s'en tient strictement à suivre les ordres de sa conscience (...)

J'ai apporté la preuve que l'honnêteté et le désintéressement payent, et c'est ce qu'il fallait démontrer avant de pouvoir entreprendre une réforme valable de la société. Cette démonstration est faite maintenant.
Voici donc les règles à observer pour échapper plus facilement à l'effet dissolvant de la société actuelle.
Je les donne telles que je les applique moi-même :
 - La première est de toujours agir selon sa conscience, sans se laisser influencer par le milieu social dans lequel on vit.
Ceci est d'autant plus important lorsqu'on a une activité commerciale ou industrielle et que l'on vit - ce qui est le cas de nos jours - dans une société immorale où la possession de la richesse est tout et justifie tout, où les notions du bien et du mal, du juste et de l'injuste ont été abolies en faveur de la seule "réussite matérielle".
Le fait qu'on soit seul à agir ainsi ou presque seul, ne doit nous influencer en aucune manière, dès l'instant où l'on est certain d'être exclusivement guidé par sa propre conscience, à l'exception de toute influence subjective (...)


 Dans la société actuelle, l'éthique de l'Industrie ou du Commerce, basée exclusivement sur la notion de profit, donc de concurrence, n'oblige nullement un producteur d'aliments de se soucier de la santé du consommateur de ses produits.
Un fabricant est donc "en droit" de se considérer comme honnête, dès l'instant où il ne trompe pas ses clients sur le poids ou la contenance indiquées sur l'étiquette (...) Une telle définition du "Bien" et du "Mal", constitue une menace pour les égarés qui agissent plus ou moins consciemment "contre la vie", contre sa multiplication harmonieuse et son essor spirituel, et auxquels l'incertitude de la notion de bien et de mal permettait d'échapper aux reproches de leur conscience ! (...)
Prenons un exemple actuel pour bien préciser cette pensée. Celui d'un industriel qui, dans les aliments de sa fabrication, ajoute un certain nombre "d'additifs" du genre : colorants, gélifiants, exhausteurs de goût, etc., autorisés par la législation. La santé, c'est un autre problème, un problème médical, et si ses clients ne supportent pas la consommation de ses produits chimiques de synthèse particulièrement dangereux pour les cellules cérébrales, puisque ces produits sont autorisés par la législation, il est en droit de considérer qu'ils ne sont pas nocifs !...

Tel est le raisonnement au moyen duquel des chefs d'entreprises honnêtes, bons pères de famille, au casier judiciaire vierge, se donnent bonne conscience ... tout en se rendant co-responsables des 250.000 morts subites par infarctus ou congestion cérébrale, des 125.000 morts par cancer que nous avons à déplorer tous les ans en France (qui sont passés à 138.000 par an en 1993 !), sans parler des malades mentaux, des enfants naissant avec des malformations, etc., ...

N'oublions pas également les responsables des lois, réglementations, décrets, etc., derrière lesquels s'abritent ces industriels, ni leurs collaborateurs, ni la multitude des épargnants, qui sans y penser, financent ces entreprises avec leurs économies, en souscrivant les titres émis par elles, et contribuent ainsi à l'immense extermination de l'espèce humaine à laquelle nous assistons actuellement...
La définition psycho-socio-biologique du bien et du mal met fin à l'équivoque sur laquelle repose la fausse morale de la société actuelle.
Et l'on comprend donc ainsi que l'impitoyable loi de la nature frappe même "les bons citoyens honnêtes" et leur descendance !... »



(...) Henri-Charles Geffroy toujours, ancien gazé de la première guerre mondiale et les poumons atteints (à tel point que les médecins le condamnèrent, en 1935), écrivait aussi en 1940, dans son très instructif ouvrage "Nourris ton corps" (réédité en 1950, puis par "les éditions de La Vie Claire" en 1984 (et plus récemment par les éditions Aquarius en 2005)) :
« Quelques personnes, entendant parler de végétarisme, de naturisme, de fruitarisme,... sentent obscurément qu'il y a un danger dans l'abus de certains aliments : ils essayent, sans préparation ni étude, de s'adonner à l'une de ces méthodes. Ca semble tellement simple : point n'est besoin d'un professeur, pour supprimer de sa table, la viande, le poisson et autres produits animaux, et se nourrir de légumes : l'essai dure généralement 8 à 10 jours, à la fin desquels, littéralement mort de faim, le néophyte renonce, pour toujours, au végétarisme et considérera désormais tous ceux qui lui parleront de ces méthodes en "isme" comme d'aimables farceurs - ou : "de stupides crétins dangereux" (sic) !!! - (...)

Il est nécessaire de comprendre qu'il y a un rapport certain entre la mauvaise alimentation d'un peuple et son destin !...
La dégénérescence est inéluctable pour celui qui ne se nourrit pas sainement ! ...

Des cris d'alarme ont été lancés par des biologistes, à la constatation de l'aggravation de plus en plus rapide - sensible maintenant d'un lustre à l'autre - de la dégénérescence de la race humaine.
Malgré la conspiration du silence qui s'oppose habituellement à la diffusion de tout ce qui peut permettre à l'homme de se libérer du joug de ceux qui exploitent sa misère, ces informations commencent enfin à attirer l'attention du grand public. (...)
On a enfin compris que, devant la carence de gouvernants qui ont bien d'autres soucis en tête que celui de notre bien-être, devant la trahison d'un corps médical officiel qui poursuit ceux qui se permettent de guérir, mais soutient ceux qui attentent à notre santé en dénaturant nos aliments essentiels ou en y ajoutant des produits toxiques (Je tiens à préciser que je ne désigne pas ici l'ensemble du Corps Médical, mais une minorité d'arrivistes qui se sont emparés de ses leviers de commande, désavoués de plus en plus vigoureusement par les hommes de valeur dont le dévouement honore le Corps tout entier, mais qui subissent eux-mêmes les foudres officielles lorsqu'ils se permettent de sacrifier le prestige de l'Ecole à l'intérêt de la santé de leurs malades.), c'est uniquement à l'initiative privée qu'incombe la tâche d'organiser la défense de l'espèce humaine, par tous les moyens légaux dont nous disposons encore. On sait que la première condition est d'être exactement INFORMÉ !...

Mais on sait aussi qu'il est de plus en plus difficile de trouver des sources pures sur des questions où des intérêts formidables - dépassant bien souvent nos frontières - sont en jeu (...)
Mon but est de montrer combien il est facile d'échapper à la triste condition de cobayes qui est maintenant faite aux hommes, par la triple alliance de gouvernants corrompus, d'un corps médical dont les dirigeants cherchent par n'importe quel moyen à retarder l'heure inéluctable où la faillite de sa doctrine apparaîtra aux yeux de tous, et d'une industrie complètement détournée de son rôle, qui n'a d'autre but que d'accumuler des richesses (...) 

Puisse cet ouvrage faire comprendre à quelques-uns que la maladie n'a point ce caractère FATAL que certains se plaisent à lui donner, obligeant les hommes à vivre dans la terreur de fléaux (Cancer, Sida, Grippe,...), qu'ils croient susceptibles à tout instant de fondre sur eux sans la moindre raison.

Puisse-t-il faire pressentir qu'il existe des lois éternelles de cause à effet, qui font des maladies, de simples symptômes visibles d'un mal plus profond qui frappe l'humanité, en réponse à toutes ses erreurs..., qu'il est inutile de suivre des traitements ou d'absorber des médecines dans l'espoir de se soulager, si l'on ne commence pas d'abord par attaquer le mal à la racine, à la cause initiale de toute maladie : la présence, dans l'organisme, de substances nuisibles provenant d'une alimentation non conforme aux lois naturelles, et qui le prive par ailleurs des éléments indispensables (...)
La Santé, comme tout bonheur vrai, ne s'achète pas, mais se gagne par un effort personnel qui, comme la Sagesse, est une longue patience !...»



 C'est ce que l'admirable Dr. Alexis Carrel, aujourd'hui ignoblement calomnié (!) a exprimé lui aussi dans son célèbre ouvrage de 1935 "L'Homme, cet Inconnu" :
« Notre vie est influencée dans une très large mesure par les journaux.
La publicité est faite uniquement dans l'intérêt des producteurs, et jamais des consommateurs.
Par exemple, on a fait croire au public (les boulangers y compris) que le pain blanc est supérieur au brun (*)...
La farine a été blutée de façon de plus en plus complète et privée ainsi de ses principes les plus utiles.
Mais elle se conserve mieux et le pain se fait plus facilement.
Les meuniers et les boulangers gagnent plus d'argent, tandis que les consommateurs mangent sans s'en douter un produit inférieur.
Et dans tous les pays où le pain est la partie principale de l'alimentation, les populations dégénèrent.
Des sommes énormes sont dépensées pour la publicité commerciale.
Aussi, des quantités de produits alimentaires et pharmaceutiques inutiles, et souvent nuisibles, sont-ils devenus une nécessité pour les hommes civilisés... »

(*) (Attention au pain complet que l'on trouve aujourd'hui dans certains commerces, car les traitements chimiques rendent plus dangereux encore les céréales complètes, qui concentrent tous ces poisons. Ne doit être considéré actuellement comme pain complet, que celui issu d'une production agrobiologique, tel celui de "La Vie Claire", où de qualité "Nature et Progrès")


(...) Dans la revue "Soleil Levant" de Juin 1995, Marie Sarah Kretchmann, auteur de "Bien se nourrir pour vivre mieux", nous informait également de ce danger :
« On a la responsabilité de son "Bien-être", comme de ses "Maladies" (...)
Voici une liste de chiffres fournie par l'O.M.S., de 1920 à nos jours : 14 fois plus de maladies cardio-vasculaires, 17 fois plus de maladies rhumatismales, 20 fois plus de cancers, 35 fois plus de cas d'obésité, 56 fois plus de diabète, 59 fois plus de sclérose en plaque, 70 fois plus d'allergies, 89 fois plus de maladie d'Alzeimer...
Plus le Sida. Et la tuberculose, et le choléra, et la diphtérie, et la peste, qui recommencent à sévir...

Lao Tseu nous dit "Un chemin de mille lieux commence par un pas".
Aller au devant de son propre bien-être... commence dans son assiette !...
Il est donc important d'être attentif à son alimentation et à sa façon de vivre !... »


Et que dire encore de ces consternantes révélations, mais malheureusement très pertinentes, de Georges Krassovsky dans "Le Nouvel Humanisme" de Juillet 1994, constatant : « l'effrayante multiplication des naissances d'enfants anormaux, handicapés et débiles !...» (...)

On retrouve là ce qu'écrivait déjà Jean Palaiseul dans son remarquable ouvrage de 1972 "Nos grands-mères savaient" :
« Les éléments de base sont communs à tous. Ils constituent en quelque sorte les règles du jeu de cette course merveilleuse qu'est la vie. Qui les respecte accomplit aisément son parcours ; qui les ignore ou triche avec elles finit toujours par "porter peine", selon une jolie expression locale, par trébucher, tomber et être éliminé, car toutes les fautes se paient un jour, d'une façon ou d'une autre, dans cette impitoyable partie.
Connaître les règles est donc indispensable.
Elles ne sont pas cachées ; elles sont là, sous nos yeux (...)

Les signaux ne manquent pas pour nous contraindre à les apprendre, mais on ne veut pas les voir ... jusqu'au moment où survient la catastrophe (...)
Si nous prenions la peine d'ouvrir les yeux, c'est à dire de réfléchir, il nous apparaîtrait que la plupart des maux dont nous nous plaignons proviennent de ce que nous n'observons pas ces règles du jeu, les lois rigides et justes qui gouvernent l'univers dont l'homme est partie intégrante bien qu'infime (...)

Ce sont là autant de sonnettes d'alarme destinées à nous rappeler à l'ordre et à nous faire toucher du doigt nos errements, un moyen de nous dire clairement : "Attention ! Vous trichez et c'est pourquoi vous êtes pénalisés. Ce n'est pas un hasard que la nature vous devient hostile, que les crises cardiaques, le cancer, les dépressions nerveuses et les maladies chroniques se développent au point que les individus bien portants seront bientôt l'exception. C'est parce qu'on ne viole pas impunément les principes qui sont à la base de la création" !... »



A PROPOS DES PRODUITS LAITIERS

Contrairement aux erreurs - ou mensonges ? - en vigueur (on peut en effet voir, lire et entendre quasi quotidiennement ces scandaleuses contre-vérités : "Le lait et les produits laitiers sont notre principale source de calcium et celui qu'ils apportent est particulièrement bien assimilé par l'organisme ... Les laitages sont essentiels pour la bonne santé ... Le lait est indispensable ...", etc.), les produits laitiers favorisent plutôt diverses pathologies, dont l'ostéoporose, avec tout ses problèmes annexes !...
(Son calcium étant si peu "bioassimilable" par notre organisme qu'il épuise nos propres réserves minérales (utilisées pour la métabolisation), en forçant celui-ci à absorber massivement ce qu'il ne peut absorber qu'avec parcimonie (il se fatigue donc à éliminer tout ça pour éviter de trop "s'encrasser", et accumuler ainsi dangereusement les toxines...)

De toute façon, la décalcification est plus en rapport avec une carence en vitamines D, vitamines A, et autres sels minéraux - pour assurer la métabolisation du calcium (son assimilation et sa fixation) - qu'avec une carence d'apport calcique ; Car ce qui compte en réalité - et qu'ignore beaucoup trop de gens, y compris des médecins -, ce n'est pas ce qui est apporté à l'intestin, mais ce qui peut être intégré à nos cellules.
Par exemple, si l'on compare la "biodisponibilité" du fer entre le lait de femme et le lait de vache, dans le premier cas le fer sera absorbé entre 50 et 80%, mais dans le deuxième cas seulement entre 5 et 10% !...
Et il en est ainsi avec bien d'autres éléments, comme notre fameux calcium !
(La vitamine D étant par ailleurs indispensable pour fixer le calcium, et comme celle ci est fabriquée par notre organisme lors de l'exposition naturelle et non excessive au soleil, on reconnaîtra toute l'importance que revêt l'ensoleillement... et l'alimentation en fruits bien mûrs, gorgés de ce soleil source de vie et d'énergie !)

De plus, les produits laitiers actuels étant pasteurisés ou stérilisés (morts, détruits, ...), bourrés d'antibiotiques, vaccins, résidus de pesticides, et autres toxines - sans même parler des propres toxines fabriquées par l'animal stressé, gavé de nourriture dénaturée ou malsaine provenant de terres polluées, et de moins en moins respecté et aimé par ses exploiteurs -, ils deviennent donc de plus en plus nocifs, cancérigènes et tératogènes !!!... 


Autrefois, une bonne vache laitière produisait 2.500 litres de lait par an, avec un repos de 4 mois et une vie moyenne de 16 à 18 ans.
Actuellement, elle produit 6.000 à 7.000 litres, mais avec une vie moins heureuse, raccourcie à 7 ou 8 ans.
Et les ingénieurs, porte-parole d'une glorieuse "science sans Conscience", nous promettent bientôt la vache à 12.000 litres... et plus encore !

Tandis que j'apprends dans "l'Union" du 22-03-96 que :
De nombreux éleveurs, ne pouvant vendre leur production de lait - je rappelle que 130 litres d'eau, une eau de plus en plus rare et chère, sont gaspillés par jour et par vache -, répandent celui-ci dans les champs ou le tout à l'égout par dizaines de milliers de litres, chaque année !!!...



Et l'on ne peut vraiment accorder aucune confiance aux organismes chargés de veiller à la qualité des produits, plus préoccupés par la bonne rentabilité de ce commerce que par la santé des consommateurs... comme je le lisais encore tout récemment dans "l'Union" du 23-05-96 :
Les traces de dioxine retrouvées dans le lait de plusieurs départements n'ont, d'après le secrétariat d'État à la Santé, "pas de raison d'avoir des répercussions sur la santé des enfants" ! (sic)

Il faut quand même posséder une sacrée dose d'hypocrisie et d'inconscience criminelle pour oser affirmer une telle ineptie !!!...

Bien-sûr qu'à l'état de "traces" la nocivité des poisons ne se fait pas remarquer immédiatement... mais l'absorption répétée de ces "traces" de dioxine, liée à d'autres "traces" encore, constitue un poison très grave, pouvant même entraîner la mort !...

On connait pourtant l'influence majeure d'oligoéléments à l'état de traces infinitésimales... et on prétend pourtant que les traces de dioxine dans le lait n'ont pas de quoi alarmer !...
Avec les scandales de l'Amiante (dont on avait réussi pendant presque un siècle à cacher à la population ses effets que l'on savait déjà dangereux et cancérigènes - MERCI ALLÈGRE !!! -), et de la corruption généralisée de tout notre petit monde politico-financier, c'est le scandale dit "des vaches folles" qui tient actuellement nos médias en haleine...
Comment ne pas s'inquiéter sérieusement de ces actuelles déclarations rassurantes sur l'inocuité de la dioxine dans le lait, alors qu'en Octobre 1990, la "Commission Européenne" elle-même demandait à la Coordination rurale de : "minimiser l'affaire de la vache folle et de pratiquer la désinformation" (sic). 

Le représentant de cette Commission, écrit encore "l'Union" du 1-07-96, aurait même déclaré lors d'un comité vétérinaire qu'il fallait "garder une attitude froide pour ne pas provoquer de réaction défavorable sur le marché".
Et, voilà que la même Commission autorise le commerce des produits alimentaires génétiquement modifiés, prétendant, là encore, qu'il n'y a aucun risque.

Ces individus seraient-ils donc doués de prescience ou de "science infuse" ?
Comment peut-on affirmer que modifier la structure génétique de nos aliments n'amène aucun risque pour la santé, alors que de l'aveu même des généticiens, on ne connaît quasiment rien des mécanismes génétiques ?!
Pratiqueraient-ils là aussi la désinformation, comme avec le sang et la farine contaminés, l'amiante, l'hormone de croissance, les vaccins, ... ?
Mais quelle est donc cette société où des bouts de papiers ou de métal prennent plus de valeur que les vies humaines ??


Dans sa brochure de Février 1996 "La grande secte", le Dr. Alain Scohy nous révélait encore :
« Quelques précautions soigneusement orchestrées par les pouvoirs publics du pays aggravent encore plus la situation : l'allaitement maternel naturel est découragé le plus possible. Des laits artificiels provenant de vaches soigneusement tuberculinisées par des BCG et des tests tuberculiniques vient remplacer le lait humain pour les petits d'hommes. De quoi majorer les troubles digestifs, cutanés, et les infections ORL de toutes natures.
Quand bien même les mamans insistent pour allaiter, elles sont elles-mêmes tellement infestées de miasmes vaccinaux que leur lait est souvent dénaturé, et souvent, leur bébé ne peut pas l'assimiler ! » (...)

Ceci dit, si la consommation de "calcium/produits laitiers" était vraiment efficace contre l'ostéoporose, comment expliquer que cette maladie devienne en France « un véritable problème de santé publique » ("Pèlerin Magazine" du 7-04-95), et « représente un véritable fléau » ("l'Union" du 4-01-96) , alors que, comme je le lis dans "Alimentation, entre plaisir et raison" (distribué par la "Caisse Primaire d'Assurance Maladie de la Marne", 1990) :
« La consommation du lait et fromages a doublé entre 1959 et 1980 », tandis que, dans "l'Union" du 15 Février 1996, je lis encore : « avec 22,8 kg par personne et par an, la France est le premier pays consommateur de fromage dans le monde » ???!!!...

Et s'il est vrai que la France n'est pas la plus grande consommatrice de lait, il est pertinent de savoir que sur 100 grammes, le lait ne contient que 133 mg de calcium, et les fromages : entre 180 mg (Brie) et plus de 1.000 mg (Gruyère, Emmenthal, Parmesan), en passant par le Camembert : 268 mg, ou le Roquefort : 700 mg... (En 1986, selon "l'économie laitière en chiffre", publié en 87 par le "Centre National Interprofessionnel de l'économie laitière" : la France avait consommé 21,1 kg de fromage par personne et par an (sachant que beaucoup pourtant n'en consomment pas un 1/2mg), pour un total de produits laitiers de 132 kg par personne !... (On oublie cependant de préciser que le fromage est un aliment très concentré : 10 litres de lait étant généralement nécessaire pour un seul kg de fromage !)) ...

Le Dr. Comet, il y a déjà quelques années, conseillait à la femme ménopausée de ne pas consommer de laitages à cause du risque d'ostéoporose, car on obtient les effets contraires d'une reminéralisation avec les produits laitiers.
Contrairement à ce qu'on lui prête, le lait de vache - de cette fin de siècle surtout - provoque plutôt des maladies dentaires, osseuses et en particulier l'ostéoporose. Il empêche notamment le fer provenant d'autres aliments d'être absorbé, il est donc source de carences, d'anémies,...
On sait déjà cela depuis des années : le métabolisme du calcium étant aussi régi par le phosphate, si on en introduit trop (comme c'est le cas avec le lait de vache actuel), la production d'hormone de la glande parathyroïde est stimulée, provoquant une fuite de calcium des os !...
Donc, au lieu de minéraliser, le lait de vache va au contraire déminéraliser !...

D'ailleurs, selon les recherches cliniques présentées par le "Diet Infos" de Janvier 1996, c'est le silicium (sous forme d'acide orthosilicique, le seul silicium bioassimilable par notre métabolisme) qui joue un rôle prépondérant dans l'architecture et l'élasticité des tissus conjonctifs et osseux, activant la calcification !...
C'est en 1972 que les chercheurs Carliste, Schwartz et Nielsen avaient -indépendamment l'un de l'autre !!! - démontré le rôle essentiel de cet oligo-élément pour la croissance et le développement du squelette chez les oiseaux et les mammifères...
(La prise de silicium étant améliorée par la consommation de flocons d'avoine, et autres fibres de céréales, qui en contiennent beaucoup... comme la peau des fruits et légumes, l'ail, les salades, etc.)

Dans un autre article du même journal, on lit encore :
« Le lait et les produits laitiers représentent une des familles d'aliments considérée comme base alimentaire pour la plupart des pays occidentaux. On boit du lait parce qu'il est riche en calcium, mais ce n'est qu'un leurre, car l'excès de phosphore contenu dans le lait de vache inhibe la biodisponibilité du calcium et le rend inassimilable !... Et par surcroît : la surcharge en phosphore et en calcium du lait de vache fait fuir le fer !...»
(Le lait de vache étant avantageusement remplacé par le lait maternel pour les plus jeunes, et pour les autres : par le lait de soja, le lait de riz, le lait de noisette et le lait d'amande... y compris pour la préparation des pâtisseries !)



 Contrairement donc aux affirmations dogmatiques de la "Santé médiatique" - largement diffusée par les lobbys de l'industrie laitière et carnée, et reprises même par des journalistes sincères -, on trouve par exemple, au-delà de ces simples évidences statistiques que je viens de citer, ces explications de la part de médecins consciencieux et de chercheurs indépendants de toute entreprise à but lucratif :
- Du Dr. Anne Walter, auteur en 1992 de "le lait de vache, la blancheur trompeuse" :
« L'encrassement tissulaire par le lait de vache commence dès le plus jeune âge par des problèmes inflammatoires touchant la sphère ORL (sinusite, amygdalite, conjonctivite, mastoïdite, méningite) (...) puis des pleurites, laryngites, trachéites, bronchites (...)
L'intolérance à la bêta lacta globuline, qui est une protéine du lait de vache, est très fréquente chez les nourrissons et ceux-ci ont le réflexe intelligent de la refuser. Ils pleurent, crachent, vomissent, ont des diarrhées, mais l'insistance bornée des adultes conduit son organisme dans un état apparent de tolérance sur les anti-gènes du lait de vache. Il ne réagira plus. Et tout sera rentré dans l'ordre penseront alors les adultes, mais il n'en est rien (...)
Ses premières manifestations seront des selles qui s'éclaicissent, des nausées et des vomissements pouvant aller jusqu'à l'étouffement (...)
Les réactions du bébé seront d'autant plus fortes que celui-ci aura de la vitalité.
Les mamans désinformées persévèrent dans cette pratique. Le bébé, par nécessité, finit par s'adapter tant bien que mal à ce régime alimentaire. Petit à petit, les manifestations d'un dysfonctionnement cesseront. Le premier signal d'alarme se tait. On n'aura pas entendu ni supprimé la cause. La mère s'imaginera que tout est rentré dans l'ordre mais il n'en est rien. C'est grave, car le potentiel vital du bébé en sera affaibli, l'amenant à un terrain fragilisé de moindre résistance (...)

A la puberté, l'adolescent, soumis à de nouveaux processus hormonaux, élimine tant bien que mal ses toxines par le biais de sa peau. C'est ce que l'on appelle l'acné juvénile, qui passera progressivement comme les diarrhées du bébé ont progressivement disparu.
La cause demeurant, la situation reste inchangée.
Des signes de carences se manifestent par des déminéralisations (dentaire et osseuse), des troubles du poids, d'attention, de vision s'ajoutant aux fatigues et nervosités (les produits laitiers ne sont pas seuls en cause, tous les produits animaux sont responsables de ces pathologies, notamment, et surtout : la viande !!!).

A l'âge adulte, l'inflammation se propagera vers la sphère digestive avec des gastrites, colites, cystites, sigmoïdites (...)
Cette progression continuera tant qu'un redressement alimentaire ne permettra à cet état de se rétablir...
Toutes ces maladies chaudes inflammatoires dites en "ites" se transformeront petit à petit en maladies froides dites en "oses" : arthérioscléroses, tuberculoses, canceroses,...

Les maladies silencieuses sont les plus dangereuses et vicieuses.
Elles progressent sans crier gare car le potentiel vital de la personne s'est considérablement affaibli par la prise de médicaments allopathiques, en plus de la continuation de la cause provoquant la toxémie.
La phase aigüe du début de la vie et sa force d'élimination (diarrhée, vomissement, fièvre, acné, toux,...) vont peu à peu se transformer en phase silencieuse chronique où la maladie s'installe et s'incruste en formant des kystes, polypes et des indurations.
Les processus des défenses immunitaires seront grandement affaiblis et la pathologie accédera à un stade irréversible.
Cette finalité est d'autant plus triste qu'elle aurait pu être évitée !...»

- Du Dr. Nicolas Le Berre, auteur en 1990 de "Le Lait, une sacrée vacherie" :
« Il est très difficile d'avoir une attitude critique à l'égard du lait, car, par un matraquage publicitaire constant et omniprésent de la puissante industrie laitière (à la télévision, au cinéma, dans les écoles, et dans toutes les revues, médicales y compris), les réactions sont immédiates, souvent définitives : par ce véritable conditionnement et lavage de cerveau organisé, le lait est fallacieusement devenu dans l'esprit de chacun synonyme de calcium... (Comme l'orange est fallacieusement synonyme de vitamine C (pour 100 gr, l'orange nous en apporte 50 mg, donc plus que le pamplemousse et le citron avec 40-45 mg, et presque comme la fraise avec 60 mg (50 mg, c'est également le nombre de vitamine C apporté par 250 gr de pommes de terre ou de tomates), mais bien moins que le cassis avec ses 136 mg,... ou les choux : 78 à 115 mg selon les variétés !... Il est à noter que le persil atteint les 172 mg, le navet (feuilles) : 139 mg, et le cresson : 75 mg !...)

Alors pourquoi essayer de faire réfléchir, de mettre en garde ?
Pourquoi marcher à contre-courant et avoir un éclairage nouveau ?
Désir d'originalité ?
Phobie ?

Non, la démarche est extrêmement concrète, pratique : c'est une démarche de médecin, de clinicien, de quelqu'un qui essaie passionnément d'observer et de comprendre le pourquoi et le comment des multiples troubles fonctionnels et organiques que chaque jour des patients viennent lui confier. (...) 

Après de nombreuses vérifications, il n'est plus possible de garder caché cet aspect de la réalité : il faut le partager, le propager, c'est une question d'honnêteté intellectuelle !... (...)
Après donc une longue phase de patiente observation, une corrélation nette est apparue entre l'alimentation et la pathologie, et plus particulièrement entre la consommation de produits laitiers et de multiples troubles, tels ceux de la sphère cardio-vasculaire (mortalités coronariennes, lésions d'athérome,...) (...), ceux de la sphère digestive (dyspepsie hyposténique, douleurs abdominales de l'enfant, troubles du transit intestinal, hémorroïdes, maux de tête en tous genre, reflux gastro-oesophagiens du bébé,...) (...), ceux de la sphère gynécologique (écoulements muqueux - pertes blanches -, certaines dysménorrhées - douleurs au moment des règles -, pathologie kystique ovarienne et mammaire, mastodynies - seins tendus et douloureux -, fibromes,...) (...), ceux de la "sphère" dermatologique (eczéma, acné, rougeurs irritantes, démangeaisons, corps et callosités cornées des pieds, sueurs excessive,...) (...), ceux de la sphère O.R.L. et pulmonaire (pathologies tumorales, bronchites chroniques, otites, rhinopharyngites, sinusites, bronchorrhées,...) (...), ceux de la rhumatologie (arthroses, tendinites, périarthrites, rigidités corporelles et contractures, polyarthrites,... (dans tout ce secteur rhumatologie, comme celui de dermatologie, des diverses sphères et même des troubles du sommeil, les résultats seront encore meilleurs en supprimant également la consommation des produits animaux, charcuterie et viande en particulier))(...), et enfin les troubles du sommeil et les troubles dits "psychosomatiques", qui sont en fait des désordres neurovégétatifs variés !...
(Et le lait fut aussi très longtemps un vecteur important de maladies infectieuses, telles la brucellose, la tuberculose, la listériose,...) (...)

Estimant depuis longtemps que le conseil diététique fait partie du métier de médecin, et n'étant pas sectaire, j'ai la chance, en plus de mon expérience familiale, de suivre les patients de divers horizons diététiques sans lait ni laitage : crudivore, végétaliens, macrobiotiques, ou simplement des gens qui ont supprimé les produits laitiers.
Et l'expérience montre que lorsque le régime sans lait ni laitage est correctement appliqué, on n'observe pas de manifestations cliniques, et la croissance des enfants et leurs activités physiques sont tout-à-fait normales !
(Attention : il est également peu conseillé de remplacer le lait animal par le lait de soja.
L'abus de cette boisson, très riche (grasse), pouvant engendrer des désagréments semblables au lait de vache !...
D'ailleurs, tout abus est préjudiciable, même s'il ne concerne aucun produit d'origine animal ; Il est bon de savoir que ce genre d'abus, entraînant insidieusement l'encrassement chronique de l'organisme, inhibe complètement l'efficacité toute en finesse des traitements comme l'aromathérapie et les essences florales, l'oligothérapie, l'homéopathie, l'acupuncture, la crénothérapie (cures d'eaux minérales), etc.)(...)

Le point important que je relève dans le livre "Milk intolerance and rejection" (oeuvre collective relatant les journées d'études relatives aux expériences de suppression du lait dans différents groupes d'enfants), c'est que 4 enfants sur 10 sont guéris par la seule éviction du lait de douleurs abdominales récidivantes et chroniques(...)
On s'aperçoit donc que le lait est néfaste à double titre : d'une part, il va dans le sens des facteurs aggravant la cancerogenèse (comme toute protéine d'origine animale !!!).
D'autre part, vu la place qu'il occupe dans la ration, il nuit à la consommation d'aliments (en particulier d'origine végétale) qui eux tendraient à corriger notre alimentation et à nous protéger du cancer.


 De nombreuses études épidémiologiques ont mis en évidence une relation entre alimentation et cancer (...)
L'enquête épidémiologique la plus parlante concerne les femmes japonaises 
Dans la société traditionnelle japonaise (où le lait d'ailleurs ne fait pas partie de la ration) la femme ne fait jamais de cancer du sein.
Une population de femmes émigrées aux États-Unis a permis de constater qu'après deux ou trois générations, le taux du cancer du sein est le même que celui de la population américaine si les femmes ont adopté le mode de vie américain, mais reste nul si elles vivent selon le mode traditionnel japonais !... »

- du Dr. Alain Scohy, auteur de la revue "Des Clefs pour Vivre" (Mars 1996) :
« Bien que les ans (et mes dix enfants), m'aient déjà enseigné une certaine sagesse, je n'arrive toujours pas à supporter l'aveuglement volontaire de mes confrères, leur abaissement, leurs limitations qu'ils s'imposent à eux-mêmes (...)

Tout cela n'est pas gratuit pour moi. Il y a des risques, je suis poursuivi par mes confrères qui refusent d'ouvrir les yeux et de réfléchir. Je viens d'être radié de cet "Ordre" de lâches et de criminels (démontrant par cette action inique qu'ils constituent bel et bien une Association de Malfaiteurs et de Charlatans, à la solde de pouvoirs publics décérébrés et des grands trusts pharmaceutiques). Mais j'ai des enfants, qui ont des copains. Je ne veux pas qu'ils se laissent faire et manipuler sans comprendre, comme tant et tant de mes concitoyens. Alors, malgré toutes les pressions que l'on exercera sur moi, je continuerais sans cesse à informer et crier sur les toits le peu que je sais ! (...) J'ai été sidéré de voir les différences obtenues sur les enfants nourris au biberon en passant du lait concentré sucré à la purée d'amande ou de noisette biologiques... D'un teint habituellement livide, l'enfant se pare de bonnes joues rouges, et voit son tonus et sa vigueur décuplés ! (...) L'allaitement au sein est une merveilleuse aventure, une relation de tendresse et d'union irremplaçable sur le plan psychologique pour la maman et son enfant. Il est bénéfique pour l'enfant, sans le moindre doute, jusqu'à l'âge de 3 ans. Peu importe s'il n'est pas d'une rentabilité nutritive ou immunologique absolue : le bénéfice psychologique surpasse tout le reste... Il est vrai qu'à partir de 6 mois environ, il est bon de compléter l'alimentation au sein par la cuillère... Soupes, légumes sans vert (bannir absolument le persil durant toute la durée de l'allaitement. Le persil étant un excellent aliment, mais considéré par ailleurs comme l'un des meilleurs traitements pour... couper la lactation !), pâtes, semoules, jaune d'oeuf puis oeuf entier très rapidement, fruits frais, mûrs et de saison, écrasés... Ce qui n'empêche nullement de poursuivre nullement de poursuivre une à trois tétée par jour au sein. Il ne faut pas hésiter non plus à complémenter l'apport du sein par un lait végétal, genre purée d'amandes biologiques ou purée de noisette... Éviter absolument les laits de vache, toujours très indigestes pour les tout-petits d'hommes... Il est sidérant de comparer la mine d'un enfant nourri avec du lait de vache, quel qu'il soit, et avec un lait végétal !... (...) Quant aux "grands", le lait est à exclure au delà de l'âge de 3 ans, si ce n'est sous forme prédigérée (yaourts, fromages, sauces blanches,...)... » 

- Du Dr. Bruno Comby, auteur en 1989 de "Nature contre Sida" : « la suppression des produits laitiers doit être totale car il s'agit de phénomènes immunitaires entretenus par de très faibles quantités ; c'est la loi du tout ou rien. Les troubles de santé par l'apport quotidien de lait de vache sont nombreux : les syndromes de mort subite chez le jeune enfant, les maladies cardio-vasculaires, les infections, les inflammations, les allergies, les troubles nerveux mineurs, et la schizophrénie !... »

"Morts subites" aussi provoquées par les vaccinations ; c'est ainsi qu'Alain Scohy - dans la revue déjà citée - nous apprenait que la campagne de vaccinations 1995 contre l'hépatite B, en France, avait déclenché au moins 300 cas de Sclérose en plaques, tandis que la décision japonaise de décaler les premières vaccinations au-delà de l'âge de 2 ans, avait fait chuter les "morts subites du nourrisson" de quasi 100% !!!...
(Tandis que la débile décision française de faire coucher les bébés sur le dos - alors qu'à mon époque les mêmes autorités médicales avaient fortement conseillé à ma mère de coucher les bébés sur le ventre - n'a fait que baisser ces "morts subites" de 58% (si ces chiffres sont vrais !!!)...
Et encore, ce sont là des constations complètement farfelues, la baisse "accidentelle" des morts subites n'ayant pas la moindre corrélation avec le fait d'être couché sur le dos, le ventre ou le côté... D'ailleurs, les américains n'ont réalisé qu'une baisse de 30% de leurs cas de MSN... On est bien loin des "quasi 100%" obtenu grâce à la suppression des vaccins et produits animaux !) (...)

Mais tout cela reste lettre morte pour ces "honnêtes chefs d'entreprises et bons pères de famille" !...
Je lis encore avec consternation, dans "l'Union" du 4-04-1996 (qui ne fait que recopier d'autres sources d'informations, notamment "le Quotidien du Médecin" et "Panorama du Médecin" soumis eux-aussi à la scandaleuse et ignominieuse désinformation du C.I.V.), les pires contre-vérités qui soient dans le domaine de "l'alimentation-santé" !...
Toutes les inepties y passent (c'est à croire qu'l existe en France une organisation vouée à l'extermination progressive de tous ses citoyens !!!???...) : 
"Les spécialistes de la nutrition sont formels (???) : Même après 70 ans, il faut au moins 1.800 kcal par jour (je règlerais son compte ultérieurement à cette incroyable légende des calories, devenue plus tenace encore que le plus tenace des dogmes religieux)(...) manger de la viande au moins une fois par jour pour les protéines et pour le fer (sic), et au moins un produit laitier à chaque repas : c'est la meilleure et la principale source de calcium (1 litre de lait correspond à la dose recommandée chaque jour)" ...
(Ce genre d'affirmation péremptoire perd extraordinairement de sa crédibilité quand l'on y ajoute ces données que je mentionne dans "Longévité et Espérance de vie", concernant le formidable état de santé et de longévité des Hounza et plus particulièrement des Caraï-Guarani, dont le lait et les produits lactés manquent complètement à leur alimentation, la viande n'y ayant aussi qu'un rôle quasi-inexistant.)

Fin décembre 1996, c'était cette fois le célèbre "Pèlerin Magazine" qui vomissait aussi sa dose d'inepties et de contre-vérités, dans un dossier "Spécial Santé" pompeusement intitulé "Bien manger pour vivre mieux" (sic) : « Pour les nutritionnistes, chaque repas doit comporter des produits laitiers (car l'organisme a plus de facilité à tirer parti du calcium quand celui-ci provient du lait que des préparations pharmaceutiques (câ'est évident !)) Ce conseil est valable tant pour les hommes que pour les femmes, à tous les âges de la vie. L'idéal est de consommer au moins cinq portions quotidiennes de laitages. Une portion, ce peut être un quart de litres de lait, un yaourt, 1/8 de camembert ou 40 g de fromage... C'est reconnu au plan international, après l'âge de 50 ans les femmes devraient consommer une ration journalière de 1.200 à 1.500 mg de calcium... Les médecins conseillent de "forcer" sur les fromages à pâte dure qui sont les plus riches en calcium (...) Les français aiment le beurre, et c'est tant mieux...» (sic)

Et encore, comme si cette forte concentration de conneries ne suffisait pas, cet article de "l'Union" du 4-04-96 conclut par un final tout aussi débile : "enfin, il faut boire même sans soif" !... (Là, ce n'est pas au CIV mais à "Vittel" que ces pseudo-travaux scientifiques sont dévoués ; Dans le "Pèlerin Magazine" du 3 Mai 1996, nonobstant les risques "d'usure" du rein, ce lobby de l'eau en bouteilles plastique osait affirmer : "Il ne faut pas tenir compte de la diminution de la sensation de soif : il faut boire car notre corps a toujours grand besoin de se réhydrater" (Ben voyons, c'est évident, notre organisme ne sait pas ce qui est bon pour lui. S'il a besoin de se réhydrater, ce con n'est même pas foutu de nous le faire savoir par la sensation de soif... Heureusement que les industries de l'eau minérale en bouteilles plastique sont là pour le protéger de lui-même) (Mais il est vrai que certains ont l'organisme si déséquilibré qu'il ne sait plus avoir soif !)).

Et je lisais encore dans "l'Union" du 15-10-96, dans leur célèbre rubrique "nutrition" : « Pour un enfant qui a une activité physique modérée, conseillent les pédiatres, on veillera à assurer sur vingt-quatre heures, un apport moyen de 50 ml d'eau par kilo de poids corporel. C'est simple : il suffit de savoir combien pèse votre enfant, et de faire une multiplication ! Par exemple, un enfant qui pèse 30 kg doit boire 1 litre 1/2 par jour » (sic)...
Bref, j'entrerais ultérieurement dans des considérations plus détaillées, mais je citerais tout de même ici les intelligents et sages propos d'une autre "spécialiste de la nutrition" - mais aussi "spécialiste de la santé" -, Monique Egé, dans un petit livre de Février 1996 "Le régime macrobiotique" :
« Boissons : ne boire que lorsque vous avez soif !... »  :oD

Et dans ce remarquable ouvrage de Dextreit "Vivre Sain" on lisait déjà que, si les eaux minérales étaient bienfaisantes - comme tout ce que la nature met à notre disposition pour nous soigner et nous garder en bonne santé -, il ne fallait cependant pas en boire trop, car, prises avec excès (c'est à dire sans soif), elles pouvaient occasionner des troubles, en épuisant prématurément les reins, et tous les organes qui y sont "inter-reliés" ! (...)




A PROPOS DE LAIT ET DE BOISSON

Voici ce que je lisais tout récemment dans le "Pèlerin Magazine" du 5 Juillet 1996 : « En vue de résorber les excédents de lait (sic), passibles d'amende pour les agriculteurs qui dépassent les quotas (Mais ils n'ont qu'à revenir à la production laitière de leurs ancêtres, où les vaches produisaient moins, mais avec une qualité autrement plus saine !... Nous avons réussi ce tour de magie noire : transformer un aliment quasi "divin", en boisson hautement pathogène et tératogène (Pensait-on sérieusement que le lait garderait la même qualité chez des vaches produisant 2.500 litres de lait par an, que chez nos vaches actuelles, éjectant 6.000 à 10.000 litres chaque année ???)), il suffirait de favoriser la consommation de cette excellente boisson (?!) dans les collectivités : hôpitaux, cantines, casernes, et tous les distributeurs.
De plus, l'habitude, prise dès le jeune âge de boire du lait éviterait les hécatombes ... dues à l'alcool » (sic) !!!...

(Que l'on ne se méprenne pas. Je sais bien que le vin n'est pas une boisson recommandable - les vertus que certains lui attribuent étant seulement dûes aux vertus du raisin, et non de l'alcool -, mais le remplacer par du lait sous prétexte que l'alcool provoque des hécatombes, c'est quand même nous prendre pour des abrutis, non ?!?!?!? ...)

Je citerais donc ici le philosophe Plutarque, qui, au début de notre ère, et sans entrer dans les subtilités médicales, faisait déjà cette recommandation dans ses "préceptes de santé" (Cf. "Dialogues de Plutarque", traduit par Ricard en 1844, et réédité par France-Loisirs en 1995) :
Pour ce qui est des liquides, il faut considérer le lait, non comme une boisson, mais comme une substance grasse et très nourrissante ! (...)
Nous n'aurons de même jamais à nous plaindre de préférer de l'eau pure à du vin de Falerne (vins les plus réputés de l'Antiquité) (...) L'eau, soit qu'on la mêle avec le vin, soit qu'on la boive seule, rend l'usage du vin moins nuisible. Accoutumons-nous donc à en boire tous les jours 2 ou 3 verres, pour adoucir la force du vin et familiariser notre estomac à cette boisson, afin que si l'on se trouve contraint d'en user, on le fasse avec moins de répugnance et sans inconvénient (ces "inconvénients" étant les fameuses "crises d'épurations"que vit notre corps chaque fois que nous cessons de l'intoxiquer, soit par le tabac, soit par la viande, soit par l'alcool ou toute autre drogue...)

Souvent, on a recours au vin (*) lorsqu'on aurait le plus besoin d'eau (...) On croit qu'il faut boire du vin, parce que la nature, dit-on, demande quelque adoucissement qui répare un corps épuisé. Mais la nature alors ne demande pas du plaisir (si c'est là ce qu'on entend par adoucissement) : elle veut une situation qui tienne le juste milieu entre le plaisir et la peine. Il faut dans ces occasions retrancher sur la nourriture (jeûne !) et s'abstenir de vin, ou ne le boire que trempé, et, pour ainsi dire, noyé d'eau. Cette liqueur, naturellement vive et ardente, augmente l'agitation des esprits, aigrit les humeurs, irrite les parties déjà affectées et qui auraient besoin de ce léger adoucissement auquel l'eau est bien plus propre !... »

(*) (le recours au vin, c'est encore ce que préconisait le père des vaccinations Louis Pasteur, vivisecteur notoire, prétendant que le vin était la boisson la plus saine au monde, l'eau étant très dangereuse pour la santé, car infestée par ces microbes si effrayants que Pasteur refusait même de serrer la main des gens de crainte d'être contaminé !...) (...)

On lisait encore ces effarantes contre-vérités dans le "Pèlerin Magazine" du 5-05-1995 :
« Le lait, c'est une évidence, est la base essentielle de tous les produits laitiers, beurre, crème, fromages et yaourts... riz au lait, crème brûlée, oeufs au lait, etc. Nous avons raison de le mettre à toutes les sauces ou presque, car il est reconnu pour son indiscutable pouvoir nutritionnel. Il reste l'aliment le plus complet, indispensable à la croissance et à l'entretien permanent de l'organisme, dont le calcium et les vitamines (...) Lait et fromages restent les meilleures sources de calcium pour consolider l'organisme et les os en particulier. Et ils représentent aussi de formidables concentrés de vitamines. L'enfant de 1 à 3 ans doit consommer 50 cl de lait par jour (...) à 4-12 ans, 50 cl de lait sont également recommandés... Faites preuve d'imagination pour assurer cette consommation quotidienne (...) pour les 13-18 ans, les nutritionnistes (LESQUELS ???) recommandent 75 cl de lait par jour. Utilisez les mêmes astuces pour faire accepter cette consommation journalière, en redoublant d'imagination ! (sic) Proposez-leur des fromages aussi variés que possible (...) Pour les adultes, le principal atout du lait et des produits laitiers est leur richesse en calcium (buvez surtout du lait entier, car il est clairement démontré que, contrairement à ce qu'on pourrait croire, le lactose du lait entier est mieux digéré que celui du lait écrémé) (?)(...) Chez les adultes plus âgés, particulièrement les femmes, le lait est un aliment à privilégier ! » (SIC)...

Même le bon Michel Montignac s'est laissé tromper et manipuler, trompant et manipulant à son tour sans en avoir conscience.
Voilà un exemple des nombreuses contre-vérités qui contaminent sa "Méthode Montignac" : « Les végétariennes doivent savoir que le jus de soja, improprement appelé "lait de soja", est assez pauvre en calcium (42 mg/100 g) par rapport au lait de vache (120 mg/100 g), et que les protéines végétales sont plus pauvres en acides aminés que les protéines animales (...) Le fer d'origine végétale est cinq fois moins bien assimilé que le fer d'origine animale » ... (SIC !!!)
On reconnaît bien là l'influence perverse des dizaines de millions de francs pour la propagande fallacieuse menée par le C.I.V.

C'est justement dans un "spécial nutrition" de ce "Panorama du Médecin" (du 23 Mars 1995), que, outre une page entière offerte à la propagande commerciale du Centre d'Information des Viandes, on y trouvait une autre page entière, ressemblant fort à de la propagande commerciale pour les produits laitiers, se prétendant "scientifiquement médicale" (?); Ainsi, après de racoleurs discours tels : « Il faut quitter les légendes pour la réalité scientifique !... Une enquête montre que 80% des médecins doivent répondre à des questions nutritionnelles, et les patients sont de plus en plus avides d'information...
 (DANEEL : "Plus les hommes seront éclairés, plus ils seront libres", disait déjà Voltaire. C'est d'ailleurs pour cette raison que j'ai décidé de rédiger cet ouvrage, et ses multiples articles "explosifs").
... Il est donc devenu indispensable de diffuser des données scientifiques claires et précises, d'autant que dans ce domaine, les mythes et les idées fausses sont nombreux !... (Oh oui, très nombreux !!!!!!!) »

(Cette déclaration d'intention est certes excellente, et je l'approuve évidemment à 100%...
Mais le problème, c'est que cela s'arrête justement à la "déclaration d'intention" - hypocrite et démagogique -, tandis qu'en pratique, dans les actes, on continue à fond dans la désinformation, et, au lieu de diffuser de réelles données scientifiques, on persiste et on s'obstine à inculquer les pires dogmes médicaux, avec sa kyrielle de légendes, de mythes et d'idées fausses !)

Après ces discours racoleurs disais-je donc : on lit encore ces tenaces contre-vérités, qui n'ont vraiment rien à voir avec la "réalité scientifique", mais nous ramènent obstinément dans les légendes (En fait, on retrouve simplement là ce que dénonçait déjà le Dr. Nicolas Le Berre, dans son ouvrage déjà cité : « On assiste à un matraquage publicitaire constant et omniprésent de la puissante industrie laitière ») :
« Interrogés par "Panorama du Médecin", plusieurs spécialistes font le point sur les produits laitiers, qui, par leur bon équilibre phosphocalcique, sont une des meilleures sources de calcium !... (sic) (...) Si deux laitages chaque jour suffisent à couvrir les besoins calciques de l'adulte et de l'enfant, chez l'adolescent et chez la femme enceinte ou allaitante, les apports calciques recommandés ne s'obtiennent qu'À partir de 4 rations lactées quotidiennes (sic) (...) Mieux que les fromages classiques, le yaourt et le fromage blanc contiennent du lactose qui augmente encore l'absorption du calcium (...) A en croire le Dr Jacques Fricker, nutritionniste de l'hôpital Bichat, yaourt et fromage blanc maigre représentent le meilleur rapport calcium/santé du marché (...) En cas de consommation inférieure à deux laitages quotidiens, l'équilibre peut être obtenu par des apports calciques médicaux...
(Ben voyons..., si on en est là dans les inepties, autant conseiller alors un produit véritablement bioassimilable et très bénéfique : tel  "AQUALCIUM" des laboratoires de biologie marine "Aqualab" !...)
Les laitages sont la meilleure source de calcium alimentaire, précise Jacques Fricker, l'absorption digestive étant favorisée par le bon équilibre entre phosphore et calcium (...) L'adolescence est capitale, rappelle encore Jacques Fricker, car c'est l'époque où le jeune adulte construit ses os pour toutes sa vie (sic), prévient l'ostéoporose en mangeant suffisamment de calcium ! (sic)...»

 Bon, s'il est vrai que la consommation de produits laitiers peut s'avérer extrêmement préjudiciable, ne tombons tout de même pas dans l'extrêmisme : en consommer de temps à autre n'est pas nocif. Il faut simplement ne pas en abuser (l'abus est toujours nocif, même si les produits sont sains), et ne pas se méprendre sur ses réelles qualités.
Et c'est pour cela que même le Pr. Henri Joyeux - que l'on ne peut pas accuser de malhonnêteté - commet lui aussi l'erreur de répéter sans réfléchir ce dogme du lait = calcium (cf : "Changer d'alimentation, prévention des cancers", 1989) : "Le lait, aliment de vitalité, de jouvence et de longévité, est le seul aliment riche en calcium" (mais il reconnaît cependant plus loin, le pourcentage parfois très important (20 à 40% des français et 100% des africains) des individus intolérants au lactose). Le lait est un trésor de la nature, un "bienfait des dieux"... à condition évidemment qu'il ne soit pas "manipulé" (!), et qu'il provienne d'animaux non-surmenés, paissant dans de grands pâturages n'ayant jamais reçu de produits chimiques (ce qui est très rare à notre époque hautement scientifique, qui connaît plein de choses sur son système solaire et même au-delà, mais n'a toujours rien compris aux lois de la Terre)

Je pourrais aussi mentionner ce que nous apprenait déjà le grand Dr. Valnet, l'un des pionniers modernes de la science phytothérapique (l'art de guérir par les plantes), dans son remarquable ouvrage de 1964 / 1977, "traitement des maladies par les légumes, les fruits et les céréales" :
« La santé publique bénéficierait certainement dans une large mesure des thérapeutiques naturelles si elles étaient employées plus souvent, de préférence avant que se soient installés, avec une évolution plus ou moins grave de la maladie, les méfaits de trop nombreuses médications intempestives inconsidérément administrées. Beau sujet de réflexion pour la Sécurité sociale. (...)

Nombres d'insecticides entraînent des effets toxiques divers - souvent très graves dans le temps - sur le système nerveux, le sang, comme la plupart des organes : cerveau, foie, cortico-surrénales... aussi bien chez les mammifères que chez les insectes. Malgré leur apparente sélectivité, leur toxicité peut se manifester, non seulement vis-à-vis des parasites incriminés mais aussi, en plus de tous les insectes utiles, vis à vis des oiseaux, des poissons, du gibier, des animaux domestiques ou d'élevage.. et surtout de l'homme ! En ce qui concerne les végétaux : certains insecticides employés contre la mouche de l'olive par exemple, peuvent, en raison de leur solubilité dans les graisses, se retrouver dans l'huile d'olive... évidemment hélas, même lorsqu'elle est vierge et de première pression à froid. Il en est de même pour le lait qui, en raison de sa richesse en matières grasses, est un excellent véhicule pour tous ces pesticides ! (...)

Les risques encourus par la consommation des végétaux ainsi traités sont bien connus des médecins - qui ne se sont guère mobilisés pour dénoncer ces pratiques -, ce qui ne saurait signifier, bien entendu, que les effets seront aisément distingués chez le malade. D'autant qu'à côté de l'intoxication immédiate, il est des risques de toxicité qui se manifestent dans un laps de temps plus étendu. Et aussi des risques de toxicité à long terme, consécutifs à l'ingestion répétée de dose, même minimes, pendant parfois plusieurs années.
Cette dernière forme d'intoxication est la plus dangereuse car, en raison du caractère insidieux, elle n'est généralement pas rapportée à sa cause véritable jusqu'au jour où elle apparaît, le plus souvent irréversible.
De nombreux pesticides ont des propriétés cumulatives, c'est à dire qui les rendent aptes à être retenus plus ou moins longuement dans l'organisme (...) Il en est d'autres qui, par leurs affinités avec certains minéraux, provoquent à la longue diverses formes de maladies, parfois très graves (dont est actuellement issue la pseudo épidémie de sida, de leucémies, etc.) (...)

Enfin, à côté des corps cancérigènes, on a pu distinguer l'existence de facteurs "co-cancérigènes", c'està dire d'éléments qui, dépourvus d'action cancérigène propre, permettent, par leur intervention conjuguée (en même temps ou à la suite), aux agents cancérigènes d'exercer leurs méfaits à des doses qui, en leur absence, seraient restées sans effet ! (...)
Chaque cultivateur devrait penser qu'il ne peut se désintéresser des dangers de telles pratiques, car il peut devenir consommateur en mangeant les produits fournis par les autres, ou fabriqués à partir de ses propres produits. D'ailleurs, non seulement de trop nombreux cultivateurs s'intoxiquent eux-mêmes avec leurs propres pesticides, parfois gravement, mais certains agriculteurs inconscients consomment innocemment leur propre production... et ils en tombent malades ; Une jeune paysanne était, depuis plusieurs mois, vainement soignée par le Dr. C... quand ce praticien, heureusement familiarisé avec tous ces problèmes, imagina que les troubles présentés par sa malade pouvaient fort bien provenir du lait de ses vaches dont elle faisait un abondant usage (ce lait contenait, déjà, comme tous les laits que l'on trouve aujourd'hui - excepté celui des label Bio "Nature et Progrès" -, des doses notables d'antibiotiques et pesticides). Le Dr C... supprima à sa patiente le lait de ses animaux, et la malade guérit. Connaissant les pratiques comparables des fermiers alentour, Mme X... n'a, depuis, plus osé boire une seule goutte de lait ! »


 Il est bon de savoir en tout cas que le calcium dont a besoin notre organisme se trouve non pas dans le lait et les fromages - comme ne cesse de le marteler quantité de médecins, diététiciens et journalistes de diverses revues santé, tous achetés par la puissante industrie carnée et laitière -, mais dans les fruits, légumes, végétaux et céréales, cultivés bien-sûr biologiquement et surtout pas manipulés génétiquement, nouvelle folie moderne (les graines germées - fraîches du jour - sont particulièrement riches en nutriments, notamment l'alfalfa et le sésame pour le calcium), les algues, et aussi les eaux de source et les eaux minérales... (une publicité de Vittel ne clame t'elle pas que l'absorption minimum et obligatoire d'un litre et demi d'eau par jour - même si l'on a pas soif -, couvre 30% des besoins quotidiens en Calcium ?)

 Exemple : pour 100 gr, le persil comprend 203 mg de calcium, l'orge 280 mg, le chou 429 mg, la graine germée de sésame entre 1.000 et 1.500 mg, les algues entre 500 et 1.500 mg ("L'hiziki" contient même 14 fois plus de calcium que le lait et du fer en quantité (algue aussi excellente que la pomme, pour lutter contre les caries dentaires... et même contre les cheveux blancs...)), tandis que le lait, lui, ne comprend que 133 mg de calcium peu assimilable. Ce qui est d'ailleurs heureux, car cette abusive consommation de produits laitiers - l'Institut de "nutrition" Danone ne se privant pas lui-aussi de nous intoxiquer par ses nombreux mensonges - provoquerait, en plus de ses autres surcharges, une overdose d'apport calcique, et donc, un encrassement supplémentaire... (D'ailleurs, il y a une constatation toute simple prouvant que le calcium se trouve dans les végétaux et non dans le lait : la vache, elle, elle fabrique bien ce calcium avec de l'herbe, non ?!)

[Et parmi les fruits riches en calcium, je pourrais citer ce petit passage de la "Bible" de l'alimentation saine - qui mériterait d'être plus connu, lu et relu -, "Vivre sain, traité théorique et pratique" (Raymond Dextreit, 1952) :
« La datte - avec la pomme - se classe comme l'un des tout premiers fruits pour sa teneur en phosphore et en calcium, dans des proportions voisines de celles du corps humain ; Comme elle est particulièrement riche en vitamine A (que l'on cherche trop souvent dans l'ignoble huile de foie de morue, et qui est nécessaire à la fixation du calcium) et également en vitamine B1 (antinévritiques et d'utilisation nutritive), elle constitue un calcifiant et recalcifiant de choix ! Régénérateur de la cellule nerveuse, son phosphore est aussi le remède de toutes les déficiences... »] (...)

Cela étant dit, il y a tout de même d'autres détails - très importants - à ne pas oublier, et que nous rappelait déjà Jean Palaiseul en 1972 dans son superbe ouvrage précédemment cité :
« Si je voulais jouer à bon compte au savant que je ne suis pas, je vous énumérerais pour chaque plante la longue litanie de ses composants chimiques, allant des glucides, lipides, substances azotées, jusqu'aux huiles essentielles (phénol, terpène, etc.) en passant par la kyrielle des sels minéraux : phosphore, potassium, calcium, sodium, etc., sans oublier, bien entendu, les vitamines, qui finiront par être plus nombreuses que les lettres de l'alphabet.
Je ne le ferais pas, d'une part parce que je n'ai nullement la prétention de faire un livre de médecine et que nos grands-mères, avec leur bon sens réaliste, se souciaient moins de connaître les éléments actifs d'une tisane que de savoir au soulagement ou à la guérison de quels troubles elles devaient l'employer ; d'autre part, parce que les travaux d'un chercheur français, C. Louis Kervran (Cf. "Transmutations naturelles, biologiques et naturelles en agronomie" de 1965, et "Transmutations naturelles non radioactives" de 1966), ont montré que les éléments chimiques ne sont pas immuables dans l'organisme, et que la loi de Lavoisier "rien ne se perd, rien ne se crée" devait être révisée, tout au moins en biologie, car on assiste à des transmutations indéniables d'un élément en un autre, ce qui ôte beaucoup d'intérêt aux bilans minutieux dressés par les chimistes à grand renfort d'analyses puisque, par exemple, on constate que... ce ne sont pas les plantes les plus riches en calcium qui entraîneront la meilleure recalcification, mais celles riches en silice comme la prêle !... »


En ce qui concerne les eaux minérales, un autre problème se pose encore :
Le Pr. Henry Schroeder, autorité mondiale en matière de minéraux, déclare que nous ne pouvons assimiler qu'1% au plus des minéraux contenus dans l'eau, et que les minéraux inassimilables encrassent l'organisme (...)
De plus, il faut savoir qu'après captage, l'eau devient de moins en moins pure !

C'est ainsi qu'on pouvait lire dans le petit bulletin d' "Espace Anima" de Mars 1996 :
« Le rôle de l'eau n'est pas d'apporter des nutriments mais de permettre leur transport jusqu'aux cellules et l'évacuation des déchets jusqu'aux organes d'élimination (...)
Une eau trop minéralisée nuit à la solubilisation de la nourriture et rend son assimilation plus difficile (...)
En outre, l'eau faiblement minéralisée est essentielle pour l'assimilation des vitamines, ainsi que la mise en solution et le transport des minéraux et oligoéléments métabolisés (...)

Il faut abattre le mythe de l'assimilation du calcium minéral.
Un décalcifié ne pourra jamais se recalcifier en consommant de l'eau calcaire (...)
Les minéraux doivent être sous forme organique, donc passés par l'intermédiaire du végétal, pour être assimilés correctement.
Il est en effet prouvé que les éléments comme le calcium et le magnésium sont mieux utilisés par l'organisme lorsqu'ils sont sous la forme de complexes organo-métalliques,
comme ils se trouvent dans les végétaux.

Les eaux très minéralisées (Badoit, Vittel, Vichy, Hépar, Contrex,...) sont à proscrire, hormis une utilisation médicale passagère.
Les eaux moyennement minéralisées (Perrier, Evian) sont aussi déconseillées en utilisation régulière (...)
Consommer toute l'année de l'eau stockée en bouteille est particulièrement néfaste (...)
Il faut bien garder à l'esprit que la plus biologique des alimentations sera inefficace et inutile si elle est accompagnée d'une eau calcaire ou polluée !... »


Et là, dans le "Biocontact" de mars 1996 (dans un dossier de Jacques Collin sur "Le pouvoir de l'eau") :
« Nous avons vu qu'une eau lestée de particules amorphes, au lieu de revitaliser, encombre l'organisme d'un travail supplémentaire.
Et là, on est en plein paradoxe avec les eaux minérales en bouteilles, chargées de minéraux inassimilables !...

Nous avons tous besoin de minéraux pour faire fonctionner notre métabolisme.
Mais le corps médical n'a absolument pas perçu une notion pourtant de première importance :
Ces minéraux ne peuvent être assimilés par l'organisme humain !

(Et ne parlons même pas de ces minéraux présents dans les viandes !
Le C.I.V., en plus de ses nombreuses brochures aux données frauduleuses, propageait tout récemment encore dans les grands médias de presse, une campagne de désinformation, prétendant, entre autres contre-vérités, que la viande rouge, "source naturelle de fer (fournit sous une forme très bien assimilable)" (sic), ou encore "source privilégiée de fer" (re-sic), était vitale à notre équilibre alimentaire (?))

Un minéral n'est assimilable que quand il se présente sous la forme bien particulière d'oligo-éléments ou de complexes organo-métalliques, que l'on trouve essentiellement dans les végétaux : fruits, légumes, céréales, algues...

Il y a une différence déterminante entre le minéral brut et le minéral organique :
C'est leur énergie et leur synergie.

Si on observe, par exemple, un ion calcium provenant d'un minéral et un ion calcium provenant d'une plante, chimiquement ils sont absolument identiques, cependant, nous constatons que l'organisme assimile différemment ces deux types de calcium.

Un patient qui souffre d'ostéoporose, par exemple, pourra consommer autant de calcium d'origine minérale qu'il le désire, il ne l'assimilera guère.
Alors que s'il consomme du calcium provenant d'une plante entière, même si elle en contient très peu, il l'assimilera !...

Pourtant, chimiquement c'est la même chose, mais nous découvrons que c'est une question d'énergie.
L'énergie du calcium minéral est faible sinon absente. L'énergie du calcium provenant de la plante est très élevée.
C'est ce qu'on appelle "l'activité électronique de l'élément"... »

(Qu'en est-il donc de ces publicités racoleuses, comme celle de Vittel, ou celle d'Arvie que j'ai justement sous les yeux : "riche en calcium et en magnésium, biodisponibles dans l'eau et réellement assimilés par l'organisme" ?????????????) (...)

Dans son petit ouvrage de 1967 "Où trouver ?", le grand Raymond Dextreit spécifiait bien :
« Il ne suffit pas d'introduire les nutriments dont l'organisme a besoin, encore faut-il que celui-ci soit en mesure de les métaboliser.
Il faut savoir également que, lorsque les fonctions de digestion, de transformation et d'assimilation s'accomplissent correctement, des lipides peuvent être transformés en glucides, ou même en protides, et réciproquement ! (...)
La présence des oligo-éléments, au simple état de traces, est nécessaire à la croissance et à la vie.
Ils se comportent comme des catalyseurs, indispensables pour assurer les processus biologiques normaux (...)

Le miel naturel est réputé pour l'abondance d'oligo-élément qu'il recèle...
Plus intéressante encore est l'eau de mer (le fameux "Plasma Marin Isotonique de Quinton" !), car elle contient les 92 corps simples connus.
Cela a été mis en évidence par le Dr. G.de la Farge, qui a rappelé que son magnésium intervient dans le métabolisme du calcium, et que son potassium est un facteur constituant de l'hémoglobine et indispensable au maintien de l'activité cardiaque !...»

[A propos du magnésium, que l'on peut aussi absorber en consommant céréales complètes et légumes verts, il faut savoir que café, alcool et tabac augmentent son élimination, et donc les risques de décalcification !

Concernant la décalcification, on pouvait également lire dans l'ouvrage de Louis Bériot "Le Grand Défi" :
« Comme le fait remarquer le Pr. Meunier : "Nous avons en France un ministère de la Maladie, pas un ministère de la Santé !..." (...) Pour lutter contre l'ostéoporose, il y a bien-sûr la consommation de calcium, mais l'exercice physique est aussi déterminant (et il faut noter qu'il n'est jamais trop tard trop tard pour commencer) (...)
Mais, prévient encore Pierre Meunier, il y a aussi l'alcool et les cigarettes (encore elles !) :
"Chaque cigarette, dit-il, est une mini-ménopause car elle est l'ennemie de l'oestrogène"...

Les chercheurs suédois ont montré que le squelette de personnes entre 70 et 75 ans qui avaient fumé était réduit de 30%.
Depuis 1990, ils avaient déjà la certitude de la responsabilité du tabac dans la perte osseuse des femmes qui fument depuis leur adolescence.

Et il a aussi les boissons pétillantes et sucrées appelées "sodas".
Une étude de la Harvard University portant sur 5.400 femmes a montré que celles de plus de quarante ans qui avaient l'habitude de boire quotidiennement des sodas, en particulier les cocas, voyaient leurs risques de fractures doubler !... »]


 Dans l'ouvrage de 1941 d'Henri-Charles Geffroy "Nourris ton corps" (réédité et réactualisé en 1950, en 1965, 1970... et 2003 !), on y trouvait aussi les mêmes considérations :
« Depuis l'édition de 1950, d'importantes découvertes sont venues confirmer mes vues exposées alors, sur des phénomènes que j'avais osé appeler "transmutations", en prétendant qu'ils s'opéraient dans la substance des fruits, des légumes et des céréales au cours de leur maturation... ce qui n'avait pas manqué de provoquer l'hilarité méprisante de certains milieux scientifiques.

Or, voici que, dans 5 ouvrages parus entre 1963 et 1969 ; un savant français C. Louis Kervran, est venu montrer que des quantités de transmutations d'éléments se produisent au cours de phénomènes biologiques, que ces réactions sub-atomiques - qui ne sont pas de la chimie - ne sont pas davantage de la physique nucléaire, et qu'il y a, en conséquence, une "propriété nouvelle" de la matière, non encore aperçue auparavant !

C'est ainsi que, dans certaines conditions : du magnésium peut se former, dans l'organisme, à partir de sodium ou de calcium ; du fer, à partir de manganèse ; et encore : du calcium, à partir de silicium, etc. »


Toujours dans un petit ouvrage de Raymond Dextreit, "Les maladies de carences" (1965), on pouvait encore y lire :
« Une des principales carences reconnues étant celle de calcium, le terme "déminéralisation" est souvent considéré comme synonyme de "décalcification". Cependant, des déficits peuvent exister pour bien d'autres corps minéraux : le squelette peut manquer de phosphore en même temps que de calcium, les cellules nerveuses de soufre, le muscle cardiaque de potassium, le poumon de magnésium, les globules sanguins de fer, etc.

On connaît mieux maintenant le rôle si important de la silice dont le déficit est toujours retrouvé aussi bien dans les tissus lésés des artères que dans ceux des intestins, des poumons ou du système osseux (...)
S'il est possible que la déminéralisation résulte de "fuite" (certains se plaignent de "perdre leurs phosphates en urinant"), il ne faut pas laisser dans l'ombre bien d'autres phénomènes aboutissant au même résultat. Ainsi, ce sont parfois les transformations qui se font mal, et l'organisme peut ainsi éliminer plus de fer ou de calcium qu'il n'en reçoit ; parfois aussi, un corps donne naissance à un autre (l'organisme est capable de produire lui-même les nutriments dont il a besoin ! Mais il faut bien-sûr que l'organisme soit sain et non pollué par tous ces nocifs vaccins et médicaments allopathiques, issus de la recherche vivisectionniste... )

Depuis Lakowsky jusqu'à Kervran, bien des biologistes et physiciens ont démontré que les corps vivants, autant végétaux qu'animaux ou humains, peuvent assurer des opérations de synthèse, permettant de "fabriquer" les éléments vitaux, en partant de corps voisins différents.
On sait que les animaux qui excrètent le plus d'azote sont les herbivores, c'est à dire ceux qui en absorbent le moins.

Après incubation, le calcaire augmente à l'intérieur de l'oeuf, sans apport extérieur.
Après germination, des graines contiennent plus de soufre, ou autres sels minéraux, qu'avant, sans que le liquide nutritif renferme ces corps ! (...)

Nous avions déjà fait remarquer que le blé germé est plus riche en calcium, phosphore et magnésium que ce même blé avant germination.
Dans un sol carencé, les "mauvaises" herbes contiennent souvent une partie de ce qui manque au terrain sur lequel elles croissent.

Les chercheurs précédemment évoqués se sont également aperçus qu'au cours de ces "transmutations biologiques", le sodium peut devenir potassium, calcium ou magnésium, et le potassium se transmuter en calcium, le soufre pouvant se transformer en phosphore, et le phosphore en soufre, de même que le manganèse en fer !...


Une remarque très importante - capitale, même - est que ces transformations ne s'accomplissent qu'en présence d'un catalyseur ou sous l'influence de bactéries,... et seulement à la lumière solaire)
Combien alors peuvent être reconnus comme illusoires les simples "additifs" : absorption de calcium, de magnésium, de fluor, de soufre, etc.

Par contre, si l'on se dirige vers les végétaux et sous-produits animaux (obtenus bien-sûr selon les lois de la nature et le respect de l'animal), renfermant une grande abondance des corps minéraux recherchés, un résultat favorable peut-être plus sérieusement envisagé, pour autant que ces corps sont associés à d'autres pouvant favoriser leur utilisation par l'organisme...
Cependant, même en s'adressant à des "appoints" naturellement complémentés, des difficultés restent souvent à résoudre, par suite des défaillances des organes transformateurs. Un organisme est toujours différent d'un autre, et rien ne peut être prévu à l'avance quant à ses réactions.
Alors, parallèlement à la réforme de l'alimentation, avec insistance sur certains aliments considérés comme particulièrement favorables, doit-on accorder la plus grande importance à la remise en ordre des fonctions, à leur normalisation, avec l'aide des éléments naturels : plantes, air, eau, argile (terre), lumière (feu) (...)

Une alimentation désorganisée - donc désorganisante - est souvent en tout premier lieu à l'origine des perturbations métaboliques et donc des maladies !
Certains pensent parfois pouvoir y remédier en recourant à des substances complémentaires censées remplacer les éléments déficitaires de l'alimentation. Cela ne fait généralement qu'aggraver la situation au lieu d'y remédier.
Ainsi, très nombreux sont les malades ayant pris du calcium médicamenteux à un quelconque moment de leur vie.

D'autre part, le blutage excessif des céréales leur fait perdre la majeure partie de la silice qu'elles renferment.
Or, si l'on analyse un "fragment" de poumon d'un tuberculeux, une "parcelle" d'intestin de colitique, un "éclat" de tissu osseux d'un ostéitique, une "coupe" d'artère d'un athéromateux, on y retrouve également un excès de calcium et une absence presque totale de silice.
Si l'on pouvait établir des rapports de qualité, on s'apercevrait sans doute que ce calcium en excès n'a rien de commun avec celui qui, dans les aliments naturels, est associé à tant d'autres substances favorisant son utilisation normale par l'organisme.

Et si, par ailleurs, on sait que la surface interne de nos poumons, de nos intestins, de nos vaisseaux, et la surface externe de nos os sont revêtus d'une couche protectrice de silice, laquelle est maintenant considérée comme une substance protectrice de premier ordre, on envisage mieux combien est désastreuse cette mode de vouloir à tout prix du pain blanc, du riz blanc, de la farine blanche (la blancheur étant fallacieusement associé à la notion de pureté et propreté), également de trop peler les végétaux (fruits et légumes).

Non seulement cela n'arrangerait pas les choses d'absorber de la silice isolée (car celle-ci, à l'égal du calcium se conduirait en parasite, en produit encrassant, mais, d'autre part, l'introduction anormale de tels produits pourrait provoquer des carences dans des domaines voisins :
Un excès de Calcium peut engendrer un déficit en Magnésium ; l'excès de Sodium, un déficit en Potassium ; l'excès de Potassium, un déficit en Sodium, et ainsi de suite !...

Si les aliments dénaturés comme les céréales et le sucre raffinés conduisent aux maladies, des aliments peuvent aussi être précurseurs de carences ; Quand l'organisme doit mobiliser toutes ses réserves en Soufre pour neutraliser les déchets indolés de la viande, il ne retrouve plus ce Soufre pour aider au métabolisme du Calcium !...

Ce n'est pas là le seul méfait de la viande contre laquelle l'organisme doit se défendre avec une hyper-leucocytose digestive (...)
Il n'est certainement pas un élément plus important du dispositif de protection qu'une flore bactérienne complète et équilibrée.
Or, là encore, les aliments carnés se révèlent perturbateurs, et la flore intestinale d'un carnivore est bien plus restreinte que celle d'un végétarien.
Si les enfants végétariens de naissance présentent une résistance telle qu'elle les met à l'abri de toute grave maladie, c'est à la composition, à la variété et à la qualité de leur flore bactérienne qu'ils le doivent !... »


Tandis que, une bonne trentaine d'années plus tard, on lisait encore (dans le "Diet Infos" n°60 de Mai 1996) :
« En dehors des problèmes de toxicité existent des risques de déséquilibre en cas d'excès d'un nutriment, surtout en ce qui concerne les minéraux ! Exemple : Trop de cuivre fait éliminer le zinc, trop de molybdène crée un déficit en soufre,... trop de méthonine inhibe le molybdène et favorise le cuivre, l'assimilation du fer ne peut pas se faire en cas de carence en vitamines B9 et B12, C et en cuivre, cobalt et manganèse, etc. »


Je pourrais aussi y ajouter ces quelques données trouvées dans la sympathique revue de l'Institut Yves Ponroy, "Parlons Santé", de Mai-Juin 1996 :
« La carence en fer prédispose aux infections, en affaiblissant l'organisme, fragilisant le "terrain" et diminuant les défenses immunitaires (...)
Chez l'enfant carencé, on note une fatigabilité, une diminution de la capacité physique à l'effort, une diminution des performances intellectuelles avec apathie et difficultés à se concentrer. À l'inverse, un excès de fer (l'excès étant surtout causé par l'apport de fer non naturel !) désorganise les mécanismes d'autodéfense et peut "réveiller" des infections latentes comme la tuberculose.
C'est ainsi que certaines campagnes de l'O.M.S. en Afrique, consistant à apporter des doses massives de fer aux enfants anémiques, ont entraîné des épidémies foudroyantes (...)

La carence peut commencer dès la naissance si la mère est elle-même carencée.
Mais l'allaitement artificiel aggrave le déficit car le fer du lait de vache n'est absorbé qu'à hauteur de 10% (entre 5 et 10) au lieu de 50% (50 à 80) pour le lait de la mère !...
L'alimentation moderne à base de produits raffinés, ayant perdu leurs sels minéraux, est aussi à la base de cette carence...
Le pain blanc en particulier est probablement un des grands responsables !... » (...) 




A SUIVRE...






 

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