mercredi 1 mai 2019

La belle histoire gâchée du vaccin ...


Comme notre cher réseau dit "social" Facebook semble bloquer et censurer de plus en plus ceux qui ont l'outrecuidance d'oser seulement poser un regard critique sur la sacro-sainte religion mondiale officielle actuelle (le "vaccinalisme" forcené (!))... Je pose là ce que m'avait inspiré la fameuse "Semaine Mondiale pour la Promotion de la vaccination" (!) (La "partie 1" qui avait déjà été publié l'année dernière (1) (https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=534430116942503&id=100011265574907)... Et le début de la "partie 2", toujours en cours de rédaction (!))

[A noter que ce titre "La belle histoire gâchée du vaccin" m'a été inspiré par deux choses. 
D'abord un article que je venais de découvrir avec un titre du genre "vaccin, toute une histoire", où l'on nous contait vraiment une belle histoire ... Une trop belle histoire. En fait une hagiographie emplie d'étincelantes "images d'Epinal" (!)
Dans le même temps, je venais aussi de découvrir un reportage d'Arte que j'avais bien apprécié : "Thorium, la face gâchée du nucléaire"...
Et là évidemment le titre s'impose : il y a une vérité cachée derrière cette "belle histoire"... Une face cachée ... Une face "gâchée" même, comme pour cette histoire du thorium dans la course folle à l'énergie nucléaire ...  ]

LA BELLE HISTOIRE GÂCHÉE DU VACCIN !

(Oui... "cachée" aussi, mais surtout "gâchée" :'( ) (**)


Médecine moderne et scientifique la vaccination ?
Lorsque des vaccinalistes attaquent l'homéopathie, ils adorent notamment la dénigrer sur l'époque de son fondateur Samuel  Hahnemann en l'accusant d'être, je cite : « Des idées d'un autre âge » ! (Sic)
[Il y a déjà une trentaine d'années que j'avais entendu ça ...
Une variante récemment vue encore - dans une loooooooongue diatribe de vaccinolâtres anti-homéopathie (et fustigeant aussi les braves médecins homéopathes) : « Comment expliquer que des médecins puissent avoir un comportement aussi peu scientifique et prêtent leurs diplômes à cette croyance d’un autre temps ? » (Re-sic")]

Ah bon ... Des croyances et idées d'un autre âge et d'un autre temps les travaux scientifiques de Samuel Hahnemann ?
C'est vrai ça date de deux siècles déjà ...
Et pourtant hein :
Saviez-vous que, dès le XIe siècle, pour combattre ce que l'on n'appelait pas encore la variole mais "le fléau des familles" - puis plus tard  "la petite vérole" -, les Chinois pratiquaient déjà cette fameuse technique pré-vaccinale qu'est la variolisation ?

Eh oui, la "vaccination" est une idée qui daterait de 10 siècles déjà ; sacrée médecine de la science moderne, comme ne cessent de le chanter nos vaccinolâtres tout en accusant l'homéopathie de n'être prétendument "qu'une médecine d'un autre âge"  :D

Une pratique d'ailleurs imaginée non par un biochimiste ou un microbiologiste hein, mais il y a un millier d'années déjà par un moine taoïste (!)

{Enfin ça, c'est ce que nous affirment les adeptes de la religion vaccinale, qui, quand ils oublient que c'est pourtant l'un de leur argument préféré pour dénigrer l'homéopathie, adorent nous asséner que "leur pratique médicale" bénéficie d'une ancienneté des plus respectables :
- "... Dès le XIe siècle, les Chinois pratiquaient la variolisation : il s'agissait d'inoculer une forme espérée peu virulente de la maladie en mettant en contact la personne à immuniser avec le contenu de la substance suppurant des vésicules d'un malade. C'est le premier ministre Wang Dan qui après la perte d'un de ses fils de la variole avait convoqué divers praticiens de toute la Chine pour mettre au point une prophylaxie. Un moine taoïste apporta la technique d'inoculation qui se diffusa progressivement dans toute la Chine. ..." (Cf. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Variole)}

••• J'ajouterai ici un extrait de ce que j'écrivais dans l'un de mes premiers articles, il y a déjà une bonne vingtaine d'années  :
<< ... Tout cela n'est pourtant guère moderne, et le combat que je livre ici pour dénoncer la folie de notre mondiale "passion" pour les "substances carnées" (viandes, charcuteries, protéines animales, ...), les vaccins, antibiotiques, transplantations et autres "produits miracles" de la cellulothérapie, était déjà celui du grand Ambroise Paré vis à vis de cette miraculeuse substance de l'époque : la "Mummie" !

[Étrange médication qui n'était d'ailleurs guère différente de ce dernier scandale qui vient d'éclater début 1997, à propos de l'hormone de croissance, que l'on tirait de l'hypophyse de cadavres humains pour l'injecter dans des enfants qui n'étaient même pas malades !
 Ils étaient juste un peu plus petit "que la norme" (!), et des dizaines n'auront pu grandir, morts de ce traitement. 

Là encore, comme avec l'alimentation carnée, on s'attaque seulement à "la contamination par les prions de la vache folle". 
Mais il faut savoir que c'est bel et bien le principe même du traitement qui a tué ces pauvres enfants. 

Tous, heureusement, n'en sont pas morts, mais cela n'est peut-être pas beaucoup mieux, car ce traitement insensé à déclenché toute une gamme de pathologies diverses, et un affaiblissement général des défenses immunitaires de l'organisme ! :( :( :(

Il paraît que c'est interdit dorénavant de prélever ces hormones sur les cadavres... alors on continue d'injecter à ces malheureux enfants qui n'étaient pas malades... des hormones chimiques de synthèse. Triste !... ]

Le Dr. Paul Niehans - inventeur de cette incroyable thérapie cellulaire dont je vous parlais plus tôt -, est fier d'avoir validé sa fameuse thérapie grâce au "sauvetage miraculeux" du pape Pie XII (qui tint alors à lui manifester sa confiance en l'appelant à siéger à "l'Académie pontificale des Sciences", comme successeur de Sir Alexander Fleming, père de l'aussi fameuse pénicilline. Ce qui fit d'ailleurs naître une autre rumeur malveillante, lui donnant des liens de parenté avec une famille impériale allemande, liens qui expliquaient ainsi son succès auprès des "gens du monde" (!))... 
Mais la "Mummie" aussi avait eu l'aval de grands de ce monde !!!

Voici par exemple le témoignage que j'ai découvert dans l'ouvrage "Les Grandes Énigmes", au chapitre "année 1483": 
« (...) Tandis qu'au Caire, Chrétiens, Musulmans et Juifs s'émerveillent devant les cadavres "ressuscités" de leurs ancêtres, les plus audacieux s'aventurant tout au plus jusqu'à tâter leurs os, les Européens, à la même époque, n'hésitent pas à consommer, en tant que remède, les corps plus ou moins desséchés d'antiques momies. :O

Fabriqué en principe à partir de momie, le remède en question, appelé "Mummie", parvient chez les pharmaciens (les apothicaires !) sous trois formes : morceaux de cadavre, pâte noirâtre ou encore poudre obtenue en consumant les corps !

 (Et après ça, on va s'étonner des épidémies de peste ou de choléra... tout comme on s'étonne aujourd'hui de "l'épidémie" des maladies immuno-dépressives. 
Mêmes lois de causes à effets !!!)

Certains laboratoires, considérant sans doute que la recherche de momies est par trop fastidieuse, trouvent bien plus commode d'utiliser pour leur sinistre commerce des cadavres plus accessibles, mais aussi nettement plus frais... (c'est un peu ce que l'on constate aujourd'hui, non seulement chez les laboratoires de recherches qui encouragent le trafic des animaux à "expérimenter", mais aussi chez ceux qui encouragent les odieux trafics d'organes humains!...) (...)

 C'est à la fin du Moyen-Âge que l'Europe commence à se régaler de Mummie.
 Elle considère cette substance comme un remède contre toutes sortes de maux parmi lesquels les douleurs gastriques et les blessures, et il est bientôt prescrit à toute occasion. Le roi de France François 1er (1494-1547), est l'un de ses plus fameux consommateurs. Jamais il ne se déplace sans sa Mummie. (...)

Ambroise Paré (1510-1590), le grand chirurgien français de la seconde moitié du XVIè siècle, dénonce avec virulence au début des années 80 l'usage de la mummie dans ses écrits...
Après avoir tenté de faire comprendre à ses contemporains que les anciens Égyptiens n'ont pas embaumé parents et amis pour faciliter leurs problèmes de digestion, il insiste sur le fait que le remède est pire que le mal, et qu'il est cause de douleurs et de vomissements. 

Mais il n'est guère écouté !
{Comme nos lanceurs d'alerte contemporains}
 Même après avoir rapporté le récit de son collègue Gui de la Fontaine, qui a visité les ateliers de fabricants de Mummie à Alexandrie, et surpris quelques-uns de leurs secrets de fabrication ! »...

Enfin bref :
Le commerce reste florissant plus de deux siècles, jusqu'à la fin du XVIIe, en 1700 ...
À cette époque, en Égypte, les laboratoires fabriquant la Mummie se trouvent lourdement imposés (comme nous devrions d'ailleurs le faire avec nos criminelles industries vivisectionnistes "vaccino-chimico-pharmaceutiques" ; et sans oublier les commerçants de Tabac, qui coûtent très cher à notre agonisante Sécurité Sociale), et finissent peu à peu par cesser leurs activités !... >> 

{A noter que j'avais déjà très brièvement évoqué cette histoire de Mummie dans mon article sur les délirantes thèses jenneriennes et pasteuriennes : https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=459474674438048&id=100011265574907 }•••



Mais bon, revenons-en à notre invention de la vaccination, vénérable aïeule âgée de plus d'un millier d'années ... 

[Enfin, selon le mythe vaccinaliste hein, car là encore, comme pour tous le reste, il y a tout un monde entre le mythe vaccinal et la réalité :D
Exemple :
- "... On dit que la variolisation était une pratique de la médecine ayurvédique et qu'elle est mentionnée dans le Sactaya Grantham de Dhanvantari...
 Mais selon certains auteurs cette affirmation serait une rumeur lancée en 1819 par le quotidien The Madras Courier qui aurait pris un tract de propagande vaccinale, rédigé en sanscrit par l'administration coloniale, pour la copie d'un texte ancien !

On a dit également que dès le XIe siècle, les Chinois pratiquaient la variolisation. C'est le premier ministre Wang Dan qui, après la perte d'un de ses fils de la variole, avait convoqué divers praticiens de toute la Chine pour mettre au point une prophylaxie. Un moine taoïste apporta la technique d'inoculation qui se diffusa progressivement dans toute la Chine. 
Il apparaît cependant que la plus ancienne trace connue de ce récit ne remonte qu'à 1808 dans le Zhongdou xinfa écrit par Zhu Yiliang.

La pratique de la variolisation en Chine n'est documentée de manière incontestable qu'à partir du XVIe siècle. Elle a été introduite à la cour le siècle suivant, après le décès de l'empereur Shunzhi qui avait été infecté par la maladie..."


Bon, admettons cependant que cette légende soit pourtant basée sur des faits plus ou moins vrais ...
Qu'importe d'ailleurs qu'elle remonte à 1.000 ans, ou simplement 500 ans, ou plus probablement 300 ans...
Cette pratique que l'on peut quand-même qualifier de très ancienne fit son petit bonhomme de chemin jusqu'à nos jours, de la Chine vers l’Europe, via la Route de la Soie. 

Ainsi, l'une des premières variolisations "modernes" recensées fut pratiquée à Constantinople par Giacomo Pylarini en 1701 et va être introduite en Angleterre en 1718 par Lady Montagu, la femme de l'ambassadeur anglais à Istanbul...

{Je rappelle juste en passant que  les premières publications de Hahnemann, notamment avec  « L'Organon de la médecine rationnelle », ne commenceront qu'un siècle plus tard en 1810 ! ;) }

Elle raconte ainsi les effets de la variolisation à Istanbul, telle qu’elle dit l'avoir vu elle-même : 
« Toute une série de vieilles femmes font commerce de pratiquer cette opération chaque automne, au mois de septembre, quand les grandes chaleurs sont tombées. Les gens se demandent les uns aux autres s’il y a quelqu’un dans leur famille qui a envie d’attraper la petite vérole. À la suite de quoi ils organisent une réunion et quand ils sont tous là (en général quinze ou seize), une vieille femme se présente avec une coquille de noix pleine de petite vérole du meilleur cru, et elle demande quelle veine il vous plairait de faire ouvrir. Elle perce aussitôt avec une grosse aiguille celle que vous lui offrez (ce qui ne vous fait pas plus de mal qu’une égratignure) et elle introduit dans la veine la quantité de venin qui tient sur la pointe d’une aiguille. Après quoi elle ouvre de la sorte quatre ou cinq veines. Les enfants inoculés jouent ensemble tout le reste de la journée et restent en parfaite santé jusqu’au huitième jour ; à ce moment, ils sont saisis de fièvre et gardent le lit pendant deux jours, très rarement trois. Il leur pousse parfois de vingt à trente boutons sur la face, mais qui ne laissent aucune marque et au bout de huit jours, ils se portent aussi bien qu’avant. » ... 

ALLELUIA !!!!!!! :)

Oui bon, 8 jours.
Mais au bout de 8 semaines ?
De 8 mois ?
De 8 ans ?...

Aucun suivi évidemment !



Aujourd'hui encore les vaccinolâtres estiment en tout arbitraire qu'au delà de 72 heures aucun effet secondaire ne peut être imputé à un vaccin... Puisqu'il a été décidé qu'au delà de 72 heures aucun effet secondaire ne pouvait exister ! Point.
Alors que ces "soupes de purulence" injectées au sein même de notre organisme peuvent, comme dans un jeu de dominos ou un château de cartes, déclencher un véritable effondrement immunitaire et produire des conséquences désastreuses des semaines, des mois, voire des années plus tard !
(On peut voir à ce propos mon article - et ses commentaires - sur un reportage d'Arte particulièrement affligeant concernant les victimes des vaccinations : "https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=526326787752836&id=100011265574907")

 Enfin bref :
Après la présentation, donc, par Emmanuel Timoni - le médecin de la mission diplomatique en Turquie -, de son traité sur l’inoculation à la Royal Society de Londres en 1718, les articles sur les bienfaits de l’inoculation vont envahir les colonnes des journaux européens....
Il y eu même en 1727 une campagne menée par Voltaire en faveur de l’inoculation !
 Il écrivit notamment dans ses Lettres philosophiques : « Cette pustule fait, dans le bras où elle est insinuée, l’effet du levain dans un morceau de pâte » (!)...
[Dites-donc, c'est pas ce que l'on appelle "se faire rouler dans la farine" ça ? ;) ]

Évidemment, au vu déjà de ses nombreux dégâts et "effets secondaires" pas si secondaires que la légende dorée de la vaccination voudrait tant nous le faire croire,  cette variolisation rencontra encore la saine hostilité de nombreux médecins encore restés fidèles à leur serment d'Hippocrate ! 
(« Ne pas nuire » en résumé ; combien de médecins oublient ce magnifique serment dès qu'on leur met une seringue dans la main :'( )

 Mais déjà, malheureusement, cette prétendue "médecine" relevant beaucoup plus du charlatanisme que de la science médicale est devenue une "idéologie politique" :/
En 1756, la première inoculation « médiatisée » sera pratiquée sur les enfants du Duc d’Orléans !  (La Condamine en avait fait l’apologie deux ans plus tôt à l’Académie Royale des Sciences !)

[L’Académie Royale des Sciences !
Enfin quoi. Vous savez bien.... "L'Académie Royale des Sciences" :
 Celle qui, en  1790, sera scandalisée au sujet de "ces cervelles obscures qui peuvent croire sérieusement que des masses de pierres tombent des cieux" (sic), après qu'un mémoire pourtant signé par pas moins de trois cent témoins oculaires lui fut envoyé suite à une extraordinaire chute de pierres météoritiques en Gascogne !
:D :D :D :D :D :D :D

Pour aider à mieux comprendre le contexte de l'époque ;)
- Ce n'est qu'en 1757 par exemple que Rome lève l'interdiction générale "sur les livres enseignant le mouvement de la Terre" - l'héliocentrisme -, sans retirer toutefois la condamnation spécifique des livres de Copernic, Kepler et Galilée ! :P
    Eh oui... bien que la révolution héliocentrique avait commencé avec Copernic, la plupart des Universités enseignaient toujours le géocentrisme bien des années 
après la mort de Galilée... 
Lorsque l'université de Harvard fut fondée en 1636, la faculté restait encore "fermement engagé vis-à-vis de la fameuse théorie de Ptolémée qui avait déjà perdurée plusieurs siècles" (!!!)

{Comme je l'écrivais par ailleurs dans l'un de mes vieux articles -   « LA RELIGION DU MICROBISME ... Ou : Le dogme Ptoléméen du "vaccinalisme" ! » - :
 << L'astronome grec Ptolémée (2e siècle apr.J.-C.), auteur d'oeuvres célèbres comme une Géographie qui a fait autorité pendant tout le Moyen Age, avait développé une théorie parfaitement cohérente mais fausse, étant bâtie sur une prémisse erronée : que la Terre est placée au centre de l'Univers et est immobile... 
En partant de cette prémisse fausse, Ptolémée donnait des explications parfaitement convaincantes des phénomènes célestes. 

Ainsi, les théories de l'apôtre de la vaccination, "le bon Pasteur", acceptées aveuglément il y a plus d'un siècle, peuvent paraître justes à ceux qui veulent y croire, mais elles sont fausses puisqu'elles se basent sur des prémisses fausses : sur l'illusion que les les micro-organismes ne seraient que des formes de vie nuisibles à l'homme, et qu'en les supprimant, on supprimerait ainsi les dangers et donc les maladies  (...) 

Ainsi les vaccinalistes construisent des systèmes cohérents et parfaitement convaincants pour ceux qui ne réalisent pas que les paradigmes sur lesquels ils se basent sont faux !!! 

Chaque système cohérent, même faux, a le mérite-démérite de fournir des schémas conceptuels :
- Le mérite consiste dans la présentation d'un vaste champ pour des discussions philosophiques et pseudo-scientifiques, et des prétextes pour une infinité de nouveaux travaux, discussions, expérimentations, symposiums, congrès, publications, demandes de subventions, etc. 
- Le démérite est implicite dans sa fausseté et annule tout le reste !...

Voilà pourquoi toute l'actuelle agitation politico-médicale basée sur "Saint Vaccin, le nouveau Messie" (et sur la "philosophie pasteurienne" en vigueur dans le monde allopathique, contrairement à la "philosophie holistique" en vigueur dans le monde homéopathique) n'est qu'une sanglante et monstrueuse machine bruyante - grande dévoreuse des deniers publics et des économies des contribuables -, qui tourne dans le vide... et ne cesse de provoquer des catastrophes sanitaires, grandes pourvoyeuses de souffrances et de misères !... >>}

Et encore, autre petit exemple parmi d'autres, c'est le 4 juin 1783 que le premier vol officiel du ballon à air chaud des frères Montgolfier a eu lieu. Le 19 septembre de la même année, se seront un coq, un mouton et un canard qui firent l'expérience du premier vol habité... Et à Versailles devant le roi Louis XVI !
Un mois plus tard ce sera le premier vol humain, mais quand-même avec un ballon bien relié au sol par un cordage ;) ...

Enfin bref - ou re-bref -, on situe déjà bien mieux la période là hein ;) ]



Mais "Les idées ont la vie dure", comme dirait Isaac Asimov :)
("Les idées ont la vie dure" est le titre de l'une de ses nombreuses nouvelles, toutes plus géniales les unes que les autres)
Y en a qui s'obstinent à croire que la terre est plate et les étoiles juste des lumières peintes sur une fausse voûte céleste (!) .... Et d'autres qui s'obstinent à croire que s'injecter des substances putrides et morbides dans le sang pourraient miraculeusement les préserver d'éventuelles maladies ou épidémies !

Oh oui, c'est terrible, certaines idées ont véritablement la vie dure, très très dure ! Les dogmes sont tenaces, vraiment très tenaces .... 

Bref, pour tenter donc une nouvelle fois de convaincre le bon peuple stupide et ignorant des si miraculeux bienfaits de la vaccination, le médecin et mathématicien, Daniel Bernoulli, va proposer à l’Académie des Sciences - ouiiiiiii toujours la même qu'avec les pierres qui ne peuvent pas tomber des cieux  :) -, une modélisation d’une épidémie de variole et une évaluation de l’impact de l’inoculation, en concluant déjà arbitrairement qu'elle "sauverait  d'une mort atroce des dizaines d'enfants", et même : "augmenterait l’espérance de vie de 30 à 34 ans" ! :D

(Ben oui vous saviez donc pas qu'on ne vivait que 30 à 40 ans par le passé ?
Tous les vaccinolâtres savent ça ;)
(C'est mon article sur la prétendue augmentation de l'espérance de vie grâce au pseudo progrès de la vaccination !))

Enfin... Re-re bref :
S’ensuivi donc évidemment de cet exposé une nouvelle polémique entre, cette fois-ci, Bernouli et d’Alembert.
D’Alembert critiquant cette analyse en ce que l’on n’y faisait point entrer "la comparaison d’un danger prochain de périr de l’inoculation, au danger beaucoup plus éloigné, de succomber à la petite vérole naturelle !" (Eh oui, ça vous rappelle pas les actuels manquements aux analyses de nos vaccinolâtres modernes ça ? (!))

{A noter qu'en juin 1763, cette bonne et belle inoculation sera pourtant accusée "d'accroître l'épidémie à Paris comme à Londres", et que le Parlement de Paris lui-même, après avoir consulté les Facultés de médecine, interdira sur son territoire ces inoculations !!!!!}

Les années passent ...
Mais pas la secte des vaccinateurs malheureusement ! :(
- Entre 1770 et 1791, pas moins de six personnes, au nombre desquels le fermier anglais, Benjamin Jesty et le maître d’école allemand Peter Plett, continuent à faire des recherches sur la possibilité "d’immuniser" les humains de la variole en leur inoculant la variole des vaches présente sur leurs pis. 
Suivant la même croyance, Edward Jenner, va en son tour pratiquer cette vaccination le 14 mai 1796 et en faire la publication deux ans plus tard après maintes expériences "toutes concluantes" selon lui (!)
{A noter que s'il fut élu membre de la Royal Society, ce n'était pas pour ses travaux de médecine hein, ne croyez pas ça, mais à la suite d'une étude sur... "La vie méconnue du coucou" (!) Si si si... Coucou le petit vaccin !!! }




[Comme je le disais déjà dans un précédent article "Pasteur me donne la rage" (*)
- Jenner lui, injectera à des enfants sains des "vaccins" fabriqués à partir du pus récolté sur les plaies de vaches malades, contaminés par toutes sortes d’éléments pathogènes… en croyant que cela permettrait de les protéger d'une maladie future hypothétique .... Et engendrant déjà évidemment beaucoup de dégâts autour de lui :'(

Ainsi, dès le début des années 1800 en Grande Bretagne, les parents en ont eu marre de voir leurs nourrissons et leurs enfants en parfaite santé mourir peu de temps après avoir reçu la vaccination anti variolique. Les parents et les médecins ont dû risquer de perdre leurs maisons, leurs meubles et leurs avoirs pour repousser ces vaccins meurtriers qui en outre provoquaient la variole !

A noter que le fameux vaccin de Pasteur ne fera pas mieux .... Et provoquera lui aussi beaucoup de problèmes :( 
(Et allez comprendre quelque chose : ce sont ces pratiques charlataniques qui ont eu du succès et se sont recouverts d'un pseudo voile scientifique et rationnel :O )

{Et j'ajoutais d'ailleurs à propos du prétendu charlatan qu'aiment tant accuser nos adorateurs du sacro-saint vaccin : 
- Hahnemann lui, était un élève surdoué : dès l'âge de 20 ans, il maîtrisait le latin, le grec, l'hébreu, l'anglais, le français et l'italien.
 Et c'est sa connaissance des langues et sa passion pour les sciences de la nature et de la médecine qui lui permettront de réaliser plusieurs traductions d'ouvrages scientifiques qui, par la suite, lui seront très utiles dans ses recherches et découvertes... }
Eh oui !]

Mais qu'importe tous ces dégâts ...
En 1802, le Parlement britannique va attribuer à Jenner une subvention de 10 000 livres sterling. 
En 1803, la « Royal Jennerian Society » voit le jour et la réputation de Jenner traverse les continents...

A partir des années 1800 donc, la vaccination contre la variole va alors grâce, ou plutôt à cause de cette publication de Jenner,  connaitre un véritable boom, à Londres d'abord, puis dans les pays voisins ....

Ainsi, parmi les admirateurs de Jenner, figure Napoléon !
Eh oui. Napoléon fait vacciner le petit Napoléon II, dit "l’Aiglon".... 
Et dès lors la grande folie commence !!!

En son temps aussi, le célèbre George Bernard Shaw (1856-1950) avait déjà dénoncé les diagnostiques mensongers concernant la variole :
« Pendant la dernière épidémie importante à la fin du siècle, j’étais membre du Comité de Santé de la cité de Londres, et j’ai ainsi appris comment les statistiques préservaient la bonne réputation de la vaccination, en diagnostiquant tous les cas comme des eczémas, des éruptions varioloïdes et bien d’autres maladies, mais surtout pas la variole... » (!!!)

Enfin bon... voilà un résumé de l'histoire officielle, telle qu'on peut la lire sur de nombreux sites relayant la belle image d'Epinal du vaccin (comme sur celui là par exemple, sur lequel j'ai déjà utilisé plus tôt quelques éléments : "https://www.legeneraliste.fr/actualites/article/2014/07/19/videos-la-variole-de-linoculation-a-leradication_247781") :
<< ... L’Empereur qui avait déjà été à l’origine de la création du Comité central de vaccine, installe personnellement le 7 mai 1804 la « Société pour l’extinction de la petite vérole ». Un comité est aussitôt formé regroupant 16 membres, Husson en étant le secrétaire, et Guillotin le président !

{Oui oui oui, Joseph-Ignace Guillotin !
C'est le si gentil médecin qui déclarait en pleine séance de l'Assemblée Nationale le 21 janvier 1790 : "Avec ma machine, je vous fais sauter la tête en un clin d'œil... La mécanique tombe comme la foudre, la tête vole, le sang jaillit, l'homme n'est plus !"

 (Ah quelle belle époque hein...
Là encore l'image d'Epinal tend à nous laisser accroire que c'était "par humanisme, pour être moins cruel" (!) 
Euh.... Plus probablement, c'était pour simplifier radicalement une justice un peu trop compliquée à cette douce époque : 
- Le noble avait droit à la décapitation au sabre,
- Le criminel d'Etat était écartelé,
- Le voleur de grand chemin lui était roué en place publique,
- Le domestique voleur était pendu,
- Le faux-monnayeur était bouilli vif, 
- L'hérétique était brûlé...

(A noter que dès 1794, un débat s'instaura entre médecins sur la question de savoir : "si la tête séparée du reste du corps perd immédiatement conscience après l'exécution ?" :P ))
Enfin bref revenons-en à nos bons vaccins ;) } ...

Cette institution a pour objectif de créer des antennes locales et de mettre en place des infrastructures de vaccination dans chaque département. Les préfets reçoivent ainsi les premières directives pour assurer la généralisation de la vaccination. Puis à leur tour, les sous-préfets, maires et autorités religieuses sont avertis. La vaccination doit être générale et gratuite pour les pauvres.

Des vaccinateurs sont designés en même temps que les maires sont chargés d’établir les listes des enfants réceptifs à la vaccination. 
Cette mise en place de la vaccination dans les départements s’accompagne aussi de mesures coercitives : les maîtres d’école n’auront plus le droit, par exemple, de recevoir les enfants non vaccinés. La même recommandation est faite aux recteurs d’université envers leurs élèves... (!)

Si, sur le papier, tout semble prêt pour démarrer la campagne de vaccination, la réalité n’est pas aussi rose. Les préfets, notamment, se plaignent que l’Etat tarde à leur envoyer des subsides pour mettre la campagne en route. D’un autre côté, les maires des petites communes rurales se montrent circonspects et beaucoup de parents font preuve de « beaucoup d’apathie pour leurs enfants ».

En fait, la vaccination contre la variole ne connaît un réel succès qu’en 1811 après que Napoléon, donnant l’exemple, fasse vacciner l’Aiglon par le Docteur Husson. 

Les préfets répercutent la nouvelle, tel Alexandre de Lameth, préfet du Pô, qui écrit à ses administrés :
 « Le bien de l’humanité et le devoir de se conformer aux intentions de Sa Majesté qui a mis le sceau de l’utilité à la vaccination en y assujetissant l’objet de ses plus tendres affections, l’espoir de la France, en un mot le Roi de Rome, doivent vous inspirer le désir de concourir par tous les moyens qui sont en votre pouvoir à la propagation d’une découverte qui doit être regardée comme un don du ciel ». (Sic !!!)

La campagne prend alors un réel essor...

Et bla bla bla et bla bla bla ! >>

(C'est ainsi que la vaccination sera imposée à différentes catégories de la population :
- les enfants placés en nourrice et leur gardienne en 1874, 
- les conscrits en 1876, 
- les écoliers en 1882, 
- les lycéens et collégiens en 1883, 
- les étudiants en médecine et pharmacie en 1891....

Et puisque "le vaccin est un don du ciel" (Whaou, c'est beau la science quand-même :D ), même l'Eglise va alors participer à la campagne vaccinale ... au cours de ses messes !... Il y eu même des bonnes sœurs et des prêtres vaccinateurs, le saviez-vous ? :O

(A noter qu'il n'en n'a toujours été ainsi ; comme le disait en 1829  le Pape Léon XII :
<< La vaccination est un défi contre le ciel... Quiconque procède à la vaccination cesse d’être un fils de Dieu ! >> Eh oui...

Et même plus tard le pape Pie XII : 
<< Je m'insurge contre la médecine de troupeau qui asservit le malade aux appétits mercantiles des grands laboratoires et le bien portant aux appétits plus meurtriers encore des fabricants de vaccins !... >> (!!!))

Mais voilà, à cette époque le vaccin était devenu un soi-disant "don de Dieu" (Quel gros nul, il avait pas été foutu de nous donner un système immunitaire efficace pour nous protéger, alors il nous a envoyé Jenner et Pasteur :D ) ...
Et le 15 février 1902, la loi sur la protection de la santé publique rendra la vaccination antivariolique obligatoire au cours de la première année de vie ainsi que les re-vaccinations des dixième et vingt-et-unième années... :'( )

Avec cet indu recrutement de la religion chrétienne pour valider la prétendue science vaccinale, peut-on alors vraiment s'étonner de ce que j'écrivais il y a une vingtaine d'années  en parlant du livre de mon ami Olivier Clerc, "Médecine, religion et peur (l'influence cachée des croyances)", où il mettait en lumière une autre facette sur le dogme vaccinal ?

Extrait : "C’est toutefois dans le domaine médical que cette transposition inconsciente du religieux, et plus particulièrement de l’idéologie, des mythes, croyances, attentes et espoirs judéo-chrétiens, me semble la plus intéressante, la plus importante, et aussi la plus lourde de conséquences...
Comme nous allons le voir, tout semble indiquer que le crédit étonnant (pour qui veut bien étudier les faits) dont jouit la médecine ne tient pas à ses résultats objectifs – la maladie ne cesse de progresser et certains «miracles », tels les vaccins et les antibiotiques, montrent désormais les limites qui leur avaient été prédites dès le début – ni à ses promesses, mais bien au fait que l’essentiel du symbolisme chrétien a trouvé en elle des supports de rechange étonnamment adaptés !...
A l’insu de tous, la médecine se retrouve ainsi animée d’un esprit messianique [...]. Elle calque même étroitement ses modes de fonctionnement sur ceux de l’Église catholique au fil de l’histoire : dogmatisme ; alliance avec le pouvoir (voire mainmise sur lui) ; déresponsabilisation, contrôle et manipulation des individus ; chasse aux hérétiques, etc. 
Tout cela, évidemment, au nom du bien et de la santé publiques, de même que l’église agissait pour le salut des hommes. [...] 
Ce sont en réalité certains mythes, peurs et superstitions profonds qui, faute de pouvoir s’exprimer consciemment dans des formes spécifiquement religieuses, se projettent sur des supports de rechange et agissent inconsciemment, aussi bien dans le corps médico-pharmaceutique que dans le grand public. 
D’où cet étonnant paradoxe que nous avons une médecine en apparence totalement dépourvue de dimension spirituelle (voire simplement humaine), combattant les charlatans, les guérisseurs psychiques, les chamans, etc., se voulant exclusivement technique, rationnelle et scientifique, mais dont toute la structure, le fonctionnement et la quête sont intrinsèquement religieux !!!

Le paradoxe n’est d’ailleurs qu’apparent, car on peut supposer que c’est précisément en raison de son rejet de toute dimension spirituelle que la médecine est le jouet de forces et de mythes qu’elle ignore et ne contrôle pas. 
Nier une chose ne l’a jamais fait disparaître, sinon de la conscience, ce qui lui donne d’autant plus de pouvoir dans l’inconscient."

{Extrait d'Olivier Clerc, "Médecine, religion et peur", Ed. Trois Fontaines, 1999, pp.8-10. Extrait publié aussi dans mon article FB : https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=511634555888726&id=100011265574907}





[UNE AUTRE PETITE LEÇON HISTORIQUE...
MAIS ENCORE TELLEMENT ACTUELLE : 
- « Quand, en 1846, le jeune médecin hongrois de 28 ans, Ignace-Philippe Semmelweis lance son cri d'alarme : "Professeurs, étudiants, lavez-vous les mains, vous êtes responsables de cette hécatombe", il reçoit alors 
ricanements et vexations.
(Il faut savoir qu'à l'époque, ces "braves médecins" qui accouchaient les parturientes pratiquaient également dans le même temps des vivisections tant humaines qu'animales... et ne prenaient aucune mesure d'hygiène avant d'aller plonger leurs mains pleines de miasmes morbides dans l'utérus des jeunes mamans !!!)

Le heurt est brutal. Semmelweis, le "sauveur des mères", est révoqué (...) Il s'acharne, mais à Vienne, comme à Prague, Amsterdam ou Paris, on refuse d'admettre la vérité. Partout c'est l'indifférence et le sarcasme (...)

Ses lettres ouvertes aux sommités médicales de l'Europe entière signent son exécution. Par lui le scandale arrive. Il est déclaré fou.

Fou furieux, il l'est devant tant de coupable ignorance et de suffisance criminelle. On l'expulse de Vienne. Il revient à Budapest et, sur les murs de sa ville natale, colle des affichettes : 
"Non aux médecins assassins. Non à la mort !"...

Pendant 18 ans, il ne lâchera plus sa vérité, se débattra sans relâche, au-delà du mépris, des cabales, de la calomnie : "illuminé", "alcoolique", "fantasque", dit-on. ...
Après ces scandales, le docteur Semmelweis - seul dans ce combat -, a tout perdu : son crédit, son honneur, et sa raison de vivre. Épuisé physiquement et moralement, sa famille et ses amis le conduisent dans un asile psychiatrique où il y mourra à 47 ans, le 16 août 1865 !... » :( :( :( ]


Mais bon, Napoléon a donc fait vacciner l'aiglon !
C'est bien non ?.... 
De même que le grand roi François 1er se gavait pour sa santé de la chair plus ou moins momifiée de cadavres égyptiens,  Napoléon lui, s'est fait vacciner et a fait vacciner son fiston ... 
Et alors ?

Ben alors, ce que cette petite histoire omet de préciser, c'est qu'en ce temps béni de la médecine où l'on appliquait encore les sangsues pour soulager les congestions pulmonaires, le malheureux aiglon ne s'en sorti vraiment pas bien, mais alors pas bien du tout !!! :(
Le pauvre Napoléon II mourra à 21 ans seulement de tuberculose, après des années de souffrances : rhumes, bronchites, laryngites, congestions se succèdent... pneumonie et nombreuses congestions pulmonaires fut son triste lot ; déjà dans les années 1820 il était officiellement diagnostiqué "Tendance scrofuleuse".... et "à la  phtisie de la trachée" :( ...

(Il faut croire que nos élites d'aujourd'hui connaissent bien cette histoire parce qu'il semblerait que les familles riches de nos jours évitent de vacciner leurs enfants, y compris d'ailleurs le grand Bill Gates, qui pourtant œuvre tant pour bien vacciner les pauvres du monde entier (!))

Mais évidemment cela n'a rien à voir avec la vaccination hein, on connait la chanson ! 
"Le vaccin c'est la santé
S'piquer c'est la conserver..."
:D

{Les vaccinolâtres en fait - les piqueurs en série, "serial pikker" (!) -, sont comme des "serial killer" - tueurs en série -, qui, poussant les promeneurs dans la falaise, se dédouanent de leurs conséquences mortelles en proclamant d'une voix tonitruante "qu'il n'y a pas de lien entre le fait de pousser des gens du haut de la falaise et le fait que certains puissent se tuer un peu plus tard en arrivant en bas !" 
Faut vraiment n'être qu'un complotiste débile hein pour croire qu'il puisse y avoir là une quelconque relation de cause à effet n'est-ce pas ? Ben oui voyons : ces morts ne sont certainement causés que par un stress inexpliqué très probablement provoqué par la chute, rien d'autre !
(Cela dit, de plus amples études scientifiques devraient être menées pour déterminer plus précisément si des feuilles mortes rencontrées en chemin pourraient avoir un effet déterminant ou non... Ou pour mieux calculer l'influence des vents à ces diverses altitudes.... Ou encore si les taux de la force gravitationnelle changeante lors de la chute ne pourraient pas avoir aussi un rôle dans les causes certainement multiples de ces décès mystérieux !)
:P

Non mais franchement ....
Les vaccinolâtres s'enfoncent vraiment de plus en plus dans le déni de réalité et le délire absolu !

(Commentaire inclu dans cet article FB consacré aux mensonges caractérisés de Buzyn : https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=523375561381292&id=100011265574907&fs=4)}

Bref, pour en revenir à ce bon vaccin jennerien et son épopée napoléonienne, ce n'était évidemment pas l'avis du célèbre ingénieur Louis-Claude Vincent, qui fut de 1955 à 1960 professeur de bio-électronique à l’école d’anthropologie de Paris [Et non pas seulement "en hygiène alimentaire où il donne notamment des cours sur les boissons..." (Sic) comme le suggère il faut dire quelque peu sournoisement un rédacteur de cette page Wikipédia (https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Louis-Claude_Vincent)], a montré de façon incontestable, devant le Congrès de pathologie comparée - Juillet 1958, "Congrès sur les vaccins" à la Faculté de médecine de Lyon -, que toute vaccination contre une maladie microbienne prédispose aux maladies à virus et au cancer...

{Louis-Claude Vincent avait une chaire dédiée à l'enseignement et à la poursuite de ses travaux concernant les maladies mais également le cosmos : dans son remarquable ouvrage "Le paradis perdu de Mû", il explique par exemple que la Terre a été percutée (enfonçant le continent Mû), a reculé (s'est éloignée du soleil), a basculé  (l'équateur se retrouvant au pôle et l'inverse : les mammouths vivaient dans des prairies, on en a retrouvé congelés avec encore de l'herbe entre les dents) -> il n'y aurait donc pas eu d'ère glaciaire (!?!)...
Il recoupe énormément de documents et montre les incohérences des conclusions actuelles.

Mais passons, ce n'est pas là notre sujet ....

Cela a donc duré 5 ans, de 1955 à 1960. A noter qu'en 1956, le Dr. Paul Bosson du centre de transfusion sanguine d'Annemasse, qui avait été chargé de vérifier les travaux de Louis-Claude Vincent au Liban (mettant un lien étroit entre maladies et paramètres de la BEV, la "Bio-électronique Vincent"), a présenté officiellement devant la Société de pathologie comparée (fac. de médecine de Paris) le résultats de ses vérifications !

On fit évidemment silence sur sa déclaration, on évita qu’elle se répande dans la presse et les médias… le vaccin devait conserver sa place sacro sainte de médicament obligatoire pour tous. 

La potion miracle devait continuer à permettre aux laboratoires de tourner à des cadences infernales tout en avançant leurs pions sur l’échiquier politico-économique. 

Ce cynisme mercantile sans scrupule est visible régulièrement, ou à chaque nouvelle élection, sous forme de propagandes médiatiques atteignant le JT et les médias les plus populaires où il est question de l’urgence de se procurer des vaccins avant la pénurie, ou encore du manque de civisme de ne pas se vacciner ou de ne pas vacciner ses enfants, du danger qu’un individu non vacciné représente pour autrui…

La vaccination systématique, obligatoire, révèle un marketing totalitaire dangereusement vulgaire où la notion de choix et de différence n’a pas sa place. 

Si l’humanité a la mauvaise idée de continuer à se laisser faire dans cette voie, nous ne serons plus qu’à un pas du Meilleur des mondes d’Aldous Huxley, ou du 1984 de Georges Orwell.}

Bref, disais-je donc, pour en revenir à ce bon vaccin jennerien et son épopée napoléonienne, ce n'était évidemment pas l'avis du célèbre ingénieur Louis-Claude Vincent, hydrologue spécialisé dans les travaux d'hygiène publique (adduction d'eau et égouts), et donc on l'a vu également Professeur quelques années à l'École d'Anthropologie de Paris !...

En témoigne ce remarquable extrait d'une de ses conférences, le 16 mai 1981 (Lors d'un congrès "Le paysan biologiste" organisé à la mairie de Tours) : 
- ... Le premier vaccin anti-variole de Jenner inoculait le « pus de vaches vérolées ». L’Aiglon vacciné très jeune, a toussé toute sa courte vie. Il est mort à 21 ans « empuanti ». 
Son autopsie a révélé que ses poumons étaient bourrés de tuberculosis.
 Ce champignon venu du germe de Jenner a prospéré dans ses poumons pendant 21 ans.

Le fils de Jenner et nombre de ses collaborateurs sont aussi morts de la tuberculose !...



Louis-Claude Vincent pensait que Jenner, lui aussi était mort de la tuberculose, mais selon une page Wikipédia - dont la fiabilité n'est pas toujours au top il faut bien le reconnaître (!) -,  il aurait en fait : "...été victime d’une crise d’apoplexie qui s’est manifestée par une hémiplégie droite !"
Il n'aurait jamais récupéré de sa paralysie, et serait décédé des suites "de ce qui était apparemment un accident vasculaire cérébral (il avait déjà subi une première attaque cérébrale) le 26 janvier 1823 !" (Cf. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Edward_Jenner)

{Autre chose : c'est très étonnant mais la description de la maladie et mort de Jenner, aurait pu être celle de Pasteur, lui aussi hémiplégique, et handicapé pendant des années !!!
 (Voir "Pour en finir avec Pasteur" : https://www.youtube.com/watch?v=nSpbQwRnx6k ). J'ai aussi le livre, bien sûr :) }

Par contre, comme le fils de Napoléon, le fils de Jenner et même sa femme, eux, sont bel et bien morts de la tuberculose (!)
J'ai pu lire aussi dans cet article des Échos :
- .... "Et Edward Jenner ? 
Devenu riche et célèbre, l'inventeur de la vaccination consacre les années qui suivent à coucher par écrit le résultat de ses travaux et de ses expériences. La mort de son fils, en 1810, puis celle de sa femme cinq ans plus tard le plongent dans une profonde dépression dont il ne parviendra jamais vraiment à sortir. Ayant abandonné la médecine, il se passionne désormais pour l'agriculture, important des variétés de fruits et de fleurs de toute l'Europe, transformant le parc de sa propriété en un gigantesque verger. Franc-maçon, il exerce également plusieurs charges de magistrat à Berkeley...."
Enfin bref .... Que des "dons du ciel" tout ça comme on peut le voir ! :'(
Mon dieu mon dieu mon dieu ...

[A propos de la tuberculose, on peut se souvenir en passant qu'en 1854, le naturaliste et médecin allemand Hermann Brehmer - guéri d'une tuberculose après un séjour dans l'Himalaya -, publie une thèse intitulée "La tuberculose est un mal curable". 
Il s'y fait l'avocat de cures dans des établissements tels que celui qu'il crée, dès la même année 1854 à Gorbersdorf, où les malades doivent bénéficier du bon air, de repos mais aussi d'exercices physiques, et surtout d'une alimentation équilibrée.
Evidemment rejetées au début par l'élite médicale, ces idées finissent par s'imposer partiellement, et s'ensuit le développement des sanatoriums...
On peut rappeler aussi que, dès 1820, Sir James Clark prônait les cures d'air, notamment dans des contrées méridionales, tandis que George Bodington avait proposé dès 1840 de mettre ces cures à la portée des moins fortunés en construisant les hôpitaux, à proximité des villes certes, mais à la campagne !
(Eh oui, les villes polluées, à l'eau et à l'air malsains et dénaturés, ça rend forcément malade :/)

A noter que Louis Claude-Vincent affirmait aussi que : « Les taux de mortalité due aux maladies graves (tuberculose, cancer, maladies cardiovasculaires) sont directement liés à la qualité de l'eau délivrée aux populations. Ces taux augmentent quand l'eau est très minéralisée et/ou rendue "potable" après traitement et adjonction de produits chimiques oxydants !»... ]

Louis-Claude Vincent disait également dans cette fameuse conférence de 1981 que "cette maladie n'existait pas avant la vaccination !" :O
Ce qui pourrait effectivement surprendre l'auditeur - ou le lecteur - avisé, sachant que cette maladie semblait sévir depuis bien des siècles déjà auparavant..
 Or, Louis-Claude Vincent aussi savait pourtant très bien que ce que l'on nommait alors  la tuberculose était une maladie très ancienne, même si on la désignait autrefois sous bien d'autres noms ...

Difficile malheureusement de savoir aujourd'hui ce qu'il voulait vraiment dire dans cette conférence ; voulait-il simplement ici différencier ces formes de tuberculose "moderne" avec les formes plus anciennes que l'on nommait alors phtisie ou autre ? 

Comme la cause réelle de la maladie est restée inconnue jusqu'à la fin du XIXe siècle, de nombreuses maladies provoquant des symptômes semblables ont été appelées phtisie.

C'est Hippocrate durant l'Antiquité grecque qui donna à la tuberculose le nom de phtisie. Mais il regroupa aussi sous ce nom d'autres maladies qui n'étaient en rien de la tuberculose :/
Longtemps cependant les médecins appellent la tuberculose : phtisie .... Et inversement !
Ils confondaient avec la tuberculose diverses autres affections pleuro-pulmonaires, et notamment les abcès du poumon, les pleurésies purulentes, les cancers du poumon....
Virchow a été vers 1850, un des premiers à utiliser couramment le mot de tuberculose, mais des hommes aussi éminents que Grancher et Hutinel étudient encore en 1887 la maladie tuberculeuse à l’article phtisie...

Enfin bref....
Louis-Claude Vincent ne voulait-il pas en fait plutôt évoquer son importance quasi "épidémique" après la vague de vaccination anti-variolique ?
(?!?)

Car oui, la maladie existait bel et bien avant l'invention de Jenner, le fait est indéniable ... Mais pas dans cette proportion qu'elle a pris ensuite (!)
(Après l'avènement de la vaccination antivariolique) 
Et puis, n'oublions pas par ailleurs que même si l'histoire d'une "variolisation âgée de plus de 1.000 ans" ne serait bel et bien finalement qu'une légende de plus dans la grande histoire légendaire de la vaccination, il n'en reste pas moins que c'est une très vieille pratique... Et qu'il n'est pas impossible que, les mêmes causes produisant les mêmes effets, tant le nouveau que l'ancien vaccin antivariolique aurait donc bel et bien "jenneré" cette autre maladie, qu'on la nomme tuberculose, phtisie ou autre ;)

Il y a sans aucun doute une nuance très importante entre la maladie due au microbe propre à l'individu (au polymorphisme interne des microbes d'Antoine Béchamp (!))  et à celle qui est due à l'introduction d'une souche externe. (vaccination ou parasite)
[On peux notamment voir à ce propos, ce très intéressant article : "https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/"] 

Et cette nuance là, Louis-Claude Vincent la connaissait d'autant mieux, que pour lui, il estimait qu'il ne fallait jamais agir de manière intrusive !... Je pense qu'il faisait parfaitement la nuance entre "la phtisie", tuberculose produite par un organisme déséquilibré, et la tuberculose produite par l'introduction du tuberculosis de souche vaccinale, provenant de microzymas  inconnus de l'individu...

(Le problème est que lorsque l'on cherche des références, la méconnaissance même de cette notion de microzymas, et le fait que les auteurs interprètent selon les principes erronés et fallacieux de Pasteur, faussent évidemment leur propre conclusion, d'où la confusion notamment entre phtisie et tuberculose, et d'autant plus entre tuberculose "naturelle" et tuberculose "vaccinale" (!))


Avant de conclure cette première partie de notre "Petite histoire gâchée du vaccin", cette anecdote que j'adore entre Koch et Pettenkofer (extrait de mon article "A propos de Louis Pasteur", publié dans la célèbre revue "THÉRAPEUTIQUES NATURELLES" de Février 1997) :
==> << ... En 1994, le Dr Willner s’est fait injecter du sang d’un hémophile H.I.V.+ devant les caméras de la T.V. espagnole, et il a répété la démonstration en Décembre dernier, à San Diego pour la T.V. américaine. 
Peter Duesberg avait déjà proposé de faire cela en 1990 si on lui garantissait assez de couverture médiatique (mais à l’époque, on a évidemment traité le Pr. Duesberg de fanatique, de crétin, de fou,... Bref, les calomnies habituelles si chères aux ignares et fanatiques de tout poils (!))

Cette technique apparemment suicidaire, de Duesberg et Willner, n’est pourtant pas nouvelle :
- Déjà, dans les années 1890, alors que le Prix Nobel Robert Koch prétendait vacciner contre la tuberculose et le choléra, et qu’il rentrait triomphal des Indes, accueilli en héros et recevant de l’empereur lui-même “l’Ordre de la Couronne avec l’Etoile”... l’attendait à Munich, un trouble-fête en la personne du vieux professeur d’hygiène Max Pettenkofer, qui, en organisant des services sanitaires efficaces avait fait de Munich la ville la plus saine d’Europe, et était convaincu, comme Béchamp, et à l’opposé de Koch et de Pasteur (cependant revenu sur sa position à la fin de sa vie, reconnaissant l’influence déterminante du terrain, et non du microbe), que le responsable des infections n’était pas la virulence du germe mais surtout un terrain favorable :
-  « Votre bacille ne peut rien, mon cher Koch, ce qui compte, c’est l’organisme. Si votre théorie était exacte, je serais un homme mort dans les 24 heures ! » ...

Il arracha des mains de Koch une éprouvette remplie d’une culture pure de germes du choléra, suffisante pour infecter un régiment et, devant ses collègues horrifiés, il en avala tout le contenu... 
Koch fut le seul à en faire une maladie !
 :D :D :D ... >>

Un grand merci à Hans Ruesch, auteur en début des années 90 du remarquable ouvrage "Expérimentation animale, Honte et Échecs de la médecine", dans lequel j'avais découvert cette anecdote sur Koch et Pettenkofer.

À noter aussi cet extrait de Wikipédia à son sujet :
- Pettenkofer consacra la seconde moitié de sa carrière à l'épidémiologie... Il ne crut jamais que l'épidémie de choléra, qui s'était déclarée en 1854 à Munich, était déclenchée par la seule action d'un agent microbien, mais qu'elle tenait aussi à la nature des sols et à la qualité de l'eau de puits ("Untersuchungen und Beobachtungen über die Verbreitung der Cholera, 1855") (...)
 Il défendit ce point de vue pendant des décennies, notamment lors de la conférence internationale sur le Choléra, tenue à Weimar en 1867, et même la découverte du bacille par Robert Koch ne le fit pas changer d'avis.
Pour démontrer la fausseté de l'hypothèse de Robert Koch sur l'origine du choléra, Pettenkofer n'hésita pas à boire en public le 7 octobre 1892 une culture de bacilles cholériques, et ne développa évidemment pas d'infection. 
Ses étudiants, qui l'imitèrent ensuite, ne contractèrent pas la maladie, ou n'en eurent que des atteintes bénignes, ce qui conforta Pettenkofer dans ses vues. 
Il alla même jusqu’à supposer l'existence d'« un agent contagieux Y » qui, à l'instar d'un réactif chimique, déclenchait la maladie...
 La cartographie statistique des épidémies, aujourd'hui usuelle, a été introduite en épidémiologie par Pettenkofer et ses disciples.
Pettenkofer défend la « théorie du milieu », d'après laquelle ce sont les conditions environnementales et la constitution des personnes qui préparent le terrain aux maladies, en opposition aux thèses de Robert Koch...



Et comment encore ne pas évoquer ici cet autre vieil article que je publiais il y a également plus d'une vingtaine d'années :
- « ... Exemples navrants que je citais déjà dans "Conscience de chacun = Santé de tous" (*), citant les nombreuses expérimentations que les laboratoires pharmaco-chimiques exercent sur tous les citoyens naïfs ou confiants, ...
Et encore ces "charcutiers du cerveau", tel le "Prix Nobel" (!) Egas Moniz et ses émules, qui n'hésitaient pas à lobotomiser tous leurs malades ("pour en faire de bons américains ! " affirmaient-ils ; n'est-ce-pas fascinant ?)...

[A propos de la "lobotomisation des masses" : << ... Je reviens maintenant à ce neurologue psychopathe qui s'était imaginé découvrir "la panacée à toute maladie mentale" en débarrassant ses "malades" (?) d'une partie de leur cerveau. A-t-on enfermé ce fou dangereux à l'asile psychiatrique ? Incroyable mais ... NON !! La "lobotomie préfontale" connut un si vif succès dans les années quarante que Egas Moniz s'était vu décerner le prix Nobel !

Et ce succès n'allait pas se démentir dans la décennie suivante : y avoir recours passa dans les moeurs au point que le chirurgien Walter Freeman put écrire que : 
« D'inadaptés sociaux, schizophrènes, homosexuels, radicaux et toute la clique, la lobotomie fait de bons Américains ! » (sic) 
N'est-ce pas là fascinant ?!... 
De "bons Américains" ?!... 
C'est-à-dire ?!... Comme ceux que décrivait Leslie Parrish dans "Un pont sur l'infini" ?! (voir le Tome 1 de ce "Discours de la Méthode") (*) (...)

Avec le temps, la lobotomie est devenue une sorte de raccourci culturel évoquant des images de zombies et de malades mentaux aux lèvres écumant de bave. Le terme lui-même a quelque chose d’écrasant et de terrifiant. Pourtant, il fut un temps, dans les années 1930 et 1940, où cette intervention était considérée par tout le corps médical comme un traitement de pointe !
(De nos jours c'est la vaccination qui est considérée ainsi ; par beaucoup de lobotomisés de la conscience (!))

Eh oui, la lobotomie faisait figure de remède miracle pour tous les troubles mentaux, de la schizophrénie à la dépression postnatale...

 Et pas seulement aux Etats-Unis :
-Au Royaume-Uni, les neurologues auraient pratiqué près de 50 000 fois cette opération jusqu’à la fin des années 1970 !... ]


Sans pour autant être exhaustif, je pourrais aussi mentionner ces tristes exploits, tels ceux qu'on pouvait lire dans "Espace Anima" de Septembre 1996 : « Pendant plus de trente ans, des millions de citoyens américains furent, à leur insu, bombardés de radiations nucléaires, et de nombreux laboratoires scientifiques utilisèrent d'innocents civils comme cobayes pour étudier les effets de la radioactivité... 
Ainsi par exemple, les scientifiques de Los Alamos firent exploser en mars 1950 une grosse bombe conventionnelle contenant également de la matière radioactive et contrôlèrent secrètement la retombée des milliers de curies sur la petite ville de Watrous, à soixante-dix milles de distance. 

Des expériences analogues furent ensuite faites dans d'autres parties du pays, dans l'état de Washington, dans le Tennessy et dans l'Utah (...) 

Simultanément, le gouvernement américain avait aussi engagé les instituts scientifiques les plus accrédités, comme le "Massachussetts Institute of Technology" et la "Columbia University", pour une série de recherches qui seraient aujourd'hui impensables. 
Au début de l'année 1970 par exemple, 100 détenus absolument sains furent soumis à de fortes doses de radiations sur les testicules (...) la "Vanderbilt University" irradia à la fin des années 1940 : 800 femmes enceintes pour savoir quels étaient les effets des rayons sur les foetus !... »

Tels encore ceux que je mentionnais notamment dans "Entre Mensonge et Vérité" : Le Pr. Segal, spécialiste en biologie moléculaire à l'Université Humbold de Berlin, avait déjà dénoncé en 1988 quelque-unes de ces odieuses expérimentations humaines perpétrées par les laboratoires de l'armée américaine... mais 6 ans plus tôt, Robert Harris et Jeremy Paxman avaient eux-aussi publié un livre où ils dénonçaient particulièrement les expérimentations humaines secrètes conduites par la CIA pendant les années 1950.  

Le Dr. Alan Cantwell de Los Angeles, nous disait également il y a quelques années, dans "Le Sida et les médecins de la mort" : « L'histoire contemporaine a déjà connu des épisodes attestés d'expériences de guerre biologique contre des civils. Des attaques à l'arme biologique déclenchées par les militaires contre des civils qui ne se doutaient de rien ont eu lieu au cours des années 50 et 60 en de nombreuses régions de l'Amérique. 
La plus célèbre est celle qui s'est déroulée à San Francisco dans les années 50 et a duré six jours pendant lesquels les militaires américains ont répandus sur la ville des nuages de bactéries potentiellement nocives ("Los Angeles Times", 17-09-1979) (...)

Lors d'autres expériences secrètes, des bactéries ont été pulvérisées dans les métros de la ville de New-York, dans un aéroport de Washington D.C., sur des autoroutes de Pennsylvanie... 
Des essais de guerre biologique ont eu lieu aussi dans des bases militaires de Virginie, à Key West (Floride), et au large des côtes de Californie du Sud et de Hawaï ("Los Angeles Times", 9-03-1977 :  "L'armée a utilisé des bactéries vivantes lors d'essais sur des civils aux États-Unis") (...) 
Les expériences secrètes de guerre biologique sous l'égide du gouvernement US sont désormais une réalité banale !... »

Et là, dans "V.S.D", du 25 Mars 1993 : « le pentagone avoue avoir expérimenté, pendant la seconde guerre mondiale, du "gaz moutarde" sur 8.000 à 10.000 jeunes américains de 17-18 ans (...) Ceux qui refusaient étaient menacés de quarante ans de prison, et de haute trahison s'ils parlaient. Ils souffrent aujourd'hui de maladies des yeux, de cancers de la peau, de leucémies, de dysfonctionnement sexuels et de perturbations psychologiques... » 

Dans un autre document, une dépêche de "l'associated Press" du 22 juillet 1975 : « Dans les années 1950, l'armée américaine avait subventionné des tests de LSD sur des singes, des chats, ... et 800 civils ! » (...)

Et là, dans "Expérimentation animale, honte et échecs de la médecine", d'Hans Ruesch (1991) : 
« ... En Amérique, le "Ministère de la Santé, de l'Education et de la Santé publique", a octroyé des millions de dollars à plus de 300 chercheurs universitaires pour des expériences avec le L.S.D. sur des sujets humains, alors qu'il se livrait de son côté à ces mêmes tests sur quelques 2.500 prisonniers (...) La déshumanisation croissante dans la "recherche médicale" a conduit à des exploits que la plupart des gens ne s'attendent à trouver que dans des films d'horreur. Nous sommes déjà arrivés à un point où, pour leurs recherches, certains scientifiques achètent dans les hôpitaux des foetus vivant, résultant d'avortement. Il y a eu des cas où des coeurs d'enfants arrachés vivant - à l'état embryonnaire - du corps de leur mère, ont été implantés dans des chiens !...  (c'est publié dans le "Daily Telegraph" de Londres, du 25 Août 1970) »

Ces pratiques étaient non seulement criminelles mais aussi illégales, récemment. Or, voilà que je lis dans le "Pèlerin Magazine" du 16-05-97 : « Jusque là, il était interdit d'utiliser des embryons humains dans la recherche. Dans un récent document, le "Comité National d'Éthique" (???????) admet qu'ils "pourraient être utilisés à des fins de recherche" !!! ...»

On retrouve cette information complétée dans l'ouvrage du Dr. Roger Dommergue "LA POLLUTION MÉDICALE" ("Institut Dr. Alexis Carrel") : 
<< L'avortement est aux U.S.A. du domaine des grandes affaires financières. Des bébés officiellement morts après I.V.G, sont soumis aux rackets, à la vivisection, aux expériences de laboratoire, puis, à sept mois, quand ils commencent à marcher, jetés dans des incinérateurs. (...)
 Messieurs Lithfield et Xentish ont été traînés en justice pour avoir dénoncé de tels crimes, mais ils ont gagné leurs deux procès, et ont consigné tous les éléments des deux procès en questions dans un livre "Bébés au feu".
Voici quelques passages essentiels : 
"Des enfants nés viables ou à terme, sont soustraits à leurs mère et officiellement déclarés morts-nés, et vendus à des laboratoires qui expérimentent sur eux des remèdes contre le cancer et la leucémie. Ou encore s'en servent de cobayes pour la chirurgie de transplantation. Un an plus tard on les supprime (...) Il y a deux sortes de rackets subsidiaires qui sont exploités. L'un d'entre eux pratique les avortements le plus tard possible, juste avant la naissance et garde le bébé vivant bien que la mère le croit mort, par la suite le bébé sera introduit dans un circuit d'adoption et sera vendu de telle sorte que les organismes empochent l'argent... L'autre racket consiste à vendre des enfants nouveaux-nés. Il peuvent alors être soumis à toutes sortes d'expériences de vivisection et utilisés pour tester de nouveaux traitements. Les bébés sont éliminés dés qu'ils commencent à marcher : on les jette dans un incinérateur !..." >> (...)


A propos de ces faussaires de la science, véritables fraudeurs .... et authentiques psychopathes .... Si ce n'est carrément "sociopathes" (!) :


Eh oui... et ce sont les mêmes scientifiques qui veulent nous "redonner confiance" en leurs si chères vaccinations :(
Ben voyons...

Comme le résumait si bien  Günther Schwab :
"L'humanité danse avec le Diable" !
:'(

(A propos de cette "danse" diabolique :

.............
(A SUIVRE)






7 commentaires:

  1. C'est nouveau chez les adeptes forcenés de "l'Eglise de Vaccinologie" :
    Ceux qui refusent de se laisser injecter les miasmes des labos et autres marchands de vaccins mettraient carrément en danger la survie de l'humanité ! (Sic)
    :D :D :D

    (Ah la bonne blague !
    Ça c'est un développement du nouveau mythe qu'ils ont inventé sous le concept tout aussi foireux que le reste, connu sous le nom de "herd immunity" (**))

    Et ce qui est nouveau aussi c'est d'accuser les courageux médecins qui osent encore s'indigner de ces véritables campagnes de terreur des pro-vaccins, de "se faire du fric avec la santé du plus grand nombre" (!) (Re-sic)

    [Alors que s'ils osent ne serait-ce qu'exprimer publiquement des doutes, ils sont automatiquement voués aux gémonies, radiés du conseil de l'Ordre et voient leur carrière professionnelle condamnée à tout jamais !!! (A part ça, ils ne subissent pas de pression hein. D'un côté le bâton, la matraque même, carrément la sulfateuse parfois ... Et d'un autre côté la carotte : "primes au vaccin". Plus tu vaccines plus tu gagnes du pognon. Bref, c'est une affaire "en trop pique" ;) )]

    Inverser ainsi les rôles c'est bien ce que l'on nomme "l'effet miroir" dont j'ai déjà d'ailleurs consacré ici mon quarante et unième article :
    - L'EFFET MIROIR !
    (http://2013-continuum.blogspot.fr/2012/01/miroir.html)


    Donc, selon ces zombies provaxx "Les anti-vaccins font beaucoup d’argent avec leurs prêches et leurs livres" (re-re-sic)
    Ben voyons, il est vrai que l'on devient très riche en vendant des livres qui osent critiquer la grande religion mondiale toute puissante de ce siècle ; surtout très riche en insultes, calomnies, ennuis et intimidations en tout genre (!!!)

    Il est vrai qu'en comparaison, le business du vaccin, lui, ne rapporte pas grand chose. C'est quasiment du bénévolat pour nos gigantesques entreprises philanthropiques :
    - Les ventes mondiales devraient atteindre 80 milliards de dollars en 2025 !!!!

    C'est rien ça hein. C'est riiiiiien :D

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  2. A propos des enjeux financiers, je publiais justement un article sur ce sujet en janvier 2018 (sur ma page FB) (*). En voici un extrait :
    - ... Il y a quelques semaines j'étais étonné de découvrir un "nouvel argument" quasi omniprésent dans toutes les discussions sur les vaccins : "Ceux-ci en fait ne rapporteraient quasiment rien aux fabricants et ils font vraiment ça pour notre bien quasi bénévolement"
    (!!!) :O

    Ah bon ?
    Ah ben ça alors :P

    Je me demandais d'où ce mot d'ordre pouvait bien provenir ; et il ne m'a pas fallu longtemps pour découvrir le fameux poteau teint en rose ;)

    => Philippe Sansonetti est un "intouchable" (!) Professeur à l’Institut Pasteur et au Collège de France s'il vous plait.
    Ça en impose ça !... « Un spécialiste internationalement reconnu des vaccins», comme le rappelle la couverture de son tout récent ouvrage : "Vaccins : pourquoi ils sont indispensables."
    [Euh, je voudrais pas donner l'impression de faire le mauvais esprit, mais il me semble bien que malgré ce titre prometteur notre grand ponte n'y donne pas les vraies raisons ; car ses chers chers très cherrrrrrrrs vaccins, sont surtout et avant tout indispensables ... pour bien remplir son compte en banque !!! :( ]
    Et notre grand scientifique intouchable donc, d'oser écrire à la fin de son pavé indigeste bourré de mensonges et de contre-vérités toutes plus consternantes et affligeantes les unes que les autres que << les firmes qui produisent des vaccins font quasi de l’œuvre charitable, car le vaccin serait peu rentable >> !!! :D

    Même le journaliste pro-vaccin Éric Favereau de Libération ne peut s'empêcher de lui rétorquer dans son article du 29 janvier 2017 "Crime de lèse-vaccin" :
    => Faut-il rappeler que l’industrie du vaccin pèse plus de 40 milliards d’euros, avec un taux de croissance de plus de 10 % ?
    Qu’en France, Sanofi est l’entreprise ayant, en 2016, transmis la plus forte plus-value à ces actionnaires ?

    => Le journal Le Monde a marqué les esprits, et déclenché l’hilarité générale, en expliquant que la multiplication des vaccins obligatoires n’était « pas si juteuse que cela ». « Quelques millions de bénéfices seulement » pour l’industrie pharmaceutique, avançait le journaliste.

    Un article du Dr Michel de Lorgeril, sur son site, révèle l’ampleur de la manipulation :
    En réalité, les vaccins sont la pierre d’angle des profits de la future industrie pharmaceutique du 21e siècle.
    Ce ne sont pas des millions, ni même des milliards dont il est question mais des centaines de milliards !!!

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  3. Enfin bref...
    Passons sur les primes aux médecins pour la prescription de vaccins et autres produits de l'industrie du médicament, je crois que le problème tant éthique que "scientifique" a bien été compris (!) :/

    Et pour terminer des extraits de quelques-uns de mes vieux articles :
    << ... Pour nos braves fabriquants “purement désintéressés et philanthropes” (!) : le seul marché mondial du “vaccin contre la grippe” - une aussi vaste fumisterie que celui du tétanos, qui n’a jamais permis de guérir la moindre grippe mais à par contre aidé bon nombre de personnes âgées à ne pas solliciter trop longtemps les caisses d’allocation-retraite !!! - pourrait dépasser les 3 milliards de dollars d’ici 2010, étant déjà estimé en 2005 à 1,6 milliard !...

    Le principal bénéficiaire étant évidemment le groupe Sanofi-Aventis qui en tira cette année-là un revenu de 835 millions de dollars ! (Cf. Sylvie Simon. “Réalités et Vaccinations” n°8 d’octobre 2007)...

    Sur les sites internet les plus officiels, on peut même lire que, si les vaccins auraient permis de « sauver des millions de vies » (sic), ils ont aussi permis en 2005 :
    => Un marché mondial de plus de HUIT MILLIARDS DE DOLLARS (8,5 milliards)...
    Les prévisions mondiales pour 2012 se chiffrent même à plus de VINGT MILLIARDS DE DOLLARS !!!

    (“purement désintéressés et philanthropes” les marchands de vaccins ?)

    [Il est fréquent de rencontrer sur les réseaux sociaux des arguments du type : « les vaccins ne représentent que 2 à 3% du CA des labos ».
    Affirmation totalement fausse en ce qui concerne Sanofi et GSK !!!

    En effet, en 2016 Sanofi a réalisé un CA de 4,58 milliards d’euros en ce qui concerne les vaccins, ce qui représente 13,5% du CA global du groupe (33,82 milliards d’€)
    GSK a réalisé un CA quasi similaire de 4,59 milliards d’€ sur la vente de vaccins, mais la part de celui-ci dans le CA global du groupe (27,89 milliards d’€) est supérieure et s’élève à 16,46%.]


    A noter qu’au cours de mai 2008, Sanofi-Avantis - qui vient aussi d’absorber “Hoechst Marion Roussel” - se trouvait dans les journaux {assez discrètement faut dire, les soi-disants “dangers mortels” des médicaments Solomidès ayant fait évidemment plus de tapages médiatiques, la répression policière aveugle s’acharnant sur son prétendu “laboratoire criminel” (!!!)} car il avait été démontré dès le début de ce mois que son médicament vedette contre l’obésité, “l’Acomplia”, avait déjà tué au moins 5 personnes et provoqué des centaines d’effets secondaires chez un nombre incalculable d’autres malheureux cobayes : “720 cas de réactions allergiques” selon la conclusion de l’Agence Britannique des Médicaments, et parmi les nombreux effets secondaires : “dépression, anxiété et pensées suicidaires” !...

    Et quelques jours plus tard, vers la mi-mai, on apprenait (toujours aussi discrètement bien-sûr), que 11 lots de sonanticoagulants vedette - le “Lovenox” - avait été retirés du marché par suite de la découverte de “substances potentiellement dangereuses” (sic)
    (A noter que ce médicament qui représentait une recette mondiale de 2,6 milliards d’euros en 2007 - le C.A. étant de 28 milliards -, est fabriqué à partir des muqueuses intestinales des porcs, notamment des élevages chinois...)

    Vers la fin du même mois, autre information toujours très discrète annonçant l’INTERDICTION de 42 médicaments du Paludisme... où l’on retrouve “Sanofi-Aventis” pas moins de 4 fois dans la liste de ces médicaments interdits !

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  4. Et c’est pas fini : que dire encore de son tout nouveau vaccin miracle contre le “papilloma virus” qui serait responsable du cancer du col de l’utérus. Tout nouveau tout beau - et très cher - ce vaccin baptisé “Gardasil”... et déjà responsables de la mort de plusieurs jeunes femmes : « mortes juste après le vaccin “de façon subite et inexpliquée” sans que l’on puisse faire le moindre rapprochement de cause à effet entre le vaccin et ces décès. » (sic)

    Mais que voulez-vous braves gens, ce nouveaux vaccin représente quand-même pour Sanofi-Aventis « un CA espéré d’UN MILLIARDS D’EUROS sur trois ans » ; pas question donc de s’apitoyer sur le destin broyé de quelques jeunes femmes. :'(
    :( :( :(

    (*) Cf. https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=445444032507779&id=100011265574907


    *************


    (**) A propos de la fameuse théorie dite de « L’IMMUNITE DE GROUPE » (ou « HERD IMMUNITY » (!)) :
    A propos de la fameuse théorie dite de « L’IMMUNITE DE GROUPE »
    (ou « HERD IMMUNITY » (!))

    La dernière tentative des médias et des autorités de Santé en vue de maintenir des taux élevés de vaccinations est d’utiliser le concept d’ « Immunité de Groupe » pour faire se dresser les parents les uns contre les autres. :(

    La théorie de « l’Immunité de Groupe » pose en principe que, quand un nombre suffisamment élevé de personnes ont acquis une immunité par rapport à une maladie définie, une barrière de protection, un effet protecteur se trouvent ainsi créés.

    La validité de « l’Immunité de Groupe » sous-tend toutes les politiques de vaccinations obligatoires, et les défenseurs de la vaccination de masse s’appuient sur « l’immunité de groupe » pour faire valoir leurs arguments...

    Mais, comme pour quasiment tous les dogmes pastoriens ...
    - Cette prétendue « immunité de groupe » par la vaccination n’existe pas et n'est une fois encore qu'un mythe, une légende urbaine, un hoax !!!

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  5. On a commencé à parler de « l’immunité de groupe » dans les années 1930 quand Arthur Hedrich de l’université John Hopkins a découvert qu’après que la population de Baltimore eût fait la rougeole (et avait donc acquis - naturellement - l’immunité contre la rougeole), le reste de la population, ou le « groupe » était protégé.

    C’est ce concept qui fournit la justification actuelle des pressions qui sont exercées pour que tout le monde soit vacciné.

    « Si vous ne risquiez que votre propre santé en ne vous faisant pas vacciner, ce serait votre affaire », déclarent les défenseurs de la vaccination de masse. « Mais quand votre refus de vous faire vacciner me met moi ou mon enfant en danger, cela devient mon affaire. » :O

    Il s’agit ici d’un fameux argument [hier encore l'un de ces arrogants seringueros se croyait intelligent en m'assénant que "je n'étais qu'un ignare qui avais certainement raté les cours sur la "herd immunity" comme bien d'autres" (sic) :D ] , à l’exception d’un seul point :
    => La réalité de l’immunité (de groupe) dans des populations vaccinées a été réfutée à plusieurs reprises !!!!! (...)

    La culpabilité est souvent une technique habituelle de marketing.
    Si par exemple des parents s’avouent inquiets par rapport aux ingrédients d’un vaccin, il leur est souvent rétorqué qu’ils doivent vacciner leur enfant pour le bien de tous les autres enfants pour empêcher que la maladie ne puisse s’étendre. :/

    Si la vaccination fonctionne vraiment, alors votre enfant sera immunisé et donc protégé contre la ou les maladies qu’un enfant non vacciné pourrait contribuer à répandre. Si ce n’est pas le cas, le vaccin est inefficace !...

    => L’immunité de groupe est basée sur l’idée que 95% de la population doit être vaccinée contre une maladie pour éviter que des épidémies se produisent. Certains font même valoir qu’il est nécessaire que 100% de la population soit vaccinée pour obtenir un effet protecteur.

    Etant donné que les taux de vaccinations continuent de baisser chaque année parce que de plus en plus de parents retardent les vaccinations de leurs enfants ou tout simplement les refusent, les autorités n’hésitent pas à blâmer les enfants non vaccinés parce que, disent-ils, ils font courir des risques à toute la population ou pire, seraient responsables d’épidémies.

    Ces campagnes de blâme qui émanent des médias et des bureaux médicaux ont induit la peur chez certains parents d’enfants vaccinés qui ont commencé à considérer que les enfants non vaccinés pourraient présenter des risques pour la population, un désastre pour la société. Certains de ces parents n’ont même pas hésité à exprimer leur rage vis-à-vis de parents qui choisissent de ne pas vacciner.

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  6. L’extrait suivant posté sur « The Healthy Home Economist Facebook » émane de parents qui voient les enfants non vaccinés comme des chiens enragés : « Si vous décidez de ne pas vacciner, décidez-vous alors à faire l’école à la maison. Je ne veux pas que votre enfant puisse provoquer une fausse couche chez une femme enceinte ou tue un enfant immunodéprimé. Votre liberté s’arrête au bout même de mon nez. C’est sur une base de la POPULATION GLOBALE que fonctionnent les vaccins et non sur une base individuelle. Il s’agit d’une question de santé publique et non de santé individuelle. Il vous est loisible de boire de l’alcool jusqu’à ce que votre foie n’en puisse plus, mais vous n’avez pas le droit de circuler en voiture sur nos routes. Qu’en serait-il si la polio et la variole existaient encore ? Feriez-vous courir des risques à votre enfant ? Des gens sont morts de ces maladies. Les enfants de ceux qui écrivent les lignes ci-dessus n’ont pas attrapé ces maladies parce que la majorité de nos enfants sont vaccinés et non pas parce qu’ils reçoivent une meilleure alimentation ou parce qu’ils ont de la chance. » (sic) :( :( :(

    Ce qui est le plus inquiétant dans pareil commentaire, c’est qu’il est basé sur une information complètement fausse – en fait un véritable mythe qui est propagé et perpétué pour le seul intérêt financier de l’industrie pharmaceutique. Quel moyen plus efficace y a-t-il que les bons anciens moyens de pression ? La crainte que l’enfant des voisins non vacciné vienne jouer avec vos enfants n’exerce-t-elle pas une énorme influence ?

    Le principe de l’immunité de groupe ne s’est jamais appliqué à l’immunité conférée par les vaccinations !!!

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  7. La définition originale de l’immunité collective s’appliquait à l’effet protecteur qui s’établissait quand une population contractait une infection et récupérait naturellement de cette infection. L’immunité naturelle est pour la vie tandis que l’immunité acquise par les vaccins ne l’est pas.

    L’immunité à relativement court terme induite par les vaccins dans une population hyper vaccinée ne peut en aucune manière être comparée à l’immunité naturelle.

    Le mythe de l’immunité de groupe a été, il y a des dizaines d’années, appliquée à l’immunité induite par les vaccins sous prétexte que ces derniers assuraient une immunité à vie comme le faisait l’immunité naturelle.

    C’est quand on réalisa la chose que des injections de rappel furent introduites pour empêcher l’immunité de s’estomper.

    Au grand dam des autorités sanitaires, des épidémies se sont encore produites dans des groupes d’enfants qui ont été complètement vaccinés et qui avaient reçu des doses de rappel. C’est cette situation qui a engendré les campagnes de blâme à l’égard des enfants non vaccinés qui étaient bien sûr montrés du doigt et accusés de provoquer des épidémies.....

    Voir l'intégral de l'article :
    - https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=443877315997784&id=100011265574907

    Et le bonus :
    - https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=444947645890751&id=100011265574907

    (Cf. Article FB : https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=470647896654059&id=100011265574907)

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