vendredi 16 décembre 2011

TÉLÉTHON ET VIVISECTION




82 millions d'euros !
C'est ce qu'aurait rapporté cette année encore le Téléthon...
Nos concitoyens sont généreux...
Dommage qu'ils ne savent pas que leurs sacrifices financiers seront cette année encore comme depuis toujours utilisés pour des "sacrifices animaux"...
Qui évidemment ne pourront que se terminer en d'autres "sacrifices humains" (!)....



Bref extrait (du site "UNANIMUS" mis en lien avec le titre ci-dessus) :
Nos lecteurs nous rappellent à juste titre que le grand  et coûteux  show du TELETHON est une vaste propagande POUR LES PUISSANTS LOBBYS de l'industrie de la santé, recherche médicale pharmaceutique, défense nationale, aérospatiale, nucléaire, chimie dont celle de la beauté parfumerie, produits de toutes sortes, plus de 30 000 obligatoires pour la sécurité des consommateurs. ...
Dentifrices, liquides vaisselle  WC, abrasifs, colles, peintures, toutes les ondes ainsi que celles de nos appareils électriques utiles ou gadgets, gaz, armes à feu, chimiques, biologiques, radiologiques...

L'INRA Institut National de la Recherche Agronomique aussi avec ses pauvres vaches à hublots de la taille d'un bras d'homme. Des poulets sans plumes. Et même les tout nouveaux "jouets" clonés : des chats transgéniques vert fluo anti-allergiques !

Les animaux sont les "choses" dociles, sans droits, des chercheurs pour servir, souffrir et mourir sans jamais un merci. Un vaste sujet condensé au mieux......


Extrait de la récente polémique - ou controverse (!) :oD - que j'ai eu sur FB (Facebook) à propos du célèbre Show médiatique le TÉLÉTHON (à ne pas confondre avec le "TÉLÉCON" même si effectivement il y a une forte ressemblance (!))... et de tout son pognon qui va essentiellement dans les laboratoires de vivisection !!!

Je publiais déjà ça sur mon forum "Culture Net 2013" en septembre 2003, dans ma série d'articles "Attention : Médecine Dangereuse" :

L'expérimentation animale immole, chaque année et dans d'effroyables conditions, des millions d'animaux sur l'autel de la connaissance scientifique, sous le prétexte de"sauver" des milliers de vies humaines.
Or, la « iatrogénèse médicamenteuse » enregistrée par les centres de pharmacovigilance prouve bien la non-fiabilité des tests sur animaux.
Claude Bernard, le "PÈRE" de la médecine vivisectionniste moderne, en faisait déjà le triste constat à la fin de sa vie : « J'ai les mains pleines de sang et vides de résultats ! »

(...) Oui, peut-être bien que c'est en fait une inspiration diabolique qui incite nos dirigeants à laisser perdurer l'expérimentation animale ; car sans elle, les laboratoires ne pourraient presque plus mettre un seul de leur poison sur le marché et devraient par surcroît en retirer 99 %, ce qui, évidemment, ferait chuter leur cotation sur le marché boursier...

C'est bel et bien grâce à l'expérimentation animale, que ces empoisonneurs de l'humanité, peuvent non seulement tuer nos semblables en toute légalité, se réfugiant derrière leurs tests "bidon" couronnés d'une A.M.M., mais aussi, et c'est là encore le pire : détruire irrémédiablement nos défenses immunitaires naturelles, et dégénérer notre espèce au point que chaque être humain devienne dépendant de leurs drogues pharmaceutiques, esclave docile contraint de leur obéir pour ne plus souffrir !!!




Et là, dans mon article n°135 du 19 septembre 2003 "L'Expérimentation Animale = Grande Fraude Scientifique") :
Vive le Téléthon !
Et voilà pour cette année 2002, c'est encore 85 millions d'euros qui ont été récoltés...
Et dont la majeure partie ira aux "missions sociales"... c'est à dire à la recherche vivisectionniste.

Où croyez-vous donc que passe tout le fric récolté par le Téléthon ?
Dans mon article consacré à ce brave "fondateur de la microbiologie", « A propos de Louis Pasteur,... » (rédigé le 25 Novembre 1996), je n'hésitais pas à affirmer que... :
« Les recherches sur les souris ou les chiens Labrador gaspillent allégrement des millions de francs.
Là encore on accuse les gènes déficients d'être responsables de la maladie des patients, et on gaspille des milliards à dresser leur carte génétique totalement inepte ...
Saviez-vous que 90% des gènes déjà recensés restent complètement mystérieux pour nos grands "savants" ?
Ils appellent même ça "les gênes poubelles".
De véritables apprentis-sorciers vous-dis-je !!! ...
Alors que ces gènes ne sont déficients que parce que l'enfant est malade !...
Oui :
- Malade du potentiel vital déjà dégénéré que lui ont transmis ses ignorants parents, instruits par des médecins et journalistes encore plus ignorants qu'eux.
- Malade de la bouffe toxique que notre glorieuse société hautement technologique met à sa disposition.
- Malade de l'immonde pollution de son environnement, perpétrée par des industries chimiques, agricoles, pharmaceutiques et nucléaires, dont on devrait condamner tous les dirigeants pour crimes contre l'humanité et corruption de scientifiques !... »

Depuis plus de dix ans que la "Recherche" engloutit des milliards de dollars, de lires, francs, marks... dans l'étude des maladies génétiques qui frappent un nombre toujours plus grand d'enfants et d'adultes, voilà donc ce que l'on pouvait lire dans le "Pélerin Magazine" du 29-11-96 (quelques lignes discrètes, égarées dans un déferlement rhétorique de louanges sur les immenses progrès des chercheurs) :
« La thérapie génique, qui consiste à remplacer le gène défectueux par un gène sain, est encore loin d'être au point : aucune maladie, à ce jour, n'a été guérie par cette voie ! »

Et si on se demande alors : pourquoi ?
La réponse se trouve dans le "Télé 7 Jours" du 30-11-96 :
« Grâce aux dons du Téléthon, on assiste à des progrès considérables dans la recherche contre les myopathies : ... l'AFM a participé au financement de l'Institut de Recherche Génétique et de Biologie Moléculaire, avec en particulier 5 millions de francs pour la création d'une animalerie !
(Note de R. Daneel Olivaw : les petites teignes de "Mars attacks" vont encore s'amuser comme des fous !) (...)
Au laboratoire Transgène (qui appartient comme on l'a vu au tout début de notre article "Bayer et les médicaments mortels", à Aventis-Pasteur-Mérieux (NDLR)), qui s'attache plus précisément à la thérapie génique, le directeur Bernard Gilly explique qu'ayant signé avec l'AFM un programme de recherche de plus de 90 millions de francs : "Nous faisons des tests actuellement sur les souris MDX (une souris atteinte de myopathie mais qui, contrairement à l'homme, n'en souffre pas) (?) (franchement, qu'est-ce qu'un vivisecteur peut savoir de la souffrance animale ?) ... Et depuis peu, nous avons un nouvel espoir : on a découvert qu'un chien (animal beaucoup plus proche de l'homme), le Labrador golden retriever, peut-être myopathe. Nous allons lui injecter des petits bouts d'ADN dans le muscle. Si ça réussit sur le chien, l'expérimentation pourra passer à l'homme... La recherche avance ! » (sic)

Article qui ne fait que prouver ce que je dénonçais plus tôt : à savoir que cette voie, vivisectionniste - tant dans la pratique que dans la philosophie -, est aussi fallacieuse, erronée, et ignare que la lutte allopathique contre les microbes, virus et compagnie...

Aujourd'hui, on teste des trithérapies extrêmement agressives contre le virus soi-disant responsable du Sida.
Or, voilà qu'apparaît un virus mutant, 500 fois plus puissant que le HIV...
S'obstinera-ton longtemps encore ?
Alors que l'on ne parle jamais de tous ces anciens malades du Sida qui se sont guéris sans médicaments allopathiques, par les seules règles naturelles d'hygiène et de santé !....



A PROPOS DU TÉLÉTHON de DÉCEMBRE 2011 !!!

On nous rebassine les oreilles cette année encore avec les même jérémiades apitoyantes pour nous faire cracher au bassinet en nous faisant croire que c'est pour le bien des malades... alors que c'est juste pour le bien des comptes en banque des laboratoires et des chercheurs-vivisecteurs :
(En résumé : Si vous donnez au téléthon vous torturez les animaux !)

A voir encore... mes "vieux articles" sur le même sujet :
- Là en novembre 2003, dans le message n° 181 de Culture Net 2013 "TÉLÉTHON (!)"
Extrait :
A deux semaines du Téléthon, une voix s'élève dans le monde scientifique.
Celle du professeur Gilles-Éric Séralini, chercheur universitaire à Caen, qui regrette que tant de moyens soient alloués à la thérapie génique :
- "On a tort de tout concentrer sur cette seule voie de la recherche médicale, écrit-il dans un livre qui vient de sortir. (...) Le concept de tout soigner par un gène m'apparaît limité. La plupart des pathologies mobilisent de nombreux gènes qui sont déréglés. Vouloir tout réparer, avec un seul d'entre eux, utilisé de manière peu contrôlable, c'est un peu comme se battre contre une mitrailleuse avec un sabre, en essayant d'arrêter les balles avec la lame. Plusieurs milliers d'essais de thérapie génique ont eu lieu à travers le monde et très peu de personnes ont effectivement été soignées. (...)
Les possibilités qu'offre la thérapie génique sont décalées par rapport aux espoirs qu'on a fait naître dans la population.
Le Téléthon est un formidable élan de solidarité publique, je ne voudrais pas qu'il soit déçu. Mieux vaudrait diversifier les méthodologies et les approches plutôt que de tout concentrer sur le gène parce qu'on a construit des laboratoires pour cela"...
- "Vous pensez que des intérêts financiers en jeu faussent le débat ?"
- "J'aimerais que l'on confronte les promesses faites depuis dix-sept ans aux réalisations effectives de la thérapie génique.
Le budget qui se concentre sur elle est d'un ordre de grandeur comparable à celui qui va à l'ensemble de la recherche médicale en France.
On aurait bien plus intérêt à regarder vers d'autres stratégies...
Je suis persuadé qu'on aurait évité beaucoup de maladies génétiques si on s'était davantage préoccupé des effets de la pollution sur la santé.
Savez-vous que, dans un foetus humain, on peut trouver jusqu'à 400 polluants par génome de cellule : gaz de voiture, résidus de cigarettes, de pesticides, de plastique, de colle...
Certains vont provoquer des mutations et être à l'origine d'une maladie congénitale ou génétique..."
- "A quel type de maladie génétique pensez-vous ?"
- "A peu près à toutes. Les mutations sur les gènes ne viennent pas forcément du hasard.
Au moins 80% de celles détectées dans les cancers peuvent être provoquées par des polluants de l'environnement, des radiations ou des virus...."


Et là encore, le 5 décembre 2010, sur "Destination 2013", dans mon article "ET VIVE LE TÉLÉTHON !!!" :
"Le facteur limitant dans la vitesse de progression sur les maladies génétiques n’est pas l’argent.
Le budget annuel du Téléthon, c’est plus que le budget annuel de l’INSERM tout entier.
Le problème, ce sont les idées.
D’où viennent les idées ?
De la recherche fondamentale.

Au fur et à mesure que le Téléthon a battu des records en remplissant ses caisses, les gouvernements successifs se sont déresponsabilisés en donnant de moins en moins.
Les plus touchés ? Ceux qui font de la recherche désintéressée et qui ne peuvent être financés que par de l’argent public.
Donner au Téléthon signifie soutenir un certain type de recherche au détriment d’autres pistes.
Jacques Testard , dans un article intitulé «Thérapie Génique : la grande illusion ? » (Technology Review 3, 67-68, sept. oct. 2007) précise, en parlant du Téléthon :
« […] à coups de promesses toujours réitérées, et grâce à la complicité de personnalités médiatiques et scientifiques, cette opération recueille des dons dont le montant avoisine celui du budget de fonctionnement de toute la recherche médicale en France. Cette manne affecte dramatiquement la recherche en biologie puisque le lobby de l’ADN dispose alors du quasi monopole des moyens financiers (crédits publics, industriels, et caritatifs) et intellectuels (focalisation des revues, congrès, contrats, accaparement des étudiants,…).
Alors, la plupart des autres recherches se retrouvent gravement paupérisées - une conséquence qui paraît échapper aux généreux donateurs de cette énorme opération caritative… »
(Jacques Testard est directeur de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), spécialiste en biologie de la reproduction, "père scientifique" du premier bébé éprouvette français, et auteur de plusieurs essais témoignant de son engagement pour "une science contenue dans les limites de la dignité humaine". )

Et, entre nous, avec l’argent récolté depuis 20 ans, si cette piste était la bonne, ne croyez-vous pas qu’ils auraient dû trouver ? 



J'ai pu lire aussi tout récemment - en ce mois de décembre 2011 - sur la page FB d'un "ami positronique" (que je rebaptiserais ici "Hari" (comme le célèbre Hari Seldon de la saga asimovienne... du nom de ce terrien grand ami du robot positronique R. Daneel Olivaw, fondateur de la fameuse "Psychohistoire") - l'un de mes clones robotiques :oD - ce sidérant témoignage :

• Daneel : Salut Hari !
Suite à ton commentaire défendant la vivisection (Cf. « Je te renvois à un épisode de "Nos années Collège" - j'étais moi même au collège quand ca passait - où l'un des héros s'horrifie de la vivisection, montre notamment un film où l'on voit un singe soumis à ce genre d'expérimentation médicale... et à un moment de l'épisode, il demande à la fille dont il aimerait faire sa copine pourquoi elle ne le suit pas dans son combat... et elle lui réponds : "La vidéo que tu montre, c'est une expérience pour trouver comment soigner une maladie dont je suis atteinte...." »), je t'informe que cet épisode est là une "manipulation de conscience" typique de la mafia des labos vivisectionnistes destinée à formater les jeunes cerveaux encore trop naïfs et confiants aux discours des séries TV (ils aiment bien nous faire pleurer sur le sort de ces pauvres malades que l'expérimentation animale serait seule susceptible de sauver... alors qu'en vérité, la plupart du temps, ces malades sont dans cet état justement à cause de ces mêmes labos et de leurs si fumeuses expérimentations sur les animaux !!!)

La réalité, c'est que les expériences sur les animaux ne démontrent jamais rien d'utile pour les hommes, et ont au contraire toujours été la source de nombreuses pathologies humaines !...

Si cet épisode avait été honnête, le jeune aurait alors pu démontrer à sa copine que cette expérience vivisectionniste n'aurait jamais pu lui apporter la moindre chance de guérir, juste de torturer encore davantage les animaux... et d'engranger au passage de quoi remplir abondamment les comptes en banque des labos et de leurs "chercheurs" !!!

Et merci par avance de ne pas m'accuser moi aussi "d'obscurantiste" - comme tu l'as fait par ailleurs, simplement parce que j'ose dire que l'expérimentation animale est TOTALEMENT INUTILE pour faire progresser la médecine humaine !
(Lis donc les remarquables ouvrages de MON AMI HANS RUESCH :
- "Expérimentation Animale, Honte et échecs de la médecine"
- "Les Faussaires de la science" !...)

(Voir par exemple l'un de mes dossiers à ce sujet :
- Sur "Les Médicamenteurs" (dans mon forum "Destination 2013")
- Et plus spécifiquement le tristement célèbre "Médiator" des fameux laboratoires Servier :

• Hari :  "La réalité, c'est que les expériences sur les animaux ne démontrent jamais rien d'utile pour les hommes"
=> Simplement faux, ou plus exactement excessif. 
De plus, il ne s'agit pas juste de démontrer, mais plus généralement de comprendre les mécanismes à l'oeuvre... et force est de constater que les métabolismes à l'oeuvre sont très répandus dans le vivant. Nous sommes tous cousin, bactéries, archéo-bactérie, champignons, plantes et animaux.
"et ont au contraire toujours été la source de nombreuses pathologies humaines !..."
 => Qu'il y ai eu de tels cas ne rends pas la chose systématique.
Et il faudra me montrer la main mise des labos pratiquant la vivisection sur les producteur d'une série pour ado.
Le complotationisme, ça suffit....

• Daneel : En réponse à tes commentaires de mon précédent post cher Joël, je t'assure qu'il n'y a pas le moindre "complotationisme" dans ce que je dis... tout est vérifié et malheureusement bien réel !
Mais évidemment, comme avant qu'éclate enfin au grand jour l'affaire "Servier/Médiator", les naïfs des labos pharmacochimiques continueront encore avec obstination à se fermer l'esprit sur cette sombre réalité si dérangeante !!!

Le preuve de la main-mise des labos sur une série pour ados ?
C'est l'exemple même de ce que tu as mentionné plus tôt Joël !
(Mais en cherchant bien, on pourrait encore trouver bien d'autres cas similaires, tant dans les séries pour ado d'ailleurs que les films pour adultes ou enfant (!))

Et je le répète en toute conscience : le fait que nous soyons "tous cousins" ne change rien à la réalité des faits : "Aucune expérimentation sur l'animal n'a permis de comprendre quoique ce soit à l'amélioration de la santé humaine" !... L'expérimentation sur le chien ne permet que de mieux connaître la physiologie du chien, et rien d'autre. Idem pour le rat, ou pour le chat, ou pour n'importe quel autre animal, dont la réaction à telle substance peuvent pour l'un être bénéfique et pour l'autre mortelle !

Bref, tu devrais VRAIMENT lire les ouvrages d'Hans Ruesch à ce sujet :
- LES FAUSSAIRES DE LA SCIENCE
- EXPÉRIMENTATION ANIMALE, HONTE ET ÉCHEC DE LA MÉDECINE !

Meilleures pensées...

• Hari : Tu ne peux pas dire "le fait qu'ils disent ça prouve qu'ils sont sous la coupe des labos" et dans le même temps dire "ils disent ça parce qu'ils sont sous la coupe des labos". Avec un tel raisonnement tu peux t'autopersuader de n'importe quoi et tu part du principe que toute personne qui pense différemment de toi sur la question ci-présente est sous la coupe des labos.
=> Ne t'en déplaise, c'est du complotationisme, dans sa pire forme.
Croire que tout avis allant dans un sens est forcément dicté par untel ou untel, c'est du complotationisme.
Et tu te trompe quand tu dis qu'aucune expérimentation sur des animaux n'a jamais permis de comprendre quoi que ce soit à l'amélioration de la santé humaine. Il suffit d'un seul contre exemple pour infirmer phrase (du fait du "jamais" qu'elle contient"), et des contre-exemple, j'en vois plein, et je ne suis pas médecin. Après que cette compréhension soit incomplète et nécessite d'être approfondi, c'est une évidence.


• Daneel : Tu coupes là les cheveux en quatre mon cher Hari...
Et finalement tu te perds dans des considérations sophistes qui ne mènent nulle part !
Dans les faits, j'ai raison !
(Même si effectivement j'ai tendance à "amplifier" un peu les choses... comme les marseillais (!)  :oD)

L'épisode auquel tu faisais référence était de toute évidence orienté "pro-message des labos"....
Je ne vois pas pourquoi le producteur ou le réalisateur se serait donné ainsi la peine de faire un épisode volontairement mensonger - disons seulement "fallacieux et trompeur" (!!!) - sur la réalité de l'expérimentation animale s'il n'avait pas eu l'intention sous-jacente de passer le message publicitaire des labos vivisectionnistes !...

Utiliser également l'image éminemment manipulatrice d'un enfant - ou un jeune - qui souffre et soi-disant ne pourrait qu'être sauvé que grâce à l'expérimentation animale, c'est bel et bien là une sournoise manipulation, nous assénant par surcroît une contre-vérité absolue :
La réalité c'est que JAMAIS aucune expérience vivisectionniste n'a jamais permis de guérir qui que ce soit (Et même dans la chirurgie l'expérimentation animale ne sert à rien d'autre... qu'à mieux connaître la physiologie de l'animal (!))...

Et le fait que ces dernières années on nous baratine avec un pseudo "traitement génique" ne change rien au problème...

La vraie science médicale, elle n'est pas dans les labos des vivisecteurs, mais ceux des vrais scientifiques, comme on les trouve par exemple à Pro-Anima ou Antidote-Europe !

Depuis plus d'un siècle, les vivisecteurs prétendent que c'est gràaces à leurs expériences que la Médecine aurait appris à soigner plein de maladies... mais ils nous racontent n'importe quoi juste pour justifier leur si ignobles pratiques barbare ne comptant aucun compte de la souffrance animale - qu'ils ont d'ailleurs toujours nié aveuglément -, et pour obtenir toujours plus de financements (pour les motifs les plus "philanthropes" mais toujours totalement bidons (!!!)... et nous mentent allègrement plus encore qu'ils ne respirent !!!
Je te suggère un excellent ouvrage de Hans Ruesch qui explique fort bien tout cela :
- "LES FAUSSAIRES DE LA SCIENCE" !...



• Daneel : Je te cite Hari "Dans le cadre de la thérapie génique, savoir si on était capable de rajouter un gène au génome de la moelle épinière d'un être pluri-cellulaire a été déterminé par des expériences sur des animaux."...
Et alors ?
Ces expériences ont démontrées quoi pour améliorer vraiment la santé de l'homme ?
RIEN !
Et combien d'animaux ont été torturés pour ça ????????
Les vivisectionnistes me font juste penser à ces petites teignes martiennes de "Mars Attack" !
Tu devrais vraiment étudier les ouvrages d'Hans Ruesch que je t'ai déjà mentionné, ainsi que ceux de Jacqueline Bousquet (Par exemple "Au coeur du vivant" et "Science dans la lumière")

MEILLEURES PENSÉES POSITRONIQUES !!!


• Hari : "Ces expériences ont démontrées quoi pour améliorer vraiment la santé de l'homme ?"
=> Qu'il était possible de réparer le génome déficient de la moelle épinière des malades.
Et le terme torturé n'est pas le bon. Autant combien d'animaux ont souffert?" serait une question légitime.
Autant parler de torture est impropre. Torture suppose de faire mal pour faire mal, volontairement.
Ce n'est pas du tout le cas dans ces expérimentations.
JE sais déjà que l'immense majorité des expériences pratiqué sur les animaux sont inutiles, notamment les tests dermatologique.
Je réfute juste l'affirmation, excessive, comme quoi toutes les expérimentations le seraient.
Et la lecture des oeuvres don tu parle ne ferait probablement que me renforcer dans cette vision.

• Daneel : Ces expériences ont démontrées quoi pour améliorer vraiment la santé de l'homme ?...
"Qu'il était possible de réparer le génome déficient de la moelle épinière des malades" (?)...
Ah bon ???
Et ça c'est grâce à quels genres d'expérimentations ineptes sur les animaux ?
Et lesquels : des chats, des chiens, des singes, des hamsters ????????

• Hari : On l'a fait sur les animaux avant de tester sur l'homme.
Et ce n'est pas forcément inepte. On peut très bien soigner un animal malade pour tester.

• Daneel : Tu éludes mon cher confrère positronique....
Puisque tu défends l'expérimentation animale...
Tu devrais pouvoir répondre précisément à mes précédentes questions !

Sinon, tu ne fais rien de mieux que les vivisecteurs qui depuis plus d'un siècle ne cessent de nous répéter que leurs expériences si cruelles envers les animaux ont servies soi-disant à trouver un remède pour ceci ou pour cela....
Mais quand on fouille les détails, il en ressort toujours - OUI : TOUJOURS !!! - qu'un dossier vide, basé sur des affirmations sans fondements !...

Lis-donc "Les faussaires de la Science" d'Hans Ruesch... édifiant et exemplaire !

De toute façon, même si la vivisection avait une réelle utilité
- ce qui n'est pas le cas je le répète -
elle resterait moralement et éthiquement indéfendable...
De quel droit franchement pourrais-je par exemple t'utiliser toi comme cobaye
pour tester un médicament où un geste chirurgical qui pourrait me soigner...
sans ton consentement libre et éclairé ????
De quel droit l'homme s'arroge-t-il cette supériorité "raciale" sur les animaux,
en leur faisant endurer les pires sévices...
juste par nombrilisme vaniteux et égoïste ???

Toi qui te disais presque mon "alter-ego" positronique "Hari", je suis vraiment navré que tu puisses accepter cette pratique vivisectionniste comme acceptable, au point même que tu donnes bel et bien l'impression de défendre cette "barbarie scientifique" d'un âge passéiste !...

AVEC TOUTES MES MEILLEURES PENSÉES !!!



Et mon cher "Hari" de me répondre alors, reconnaissant qu'il n'est à la fois "ni logique ni moral" (!) :
« Ce que je ressens, c'est que les expériences ne devrait expérimenter que sur d'autres êtres intelligents consentants... Mais ce que j'analyse, c'est qu'aucune espèce ne favorise une autre espèce que la sienne dans son comportement, pas plus les prédateurs que les autres.

Il y a ce que mes principes moraux, ancré en moi par mon éducation me disent :
"De quel droit fait-t-on aux autres ce que l'on n'aimerait pas que l'on nous fasse ?"

Et il y a ce que mon analyse froide, robotique me dit : "La vie a pour objectif de se reproduire, et le rôle des comportement des êtres vivant dans ce mécanisme est de contribuer à reproduire leur espèce. Par conséquent, si cela accroît la capacité d'une espèce à se perpétrer d'avoir un comportement quel qu'il soit, vis à vis d'une autre espèce, alors il est naturel qu'elle ait ce comportement."

Je suis un être complexe.
Je suis à même d'avoir un raisonnement froid déconnecté de mes codes moraux.
Je peux shunter une partie de mon cerveau positronique lorsque cela me semble pertinent.

Le cas de l'expérimentation animale est l'un des conflits entre ma morale et mon raisonnement.
Ce n'est pas le seul.

D'ailleurs, je ne suis pas 100% logique car je ne suis pas cohérent dans ma façon de traiter ces contradictions internes.
Dans le cas de l'expérimentation animal je me suis rangé du côté du raisonnement, dans d'autre cas, du côté de la morale... »

(Extrait du dialogue visible notamment sur mon propre mur FB : http://www.facebook.com/daneel.olivaw2/posts/287368714638665)

Un débat encore plus fourni et donc très intéressant aussi sur le mur FB de mon amie Zara-Esther Whites...
(Évidemment, je partage à 100% l'avis de "Adrian Evangelista" :oD) :
- "Téléthon... C'est NON !"


Extrait "très très très bref", du site lié à cette image :
« L'Homme qui a Crié "L'Impératrice Est Nue !"...
A l'âge de 91 ans, Hans Ruesch, auteur de "Expérimentation Animale,..." le livre que l'industrie pharmaceutique a évidemment essayé d'étouffer, reste le Grand Guerrier de l'Humanité dans la Lutte contre la Vivisection et contre la Fraude Médicale qui en résulte ! » 

Voir par exemple dans mon article de Mai 2003, "UN CRI DANS LE SILENCE... Vivisection et chirurgie" :
Je vous rappelle donc un petit passage du livre-référence en ce domaine, l'ouvrage de Hans Ruesch "Expérimentation Animale, Honte et échecs de la Médecine" (1976-1980-1991) :
« Alors que le monde occidental faisait rapidement d'importantes découvertes dans la plupart des domaines de la science et de la technologie, toute connaissance restait enlisée dans un certain secteur : celui de la chirurgie.
Pire, l'espèce de chirurgie pratiquée au Moyen Age et jusqu'à la première moitié du XIXe siècle représentait un gigantesque pas en arrière en comparaison de la grande variété d'opérations délicates qui avaient été pratiquées des milliers d'années auparavant en Inde, en Egypte, à Babylone, en Grèce et jusque dans la Rome impériale (.......)
Les premiers anesthésiques modernes ont été trouvés par hasard - il n'aurait pu en être autrement - et grâce à des expériences personnelles.

Déjà, en 1800, Sir Humphrey Davy suggéra que le protoxyde d'azote pouvait servir à cela.
En 1803, le pharmacien allemand Friedrich Serturner obtenait un dérivé de l'opium, la morphine (dont les français attribuent la découverte à Bernard Courtois) ; mais probablement parce qu'il l'avait essayée sur des chiens, sur lesquels la morphine peut provoquer une excitation maniaque, sa valeur d'anesthésie n'a pas été reconnue pendant plusieurs décennies. (...)

En 1847, James Simpson - après des essais sur lui-même et sur des amis - utilisa pour la première fois le chloroforme (connu depuis 1828) dans une opération chirurgicale. Mais les informations scientifiques n'étant pas aussi courantes et étendues qu'aujourd'hui en France, Flourens décidait quelques années plus tard d'expérimenter le chloroforme sur des animaux, avec des résultats qui l'amenèrent à l'écarter comme anesthésique, tandis qu'en Angleterre Sir Lauder Brunton l'expérimentait sur 490 chiens, chevaux, singes, chèvres et lapins, sous les auspices de la Commission de Hyderabad, avec des résultats qui furent tournés en ridicule par tous les anesthésistes britanniques ("Lancet", 8, 15 et 22 février 1890)
Ainsi, une fois de plus, l'expérimentation animale retarda l'adoption d'un des médicaments les plus utiles à l'époque, et par là même la reconnaissance de la chirurgie !

L'inventeur de l'anesthésie lombaire fut l'Allemand August Bier, qui se fit injecter dans la colonne vertébrale une solution de cocaïne à 1% pour en observer les effets. L'historien Sigerist affirme dans "Grosse Ärtzte" :
« Bier, en 1899, annonce l'immortelle anesthésie lombaire, l'invention qui porte son nom dans l'histoire de la médecine ».
Comme devait l'établir officiellement le second "Rapport de la Commission Royale Britannique sur la Vivisection" :
« La découverte des anesthésiques ne doit rien à l'expérimentation animale ! » (.............)

Entre-temps, l'art médical avait déjà fait le plus grand de tous les progrès :
1847 avait en effet marqué le début de la guerre contre l'infection grâce au Hongrois Philip Ignaz Semmelweis, directeur de la Maternité de Vienne. (...) 
Semmelweis, comme Hippocrate, n'avait jamais vu un microbe et n'avait jamais entendu parler d'une théorie microbienne, laquelle était encore à énoncer ; mais tous deux avaient abouti à une conclusion identique grâce à une véritable intuition médicale et au simple exercice de leurs facultés intellectuelles : l'observation clinique intelligente, qui a trouvé la solution à tant de grands problèmes médicaux ! (.......)
Semmelweis et ses rares partisans ne furent reconnus qu'un quart de siècle plus tard, quand la théorie microbienne fut énoncée - autre pas fondamental qui ne devait rien à l'expérimentation animale ! (...)

Pendant plus d'un siècle, les vivisecteurs s'étaient exercés sur des animaux sans avoir à se soucier des douleurs qu'ils infligeaient ni du risque d'infection, mais la chirurgie avait été incapable de s'élever au-dessus du marais médiéval.
Ce ne fut que lorsqu'il devint possible grâce à l'anesthésie et à l'asepsie d'opérer directement sur l'homme, que la chirurgie rattrapa en quelques années tout ce qui avait été perdu pendant les siècles d'obscurantisme galiénique.
Bientôt, une autre découverte qui n'avait rien à voir avec l'expérimentation animale vint en aide aux chirurgiens, leur révélant à l'avance l'endroit exact où opérer : les rayons X de Roentgen ! (...)

Evidemment, les chirurgiens qui aiment la vivisection affirmeront toujours que leur dextérité dérive de leurs exercices sur les animaux.
Je conseille pourtant à ceux qui ont besoin d'une intervention chirurgicale d'éviter ces individus là, car il y a bien des chances qu'ils soient, comme disaient Richard Wagner : « non seulement des gens sans pitié, mais par surcroît des ânes dans leur profession » ! (...)

L'un des grands pionniers de la chirurgie abdominale, le Dr. Charles Clay, Président de la Société médicale de Manchester et membre fondateur de la Société obstétrique de Londres, déclara : « J'ai effectué un grand nombre d'opérations en tant que chirurgien, mais je ne dois pas une once de mon savoir ou de mon habileté à la vivisection. Je défie n'importe quel membre de ma profession de prouver que la vivisection ait été de la moindre utilité au progrès de la science médicale et de la thérapeutique !.... »

------- (Alors, certes, cette déclaration a déjà plus d'un siècle.... mais même jusqu'à nos jours, l'expérimentation animale n'a contribué qu'à retarder les progrès de la médecine et de la chirurgie, et au contraire à accentuer davantage les maladies et les souffrances, non seulement chez les animaux, mais aussi chez les êtres humains !!! En résumé : ceux qui protègent les animaux de toute cette somme de souffrances inutiles, aiment également profondément l'humanité, ce qui n'est certainement pas le cas de tous les vivisecteurs et thuriféraires !...
(Eh oui, même s'ils clament leur profond "désintéressement" et "amour des malades et handicapés" dès qu'il s'agit de réclamer toujours davantage de financements à leurs si "généreuses" recherches médicales "pour soigner ces si malheureux enfants souffrant si atrocements" (!), à grands renforts de spectacle artistico-médiatique genre "téléthon", "sidathon" et compagnie !!!)) -------

Il n'est pas difficile de comprendre pourquoi les exercices sur des chiens - l'animal favori de l'expérimentateur chirurgical - ne peuvent développer la connaissance du corps humain.
Le champ opératoire dans la poitrine étroite et ogivale du chien, par exemple, est tellement différent de celui de l'homme qu'il faut en partie des instruments spéciaux pour opérer.
La forme et la disposition de tous les organes, bien que ceux-ci soient semblables, diffèrent elles aussi sensiblement.
C'est ainsi que le chirurgien qui a appris par exemple à localiser l'artère fémorale sur un chien, trouvera difficilement par la suite cette artère chez l'homme.
La peau, les tissus, les tendons, etc., du chien réagissent autrement sous le scalpel parce qu'ils sont plus coriaces ou plus élastiques que chez l'homme. 
Les réactions postopératoires diffèrent également. Les animaux sont moins sujets aux infections et le chirurgien qui a réussi à découper un chien sans le tuer, crédite du succès obtenu sa propre habileté plutôt que la résistance supérieure de l'animal : dangereuse illusion !

De même, affirmer que la connaissance de la chirurgie cardiaque humaine dérive des exercices sur des chiens est absurde parce que le chien a des pulsations extrêmement irrégulières et intermittentes ; il ne pourrait y avoir en fait de guide moins sûr pour l'étude du coeur de l'homme !...
Toutes nos connaissances valables en ce domaine dérivent de la dissection des cadavres, des accidents dans lesquels le médecin a dû intervenir directement sur l'homme pour lui sauver la vie,... et des observations radiologiques ! (...)

Il en est de même pour la chirurgie du cerveau. Les millions d'expériences sur animaux qui ont été faites soi-disant pour localiser les fonction cérébrales n'ont créé qu'une énorme confusion, sans rien ajouter aux enseignements de l'Anglais Hughlings Jackson, qui n'en avait jamais fait, mais avait simplement observé ses patients avec intelligence et compassion, et disséqué des cadavres.
Tout cela avait été prédit par un Français, le grand Jean-Martin Charcot (1825-1893), qui est considéré comme le père de la neurologie moderne :
- "Les expériences sur animaux en vue d'établir la localisation des fonctions cérébrales peuvent tout au plus nous enseigner la topographie de cette espèce particulière, jamais la topographie de l'homme !" (...)

Mais ce qui est encore plus révélateur, c'est ce que disent les vivisecteurs eux-mêmes, lorsqu'ils ne se tiennent pas sur leurs gardes.
Dans "Experimental Surgery", monumental manuel de vivisection, J. Markowitz déclare explicitement que l'expérimentation animale n'aide pas à la formation du chirurgien, il dit même que cela peut induire en erreur et il en fournit un exemple mémorable (.......).
Mais alors, pourquoi continuer toutes ces expériences chirurgicales sur des animaux ?
L'auteur ne donne la solution de l'énigme qu'à la page 532, tout à fait à la fin du volume, dans la meilleure tradition des films policiers :
"Aucune étude ne pourrait être plus captivante et agréable et en même temps plus lucrative !" (sic) (...)


Lawson Tait fut élu président de la "British Gynaecological Society", lauréat du Prix Lister, et du Prix Cullen "pour les grands bienfaits qu'il a apportés à la médecine pratique par des moyens chirurgicaux" ; si quelqu'un pouvait donc être sûr de son fait lorsqu'il parlait de chirurgie, c'est bien lui : et tout ce qu'il a dit et écrit à propos de la vivisection, qu'il a lui-même pratiquée, est un impitoyable réquisitoire, parce qu'il l'estimait nuisible non seulement pour la pratique médicale en général mais aussi pour la pensée médicale.
A titre d'exemple :
"Je rejette immédiatement l'usage des expériences sur animaux vivants dans un but purement didactique parce qu'elles sont absolument inutiles, et la législation devrait y mettre fin sans la moindre réserve ! (...)
En tant que méthode de recherche, la vivisection a constamment amené ceux qui l'ont utilisée, à des conclusions complètement erronées, et, à cause de sa lumière fallacieuse, les archives foisonnent de cas où non seulement des animaux ont été sacrifiés inutilement, mais aussi où des vies humaines ont été ajouté à la liste des victimes !..." »

Et ce bouleversant ouvrage de mon ami Hans Ruesch, - où chaque page est encore plus édifiante que la précédente !!! - compte ainsi plus de 300 pages !!!!!!!!!!!!!
------- (Auquel il y a encore rajouté plus récemment un livre peut-être plus édifiant encore : "LES FAUSSAIRES DE LA SCIENCE") -------

On pourrait donc vraiment se demander pourquoi, malgré toutes les preuves si flagrantes et indéniables de sa parfaite inutilité, l'expérimentation perdure encore de nos jours, et malgré encore toutes ces méthodes de recherche substitutives que défendent notamment les scientifiques de Pro-Anima ?
(Il faut lire par exemple les récents dossiers disponibles sur Culture Net 2013 : "Bouillonnements Humains" et "Le Discours de la Méthode" ; c'est édifiant !)

La véritable raison en est brutale, cruelle, impitoyable :
Parce que l'on trouve toujours un animal plus résistant que l'homme à telle ou telle substance nuisible, et que la loi - imposée par des sbires de l'Institut Pasteur et autres entreprises du même acabit ("à la Rumsfeld" !) - n'autorise la mise sur le marché de telles substances que par le passage obligé aux expérimentations sur l'animal, on peut donc affirmer que c'est bel et bien grâce uniquement à la vivisection que l'industrie pharmaco-chimique peut réussir à écouler, en toute légalité, ses nombreux poisons toxiques, tératogènes et dégénérescents (fallacieusement baptisés "médicaments" ou "vaccins préventifs").... et ainsi s'enrichir à outrance, tout en pérénisant cette fructueuse entreprise par la création d'une humanité débile, esclave du médicament !!!
(Voir à ce propos : MÉDIATOR / MÉDIS A TORT ?)


Abordons maintenant un autre sujet tout aussi exemplaire :
Le mythe vivisectionniste de la méningite tuberculeuse !...

(Extrait d'un article publié par "Daneel Olivaw" il y a une quinzaine d'années déjà, et réédité sur Culture net 2013 en mars 2004 (!) (Cf. "LA FRAUDE DES MÉDIAS (ou : petite histoire de la désinformation....) (1)")
Article lui-même très largement inspiré des informations diffusées par Hans Ruesch dans son ouvrage "Les Faussaires de la science" !...)

En mars 1979, le grand Historien de la Médecine - mais "non conformiste" (!) - Hans Ruesch avait fait une conférence à Strasbourg.
Un événement "sans importance" (aucun journal ne l'avait annoncé !...).
Néanmoins, à la fin de la conférence, un monsieur aux cheveux blancs et très distingué se leva et s'adressa au public (la distinction et une politesse souriante et constante sont imposées aux représentants de la combine dans tous les débats sur la vivisection (il y a des instructions «ad hoc» aux Etats-Unis, et dans la plupart des pays "occidentalisés"))...
C'était le Pr. Paul Mandel du CNRS de Strasbourg, Centre de neurochimie (où l'on fait d'habitude les expériences sur le système nerveux de chats non anesthésiés), et il dit : « Jusqu'ici vous n'avez entendu que de la brillante rhétorique. Maintenant vous entendrez des faits. En travaillant sur des chiens, j'ai découvert, il y a quelques semaines, comment guérir la méningite tuberculeuse, qui tue tant d'enfants... »

Une déclaration pareille, par un professeur universitaire renommé, ne pouvait rater son effet sur un public de profanes, qui certes ne pouvait se douter qu'il ne s'agissait que d'une blague, d'une fanfaronnade, d'une pure invention.
Le lendemain, Hans Ruesch adressait au Pr Mandel une lettre recommandée :
« ... Je vous prie de me faire parvenir la documentation relative à votre grande découverte médicale, que sûrement vous vous êtes hâté de faire connaître à vos collègues, afin d'en faire bénéficier le plus grand nombre possible de malades... ».

Pas de réponse...
En effet, le Pr Mandel, tout en «travaillant» sur un grand nombre de chiens et de chats tout au long de sa carrière, n'avait jamais rien trouvé de nouveau, pas plus que tous ses collègues vivisecteurs !...
« Nous savons de plus que la méningite, qui tue pas mal d'enfants, est aussi provoquée par l'ingestion de produits de laboratoire et par différents vaccins comme le BCG (bacille bovin), prôné comme étant "absolument sans danger" par les savants de l'Institut Pasteur, malgré toutes les preuves contraires !... »
(Cf. "L'intoxication vaccinale" de Fernand Delarue, éd. du Seuil, 1977)

(Et pourtant, on lit encore dans "l'Union" du 8-08-96, que de grands chercheurs belges et américains, grâce aux « techniques révolutionnaires du génie génétique » - et par de nouvelles expérimentations animales (sur des souris) -, vont développer de nouveaux vaccins contre la tuberculose en traficotant directement notre matériel génétique (apprentis sorciers ?!...))

L'affirmation gratuite de la méningite tuberculeuse miraculeusement guérie par des travaux faits sur des chiens fut entendue encore une fois en décembre de la même année.
Ce fut au cours d'une discussion au tribunal de Marseille qui, sur la demande du Pr Henri Sarles de l'INSERM, allait déclarer « irrecevable » une plainte déposée par la "Ligue antivivisectionniste française" contre ce professeur qui fit tout pour se dérober au débat.
En cette occasion, ce fut l'avocat du Pr Sarles qui récita le conte de fées de la méningite tuberculeuse guérie grâce aux chiens, mais cette fois la découverte miraculeuse était attribuée à un autre vétéran de la vivisection, le Pr. Jean Bernard de Paris (président du Comité d'éthique), qui aurait réussi son exploit, selon l'avocat, une vingtaine d'années auparavant (!), contredisant ainsi le Pr. Mandel qui s'était arrogé, lui, tout récemment cette découverte miraculeuse... qui n'a jamais eu lieu !!!...

Jean Bernard fait aussi partie de ce Pouvoir Médical qui, chaque année - à la veille de la récolte de fonds publics pour les héroïques luttes contre le cancer, le sida et les maladies dites génétiques -, annonce les extraordinaires progrès faits en ce domaine, bien que ces progrès ne touchent que les fatalités qui ne cessent d'augmenter.

Revenant au conte de fées de la méningite miraculeusement guérie grâce aux chiens, ce fut à Marseille que l'on pu découvrir qu'il ne s'agissait là que d'une nouvelle invention promue cheval de bataille du Syndicat, confiant qu'il faudrait beaucoup de temps pour que quelqu'un diagnostique ce «cheval» tout aussi mort-né que celui de la Thalidomide, cause de tant de malformations génétiques ; Ainsi, au Ministère de la mésinformation médicale, le noir est blanc, le blanc est noir !...

« Non contents d'avoir fabriqué par incompétence, vanité, ambition ou cupidité,
de graves maladies, y compris des cancers, des paralysies,
des encéphalites et méningites fatales dont meurent un nombre incalculable d'êtres humains,
ces messieurs des laboratoires vivisectionnistes et chimico-pharmaceutiques ont l'effronterie d'affirmer qu'ils les guérissent, ces maladies !...
Et les mass médias les acclament, par vénalité, servilité, ou ignorance,
fermant les yeux devant toute la documentation irréfutable des Béchamp, Tissot, Ferru,
Quinton, Delarue, Dextreit, Duesberg, et tant d'autres, vrais connaisseurs des lois de la Santé,
mais... "dissidents", et donc accusés - comme Semmelweiss -, d'escrocs ou de psychopathes... »

Pour voir jusqu'où ce «Syndicat du Meurtre» (légalisé et financé par tous les contribuables !) allait mener son jeu, le CIVIS demanda à un vivisecteur de Lausanne, le Pr Georges Peters, des élucidations sur la méningite tuberculeuse : si elle avait vraiment été guérie par l'expérimentation animale et, le cas échéant, de lui expliquer par quel procédé...
Dans sa réponse du 10 mars 1981, ce grand «chercheur», député au Grand Conseil vaudois, professeur à la Faculté de médecine de Lausanne, déclarait dans un préambule qu'il se rendait bien compte du but de sa demande.
De ce fait, il y répondait avec une extrême prudence, qui la rendait trop prolixe pour être reproduite intégralement, mais en voici un passage fondamental, très révélateur :
« La méningite tuberculeuse ne peut pas être reproduite chez les animaux de laboratoire normalement accessibles. Elle pourrait peut-être l'être chez certaines espèces de singes... »

Cette déclaration suffit à elle seule pour réfuter l'affirmation gratuite que P. Mandel d'un côté, Jean Bernard de l'autre, « en travaillant sur des chiens », auraient résolu le problème qu'en fait ils n'ont jamais réussi.

Avant la constitution du CIVIS par Hans Ruesch, ces messieurs de "La Recherche" ont pu affirmer n'importe quoi : la plupart des antivivisectionnistes étant tout aussi ignares dans les questions médicales que les pseudo-chercheurs eux-mêmes ; ils étaient incapables de les démentir (et à ceux, très rares, qui en étaient capables, il suffisait de leur refuser la parole, ou tout simplement de les discréditer, comme cela se fit pour le malheureux Dr. Semmelweiss, et le malheureux Dr. Mayer !!!...)

La parole est encore au Pr. G. Peters : « Les médicaments efficaces utilisés dans le traitement à l'heure actuelle, sont des médicaments qui interfèrent avec la croissance ou la survie des bacilles de tuberculose. Après avoir été sélectionnés sur la base d'expérience in vitro et chez des animaux infectés en d'autres endroits que leurs méninges par les bacilles de la tuberculose, un médicament devant être utilisé dans le traitement de la méningite tuberculeuse doit être testé sur des animaux à différents stades de son évolution avant qu'on ne puisse justifier son application dans le traitement de la méningite tuberculeuse humaine. On doit vérifier par expériences sur des animaux si le médicament choisi n'a pas d'effets toxiques généraux rendant impossible son application chez l'homme comme chez les animaux... »

Bref, on notera que, comme tous ces messieurs de la Recherche, le Pr. Peters se limite à des généralisations, sans la moindre indication précise.
On notera aussi que ce professeur (qui enseigne en 1981, et travaille surtout sur le système nerveux des chats et des singes), croit encore à la validité des tests de toxicité de l'époque Bernadienne du siècle dernier, n'ayant pas encore découvert que l'animal réagit d'une façon différente de l'homme et différente d'autres espèces, et que même deux animaux de la même espèce réagissent différemment !...

De toute façon, par un excès de scrupules, le CIVIS a envoyé la lettre de ce professeur à un des meilleurs experts de la tuberculose de notre temps, le Pr. Pietro Croce, antivivisectionniste, autorité médicale d'expérience internationale, agrégé de l'Université de Milan, membre du "College of American Pathologists" et de l' "American Society of Clinical Pathologists", chef de laboratoire à l'Hôpital «L. Sacco» de Milan, qui lui donna son opinion :
« Il est impossible de répondre à l'avalanche de sottises énoncées par ce Pr. Peters.
Plutôt, sommes-nous certains qu'il s'agit bien d'un médecin ?
Sommes-nous certains que quelqu'un ne se soit pas approprié du papier à lettre du Pr. Peters, à son insu ?
J'ai travaillé de 1946 à 1973 dans les Hôpitaux de l'INPS (sécurité sociale italienne). En plus, j'ai travaillé pendant plus d'une année au National Jewish Hospital à Denver (Colorado), spécialisé dans la cure et la recherche sur la tuberculose. J'ai publié un livre, «Vita e morte dei microbatteri», 476 pages, 113 illustrations, préface du Pr. Paul Hauduroy, bactériologue de l'Université de Lausanne et de la Sorbonne....
Je crois donc pouvoir me considérer comme expert en matière de tuberculose.
Et c'est justement cela qui m'empêche de répondre au soi-disant Pr. Peters.
Vous pouvez faire l'usage que vous voudrez de ma lettre, vous pouvez me citer ou ne pas me citer, comme cela vous semblera plus utile pour votre lutte, que vous conduisez en premier lieu pour la défense de l'homme !... ».

Un ministre de la santé publique Monsieur Cl. Perey, conseiller d'Etat, chef du Département de l'intérieur et de la Santé publique du canton de Vaud (Suisse), répondait le 21-07-79 à l'ATA qui lui avait demandé des renseignements sur l'expérimentation animale que son bureau subventionnait avec l'argent du contribuable suisse. La lettre de M. Perey disait notamment : « Les connaissances acquises lors de l'étude de la répercussion d'une ischémie sur la paroi de l'intestin grêle ont permis, entre autres, d'identifier une des complications très importantes de l'adaptation du nouveau-né à la vie extra-utérine, soit d'identifier les causes de l'entérocolite nécrosante. Dès lors, un traitement adéquat a permis de faire disparaître presque complètement cette complication de la période néonatale. »

La réponse de ce «ministre de la santé» vaudois démontre jusqu'à quel point les autorités gouvernementales suisses, pas moins qu'ailleurs, se prêtent à mener la propagande vivisectionniste qui leur est dictée par le Pouvoir médical allié au Syndicat chimique, qui ne se sont jamais souciés de la santé du peuple, mais exclusivement de leur propres intérêts pécuniaires !...

Monsieur Cl. Perey fait des affirmations qui ne peuvent être les siennes, puisqu'il n'est ni chercheur ni médecin, mais un simple magistrat.
De toute façon, il en assume la responsabilité par sa signature sur du papier à lettre officiel.

Le 31-12-80, Hans Ruesch écrivait à M.Cl. Perey : « Je conteste catégoriquement la véracité de vos affirmations et je vous défie de m'en donner les preuves scientifiques, et non seulement des mots scientifiques, qui dorénavant ne suffiront plus à duper l'opinion publique !...
J'attends donc, dans le plus bref délai, une description des travaux qui auraient été faits sur les animaux pour arriver à l'identification en question, et de quelle façon les chercheurs, en travaillant sur des animaux, auraient pu apprendre à prévenir l'entérocolite nécrosante, ou à la guérir.
Car c'est bien de cela qu'il s'agit ? De prévenir et guérir des maladies humaines, en utilisant des animaux comme "modèles" ?!... »

Exactement un mois plus tard, aucune réponse n'étant encore parvenue de M. Cl.Perey, Hans Ruesch écrivait encore :
« Les explications que vous m'avez données représentent un tas de sottises, compilées par des laborantins totalement ignares en matière médicale, dans l'espoir de confondre des gens qu'ils espèrent être tout aussi ignorants qu'eux.
On prétendrait nous faire croire qu'en provoquant artificiellement dans l'animal l'ischémie (suppression de la circulation sanguine) sur la paroi de l'intestin grêle, on aurait réussi à comprendre la pathogénèse de l'entérocolite nécrosante.
C'est encore une fanfaronnade, car l'ischémie de n'importe quelle partie d'un organisme vivant provoque toujours et inévitablement une nécrose !
Il n'en pourrait être autrement, et vos laborantins, comme tous leurs collègues vivisecteurs, n'ont rien appris et rien enseigné de nouveau, sauf comment gaspiller des fonds publics-argent du contribuable !...
L'entérocolite nécrosante est une maladie très probablement d'origine infectieuse, comme le démontre le fait que parfois elle se manifeste épidémiquement dans les hôpitaux, source principale de maladies.
En ajoutant que l'entérocolite nécrosante est une des complications très importantes de l'adaptation du nouveau-né à la vie extra-utérine, vos informateurs voudraient nous faire croire que "l'adaptation à la vie extra-utérine" entraîne des complications !...
Mais depuis quand l'adaptation à la vie extra-utérine est-elle une maladie avec la possibilité de complications ?!...
Si ce n'est des complications infligées par l'incompétence de l'actuelle Science médicale qui est devenue, comme il a été universellement reconnu, la principale cause de maladie.
Et c'est vous, M. Perey, et vos alliés, qui octroyez a de pareils «chercheurs» des subventions publiques pour pouvoir continuer leurs expériences de Grand-Guignol dans les laboratoires vivisectionnistes !
Laissez-moi vous dire, Monsieur le Conseiller, que vous êtes très mal conseillé !... »

N'ayant évidemment pas bien digéré la lettre que lui avait adressé le fondateur de CIVIS, le conseiller d'Etat Cl. Perey la passa à la Direction Générale du CHUV, avec la prière de le sortir du bain dans lequel ses «savants» l'avaient mis par leurs déclarations téméraires.
C'était bien la première fois que quelqu'un osait mettre en doute publiquement - et intelligemment - la compétence scientifique des gros bonnets des laboratoires.
Et puisque CIVIS n'avait pas l'air de vouloir en démordre, il fallait bien lui fournir quelque bonne «explication». N'importe quoi.
Celle-ci arriva sous forme d'une lettre de trois pages, signée par « Le Doyen de la Faculté de médecine Prof.Rivier » et « La Direction générale du Centre hospitalier universitaire vaudois, Professeur Prod'hom, Directeur général ».
Bien que ces grands manitous de la Recherche devaient avoir travaillé pas mal de temps à la compilation de leur réponse, qui ne portait la date que du 28 avril 1981, elle ne contenait, elle aussi, pas une seule des élucidations scientifiques qui avaient été requises, mais rien d'autre que des généralisations, des affirmations gratuites, sans preuve, à savoir : « Les connaissances des mécanismes conditionnant l'apparition de l'entérocolite nécrosante ont pu être élucidées seulement par l'expérimentation animale », ou « La connaissance des mécanismes physiopathologiques décrits a été acquise exclusivement grâce à l'apport de l'expérimentation animale... ».

Mais de quelle façon ?
Ça, on ne nous le dit jamais de façon claire et précise.
Donc, affirmations, affirmations, affirmations...
Preuves : NÉANT, comme de coutume !...

(La lettre se terminait par une énumération de huit publications américaines, dont la lecture était recommandée !
Le titre de l'une d'elles indiquait, par exemple, qu'on avait fait des expériences vivisectionnistes sur des... cochonnets nouveau-nés,... asphyxiés...)



Ptolémée et l'expérimentation animale !

L'astronome grec Ptolémée (2e siècle apr.J.-C.), auteur d'oeuvres célèbres comme une Géographie qui a fait autorité pendant tout le Moyen Age, avait développé une théorie parfaitement cohérente mais fausse, étant bâtie sur une prémisse erronée : "que la Terre est placée au centre de l'Univers et est immobile".
En partant de cette prémisse fausse, Ptolémée donnait des explications parfaitement convaincantes des phénomènes célestes.

Ainsi, les théories de l'apôtre de la vivisection, Claude Bernard,
acceptées aveuglément il y a plus d'un siècle,
peuvent paraître justes à ceux qui veulent y croire,
mais elles sont fausses puisqu'elles se basent sur des prémisses fausses :
Sur l'illusion que les animaux réagissent comme l'homme,
qu'une maladie induite artificiellement par des interférences arbitraires
est la même qu'une maladie qui surgit "spontanément"
(par les incohérences alimentaires du sujet),
et qu'en supprimant les symptômes, la maladie disparaîtra elle-aussi. 

Ainsi les vivisecteurs construisent des systèmes cohérents et parfaitement convaincants
pour ceux qui ne réalisent pas que les modèles sur lesquels ils se basent sont faux !...

Chaque système cohérent, même faux, a le mérite-démérite de fournir des schémas conceptuels.
Le mérite consiste dans la présentation d'un vaste champ pour des discussions philosophiques et pseudo-scientifiques, et des prétextes pour une infinité de nouveaux travaux, discussions, expérimentations, symposiums, congrès, publications, demandes de subventions, etc.
Le démérite est implicite dans sa fausseté et annule tout le reste.

Voilà pourquoi toute l'actuelle recherche bio-médicale basée sur l'expérimentation animale (et sur la "philosophie vivisectionniste" en vigueur dans le monde allopathique, contrairement à la "philosophie holistique" en vigueur dans le monde homéopathique) n'est qu'une sanglante et monstrueuse machine bruyante - grande dévoreuse des deniers publics et des économies des contribuables -, qui tourne dans le vide !...



Revenons-en maintenant à notre exemple de "l'entérocolite nécrosante".
Il est possible que les chercheurs aient su construire un système expérimental cohérent (bien que la lettre précitée n'en donne aucune indication) et avec ceci un schéma, ou une série de schémas conceptuels, capables de fournir des prétextes pour d'innombrables discussions, publications et nouvelles expérimentations sanglantes et rémunératrices.
Mais ils ne veulent pas s'apercevoir que leur machine s'appuie sur des prémisses qui ne tiennent pas debout.
Ils préfèrent rester aveugles aux grossières différences entre l'enfant (souvent prématuré) atteint d'une entérocolite néonatale et le modèle, arbitraire, du chien (probablement) adulte, ou du cochonnet.
L'ischémie induite (probablement par des moyens mécaniques brutaux) chez le chien ou le cochonnet n'a rien à voir avec l'ischémie qui surgit, à la suite de mécanismes tout à fait différents, chez l'enfant prématuré ou de toute façon atteint déjà pendant la période prénatale.

En somme, ils ont fabriqué chez le chien ou autre animal une maladie qui singe grotesquement celle de l'enfant, mais qui est une maladie complètement différente. Ils déclarent avec une profonde satisfaction qu'on ne pouvait faire cela que chez un animal, et jamais dans une culture cellulaire !...
Mais que le modèle soit vrai ou faux, peu importe.
Ce qui importe, c'est de pouvoir publier, se pavaner dans les congrès, demander des subventions... surtout demander des subventions !!!...

En 1979-80, le Pr. Henri Sarles de l'INSERM de Marseille jouit d'une notoriété éphémère grâce à des démêlés en justice avec Brigitte Bardot, qui avait fait des déclarations défavorables à son égard sans en avoir les preuves en main.
L'appareil de propagande du Ministère de la mésinformation se mit immédiatement à l'oeuvre.
Les gros bonnets de la vivisection rivalisèrent entre eux pour chanter les louanges de leur collègue, et les journaux s'empressèrent de les étaler dans leurs colonnes, en profitant de l'occasion pour exalter les «miracles» de la Recherche.
Comme de coutume, ils se refusèrent à publier les réfutations les plus documentées.
Ainsi, Le Figaro du 4-12-79 rapportait une affirmation aussi lapidaire que gratuite d'un Pr. de Vernejoul, présenté comme « membre de l'Académie des Sciences, président de l'Académie » : « Ses travaux ont permis au Pr. Sarles de faire des découvertes dont profitent de très nombreux malades. L'expérimentation sur l'animal est donc indispensable ». 
Aucune des contestations de cette phrase, qui ne contient pas un mot de vérité, ne parut dans Le Figaro, qui pourtant en reçut un grand nombre...

En compagnie d'une nombreuse équipe d'aficionados, principalement de sexe féminin, le Pr Sarles martyrise - avec l'argent du contribuable français, ignare et dupe - des chiens des années durant pour «démontrer» les ravages de l'alcool, que déjà les Romains de l'Antiquité n'ignoraient pas.

En fait, ils savaient déjà tout ce qu'on sait aujourd'hui à ce sujet, à savoir, que la seule façon d'en éviter les ravages est d'en réduire l'absorption !...

En singeant des expériences qui ont été faites depuis les temps de Claude Bernard dans des dizaines de milliers de laboratoires physiologiques du monde entier, le Pr Sarles force nombre de chiens à boire quotidiennement une quantité d'alcool, et ensuite leur prélève, trois fois par semaine, à l'aide d'une sorte de robinet métallique implanté en permanence dans leur pancréas mutilé, le suc pancréatique, à des fins d'analyse.
Cela pendant quatre à cinq ans, sauf pour ceux qui ont la chance de crever bien avant.

Les chiens sont supposés ne jamais se coucher sur le ventre, car cela pourrait tout gâcher.
Dans une déclaration à la presse en décembre 1979, le Pr Sarles avait dit : « J'aime beaucoup les animaux, mais j'aime encore davantage les hommes ».
Son grand amour pour l'humanité inclut aussi les ivrognes, car c'est sous le prétexte de chercher un moyen qui leur permettra de continuer à se soûler sans mourir d'une cirrhose qu'il s'acharne sur ses chiens bien-aimés ...

Tous sont très forts lorsqu'il s'agit d'accomplir la première moitié du programme, c'est-à-dire à endommager leurs victimes.
C'est lorsqu'il s'agit de trouver un remède qu'ils échouent tous sans exception !...


[En 1992, Louis Bériot, directeur de programmes de France 2, nous fait découvrir - dans son ouvrage "Le Grand Défi : tous centenaires et en bonne santé" - un autre grand vivisecteur : le Dr. D.L. Knook, directeur du centre expérimental de gérontologie au TNO (équivalent de l'INSERM), situé à La Haye en Hollande (C'est pas le fameux "Dr. Knock", mais c'est tout comme (!) (:oD))...
Outre que l'on y apprend un futur gaspillage de 200 millions de francs, on y constate aussi toute l'ampleur grand-guignolesque de cette ubuesque "Recherche Médicale Scientifique" :
 « Une des lacunes de notre fameux mode de vie, c'est la propension générale à boire de l'alcool et de plus en plus de whisky.
Cela intrigue tellement le docteur Knook qu'il a décidé de lancer un programme de recherche sur le sujet.
Il n'y va pas par quatre chemins : il offre à des singes une bouteille de whisky par jour, et à des rats, de l'eau coupée de cet alcool dans la proportion de 50%...
Que les buveurs de whisky se rassurent, ce n'est pas du "hors d'âge", c'est de l'ordinaire acheté - aux frais du contribuable - au supermarché du coin (sic) (...)

L'expérience venait de commencer. Il faudra attendre un moment avant de pouvoir interpréter les résultats de travaux aussi singuliers...
Le TNO étudie aussi sur des chimpanzés des traitements de l'hépatite et du sida.
Je demande au Dr. Knook pourquoi il ne faisait pas cela directement sur les hommes (ce ne sont pas les imbibés qui manquent), et s'il n'avait pas de protestations des ligues de défense des animaux : "Sur les hommes ce ne serait pas possible parce qu'il faudrait les prendre intacts et les faire boire, nous aurions quelques difficultés à faire admettre cela. Pour le reste, nous ne faisons pas trop de publicité !!!
(Et dire qu'ils sont des centaines, voire des milliers à infliger à d'innocentes créatures ces expériences... "sans trop de publicité" !!!)

Un litre par jour, c'est tout de même un peu barbare, et, par un sentiment sans doute incohérent, j'en viens à trouver cela ignoble pour le singe et normal pour le rat.
M. Knook m'a donné une autre information qui peut justifier d'une certaine façon le groupe "Eurage" (Cf. tentative européenne de "Coordination de la Recherche", dotée en 1990 d'un budget d'un million de francs !!!...) :
Eurage permet l'échange de rats ! (sic)...
Un rat de trois ans vaut 1.500 francs ; quant on sait que des dizaines de milliers de ces animaux sont les cobayes préférés des chercheurs, on comprend que des crédits-rats substantiels soient nécessaires.
Ces rongeurs ont cependant un inconvénient : Ils ne sont pas fiables pour étudier les démences...
Il est très difficile de savoir si un rat est fou ou ne l'est pas ! » (C'est déjà difficile pour les hommes)]


Quant à la « preuve » qu'il fallait au Pr. Sarles pour « démontrer » qu'il n'avait pas commis de cruauté envers les animaux et gagner son procès pour diffamation contre Brigitte Bardot, il l'obtint aisément d'un de ses collègues : le Pr. Bernard Cristo de la Faculté de pharmacie de Marseille, qui témoigna avoir assisté à l'acte chirurgical de l'implantation du cathéter sous le ventre des chiens et que cette opération s'était passée sous anesthésie (Nice-Matin, 4-6-80).

Peut-être, mais ensuite ?!...
Garder des années durant un robinet dans un pancréas partiellement détruit et qui est ensuite soumis à différentes manipulations, équivaut très vraisemblablement à un martyre auquel le Pr. Sarles ne se soumettrait jamais ; mais aux chiens qui ont le toupet de protester on peut toujours faire subir le supplice supplémentaire du tranchage des cordes vocales. 
Une nouvelle diffamation de ce grand philanthrope ?
Pas du tout : le professeur le confirme, dans le même article de Nice-Matin :
« Quant au Pr. Henri Sarles, il s'est expliqué sur la résection des cordes vocales des chiens, procédé couramment utilisé, selon lui, pour éviter que les bêtes n'aboient à chaque bruit qu'elles perçoivent près du chenil » (SIC)...

Le nom du Pr. Sarles réapparaît depuis, sporadiquement, dans les articles prônant plus ou moins sournoisement la vivisection.
Ils sont devenus de plus en plus fréquents, non seulement dans des organes officieux de cette pratique, comme "Science et Vie" (le "n°1 de la presse scientifique européenne" (!)), mais aussi dans la grande presse !...

Dans un de ces articles, lardés des principales contrevérités vivisectionnistes, paru dans Figaro-Magazine (14-02-81), le journaliste Yves Christen et le Pr. Sarles joignent les mains pour faire l'apologie de la vivisection :
Après avoir attribué la responsabilité de son expansion aux... consommateurs !

[Comme s'ils avaient vraiment un choix, avec toute cette désinformation dont on les abreuve !
(La Liberté n'existe que si l'on est réellement INFORMÉ... La désinformation et la mésinformation ne sont qu'une privation de notre liberté et de notre libre arbitre. Une sorte d'inquisition fasciste que je n'hésite pas à comparer à un "crime contre l'humanité", et à une forme moderne d'esclavagisme !...)]

... Yves Christen écrit : « Il reste bien une solution : expérimenter sur l'homme. Ce que préconisent quelques antivivisectionnistes de choc qui suggèrent de "remplacer les animaux par des foetus, des prisonniers, des émigrés, des chercheurs, et  des enfants !" »...
Il fallait oser, ils ont osé !...

Voilà un mensonge particulièrement odieux, vu que c'est justement les antivivisectionnistes qui dénoncent régulièrement ces pratiques des chercheurs qui expérimentent sur les humains, de préférence sur les enfants et les déshérités...

Yves Christen, serviteur zélé du système, poursuit ses efforts en affirmant : « On le voit, entre l'homme et l'animal il faut choisir » (SIC).
Après quoi il redonne la parole au Pr Sarles : « Le fond de l'affaire, dit le professeur, est en réalité la déviation psychique d'un certain nombre de misanthropes qui ont reporté sur les animaux un amour pathologique associé à une profonde haine de l'humanité ».

L'arrogance de vouloir assimiler le mépris envers les vivisecteurs à la misanthropie n'est pas seulement, elle, un signe de déviation psychique, mais aussi d'un manque de logique.
Évidemment, qui déteste les vivisecteurs, n'est pas misanthrope mais, au contraire, un humaniste dans le plein sens du mot :
Il ne déteste qu'une part bien déterminée du genre humain, justement la plus déshumanisée, la plus méprisable.
Celui qui prend la défense des animaux, aime en eux leurs qualités "humaines", qu'il sait reconnaître et apprécier, et non pas des qualités "bestiales", qu'on trouve malheureusement surtout chez certains êtres humains qui, comme les vivisecteurs, ne sont pas dignes de cette appellation ("HUMAIN" !)...



Sûrement le Pr. Sarles ignore tout cela, car il a démontré ignorer même la littérature scientifique française, que ses collègues du monde entier ne cessent de citer.
Dans une lettre parue le 4-3-1980 dans "Marseille Sept", le Pr. Sarles a affirmé : « Le terme de vivisection a été créé par la femme de Claude Bernard. Elle n'aimait pas son mari... Ce terme signifie dans la bouche de ceux qui le profèrent "expérimentation sans anesthésie"... »

Voilà une déclaration accablante pour un homme qui accuse toujours ses adversaires d'ignorance ; elle démontre qu'il ne connaît même pas les oeuvres de son maître, le grand apôtre de la vivisection, justement Claude Bernard !
Le terme vivisection n'est pas une invention de sa femme, mais était employé couramment par lui-même et ses collègues comme synonyme d'expérimentation animale.
Or, n'ayant pas lu ses oeuvres, le Pr. Sarles ne pouvait pas savoir que Claude Bernard faisait déjà, au siècle dernier, les expériences inutiles et cruelles que lui, Sarles, comme tous ses collègues, font aujourd'hui, et avec le même résultat : NÉANT !!!...

[Un résultat si néant d'ailleurs, qu'on découvre dans "l'Union" du 13-08-1996 un article vraiment consternant, et qui démontre une fois encore combien la bêtise humaine est infinie : « "COBAYES HUMAINS", un petit job lucratif »...
Non seulement ce petit article nous démontre que les vivisecteurs n'ont pas attendu les "antivivisectionnistes de choc" pour jouer au Dr. Frankenstein sur les hommes...
Mais démontre également que ces chercheurs n'ont jamais rien appris des millions d'animaux sur lesquels ils ont déjà expérimenté leurs produits.

On y apprend en outre que des dizaines de milliers de personnes « qui doivent toutes être en bonne santé » - et beaucoup trop confiantes en ces savants fous (ainsi, un malheureux dont la famille a déjà été éprouvée par la maladie se soumet à cette médecine barbare pour "faire progresser la recherche") - s'adonnent à ce « petit métier peu connu » où : « les médicaments y sont administrés pour la première fois à des humains, après avoir été testés sur des animaux de laboratoire » (!) ...

Et on y apprend encore que...
(Bien que la nocivité d'un médicament allopathique ne se déclare souvent que quelques années après ses premières utilisations, parfois même plusieurs décennies.. ou même à la génération suivante comme les tristement célèbres "Distilbène" "Thalidomide" et tant d'autres encore comme je l'évoquais également dans mon dossier sur le fameux "Médiator" des laboratoires Servier, décoré de la Légion d'Honneur des propres mains de Sarko-Vador  (!) (http://2013-continuum.blogspot.com/2011/05/medis-tort.html)... Et quand il n'hypothèque pas simplement notre potentiel vital et immunitaire, ou la santé de nos descendants (via ce que leurs transmettent la mère ET le père !!!))
... Ces inconscients ne sont pourtant suivis que quelques mois, les médicaments ainsi testés étant généralement commercialisés au bout de six ans d'études bidonnées de ce genre !...

Même 12.000 à 25.000 Fr d'indemnités non imposables, c'est peu payé pour compenser de tels risques sur sa santé.
Heureusement que « la "loi Huriet" protège les personnes se prêtant à la recherche biomédicale », car, malgré les très mercantiles propos de Danièle Bernath (chargée de recruter les "volontaires" en les abusant outrancièrement - "consentement éclairé" ? Mon oeil - (Cf. « les risques sont limités par une surveillance médicale étroite tout au long de l'expérience. Ils sont inférieurs à ceux de l'automédication, largement pratiquée en France » (sic))) :
« Très peu de femmes sont élues : leurs futures maternités pourraient être compromises par... des produits dont on ignore encore tous les effets ! » (sic) (eh oui : APPRENTIS SORCIERS !!!...)]

A SUIVRE !!!





 



Quand je pense que certains membres de l'Église Catholique en sont encore à croire aux prétendus bienfaits de l'expérimentation animale, malgré toutes les dénonciations par ailleurs d'autres catholiques - comme moi par exemple (!) - de cette pseudo-science qui tient plus de la barbarie, du sadisme et de la connerie la plus affligeante que d'une authentique recherche médicale scientifique...
Je n'ai franchement pas le coeur à paraphraser Jésus-Christ
"Pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font" !
C'était il y a plus de 2.000 ans...
Il y en a marre de leur pardonner toujours ce genre de connerie morbide et cruelle.
LA VIVISECTION EST UN CRIME... ET LES VIVISECTEURS DES CRIMINELS !!!!!

4 commentaires:

  1. pt c' horrible ..... je comprend même pas comment on peut faire autant de mal a un animal

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  2. Rappel de ce que j'écrivais déjà il y a une vingtaine d'années.... À la suite d'Hans Ruesch qui en avait aussi parlé il y a bien plus longtemps encore :
    => Ces expériences sont-elles nécessaires et fiable ?
    Utiliser des animaux comme modèle pour des expériences est un leurre pour trois raisons essentielles :
    Les maladies provoquées dans les laboratoires sont des modèles utopiques, elles ne sont pas identiques aux maladies qui se présentent dans la réalité.

    Les différentes espèces animales réagissent de manière différente l'une de l'autre et de manière différente de l'homme. Chaque individu réagit individuellement.

    Le stress, l'angoisse et la peur auxquels sont soumis les animaux de laboratoire altèrent leurs réactions et leurs réponses.
    Quelques exemples concrets :
    L’aspirine, extrait de l’écorce de saule, existe depuis 100 ans. De par le monde, on en consomme chaque année près de 100 milliards et une cinquantaine de médicaments, vendus sans ordonnance, sont faits à base d’aspirine. Ce médicament, reconnu comme efficace et populaire auprès du public, n’aurait pu être commercialisé si on avait pris en considération que l’aspirine est toxique pour les rats, les souris, les chiens, les chats et les singes.

    L'arsenic n'a pas d'effets nocifs sur les singes et les poulets alors qu'il est mortel pour l'homme

    La morphine est un calmant pour les humains et les rats mais produit un état d'excitation maniaque chez les chats et les souris.

    Une dose d'opium qui serait mortelle pour l'homme est sans danger pour le chien

    Les chats peuvent supporter des doses d'inhalateur isoprotérénol (pompe aérosol pour les asthmatiques) 175 fois plus élevées que celles administrées aux asthmatiques avant de succomber (résultats 3,500 décès à travers le monde).

    L'open, un médicament utilisé pour essayer de soulager la vie des handicapés moteur, a causé de multiples morts d'humains avant d'être retiré du marché. Il avait pourtant été vérifié sur les animaux.

    La Thalidomide fut testée sur des milliers d'animaux et prônée inoffensive. Résultat, des milliers d'enfants nés avec des malformations graves en ont payé le prix !

    Le persil est mortel pour les perroquets et l'abus de sel pour tous les oiseaux, l'amanite phalloïde ne dérange ni les limaces ni les écureuils, mais est mortelle pour l'humain.

    En 1785, William Withering, médecin et botaniste anglais, testa avec succès sur ses patients atteints de cardiopathies une infusion de feuilles séchées de digitale. Des chercheurs scientifiques découvrirent pour leur part que la digitale élevait dangereusement la pression sanguine des chiens. Il fallut attendre près de 150 ans avant que la digitale ne soit reconnue comme bénéfique pour les humains...

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  3. Depuis le siècle dernier, on a sacrifié une quantité démesurée de chiens pour tenter de comprendre le diabète, la troisième cause de décès en Amérique du Nord, derrière les maladies cardio-vasculaires et le cancer. Depuis la découverte de l’insuline, les morts par diabète n’ont pas diminué mais augmenté. L’incidence de cette maladie double tous les dix ans.

    On croit à tort que ce sont les Canadiens Best et Banting qui, en 1921, ont démontré le rôle de l’insuline dans cette maladie. En 1788, le médecin Thomas Cawley avait déjà fait le rapport entre le diabète et la dégénérescence du pancréas - sans expérimentation animale - en examinant le corps d’un de ses patients, mort de cette maladie. Déjà en 1766, un autre médecin Matthew Dobson détectait un taux élevé de sucre dans l’urine d’un de ses patients.
    Il y a 50 ans, le Dr. J.E.R. McDonagh, chirurgien anglais, émettait des doutes quant à l’utilité de l’insuline : « Le diabète est un symptôme, non une maladie, et l’insuline ne fait que pallier ce symptôme. Le médicament ne donne pas d’éclaircissement sur la cause, il n’agit pas de la manière décrite et, si la cause avait été trouvée et supprimée comme elle peut l’être, il n’y aurait pas eu de raison de l’utiliser ».

    Pour étudier le diabète, l’un des animaux favoris des vivisecteurs est le chien. Sacrifié à tort puisque cet animal a des habitudes alimentaires et des réactions organiques radicalement dissemblables à celles des humains. Or il a était mis en évidence par une étude rapportée par le Dr Inder Sigh que le diabète est lié à l’alimentation ou à des facteurs environnementaux.

    Aujourd'hui les cas de diabète sont rares, sinon inexistants, dans les pays où on consomme surtout des céréales, des légumes et des fruits. Dans les cas de diabète juvénile, certains avancent l’hypothèse que les vaccins pourraient déclencher le processus de la maladie.
    De plus en plus, des voix s’élèvent dans le milieu médical afin de dénoncer la nocivité des vaccins. Celui de la poliomyélite, jugé "miraculeux" dans les années 50, s’avère en fait dangereux. Fait à partir de reins de singes, le vaccin fut maintes fois contaminé par des virus animaux.
    L’iode et la pénicilline sont d’autres exemples de médicaments découverts sans expérimentation animale. Les principaux progrès de la médecine dans certains domaines relèvent de l’observation clinique des patients, de mesures d’hygiène, de découvertes fortuites et de l’épidémiologie.
    La médecine n’a pas besoin de la vivisection pour vraiment progresser. Les États-Unis, le plus grand consommateur mondial d’animaux de laboratoire, ne constitue pas la nation la plus en santé. L’espérance de vie des Américains ne détient que la 17ième place au palmarès de la planète.
    L'emploi de certains médicaments utiles pour les humains a été retardé en raison de leurs effets nocifs sur les animaux : La digitaline, utile pour les maladies cardiaques, fut trouvée dangereuse pour les chiens sur lesquels elle fut testée. La pénicilline, l'antibiotique si utile, est mortelle pour les cochons d'Inde mais ne fut heureusement pas testée sur eux. L'usage du chloroforme fut longtemps retardé en raison de sa grande toxicité pour les chiens.
    D'une personne à l'autre, on ne supporte pas les mêmes doses et pas les mêmes médicaments. D'une espèce à l'autre les différences sont encore plus énormes. On ne peut extrapoler scientifiquement les résultats d'une expérimentation animale et l'appliquer à l'homme. Un vétérinaire ne conseillerait pas de donner à un chien un produit expérimenté sur des lapins et pourtant, l'expérimentation animale nous recommande de donner ce même produit à nos enfants ou nos parents. ...

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  4. Et vous avez probablement entendu parlé récemment de ces cobayes humains, qui, payés pour tester des médicaments, sont entre la vie et la mort .... Dont un même est déjà mort alors qu'il était juste avant "en excellente santé" ! (Mort cérébrale subite :( )

    Sans surprise, les bons chercheurs vivisecteurs se sont aussitôt dédouanés de ces "meurtres sur ordonnance" en déclarant << on avait pourtant fait les expériences sur les animaux >> (sic)
    Plus d'un siècle que dure cette supercherie ... Et ça continue encore et encore et encore et encore .........
    (Et encore .... Il s'agit là d'effets immédiats finalement bien rares en regard des effets à long terme des médicaments chimiques, qui ne se manifestent pas au bout de quelques jours, mais parfois plusieurs mois après .... Si ce n'est même plusieurs années plus tard !)

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