Coup de loupe sur un aspect particulier de nos "consignes anti-Corona" (extrait de l'un de mes articles publiés sur Facebook concernant "Le BTP et le déconfinement" !)
[Je l'intégrerais plus tard à mon blog, pour l'heure, les facebookiens peuvent le retrouver ici :
• Respecter les consignes .... notamment de distanciation d'un mètre qu'ils nous disent ; chose déjà pas simple sur un chantier où l'on est souvent appelé à travailler en binôme .... Et parfois à 3 ou 4, 5 ou 6 même !
(Et sur les gros chantiers du BTP se trouvent même des dizaines d'ouvriers qui se côtoient dans plusieurs corps de métiers (!))
Enfin bref, voilà pour la consigne de sécurité afin soit disant de ne pas propager le virus :
- Selon une étude américaine, le nouveau coronavirus pourrait survivre jusqu'à trois jours sur des surfaces en acier ou en plastique comme des bouteilles d'eau !...
(Le virus survivrait moins longtemps sur d’autres surfaces : pas plus de quatre heures sur le cuivre, métal majoritaire dans la composition de nos pièces de monnaie...)
Les virologues qui ont mené ces essais ont pulvérisé des échantillons du SARS-CoV-2 sur différents types de surfaces inertes et ont ainsi pu établir que ce nouveau coronavirus pourrait survivre jusqu’à trois jours sur du plastique et sur de l’acier, et jusqu’à vingt-quatre heures sur des matières de type carton et papier !
{De quoi se faire une idée de survie du Covid-19 si éventuellement il était en contact avec les paquets de pâtes, de papier toilette et autres boîtes de conserve dont les Français constituent des stocks ces derniers jours.
Mais aussi chez soi, sur les poignées de porte, les plans de travail, les robinets, etc. « Ces surfaces, ce sont les "fomites" : tous les objets potentiellement porteurs de germes et qui peuvent poser des problèmes en matière d’hygiène dans la gestion du coronavirus » !
Pour les chantiers on peut évoquer aussi les outils ou les matériaux - les tuiles, les ardoises, le zinc, le cuivre, le bois,... -, mais aussi les barreaux de nos échelles ou les barres de nos échafaudages (!) 😷}
Quant au mode de transmission sous forme de gouttelettes, il peut s’agir de postillons provenant d’une personne infectée...
Mais également d’un contact avec des surfaces ou objets contaminés ! (...)
Selon les résultats, le nouveau coronavirus devrait, comme ses semblables, persister en moyenne entre 4 et 5 jours.
Par ailleurs, la résistance diminue de manière importante à des températures dépassant les 30 °C.
Au contraire, des températures plus basses favorisent sa persistance qui peut aller jusqu’à neuf jours.
Il s’agit toutefois d’une persistance jugée faible par rapport à d’autres virus qui peuvent tenir plus de deux mois...
Le virus peut survivre sur des objets, les surfaces inertes comme les poignées de porte, les téléphones ou les boutons d'ascenseurs. D'après les chercheurs, le nouveau coronavirus pourrait survivre quelques heures sur les objets dans un environnement sec, c'est pourquoi la Banque centrale de Chine a décidé de désinfecter en masses ses billets. Toutefois, la principale source de transmission reste l'éternuement ou les postillons projetés lors d'une toux. ....
Les mains sont en contact avec de nombreuses surfaces qui peuvent être contaminées par le virus. Si vous vous touchez les yeux, le nez ou la bouche, le virus peut pénétrer dans votre organisme et vous pouvez tomber malade. ...
ATTENTION !!!
=> Les microbes éjectés lors d'un éternuement ou une quinte de toux sont projetés bien plus loin que ce que l'on pensait jusqu'à présent, comme le démontre une étude américaine récente !...
- "Atchoum!".
En éternuant ou en toussant, on expulse des bactéries jusqu'à six mètres de distance !!!
Soit trois fois plus loin que ce que l'on pensait.
Telle est la conclusion d'une étude réalisée par des chercheurs de l'institut technologique du Massachusetts (MIT)...
===> Revoir la théorie !!!
C’est l’observation directe d’épisodes d’éternuement et de toux, via l’imagerie à grande vitesse, qui révèle un ensemble de nuages gazeux invisibles à l’œil nu, porteurs, sur de grandes distances, de gouttelettes pathogènes. Cet environnement gazeux favorise la formation de microgouttelettes qui, plus légères, vont voyager ainsi jusqu’à 200 fois plus loin que les gouttelettes agglomérées au départ.
Car ces mini-gouttelettes restent longtemps en suspension dans l'air, emportées par différents flux, comme ceux des systèmes de ventilation par exemple.
Une observation qui contredit les précédentes théories qui laissaient entendre que l’énergie des gouttelettes de mucus les plus importantes ne leur permettait pas dépasser un rayon d'un mètre. (!)
En pratique, des gouttelettes de 100 µm (micromètres) de diamètre vont pouvoir voyager cinq fois plus loin, et des gouttelettes de 10 µm de diamètre jusqu’à 200 fois plus loin.
Concrètement, certaines de ces microparticules
pourraient voyager sur plusieurs dizaines de mètres.
Et élargir ainsi considérablement la zone de contagion
à partir d’une seule personne infectée...
tout particulièrement lorsque cette personne se situe dans une foule !
Il faut, en outre, tenir compte du pouvoir démultiplicateur des mécanismes de ventilation et de conditionnement de l’air. ...
Les scientifiques ont mesuré le diamètre et la vitesse des gouttes, et découvert que celles-ci peuvent parcourir une distance de plus de 8 m !
Ou rester en suspension dans l'air pendant plus de 10 minutes !!!
Bien plus loin et bien plus longtemps, donc, que ne le suggéraient les théories empiriques !...
Il apparaît que les gouttelettes se forment en cascade complexe, majoritairement hors du système respiratoire, après expulsion du fluide par la bouche.
Ces travaux permettent de mieux comprendre la propagation de certaines maladies ... Et conclure aussitôt :
Avec des gouttelettes capables de faire des bonds de 8 m, même dans une pièce de grandes dimensions, personne n'est à l'abri !!!
(Et si l'on travaille dans le vent il se passe quoi ?)
Enfin bref, quand on constate la réalité de diffusion du virus, c'est donc une pure folie de prétendre "lutter contre les micro-organismes" par l'extérieur, au lieu de renforcer d'abord, par l'intérieur, son propre système immunitaire pour que ce soit lui qui puisse lutter efficacement contre ces milliards de bactéries microbes et virus en tout genre qui nous environnent depuis la nuit des temps !
Et pour le renforcer ainsi, il ne faut certainement pas compter sur les vaccins qui au contraire l'affaiblissent voire même le détruisent carrément !
Mais sur une véritable "Alimentation saine" - basée sur des aliments naturels, bio et végétale -, et une vie saine évitant au maximum toutes les pollutions :
- Pesticides, médicaments chimiques, etc.
On sait très bien par ailleurs que les vaccinations de masse, elles,
provoquent le contraire de ce qu'elles sont censées faire,
et engendrent en fait les conditions idéales pour la propagation maximale
de tout ces micro-organismes pathogènes opportunistes :
virus, rétrovirus, coronavirus, bactéries, ...
Et si on rajoute à ça, le tabac, la bidoche, la mal bouffe générale, le cannabis, les boissons dites "énergétiques" (redbull par exemple), et toutes les inepties de la médecine allopathique....
Ben, on ne peut que comprendre là que le covid-19 et ses futurs copains vont s'en donner à cœur-joie ! 😢😢😢
BONUS
"Oui, il est possible d'attraper le Covid-19 en touchant une surface ou un objet où se trouve le virus puis en portant sa main à sa bouche, à son nez, à ses yeux !", confirme le Centers For Disease Control and Prevention, l'Agence de santé publique des Etats-Unis...
Une étude* menée par des chercheurs américains et publiée le 17 mars 2020 dans The New England Journal Of Medicine a révélé combien de temps le coronavirus pouvait survivre dans l'air et sur différentes surfaces.
Résultats :
=> Le coronavirus survit jusqu'à 3 heures à l'air libre !...
[Pour déterminer la durée de vie du coronavirus à l'air libre, les chercheurs ont utilisé un nébuliseur, un appareil qui permet de transformer du liquide (ici des gouttelettes contenant des particules virales de Covid-19) en particules très fines.
Ces particules ont ensuite été pulvérisées à l'aide d'un aérosol dans l'air ambiant et sur différentes supports, dans le but d'imiter les projections de salive d'une personne contaminée qui tousse ou qui éternue.
Au terme de leur expérience, les chercheurs ont retrouvé des fines particules viables de coronavirus en suspension dans l'air 3 heures après les avoir pulvérisées dans l'air.
La charge virale avait toutefois légèrement baissé (elle est passée de 103,5 à 102,7 TCID50 par litre d'air à la fin de l'expérience). Autrement dit, le coronavirus pourrait rester viable et infectieux à l'air libre jusqu'à 3 heures...]
=> Les résultats de l'étude américaine ont également montré que le virus du Covid-19 pouvait rester viable et infectieux de plusieurs heures à plusieurs jours sur différentes surfaces :
- Jusqu'à 72 heures, soit 3 jours, sur du plastique !
- Jusqu'à 48 heures, soit 2 jours sur de l'acier inoxydable !
- Jusqu'à 24 heures, soit 1 jour sur du carton !
- Jusqu'à 4 heures sur du cuivre !
(Le plastique et l'acier sont les surfaces où la viabilité du virus est la plus longue...)
* Etude : "Aerosol and Surface Stability of SARS-CoV-2 as Compared with SARS-CoV-1", New England Journal of Medicine, Universités de Californie, LA, Princetown, 17 mars 2020.
[A noter aussi qu'une personne infectée peut contaminer les aliments en les préparant ou en les manipulant avec des mains souillées, ou en les exposant à des gouttelettes infectieuses lors de toux et d'éternuements !!!
Rincez vos fruits et légumes à l'eau.
Ce sont d'ailleurs des règles d'hygiène de base que l'on devrait appliquer même en dehors d'une épidémie...]
• .... Plusieurs études ont été réalisées sur le sujet, mais elles n'arrivent pas toutes aux mêmes conclusions.
- Selon une étude scientifique américaine, publiée le 10 mars sur le site de prépublication scientifique medRxiv, le nouveau coronavirus pourrait survivre quatre heures sur le cuivre, 24 heures sur le carton, deux à trois jours sur le fer et le plastique...
- Une étude anglaise parue en février dans la revue médicale The Journal of Hospital infection indique des chiffres plus inquiétants :
=> "La durée de survie sur des surfaces inertes comme le métal, le verre ou le plastique peut aller jusqu’à neuf jours !..."
Le virus pourrait survivre cinq jours sur le métal, quatre sur le bois, jusqu’à cinq jours sur le papier et neuf sur le plastique.
(Toutefois, ces résultats dépendent de la température ambiante et de l’humidité.) ...
• La stabilité du virus SARS-CoV-2 (responsable de la maladie Covid-19) dépend du type de surface considéré, si l’on en croit les deux principales études scientifiques publiées à ce jour sur la question.
- La première, parue le 6 février dans le Journal of Hospital Infection, a testé le virus sur huit surfaces différentes et l’a comparé à d’autres coronavirus (comme ceux responsables du SRAS de 2003 ou du MERS de 2012).
Les résultats montrent que le virus peut persister sur ces surfaces entre deux heures et six jours (moins longtemps si la température ambiante approche des 30 °C).
Les chercheurs ont ainsi retrouvé des souches viables du virus jusqu’à cinq jours après pulvérisation sur l’acier, le verre ou la céramique, sans avoir pu mesurer quelle quantité a été retrouvée sur chacune de ces surfaces.
Des résultats assez variables (de deux à six jours) ont été obtenus pour le plastique, tandis que sur le latex et l’aluminium, quelques heures suffisent à tuer toutes les souches.
Une seconde étude, publiée dans le New England Journal of Medicine le 17 mars, a testé la résistance du virus sur d’autres matériaux, comme le carton et le cuivre, ou dans l’air, en le pulvérisant par aérosol.
Les résultats montrent des durées de persistance inférieures à celles publiées par les précédents travaux, de trois heures (aérosols) à trois jours maximum (acier, plastique), en passant par des valeurs intermédiaires (vingt-quatre heures pour le carton), pour une même quantité de virus pulvérisée.
Mais les deux études s’accordent sur un point : le plastique et l’acier sont les surfaces où la stabilité du virus a été la plus longue !
Une troisième publication, émanant des Centers for Disease Control and Prevention américains, a récemment indiqué que le matériel génétique du virus avait été détecté dans les cabines infectées de passagers du navire Diamond-Princess, où 3 700 personnes ont été mises en quarantaine en février, jusqu’à dix-sept jours après que ceux-ci les ont quittées !...
Mais il n’est pas possible d’en déduire qu’il y ait eu transmission à partir de ces surfaces contaminées, précisent les auteurs de l’étude, qui invitent à des investigations supplémentaires.
{Il faut préciser qu’il est impropre de parler de « survie » du virus, étant donné que le virus n’est pas réellement « vivant ».
« On parle plutôt de maintien de l’infectiosité, combien de temps il reste infectieux », précise Astrid Vabret, chef du service de virologie du CHU de Caen et spécialiste des coronavirus.}
Sources :