vendredi 21 janvier 2022

La récolte des cerises est abondante cette année 😏

Eh oui, récolte très abondante cette année 😏
(Évidemment, suite du précédent article :


"La terrible maladie de Koch"

Un petit extrait de l'un de mes vieux articles (*) :
• Juste avant l'ère de Pasteur, Rudolf Virchow, dans son livre d'avant garde sur la Pathologie cellulaire, soutint que la santé des cellules dépendait de leur composition chimique, et que cette composition chimique dépendait à son tour de la nature de la nourriture absorbée par l'individu :
- "Si je pouvais revivre ma vie, je la consacrerais à prouver que les germes recherchent leur habitat naturel - le tissu malade - sans être eux-mêmes la cause de la maladie du tissu !...
Par exemple, les moustiques recherchent l'eau stagnante, mais ils ne sont pas la cause qu'une mare d'eau est stagnante !
" ...

(De même, ce n'est pas parce que l'on rencontre souvent des policiers et gendarmes près des accidents de la route que ceux-ci sont responsables des accidents !

Franchement, que penseriez-vous d'une campagne de prévention visant non pas à éviter ces accidents .... Mais à éradiquer les gendarmes et policiers, rendus responsables de ces accidents ???????)

"En tant que médecin pratiquant depuis plus de cinquante ans - écrivait le Docteur Bieler en 1965 -, je suis arrivé à des conclusions fondamentales en ce qui concerne la cause et le traitement de la maladie :
- Ce ne sont pas les germes qui sont la cause primaire de la maladie !...

Des années d'observation et d'expérimentation m'ont appris que les germes ne provoquent pas la maladie. Les germes sont de simples accompagnateurs, toujours présents, et capables de se multiplier dans un organisme malade parce que son fonctionnement est déréglé !..."

[De grands thérapeutes comme par exemple l’Américaine Ann Wigmore, disent que : 
« Les bactéries, virus et parasites ne sont pas des choses qui “apparaissent” de temps en temps, mais sont, en fait, partout dans l’organisme. Ils ne devraient pas être considérés comme des “méchants” parce qu’ils sont des éléments naturels des processus de la Nature. Ils sont toujours présents mais ne deviennent actifs que lorsqu’il y a pourriture et mort. En fait, c’est de la pourriture et de la mort (des toxines) qu’ils se nourrissent. Quand quelque chose n’est pas sain et n’est pas en accord avec l’équilibre naturel de l’organisme, il est “composté” par des équipes de nettoyage composées de virus, de bactéries et de parasites »]

Dans les années 1890, alors que le Prix Nobel Robert Koch prétendait vacciner contre la tuberculose et le choléra, et qu’il rentrait triomphal des Indes, accueilli en héros et recevant de l’empereur lui-même “l’Ordre de la Couronne avec l’Etoile”... l’attendait à Munich, un trouble-fête en la personne du vieux professeur d’hygiène Max Pettenkofer, qui, en organisant des services sanitaires efficaces avait fait de Munich la ville la plus saine d’Europe, et était convaincu, comme Béchamp, et à l’opposé de Koch et de Pasteur (cependant revenu sur sa position à la fin de sa vie, reconnaissant l’influence déterminante du terrain, et non du microbe), que le responsable des infections n’était pas la virulence du germe mais surtout un terrain favorable : «Votre bacille ne peut rien, mon cher Koch, ce qui compte, c’est l’organisme. Si votre théorie était exacte, je serais un homme mort dans les 24 heures. » Il arracha des mains de Koch une éprouvette remplie d’une culture pure de germes du choléra, suffisante pour infecter un régiment et, devant ses collègues horrifiés, il en avala tout le contenu !...
Koch fut le seul à en faire une maladie !... 😂


(*) De la Maladie, des épidémies et pandémies :
LEUR VÉRITABLE ORIGINE !
(http://2013-continuum.blogspot.com/2020/03/connarovirus.html)





Et c'est reparti pour une nouvelle dégustation de cerises :































































































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Un "vieil" article que je publiais déjà il y a plus d’une douzaine d'années (quand j'étais "rédacteur en chef de La Lettre de l'AGNVS" 😊 ) (Article très très très long mais que je vais dispatcher parmi les images ici et là, dans cette publication et peut-être même la suivante (!)) :

• Tous les jours je me demande pourquoi je ne peux m'empêcher de mettre mon grain de sel dans certains débats où la position de "non-conformiste" face à une masse informe et écrasante de gens qui, comme le disait Goethe, restent satisfaits et béats, sachant avoir la majorité de leur côté, m'expose plutôt à des critiques méprisantes de prétendus "rationalistes" auto-proclamés qu'à une manifestation de reconnaissance et de sympathie ! 
Je me dis que c'est leur problème et que je m'en contrefous de leurs problèmes ....

Tant pis pour tout ceux qui se laissent avoir par cette propagande criminelle de la mafia pharmaco-chimique ; moi ça va !!!
(Vivons cachés et discrets pour être tranquille n'est-ce pas...)

Mais pourtant, tous les jours, de voir tous ces mensonges des vaccinalistes (et autres criminels de la terre, de la nature et de l'homme (!!!)), je me rappelle ça :
- Il existe une loi en France où "la non dénonciation de crime et l'obstacle à la vérité" est considéré comme un crime !
Et donc aussi condamnable et punissable par la justice !

(Lors d'un procès relatif au meurtre de Nelly Crémel, le Président de la Cour Yves Jacob avait même déclaré aux individus coupables de "non-dénonciation" de ce meurtre : « VOTRE DEVOIR ÉTAIT DE DÉNONCER LES FAITS » ! (Cf. "La République de Seine et Marne" du 16 juin 2008))...


Eh oui : « VOTRE DEVOIR ÉTAIT DE DÉNONCER LES FAITS ! »

C'est bel et bien, normalement, le devoir de tout citoyen de dénoncer haut et fort les crimes... et les criminels !
Que dire alors de tous ces scientifiques, politiques et journalistes qui nous cachent la vérité sur les vaccins, et font donc acte de "non-dénonciation de crime" et "d'obstacle à la vérité", soit en se taisant... soit en affirmant et publiant des contre-vérités flagrantes pour que l'industrie du vaccin et autre médicament toxique puisse tranquillement continuer à prospérer sur le sang et la souffrance de nos malheureux concitoyens ?...

Déjà, dans “La Vie Claire” de février 1950, le Docteur Couzigou nous expliquait que : 
« Le devoir de tout homme intelligent et responsable, est de condamner sans appel la vaccination obligatoire !
Qui non seulement nous prive de notre liberté... 
Mais qui peut aussi être le point de départ de nouvelles maladies ou épidémies !!! »


Eh oui... les nouvelles “épidémies” de Sida, d’Autisme, de Sclérose en plaques, de Cancer... (Ou de Coronavirus divers et variés, dont la dernière vedette est le "covid-19" (!))
Et tant et tant d’autres souffrances, paralysies, maladies dégénératives... et décès !!!

Des exemples de ce genre sont innombrables, tant hier qu’aujourd’hui. 😓

==> « Combien d’enfants traînent une fatigue chronique ?
Combien se sont prostrés dans l’autisme ?
Combien sont devenus “hyperactifs” (instables) ?
Combien ont développé un cancer, une leucémie ou une autre maladie de dégénérescence ?
Combien sont accablés d’allergies en tout genre ?
Combien subissent chaque semaine une dialyse ou un autre traitement lourd ?
Combien sont morts subitement dans leur berceau ?
Et combien d’enfants encore se sont retrouvés dans des institutions spécialisées ? 
(À cause d’un lourd handicap contracté suite à une vaccination )...

Et tout cela au nom d’un dogme archaïque, qui assure la fortune d’industriels bien plus criminels que ces prétendus dictateurs contemporains pour lesquels nos Gouvernants - grands promoteurs de vaccins, O.G.M., et produits plus agressifs et dégénérescents les uns que les autres -, n’économisent pourtant guère les bombes destructrices et meurtrières, qui massacrent d’ailleurs plus les populations civiles innocentes que les troupes militaires...

Il y a quelques années, notre ex-Président Jacques Chirac et nombre de nos élus avaient ardemment milité pour la liberté et les droits de l’homme (justifiant en cela d’odieux bombardements massacrant des milliers de civils innocents, et ne laissant que ruines pour les survivants).

Espérons maintenant qu’ils auront l’intelligence et le courage d’abolir l’obligation vaccinale et de mettre enfin un terme a cette odieuse dictature qui, elle, nous prive vraiment de nos "Droits Citoyens" les plus fondamentaux : notre Droit à la LIBERTÉ et notre Droit à la VIE !!!

Face au pouvoir qui nous refuse obstinément le droit à la parole, le droit à une clause de conscience, il est temps que des voix s’élèvent pour réclamer la liberté !

Cette lutte est titanesque, mais absolument pas désespérée, car elle est juste et nécessaire pour les générations futures !
Combien faut-il encore de morts et de souffrances, pour que l’on arrête le massacre des innocents ????????????? ... »

=> Les partisans de la religion vaccinaliste ont cet avantage majeur qu'ils jouent allègrement avec :
LA PEUR !!!  😱😱😱

La peur du méchant microbe !
Cette peur insidieuse qui taraude les tripes des braves gens mal informés...
Carrément même désinformés (et à l'esprit donc forcément déformé !)

Il suffit d'agiter devant leurs yeux hagards le spectre de la maladie, voire même "de la terrible épidémie qui risque de décimer plusieurs millions de personnes d'un seul coup", pour que disparaisse instantanément tout esprit critique, toute intelligence, toute raison, tout bon sens .....

La peur est un fléau bien plus terrifiant encore que le "méchant microbe" ; et la peur du microbe à elle seule, peut tuer plus sûrement encore que le microbe lui- même ! 😒

Et pourtant, elle tourne !
Euh non.... Ça c'est Galilée devant ses inquisiteurs :/
Et pourtant...
N'oublions pas que :
« Le microbe n'est rien, et que le terrain est tout" !!!... »



Eh oui :
Juste avant l'ère de Pasteur, Rudolf Virchow, dans son livre d'avant garde sur la Pathologie cellulaire, soutint que la santé des cellules dépendait de leur composition chimique, et que cette composition chimique dépendait à son tour de la nature de la nourriture absorbée par l'individu :
- "Si je pouvais revivre ma vie, je la consacrerais à prouver que les germes recherchent leur habitat naturel - le tissu malade - sans être eux-mêmes la cause de la maladie du tissu !...
Par exemple, les moustiques recherchent l'eau stagnante, mais ils ne sont pas la cause qu'une mare d'eau est stagnante !" ...

(De même, ce n'est pas parce que l'on rencontre souvent des policiers et gendarmes près des accidents de la route que ceux-ci sont responsables des accidents !
Franchement, que penseriez-vous d'une campagne de prévention visant non pas à éviter ces accidents .... Mais à éradiquer les gendarmes et policiers, rendus responsables de ces accidents ???????)


"En tant que médecin pratiquant depuis plus de cinquante ans - écrivait le Docteur Bieler en 1965 -, je suis arrivé à des conclusions fondamentales en ce qui concerne la cause et le traitement de la maladie :
- Ce ne sont pas les germes qui sont la cause primaire de la maladie !...

Des années d'observation et d'expérimentation m'ont appris que les germes ne provoquent pas la maladie. Les germes sont de simples accompagnateurs, toujours présents, et capables de se multiplier dans un organisme malade parce que son fonctionnement est déréglé !..."

[Actuellement, des grands thérapeutes comme par exemple l’Américaine Ann Wigmore, disent que : 
« les bactéries, virus et parasites ne sont pas des choses qui “apparaissent” de temps en temps, mais sont, en fait, partout dans l’organisme. 
Ils ne devraient pas être considérés comme des “méchants” parce qu’ils sont des éléments naturels des processus de la Nature. 
Ils sont toujours présents mais ne deviennent actifs que lorsqu’il y a pourriture et mort. 
En fait, c’est de la pourriture et de la mort (des toxines) qu’ils se nourrissent. 
Quand quelque chose n’est pas sain et n’est pas en accord avec l’équilibre naturel de l’organisme, il est “composté” par des équipes de nettoyage composées de virus, de bactéries et de parasites ... »]


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On a déjà vu plus tôt que Robert Koch, le grand vaccinaliste des années 1890, fut le seul à en faire une maladie quand Max Pettenkoffer avala devant lui une éprouvette "remplie d’une culture pure de germes du choléra" pour lui démontrer que : « Ce qui compte, c’est l’organisme ! » ...
Eh oui !
Déjà, quelques années auparavant, en 1883, John Shaw Billings, l'éminent spécialiste de la santé publique, clamait déjà : « Il est important de noter que la simple introduction de microbes dans un organisme vivant ne provoque pas automatiquement leur multiplication et la maladie. 
La condition de l'organisme lui-même a beaucoup d'influence sur le résultat ! »

Comme on peut également le lire dans l'un de nos "Dossiers de l'Agnvs" « LA MÉDECINE DE DEMAIN, avec "Le Docteur Jules Tissot, Pionnier de la Nouvelle Microbiologie" » :
=> « Depuis 3/4 de siècle, quatre dogmes faux, introduits dans la science par Pasteur, et qu’on peut qualifier de catastrophiques, ont arrêté les progrès de la bactériologie et de la lutte contre les maladies des êtres vivants, animaux et végétaux, en même temps qu’ils mettaient un obstacle insurmontable aux progrès de la biologie et de la physiologie générales, en ce qui concerne de nombreux points de la plus haute importance pour ces deux branches de la science.

Ces quatre dogmes faux sont :
- "le dogme de la panspermie atmosphérique",
- "le dogme de l’asepsie des êtres vivants",
- "le dogme du monomorphisme bactérien", et...
- "le dogme de la contagion" !

Ces dogmes ont une action néfaste parce qu’ils ont complètement faussé le raisonnement des artisans du progrès scientifique, en leur inculquant des notions inexactes sur la nature et les propriétés de la matière vivante, et en orientant leurs travaux dans de fausses directions... 

Ces notions fausses ont eu pour effet d’établir, dans l’esprit des chercheurs, une différence de nature inconciliable entre la matière vivante des êtres organisés, et celle des bactéries, ces dernières étant considérées comme responsables de nos maladies.

Les travaux de Tissot, eux, apportent la preuve que les êtres organisés sont entièrement constitués par des bactéries et que ce sont ces bactéries qui, dans certaines circonstances anormales, deviennent virulentes elles-mêmes, pour l’organisme qu’elles constituaient.

En même temps qu'ils nous montrent que "les microbes tirent leur origine de cellules animales ou végétales désorganisées, et susceptibles, dans certaines conditions, de se métamorphoser en virus, bactérie ou moisissure", les travaux de Tissot nous montre en même temps la fausseté du dogme du monomorphisme bactérien !

Les travaux les plus récents établissent que l’origine génique des enzymes ne fait guère de doute et, pour de nombreux chercheurs, les virus et les gènes sont des unités biologiques identiques, en parenté directe avec les bactéries... 

[Et dans la revue “Thérapeutiques Naturelles” de février-mars 1997, (au sein d’un édifiant article que j’avais alors signé de mon personnage asimovien préféré « R. Daneel Olivaw », intitulé “A propos de Pasteur...”), on apprenait aussi que les thèses de Béchamp et de Tissot étaient confirmées par bien d’autres chercheurs :
"En 1980, des bactériologistes français (Sorin, Sonea, Panisset...) affirmaient même que :
Le pléimorphisme bactérien était UN FAIT SCIENTIFIQUE IRRÉFUTABLE !
Des travaux ayant également montré que des bactéries peuvent se transformer en virus en fonction de ce qui leur est donné comme substrat nutritif..."]


Comme l'écrivait déjà si justement Henri-Charles GEFFROY (dans le journal "La Vie Claire" de février 1966) : « Lorsque nos arrière-petits-enfants apprendront, par les chroniques de ce siècle, ce qu’était la Médecine des années 1960 (et qui n’a fait qu’empirer depuis, notamment avec la “Crise d’hystérie collective” pour la vaccination contre la Grippe A (note de L’A.G.N.V.S.)), ils seront effarés de constater que nous en étions encore, à cette époque : à des idées - je dirai même à des superstitions - datant du Moyen Âge et que, malheureusement pour nous, toute la technique médicale de cette époque reposait sur ces erreurs. Heureusement pour nos arrière-petits-enfants, je suis certain que, d’ici là, les hommes auront réussi à se débarrasser de ces superstitions médiévales, et à ramener la Médecine sur le chemin qu’elle n’aurait jamais dû quitter, celui que lui avait tracé le grand HIPPOCRATE, ce qui leur permettra de vivre très vieux et en parfaite santé...
Comment la Médecine pourrait-elle, en effet, soigner valablement les hommes, si elle persistait à vouloir ignorer la structure même de la cellule humaine et le processus suivant lequel se forment les microbes que l'on retrouve dans la plupart de nos maladies ?
Ce sont ces connaissances de base que l’oeuvre de TISSOT nous révèle, tout en apportant la preuve scientifique de leur exactitude, grâce aux nombreuses microphotographies qui illustrent ses livres. Il faudra bien qu’un jour la science officielle s’incline.
Ce jour là, la Médecine sortira de l’impasse où elle se trouve actuellement, et elle retrouvera sa véritable voie, celle qu’HIPPOCRATE lui avait tracée, lorsqu’il disait :
"C’est la Nature qui guérit la Maladie et la Médecine est l’art d’imiter la Nature"... »

(Cf. "Le Docteur TISSOT et La Médecine de Demain")

Enfin bref ....


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Enfin bref ....
Voici le témoignage ici d'un vaccinaliste pur et dur .... mais qui a gardé quand-même un petit fond d'honnêteté intellectuelle et scientifique, et nous dévoile donc quelques dessous peu reluisants de l'infâme propagande vaccinale !...

Extraits choisis {j'ai juste coupé ses insupportables poncifs pro-vaccins qui se basent toujours sur ces fausses prémisses sont j'ai déjà parlé plusieurs fois dans mes articles antérieurs... En remplaçant parfois ses commentaires oiseux par des considérations plus tangibles ;) } :
-... Les décès liés aux maladies concernées par l’extension vaccinale sont peu nombreux (ou leur nombre est tout simplement inconnu faute d’un recueil fiable). 

La motivation est ailleurs : 
- l’obligation est destinée à contrer un défiance croissante des français vis-à-vis de la vaccination (!) (...)
Cette défiance s’appuie ... sur un pilier majeur : 

==> Le dogmatisme et les mensonges "pour la bonne cause" de ce qu’il n’est pas exagéré d’appeler "l’Église de Vaccinologie" qui assimile toute critique, même fondée et constructive, à une dangereuse hérésie !

Le problème, c’est que les français ont constaté d’eux-mêmes pendant la pandémie grippale 2009/2010 la fuite en avant des autorités sanitaires face au peu de succès de leur vaccin, acheté à grand frais à des industriels proches du pouvoir. ...

Face au doute parfois légitime des citoyens, le paternalisme médical français a brandi la peur de la maladie (invisible pour nombre d’entre elles, devenues rarissimes - grâce notamment aux progrès de l'hygiénisme social), a continué à nier tout effet indésirable et à refuser le débat avec les antivaccinaux sur l’air de "Circulez, y-a rien à voir". 

Cette stratégie pitoyable n’a fait que renforcer le doute des français, inquiet de constater la médiocrité du discours officiel, alors que les documents de ces lanceurs d'alerte circulant sur le web étaient solidement étayés et mettaient en oeuvre une pédagogie qui manquait cruellement aux défenseurs des vaccins...

[Et pour cause : les anti-vaccinalistes s'appuient toujours sur des faits authentiques de dégâts posts-vaccinaux sur des victimes bien réelles, elles, alors que les vaccinalistes, eux, ne s'appuient que sur des données théoriques et prétendument scientifiques (!), en partant du précepte de base que les vaccinations sont sans le moindre risque.... Et que tout problème de santé survenant ensuite ne peut donc que provenir d'une autre cause... Mais jamais du vaccin !!!

(Cela me fait d'ailleurs penser aux négationnistes du réchauffement climatique pendant toute cette décennie, qui se sont obstinés à nier tout réchauffement planétaire .... Et à nier également que si réchauffement il y avait, cela ne pouvait pas être lié d'une quelconque façon à l'industrie humaine !) 😕 ]

=> Le détournement de la concertation citoyenne !!!!!!!!!!!!!
- Le summum a été atteint lors de la Concertation citoyenne lancée par Marisol Touraine en 2016 : cette opération était destinée à "restaurer la confiance dans la vaccination". [Sic] 

Cet objectif est présenté comme majeur dans la lettre remise au Pr Alain Fischer, à qui l’organisation de cette opération est confiée. Cette "nécessaire confiance" est reprise dans le discours de présentation de Marisol Touraine : "Le pilotage de notre politique vaccinale doit gagner en cohérence et en transparence. Les patients ne doivent pas seulement être informés, ils doivent devenir des acteurs à part entière de la politique vaccinale." [re-sic]

Deux jurys ont été constitués, l’un de professionnels de santé, l’autre de citoyens, qui ont travaillé séparément pendant 3 mois et procédé à de nombreuses auditions avant de rendre leur rapport.
En pratique, la concertation s’est déroulée dans les règles habituelles de ce type d’opération, du moins au début...
Les deux jurys ont donc rendu fin 2016 leurs conclusions au Comité d’orientation présidé par le Pr Alain Fischer. Tout deux ont insisté sur le besoin crucial d’une information objective et transparente sur les vaccins. (!) [Oh ouiiiiii... Une vraie information objective et transparente !!! 😁 ]

À la question de la pertinence d’une extension de l’obligation vaccinale, leur réponse a été la suivante :
- Le jury citoyen n’est pas parvenu à trouver un consensus sur l’extension de l’obligation vaccinale !

Parmi les éléments ayant en revanche fait l’unanimité :
- "Certains événements comme la gestion de la crise du H1N1, ont décrédibilisé les pouvoirs publics sur la vaccination.
Nous notons également un refus quasi épidermique du caractère obligatoire de la vaccination liée à une défiance envers l’autorité, d’une part des Français, et en cela notre groupe était très représentatif quant à son rapport à la notion d’obligation." ...

Le jury des professionnels de santé s’est en revanche déclaré clairement défavorable à cette extension !
(...) Le jury propose de sortir de la dénomination « obligation » pour les vaccins suivants : DTCP, ROR, Haemophilius, Pneumocoque, Méningite, Hépatite B.
- "Sortir de l’obligation vaccinale permettrait une plus grande responsabilisation des parents, des citoyens, mais aussi des adolescents et des jeunes adultes. Comprendre pourquoi tel ou tel vaccin est indispensable, est différent que d’imposer l’obligation de certains vaccins." (!)

 [Enfin.... "Indispensable", c'est surtout ce qui est décrété comme tel par ceux qui croient que les vaccins auraient vraiment réussis à éradiquer les maladies ; mais ça on sait bien que c'est totalement faux (!)]

Ces conclusions paraissent pleines de bon sens.
Sans surprise, l’accent est mis sur le besoin d’une information objective et d’une responsabilisation des citoyens, comme c’est le cas dans la majorité des pays occidentaux.

Malheureusement, adoptant un comportement typiquement français, le Comité d’orientation, dont le rôle était de synthétiser le travail de fond des jurys, s’est auto-attribué une mission d’expertise régalienne, et a proposé à la Ministre d’étendre l’obligation vaccinale à 11 maladies ! 

Tout le travail des jurys, toutes les auditions ont été balayées par un petit groupe d’experts dont les méthodes de travail ne sont même pas décrites, contrairement à celle des jurys. L’Église de vaccinologie est passée de "circulez, y-a rien à voir !" à "cause toujours, tu m’intéresses !"...

Le pire est sans doute l’affirmation du Comité selon laquelle l’obligation serait levée après quelques années, une fois la confiance revenue. Comme si une mesure autoritaire pouvait restaurer une quelconque confiance !
Il est important de s’attarder sur le comportement des experts réunis par Alain Fischer : pour restaurer la confiance dans la vaccination, le Comité a reproduit les déviances qui sont à l’origine de la perte de confiance : l’infantilisation des citoyens, la manipulation des faits, et le mépris agressif pour ses contradicteurs.

Décodons le signal adressé par le Comité, puis par Agnès Buzyn, sans la "sauce" destinée à faire passer la pilule :
- Chers concitoyens, vous pensez de travers. Vous gobez n’importe quoi. Nous ne croyons pas à la possibilité de vous faire changer d’avis en répondant sincèrement à vos questions. Nous ne croyons pas à votre capacité à faire de bons choix en matière vaccinale pour vous ou pour vos enfants. Nous avons donc décidé de penser à votre place et de vous imposer ce qui nous semble le meilleur pour vous, car nous, experts, le savons mieux que vous.

==> Je voudrais que vous réalisiez que ce discours, si vous remplacez "vaccinal" par "politique" est au mot près celui des régimes totalitaires qui ont historiquement toujours justifié la suspension de la démocratie par l’incapacité des citoyens à "bien voter" !!!

La promesse initiale d’une restauration rapide de la démocratie a toujours été vaine, et les résultats politiques sont ceux que l’on a pu observer au Chili, en Argentine ou en URSS.

Il est intéressant de constater que l’obligation vaccinale partielle française et italienne sont loin d’être associées à la meilleure couverture vaccinale globale au sein de l’Europe occidentale, et que l’Italie vient d’étendre l’obligation vaccinale alors que la France envisage de le faire. L’obligation, aliénant la confiance, condamne à la fuite en avant, et se justifie paradoxalement par ses propres échecs (tout comme les privations de liberté au sein des régimes totalitaires).

Certes, l’obligation vaccinale étendue contribuera probablement dans un premier temps à épargner quelques vies... (?!?)

[Ce qui sera certainement l'inverse dans la réalité !
N'oublions pas qu'en vérité les vaccins n'ont jamais démontré la moindre efficacité à soigner et encore moins à guérir, mais qu'ils ont au contraire provoqués bien des complications (!)]

... Mais à terme, elle aura définitivement ruiné la confiance des français dans leurs autorités sanitaires. Les conséquences de cette perte de confiance seront lourdes et durables. 

Cette obligation va contre le sens de l’histoire, contre l’intelligence collective et la démocratie sanitaire. Prendre des gens pour des idiots ne les a jamais rendus intelligents.

L’obligation vaccinale étendue, venant après une mascarade de concertation citoyenne, alimentera fortement les thèses antivaccinales : "Ils sont forcés d’imposer les vaccins car ils savent qu’ils ont tort sur le fond, et ils ne veulent pas perdre l’argent des labos". 

Il sera bien difficile pour les médecins de contrer cette théorie du complot. Le rejet des vaccins augmentant massivement, des stratégies d’échappement vont se développer : fabrication de faux tampons, faux certificats faciles à réaliser avec l’informatique moderne. On sait avec quel succès les américains ont tenté de prohiber l’alcool, et la réussite de nos mesures contre la consommation de cannabis. 

L’extension de l’obligation va imposer des mesures répressives plus fortes, la création d’une police spécifique (là encore, cela ne vous rappelle rien ?). Ce futur est indigne de la France.

===> Il n’y a qu’une solution possible : 
- Lever l’obligation vaccinale !!!!!

(Et toutes les "contraintes" qui rendent de facto
sont caractère non-obligatoire : ... OBLIGATOIRE (!))


Il y aura des conséquences : l’effet d’aubaine aboutira à une sous-vaccination significative pendant quelques années. Dans un premier temps, il ne se passera rien, ce qui confortera les antivaccinaux. 

Mais après quelques années, des cas de tétanos vont apparaître, beaucoup moins probablement des cas de polio ou de diphtérie (!)

[Alors là, il est flagrant que l'on revient en force dans le délire de la propagande vaccinaliste basée depuis plus de deux siècles sur la peur ! L'indicible peur de la maladie et de la souffrance qui annihile toute faculté de pensée rationnelle et intelligente (!) En vérité, si l'on pollue moins les organismes de tous ces miasmes vaccinaux, une meilleure santé globale s'ensuivra, et donc en réalité, beaucoup moins de clients pour l'industrie du médicament et de la pharmaco-chimie ! ]...


Au passage, notons que les familles qui continueront à vacciner leurs enfants ne seront pas affectées par ces cas sporadiques. En revanche, la médiatisation des premiers cas de tétanos aura un effet énorme sur la population. Je doute que plus de 10 cas de tétanos soient nécessaires (bien sûr exclusivement chez des non-vaccinés) avant que l’opinion publique change radicalement d’avis et que les ligues antivaccinales retournent à l’état de groupuscules complotistes qu’elles n’auraient jamais dû quitter. (Sic !!!) 

[Eh ben... Le cerveau des vaccinalistes est très abîmé quand-même ; on ne nage plus là, mais on coule carrément dans le délire quasi paranoïaque 😂
Hors le sacro-saint vaccin salvateur point de salut ! 😜]


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Un autre témoignage de médecin :
Dr A. Phan : Je me suis longtemps penché sur le « Serment Hippocratique », et en tout premier lieu, j’ai longuement réfléchi sur le tout premier principe qui exige que le médecin ne fasse pas de mal :
« D’abord ne pas nuire » (...)

Mon expérience avec les vaccins a commencé aux environs de l’an 2000. 
Je m’interrogeais déjà alors sur ce qui n’allait pas dans la pratique médicale.
 J’avais aussi remarqué que quand j’administrais le vaccin contre la grippe à des personnes âgées, ces patients finissaient par devenir très malades. Ils faisaient des infections respiratoires, des pneumonies, Certains faisaient de graves complications, puis mouraient. 
J’administrais ces vaccins parce qu’en fait ils étaient recommandés par le CDC avant que la saison grippale ne débute. (...)

Quand les patients venaient me voir après avoir été vaccinés, ils me disaient : après avoir été vaccinés, j’ai fait une infection respiratoire pendant 15 jours. D’autres me racontaient s’être retrouvés à l’hôpital pour une pneumonie après avoir reçu le vaccin.

Les médecins doivent se réveiller, je suis tellement désolé !
Toutes ces observations m’ont bien fait réfléchir à la relation de confiance qui doit exister entre le médecin et son patient. Cette relation de confiance me parait essentielle.

Après avoir administré plusieurs vaccins contre la grippe, je me suis demandé ce qui se passait et j’ai fini par décider d’arrêter... Au cours des dernières années, j’ai été stupéfait d’apprendre que dans certaines régions, les vaccins étaient devenus obligatoires.
Les vaccins ne doivent au grand jamais être rendus obligatoires. Même s’il s’agit d’un bon, d’un merveilleux médicament, si le patient décide de ne pas le prendre, c’est très bien, c’est son choix à lui. 

Il s’agit bien ici de la relation de confiance entre le médecin et son patient. Cette relation est en quelque sorte sacrée et ne peut être mise en cause par personne, même pas par le gouvernement . 
Celui-ci peut, bien entendu, proposer des directives. 

– Je ne suis nullement anti- médecin, ni anti-science. 
Par contre, je suis contre la mauvaise et la fausse science.
 Je suis aussi contre la mauvaise médecine. 
Je suis aussi contre tout ce qui est imposé par la contrainte, par la force ou rendu obligatoire...

Je me suis rendu compte que des « ennemis » parvenaient à s’infiltrer dans l’institution médicale. On apprend, par exemple, aux étudiants en médecine, aux jeunes médecins de virer les patients qui posent trop de questions sur les vaccins tout en les vaccinant envers et contre tout ! 

Qu’est-ce cela pour un enseignement ? 

Tout cela est inadmissible ; cette attitude dépasse de loin les questions d’argent et d’avidité. Avec cet endoctrinement des jeunes médecins, nous avons affaire ici à des attitudes maléfiques !...

Je sais que l’on désinforme et que l’on fait peur aux médecins. 
Personnellement, j’ai reçu une lettre de menace de Medicare à propos des dossiers médicaux que je ne voulais pas communiquer. Tout le monde doit savoir que ces dossiers sont strictement confidentiels. 
Le gouvernement voudrait tout savoir sur ces dossiers privés. J’ai refusé de donner ces informations. 
Le second point du Serment d’Hippocrate concerne justement la protection des données privées du patient. Je leur ai dit que les médecins qui acceptaient ces choses, cessaient automatiquement d’être des médecins.

Je voudrais demander à tous les médecins de relire le texte de leur Serment d’Hippocrate...

S’adressant à Polly qui l’interviewait, et dont l’enfant est resté handicapé à vie à la suite de vaccinations, le Dr Phan, la larme à l’oeil, lui a dit :
- Je suis si triste pour votre enfant ; je regrette tellement, je regrette tellement !




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Dans un lointain passé, on invoquait Saint Sébastien pour être protégé des maladies infectieuses.
Le symbole est resté.

A peine le nouveau-né est-il arrivé en ce monde qu'il se voit, tel Saint Sébastien, la cible de flèches empoisonnées, ces seringues au contenu redoutable. 

Une visite chez le pédiatre ne se conçoit pas en effet sans que soit abordé le thème des vaccinations censées apporter une protection à ce petit être que l'on croit exposé à tous les dangers. 

La nature est pourtant bien faite : en attendant que le nourrisson puisse se défendre par lui-même, le lait de sa mère lui apporte, en sus de la nourriture, les éléments protecteurs dont il a besoin (anticorps notamment), suppléant ainsi ses défenses encore fragiles et incomplètes. 

Paradoxalement, la vaccination, supposée être une aide, stimule des défenses non encore en place et va perturber un équilibre fragile et contrer les bienfaits de l'allaitement. 

De plus, elle risque d'établir un état de tolérance qui rendra l'enfant incapable de réagir correctement par la suite contre les microbes dont on voulait le protéger en le vaccinant. 

Pour convaincre une mère du "danger qu'elle fait courir à son enfant en ne le vaccinant pas", il suffit de jouer sur deux tableaux, la peur et la culpabilité :

- "les hôpitaux sont pleins d'enfants malades non vaccinés. Si votre enfant tombe malade, ce sera VOTRE faute" (!) :( ...

Il faut raison garder !
Si les conditions de vie matérielle sont correctes (nourriture saine, bonne hygiène de vie), il n'est rien à redouter. 
Le bon sens des parents assurera la meilleure protection, comme le montrent les témoignages recueillis par exemple dans le livre "Vaccine Free - 111 stories of unvaccinated children" (**)...


Et comme le confirme l'expérience de sa traductrice Françoise Berthoud !
Ainsi que l'écrit aussi Michel GEORGET, agrégé de Biologie, professeur honoraire des Classes préparatoires aux Grandes écoles biologiques françaises, auteur du livre "Vaccinations, les vérités indésirables" (Editions Dangles, réédition 2012) :
« Ce livre est un recueil de bonnes nouvelles : il existe des centaines, des milliers de familles tout autour du monde qui réfléchissent sur le bien fondé de vacciner ... et décident que non, qu'ils vont choisir d'autres moyens pour préserver la santé de leurs enfants et permettre à leur système de défense immunitaire de se construire de façon naturelle. 

La deuxième bonne nouvelle est que ces enfants vont bien, très bien même. Loin des allergies et des problèmes d'apprentissage dont souffrent leurs camarades vaccinés, ils sont rarement malades et très vite guéris. 

Leurs histoires se répètent comme un joyeux refrain, et chacune ajoute une petite note personnelle originale et intéressante. 


Pour continuer avec les bonnes nouvelles, la plupart trouvent des thérapeutes, médecins ou non, qui les suivent dans leur démarche de santé, en passant par les naissances à la maison, l'alimentation saine, le respect des maladies et des fièvres et les techniques manuelles. 

Malgré qu’il existe encore hélas dans plusieurs pays européens des obligations vaccinales, cet ouvrage va donner du courage aux parents qui hésitent encore à vacciner, craintifs des jugements de leur famille ou de la société et souvent influencés et effrayés par les opinions tranchées de la majorité des médecins sur ce sujet tabou : les doutes quant à l'efficacité et surtout à l'absence de dangers des vaccins. »

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ARTICLE ENCORE EN COURS D'ÉLABORATION !!!

« Je travaillais dans un secteur basé sur un tissu de mensonges !!! »
(Dixit un "vaccinaliste repenti" (***))

INTERVIEW

Jon Rappoport : 
- Combien de temps avez-vous travaillé sur les vaccins ?

Dr. "Mark Randall" (un pseudonyme) : 
- Longtemps. Plus de dix ans.

- Vous étiez jadis convaincu que les vaccins étaient le signe d’une bonne médecine.
- Oui, c’est vrai. J’ai contribué à l’élaboration de quelques vaccins. Je ne vous dirai pas lesquels.

- Pourquoi ?
- Je veux préserver ma vie privée.

- Vous pensez donc que vous pourriez avoir des problèmes si vous vous montriez au grand jour ?
- Je pense que je pourrais perdre ma retraite.

- Pour quelles raisons ?
- Les raisons importent peu.
Ces gens ont les moyens de vous attirer des ennuis, quand vous avez jadis été « membre du Club ». 
Je connais une ou deux personnes qui ont été placées sous surveillance, qui ont été harcelées.

- Harcelées par qui ?
- Le FBI.

- Vraiment ?
– Bien sûr. Le FBI utilisait d’autres prétextes. Et le fisc peut débarquer, lui aussi.

- Vive la liberté d’expression.
- Je faisais « partie du petit cercle fermé ». Si maintenant je me mettais à citer des noms et à porter des accusations contre tel ou tel chercheur, je risquerais d’avoir des ennuis.

- Croyez-vous que les gens devraient avoir le droit de choisir de se faire vacciner ou pas ?
- Sur un plan politique, oui. 
Sur un plan scientifique, les gens ont besoin d’être informés de façon à pouvoir faire le bon choix. 

C’est une chose de dire qu’il est bon de laisser le choix. Mais si tout n’est que mensonge, comment choisir ? 

D’autre part, si la FDA était dirigée par des gens honorables, ces vaccins ne seraient jamais autorisés. Ils seraient étudiés jusque dans leurs moindres détails.

- Il y a des historiens médicaux qui affirment que le déclin global des maladies n’est pas dû aux vaccins.
- Je sais. Pendant longtemps je n’ai pas tenu compte de leur travail.
- Pourquoi ?
- Parce que j’avais peur de ce que j’allais découvrir. Ma tâche consistait à mettre au point des vaccins. Mon gagne-pain dépendait de la poursuite de ce travail.

- Et ensuite ?
- J’ai mené ma propre enquête.
- Quelles conclusions en avez-vous tirées ?
- Le déclin de la maladie s’explique par l’amélioration des conditions de vie.

- Quelles conditions ?
- De l’eau plus propre. Des systèmes d’égout élaborés. La nutrition. Des aliments plus frais. Une baisse de la pauvreté. Il y a beau y avoir des germes partout, quand on est en bonne santé on ne contracte pas les maladies aussi facilement.

- Qu’avez-vous ressenti au terme de votre enquête ?
- Du désespoir. J’ai pris conscience que je travaillais dans un secteur basé sur un tissu de mensonges.

- Y a-t-il des vaccins plus dangereux que d’autres ?
- Oui. Le DTC (diphtérie-tétanos-coqueluche), par exemple. Le ROR (rougeole, oreillons, rubéole). Mais certains lots sont plus dangereux que d’autres. En ce qui me concerne, je pense que tous les vaccins sont dangereux.

- Pourquoi ?
- Pour plusieurs raisons. Ils entraînent le système immunitaire humain dans un processus qui a tendance à affaiblir l’immunité. Ils peuvent véritablement provoquer la maladie qu’ils sont censés prévenir.

- Pourquoi citons-nous des statistiques qui semblent prouver que les vaccins ont brillamment réussi à éradiquer des maladies ?

- Pourquoi ? Pour donner l’illusion que ces vaccins sont utiles. Si un vaccin supprime les symptômes visibles d’une maladie telle que la rougeole, tout le monde s’imagine que ce vaccin est une réussite. 

Mais, sournoisement, le vaccin peut porter atteinte au système immunitaire lui-même. 

Et s’il provoque d’autres maladies par exemple, une méningite ce fait est dissimulé, parce que personne ne croit le vaccin capable d’une telle chose. Le lien passe inaperçu.

- On dit que le vaccin contre la variole a éradiqué la maladie en Angleterre.
Oui. Mais lorsque vous étudiez les statistiques disponibles, les choses apparaissent sous un jour différent.

- C’est-à-dire ?
- Il y avait des villes d’Angleterre où des gens non vaccinés n’attrapaient pas la variole. Il y avait des endroits où des gens vaccinés connaissaient une épidémie de variole. Et la variole était déjà en voie de disparition avant que le vaccin ne soit introduit.

- Vous êtes donc en train de dire que l’on nous a raconté des histoires.

- Oui. C’est exactement ce que je suis en train de dire. C’est une histoire montée de toutes pièces pour convaincre les gens que les vaccins sont invariablement efficaces et inoffensifs.

....

- Comment s’arrange-t-on pour nous présenter les statistiques des vaccins de façon trompeuse ?

- Il y a de nombreuses façons de procéder. Par exemple, supposez que 25 personnes ayant été vaccinées contre l’hépatite B contractent l’hépatite. Eh bien, l’hépatite B est une maladie du foie. Mais bien des choses peuvent être appelées ‘maladie du foie’. On peut modifier le diagnostic. On a alors dissimulé la cause profonde du problème

- Et ça arrive ?
- Tout le temps. Il faut que ça arrive, si les médecins partent automatiquement du principe que les personnes vaccinées ne contractent jamais la maladie contre laquelle elles sont désormais censées être protégées.

Et c’est exactement de ce principe que partent les médecins. 


Vous savez, c’est un raisonnement circulaire. C’est un circuit fermé. Il n’admet pas d’erreur. Pas d’erreur possible. Si une personne qui a été vaccinée contre l’hépatite contracte l’hépatite ou quelque autre maladie, on exclut automatiquement tout lien avec le vaccin.

- Durant vos années de travail dans l’industrie des vaccins, combien de médecins de votre entourage ont admis que les vaccins posaient problème ?

- Aucun. Il y en avait quelques-uns [des chercheurs travaillant dans des compagnies pharmaceutiques] qui en privé remettaient en question ce qu’ils faisaient. Mais ils n’auraient jamais fait de révélations, pas même au sein de leur compagnie.

Pas de doutes, pas d’enquête.

- Quel a été le tournant décisif pour vous ?

- J’avais un ami dont l’enfant est mort après une injection du vaccin DTC.

- Avez-vous mené l’enquête ?

- Oui, de façon informelle. 

J’ai découvert que cet enfant se portait à merveille avant la vaccination. Rien ne pouvait expliquer son décès, si ce n’est le vaccin. 

C’est là que j’ai commencé à avoir des doutes. 

Bien entendu, je voulais croire que l’enfant avait reçu un mauvais vaccin provenant d’un mauvais lot. 

Mais en examinant les choses plus en détail, j’ai découvert que ce n’était pas le cas dans cet exemple précis. 

J’étais aspiré dans une spirale de doutes qui ne faisaient que grandir au fil du temps. 

J’ai poursuivi mon enquête. 
J’ai découvert que, contrairement à ce que je pensais, les vaccins n’étaient pas testés de façon scientifique.

- Que voulez-vous dire ?
- Par exemple, on ne réalise jamais d’étude à long terme sur un vaccin à l’aide d’un groupe témoin. Ce que je veux dire, c’est qu’il n’y a pas de suivi correct et approfondi, prenant en compte le fait que les vaccins peuvent provoquer, avec le temps, divers symptômes et de graves problèmes sortant du cadre de la maladie contre laquelle la personne a été vaccinée. 

Une fois encore, on part du principe que les vaccins ne peuvent pas entraîner de problèmes. Alors pourquoi se donner la peine de le vérifier ?

En outre, ce que l’on appelle ‘réaction au vaccin’ est bien défini, de sorte que toutes les réactions indésirables sont censées survenir très vite après l’injection du vaccin. Mais cela n’a aucun sens.

- Pourquoi cela n’a-t-il aucun sens ?

- Parce que le vaccin continue de toute évidence à agir dans le corps pendant une longue période après l’injection. Une réaction peut être progressive. La détérioration peut être graduelle. Des problèmes neurologiques peuvent apparaître au fil du temps. C’est d’ailleurs ce qui se passe, selon les dires mêmes d’une analyse traditionnelle. 

Alors pourquoi cela ne pourrait-il pas être le cas avec les vaccins ?

Si un empoisonnement chimique peut survenir de façon progressive, pourquoi ça ne pourrait pas être le cas d’un vaccin qui contient du mercure ?

- Et c’est ce que vous avez découvert ?

- Oui. On trouve des liens la plupart du temps. Ces liens ne sont pas parfaits. Mais si vous avez cinq cent parents dont les enfants présentent des lésions neurologiques dans l’année qui suit une vaccination, cela devrait suffire à déclencher une enquête intensive.

- Cela a-t-il suffi ?
- Non. Jamais. Cela est très révélateur.

- C’est-à-dire ?
- Les personnes qui mènent l’enquête ne cherchent pas vraiment à examiner les faits. 
Elles partent du principe que les vaccins sont inoffensifs. 
Par conséquent, lorsqu’elles daignent enquêter, elles mettent invariablement les vaccins hors de cause. 

Elles déclarent, « Ce vaccin est sans danger ». Mais sur quoi basent-elles leur jugement ? Sur des définitions et des idées qui lavent automatiquement le vaccin de tout soupçon.

- Il y a de nombreux cas où une campagne de vaccination a échoué, où les gens ont contracté la maladie contre laquelle ils ont été vaccinés ?

- Oui, il y a beaucoup d’exemples de ce genre. Et là on fait tout simplement abstraction des preuves. On n’en tient pas compte. Les spécialistes disent, et encore quand ils daignent s’exprimer, qu’il s’agit de cas isolés mais que globalement le vaccin s’est avéré sans danger. 

Mais si vous additionnez toutes les campagnes de vaccination où il y a eu des préjudices et des maladies, vous vous rendez compte qu’il ne s’agit pas de cas isolés.

- Avez-vous déjà abordé le sujet dont nous parlons avec des collègues lorsque vous étiez encore en activité dans l’industrie des vaccins ? Comment ont-ils réagi ?

- Plusieurs fois, on m’a dit de me tenir tranquille. On m’a clairement fait comprendre que je ferais mieux de me remettre au travail et d’oublier mes états d’âme. 

Il m’est arrivé de susciter des réactions de peur. 

Certains collègues cherchaient à m’éviter. Ils redoutaient d’être déclarés « coupables par association ». 

Dans l’ensemble, cependant, je me suis tenu à carreaux. J’ai veillé à ne pas m’attirer de problèmes.

- Si les vaccins sont nocifs, pourquoi les administre-t-on ?
- Tout d’abord, il n’y a pas de « si ». Ils sont nocifs. 

Ce qui est plus difficile, c’est de savoir s’ils font du mal aux personnes qui ne semblent pas en pâtir. Ensuite, on en arrive au genre de recherches que l’on devrait faire, mais que l’on ne fait pas. 

Les chercheurs devraient s’efforcer de découvrir une sorte de carte, ou d’organigramme, montrant exactement ce que les vaccins font dans le corps à partir du moment où ils y pénètrent. Ces recherches n’ont pas été menées. 

Quant à la raison pour laquelle on administre les vaccins, nous pourrions passer deux jours entiers rien qu’à énumérer toutes ces raisons.

Comme vous l’avez souvent dit, à différents niveaux du système, chacun a une bonne raison : l’argent, la peur de perdre son travail, le désir de gagner des bons points, le prestige, les récompenses, la promotion, un idéalisme mal inspiré, un certain automatisme, etc. (...)

- Andrew Wakefield, le médecin britannique qui a divulgué le lien entre le vaccin ROR et l’autisme, vient de se faire licencier de l’hôpital londonien où il travaillait.

- Oui. Wakefield a fait un sacré bon boulot. Les liens qu’il a établis entre le vaccin et l’autisme sont stupéfiants…

- Je sais qu’à Hollywood, si une célébrité affirme publiquement qu’elle ne veut pas d’un vaccin, elle fiche sa carrière en l’air.

- Hollywood est très étroitement lié au cartel médical. Il y a plusieurs raisons à cela, mais l’une d’entre elles est simplement que, dès qu’un acteur est célèbre, la moindre de ses déclarations peut avoir un énorme retentissement médiatique. 

En 1992, j’ai assisté à votre manifestation contre la FDA au centre ville de Los Angeles. Un ou deux acteurs se sont élevés contre la FDA. Depuis, rares sont les acteurs qui ont osé critiquer d’une façon ou d’une autre le cartel médical.

- Que dire du pouvoir destructeur combiné d’un certain nombre de vaccins administrés aujourd’hui aux bébés ?
- C’est une mascarade et un crime. 
Aucune étude approfondie n’a jamais été réalisée là-dessus. Là encore, on part du principe que les vaccins sont sans danger et, par conséquent, que n’importe quelle association de vaccins est elle aussi sans danger. 
Mais la vérité, c’est que les vaccins ne sont pas sans danger. 

Par conséquent, les dommages potentiels augmentent lorsque l’on administre beaucoup de vaccins sur une courte période.

- Ensuite, nous avons la saison de la grippe, en automne.

- Oui. Comme s’il n’y avait qu’en automne que ces germes en provenance d’Asie affluaient vers les États-Unis !

Le public avale ça. Si ça arrive en avril, c’est un mauvais rhume. Si ça arrive en octobre, c’est la grippe.

- Regrettez-vous d’avoir travaillé toutes ces années dans l’industrie des vaccins ?
- Oui. Mais après cette interview, je le regretterai un peu moins. 
Et je travaille autrement.
Je divulgue des informations à certaines personnes lorsque je pense qu’elles en feront bon usage.
Aux fabricants de prouver l’innocuité des vaccins

- Quel message adressez-vous au public ?

- Que la responsabilité d’établir l’innocuité et l’efficacité des vaccins incombe à ceux qui les fabriquent et autorisent leur usage. Tout simplement. Ce n’est ni à vous ni à moi d’en apporter la preuve. 

Et pour avoir des preuves, il faut des études à long terme bien conçues.

Il faut un suivi approfondi. 

On doit interroger les mères et prêter attention à ce qu’elles disent sur leur bébé et sur ce qui leur est arrivé après une vaccination. 

On a besoin de tout ça – de choses qu’on n’a pas.

- Existe-t-il un moyen de comparer la fréquence relative de ces différents effets ?

- Non. Parce que le suivi est insuffisant. On ne peut que spéculer. 

Sur une population de cent mille enfants qui se font vacciner contre la rougeole, si vous demandez combien attrapent la rougeole et combien développent d’autres problèmes dus au vaccin, vous n’avez pas de réponse fiable.

C’est exactement ce que je suis en train de dire. Les vaccins sont des superstitions. Et avec les superstitions, on ne dispose pas de faits exploitables. 

On ne recueille que des histoires, dont la plupart ont pour but de conforter les gens dans leurs croyances.

Mais, à partir de nombreuses campagnes de vaccination, nous pouvons reconstituer un récit qui révèle des choses très inquiétantes. Des gens ont subi des préjudices. 

Le préjudice est réel, il peut être profond et il peut conduire à la mort. 

Le préjudice ne se limite pas à quelques cas comme on a voulu nous le faire croire. 

Aux États-Unis, il y a des groupes de mères qui témoignent sur l’autisme et les vaccins pour enfants. Elles se font connaître et se lèvent lors des réunions. Elles essaient ni plus ni moins de combler le vide qui a été créé par les chercheurs et les médecins qui s’en lavent les mains.

- Avec du recul, pouvez-vous vous remémorer une bonne raison de dire que les vaccins sont une réussite ?

- Non, aucune. Si j’avais un enfant aujourd’hui, la dernière chose que je permettrais serait bien de le faire vacciner. 

J’irais vivre dans un autre État s’il le fallait. Je changerais de nom. Je disparaîtrais avec ma famille. Je ne dis pas que je serais obligé d’en arriver là. Il y a des moyens plus distingués de contourner le système, si l’on sait s’y prendre. 

Vous pouvez être dispensé, dans chaque état, pour des raisons religieuses et/ou philosophiques. Mais si les choses se corsaient, je n’hésiterais pas à partir.


- Et pourtant il y a partout des enfants qui se font vacciner et semblent en bonne santé.

- C’est le mot ! Qui « semblent » ! 

Qu’en est-il des enfants incapables de se concentrer sur leurs études ? 

Qu’en est-il des enfants qui piquent régulièrement des colères ?

Qu’en est-il des enfants qui ne sont pas vraiment en possession de toutes leurs facultés mentales ?

Je sais que ces choses ont diverses origines, mais les vaccins en sont une. 

Je ne prendrais pas le risque. 

Je ne vois aucune raison de prendre ce risque. Et franchement, je ne vois aucune raison de laisser le gouvernement avoir le dernier mot. 

Au vu de mon expérience, l’expression ‘médecine étatique’ est en soi contradictoire. C’est l’un ou l’autre, mais pas les deux. (...)


- Les responsables de la communication médicale, de concert avec la presse, effraient les parents à coup de scénarios catastrophes sur ce qui va arriver si leurs enfants ne se font pas vacciner.

- Ils laissent entendre que c’est criminel de refuser le vaccin. Cela équivaut à être de mauvais parents. 


C’est en étant mieux informé que l’on peut combattre cela. 

Ce n’est jamais facile de lutter contre les autorités. Et il n’y a que vous pour décider de le faire ou pas. 

À chacun de choisir son camp. Le cartel médical aime ce genre de pari. Il est à peu près certain que la peur l’emportera.

:( :( :(

- Au sein des National Institutes of Health, quelle humeur règne-t-il, quel est l’état d’esprit général ?

- Les gens se battent pour obtenir des subventions de recherche. Remettre en question le statu quo est bien la dernière chose qui leur viendrait à l’esprit. 

Ils se livrent déjà à une guérilla interne pour cet argent. Ils n’ont pas besoin de problèmes supplémentaires. 

C’est un système très isolé. Il repose sur l’idée que, somme toute, la médecine moderne est une formidable réussite sur tous les fronts. Admettre l’existence de problèmes systémiques dans un domaine ou un autre revient à jeter le doute sur l’entreprise toute entière. 

On pourrait alors penser que le NIH est le dernier endroit où l’on songerait à organiser des manifestations. Mais c’est exactement le contraire. Si cinq mille personnes venaient demander des comptes sur les véritables avantages de ce système de recherche, exigeant de savoir quels réels avantages les milliards de dollars engloutis dans cet organisme ont apporté au public en terme de santé, ce pourrait être le début de quelque chose. Cela risquerait de mettre le feu aux poudres. On pourrait avoir, si les manifestations se multipliaient, toutes sortes de retombées. Des chercheurs, quelques-uns du moins, commenceraient peut-être à laisser filtrer des informations...


(**) https://fr.groups.yahoo.com/neo/groups/culturenet2013/conversations/messages/1461



À propos de l’intervieweur :

- Jon Rappoport travaille comme journaliste enquêteur indépendant depuis vingt ans. Il a participé à plus de deux cents émissions de radio et de TV, parmi lesquelles Nightline sur ABC, Tony Brown’s Journal sur PBS et Hard Copy. (...)

En 1996, Jon a lancé le Grand boycottage contre huit géants des produits chimiques : Monsanto, Dow, DuPont, Bayer, Hoechst, Rhône-Poulenc, Imperial Chemical Industries et Ciba-Geigy. Ce boycottage est toujours d’actualité. Titulaire d’une licence en philosophie de l’Amherst College, au Massachusetts, Jon a aujourd’hui soixante-trois ans et vit avec sa femme, le Dr Laura Thompson, à San Diego, en Californie... 


(*) (Cf. "Vivre sans vaccin" :

http://www.infovaccin.fr/librairie_nouveau.html)

(Article FB : https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=443054992746683&id=100011265574907)


[Et aussi :
https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=433775090341340&id=100011265574907]

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