samedi 2 mai 2020

Masques en rade..., ou mascarade ?



Ouf on est sauvé : les grandes surfaces vont pouvoir nous vendre des milliards de masques (alors que jusqu'à ce jour encore, les professions médicales - qui, elles, en ont vraiment besoin pour travailler - en manquaient cruellement !!!!!!!!!!!!!)

À partir du 11 mai et du début du déconfinement, les masques seront obligatoires dans les transports en commun et dans certains magasins. (Certains politiciens réclament même son obligation dans les rues et tous les espaces publiques (!) 😠 )


Depuis quelques semaines, on voit beaucoup de personnes portant des masques de toutes sortes dans l'espace public.
Sont-ils utiles ?
Quels en sont les inconvénients ?

Divers auteurs ont justifié le non-port de masque par trois raisons principales (sans même évoquer les difficultés respiratoires accrues par le fait de devoir respirer à travers les divers matériaux de ces masques !) :
- Premièrement, ils affirment qu'il existe peu de preuves de leur efficacité !


- Deuxièmement, ils affirment que des essais ont montré que les gens ne les porteront probablement pas correctement ou systématiquement, ce qui est important car la prévention dépend du fait que les gens ne touchent pas leur masque de manière répétée et que tous ou la plupart des gens le portent la plupart du temps. 

- Troisièmement, ils soulignent que les essais cités ci-dessous ont également montré que le port d'un masque pouvait donner aux gens un faux sentiment de sécurité !...


Les publications ci-dessous (*) montrent que l'utilité des masques chirurgicaux - en papier et non étanches - n'est pas prouvée : ils n'empêchent pas la diffusion des aérosols porteurs de virus chez les patients infectés et ne protègent pas le personnel soignant.
(Aucune étude n'a évidemment été faite sur les masques maison !)


Certains ont évoqué le principe de précaution : mieux vaut porter un masque que rien.

Cela serait valable mais le port d'un masque peut donner aux gens un sentiment de sécurité et donc faire oublier d'autres conseils importants de santé publique tels que le lavage des mains et la « distanciation sociale » (!)

==> Un autre inconvénient est l'effet sur la respiration du port du masque :
- Il a été constaté une hypoxie chez les personnels soignants suite au port du masque et des maux de tête (signe d’hypoxie?) ainsi que l'augmentation de la résistance nasale.


Donc il faudrait sans doute limiter le port du masque 

aux endroits et aux moments où il sera obligatoire. 
En particulier il serait utile de conseiller aux personnes âgées ou affaiblies 
d'éviter de marcher dans la rue en permanence avec un masque !!!


De même est-il raisonnable que des jeunes joggers courent avec un masque ?
Quels sont les dangers d'une telle pratique ?
Risque-t-on d'augmenter les risques d'AVC ou d'infarctus chez les personnes prédisposées ???

Et l'on entend aujourd'hui les politicards de tous bords vouloir rendre le masque obligatoire ....

Alors qu'il y a seulement un mois dans les médias les médecins nous assuraient que non, le masque ça servait à rien !

Voir par exemple cette vidéo (**)
4ème minute !
Le professeur Enrique Casalino, chef du service d'urgences à l'hôpital Bichat :
=> Les masques ne servent à rien !!!!!!

"Il ne faut pas s'accrocher à l'idée du masque comme si c'était l'alpha et le oméga de la prévention contre le Coronavirus"

Et à 6 minutes 36, le Pr. Christian Perronne, chef de service en infectiologie à Garches qui confirme et surenchérit !
"D'un point de vue scientifique de transmission des maladies, malheureusement cette mesure n'a aucun effet ! (...) il faut juste raison garder, le masque c'est pas la panacée. ... 
Porter un masque dans la rue ou dans toutes les situations disons d'activité professionnelle ça n'a pas forcément beaucoup de sens !"

Ben voilà quoi ...

Pourquoi donc ce nouveau délire politique des masques obligatoires ?????


 

(*) Hypoxie (danger des masques)
http://scielo.isciii.es/pdf/neuro/v19n2/3.pdf

Notre étude a révélé une diminution de la saturation en oxygène des pulsations artérielles (SpO2) et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires dans tous les groupes de chirurgiens. La diminution était plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans.


https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4647822/

Il a été démontré que le fait de respirer à travers les matériaux des masques N95 entrave les échanges gazeux et impose une charge de travail supplémentaire au système métabolique des travailleuses de la santé enceintes, et cela doit être pris en considération dans les directives relatives à l'utilisation des masques.

Les avantages de l'utilisation du masque N95 pour prévenir les maladies infectieuses émergentes graves doivent être mis en balance avec les conséquences respiratoires potentielles associées à l'utilisation prolongée du masque N95.


https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT00173017 (résultats non publiés)

L'impact physiologique des masques N95 sur le personnel médical 2005


https://www.researchgate.net/publication/7332926_Headaches_and_the_N95_face-mask_amongst_healthcare_providers

Maux de tête et masque N95 chez les prestataires de soins


La régression logistique multivariée a montré que les maux de tête préexistants et l'utilisation continue du masque N95 pendant plus de 4 h étaient associés au développement de maux de tête. 
Les prestataires de soins de santé peuvent développer des maux de tête suite à l'utilisation du masque N95. 
Une durée plus courte du port du masque facial peut réduire la fréquence et la gravité de ces maux de tête.


http://medcraveonline.com/JLPRR/JLPRR-01-00021.pdf

Effets du port prolongé d'un masque respiratoire et chirurgical N95 : une étude pilote


En conclusion, il y a une augmentation de la résistance nasale lors du retrait du masque respiratoire et chirurgical N95 après 3 heures de port, ce qui est potentiellement dû à des changements physiologiques nasaux, au lieu de la taille des voies respiratoires nasales.

Les résistances nasales n'ont pas été récupérées même après 1,5 heure de retrait du respirateur/masque facial.

En outre, le respirateur N95 a causé une résistance nasale plus élevée après le port que le masque facial chirurgical avec des routines de récupération différentes.

Les masques chirurgicaux (simples masques en papier non étanches) ne sont pas suffisants !...


https://www.news-medical.net/news/20200428/Widely-used-surgical-masks-are-putting-health-care-workers-at-serious-risk.aspx


Les masques chirurgicaux largement utilisés font courir de graves risques aux travailleurs de la santé !!! 😮😮😮


L'avis du CDC contraste avec une autre page web du CDC qui affirme qu'un masque chirurgical "ne fournit pas à son porteur un niveau de protection fiable contre l'inhalation de petites particules en suspension dans l'air et n'est pas considéré comme une protection respiratoire".

=> L'autorisation de porter un masque chirurgical était plus logique lorsque les scientifiques pensaient au départ que le virus se propageait par de grosses gouttelettes. Mais de plus en plus de recherches montrent que le virus se propage par de minuscules particules virales

Des recherches menées début avril, dans deux hôpitaux de Corée du Sud, ont révélé que les masques chirurgicaux "semblent inefficaces pour prévenir la dissémination" des particules de coronavirus.

Une étude chinoise de 2013 a révélé que deux fois plus de travailleurs de la santé, soit 17 %, souffraient d'une maladie respiratoire s'ils portaient un masque chirurgical pour traiter des patients malades, contre 7 % de ceux qui utilisaient continuellement un N95, selon l'American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine.
....


https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21477136

Un essai clinique randomisé en grappes comparant les respirateurs N95 testés et non testés aux masques médicaux pour prévenir l'infection par le virus respiratoire chez les travailleurs de la santé

Les respirateurs N95, mais pas les masques médicaux, présentaient des taux d'infection nettement plus faibles que l'absence de masque.


https://annals.org/aim/fullarticle/2764367/effectiveness-surgical-cotton-masks-blocking-sars-cov-2-controlled-comparison

Efficacité des masques chirurgicaux et des masques en coton pour bloquer le SRAS-CoV-2 : une comparaison contrôlée chez 4 patients


Ni les masques chirurgicaux ni les masques en coton ne filtraient efficacement le SRAS-CoV-2 lors de la toux des patients infectés.

Il est à noter que nous avons trouvé une contamination plus importante sur les surfaces extérieures que sur les surfaces intérieures des masques

En conclusion, les masques chirurgicaux et en coton semblent être inefficaces pour prévenir la propagation du SRAS-CoV-2 de la toux des patients atteints de COVID-19 à l'environnement et à la surface externe du masque.



https://www.nature.com/articles/s41591-020-0843-2

Élimination du virus respiratoire dans l'air expiré et efficacité des masques faciaux

Nos résultats indiquent que la transmission par aérosol est un mode de transmission potentiel pour les coronavirus ainsi que pour les virus de la grippe et les rhinovirus.

Nos résultats indiquent que les masques chirurgicaux peuvent réduire efficacement l'émission de particules du virus de la grippe dans l'environnement sous forme de gouttelettes respiratoires, mais pas sous forme d'aérosols !...


Voilà voilà ...


Cf. https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=231944831425873&id=100038310721791


(**) "Laurent Aubel sur LCI" :
https://m.youtube.com/watch?fbclid=IwAR0B1pYlQKkYcyN_3dh1WfYNTHezW3340_QRZPUvMO1qBRA2sAlFVNdvUfQ&feature=share&v=W-e3k_TY0hc


 

 
Et en bonus tiens...

Un extrait de mon commentaire du 9 mars sur l'article "De la Maladie, des épidémies et pandémies : LEUR VÉRITABLE ORIGINE !" :

-... Après le gel hydroalcoolique, un point sur les masques :
Dans un mètre cube d'air (1000 litres), on trouve entre 1,7 et 40 millions de virus.
Nous inspirons en moyenne par jour 12.000 litres d'air, soit entre 20 et 480 millions de virus.
Le masque chirurgical (bleu) ne protège pas la personne qui porte le masque.
Il est totalement inefficace pour se protéger des virus présents dans l'air inhalé. 
Il ne fait que protéger l'entourage des gouttelettes émises par la personne qui porte le masque mais pas de l'air expiré par la personne qui porte le masque (fuites évaluées entre 42 et 100%).

Le masque respiratoire FFP2 protège la personne qui porte le masque.
Ce masque a une efficacité de filtration entre 94% et 98%.

Cela paraît très efficace, n'est-ce pas ?
Avec ce masque, en le portant toute la journée, vous inhalez donc seulement entre 400.000 et 28 millions de virus.

C'est là que la phrase suivante prend tout son sens : 
"La bactérie/virus n'est rien. Le terrain est tout". 😉



 

Et là dans mon article "Le BTP déconfiné ? ....:

•... L'Etat va nous pondre un carnet "des bons gestes à adopter sur les chantiers", écrit par des gens qui n'ont jamais foutu les pieds sur un chantier ! (Enfin si, parfois.... En costard cravate avec un beau casque flambant neuf immaculé ! ...)


Déjà, rien que l'idée de devoir porter un masque pour bosser (à manipuler nos tuiles, ardoises zinc, ciment ou autre, je le sens pas bien.

J'en ai déjà utilisé évidemment pour la pose de laine de verre en lieu confiné, mais c'est étouffant. (!) ....
Impossible de supporter ça plusieurs heures, tout en faisant des efforts, en suant et haletant ....

(Mais bon, semblerait selon des Pros de la médecine que les masques ça sert à rien ; youpi !!!! 😷)


[Le professeur Enrique Casalino, chef du service d'urgences à l'hôpital Bichat :
=> Les masques ne servent à rien !!!!!!
"Il ne faut pas s'accrocher à l'idée du masque comme si c'était l'alpha et le oméga de la prévention contre le Coronavirus"

Et le Pr. Christian Perronne, chef de service en infectiologie à Garches :
"D'un point de vue scientifique de transmission des maladies, malheureusement cette mesure n'a aucun effet !...
Il faut juste raison garder, le masque c'est pas la panacée. ...
Porter un masque dans la rue ou dans toutes les situations disons d'activité professionnelle ça n'a pas forcément beaucoup de sens !"]






13 commentaires:

  1. Notre cher gouvernement a annoncé que le port du masque serait obligatoire dans les transports en commun pour les passagers à partir de 11 ans. :( :( :(

    Le président de l’Association Médicale Mondiale, Frank Montgomery, a lui affirmé de son côté ce genre de mesure était « une erreur ».

    D’autres comme le Dr. Erickson ont affirmé : « des études montrent que l’utilisation de masques dans la vie quotidienne n’apporte pas de bénéfices mesurables aux personnes en bonne santé et asymptomatiques ».

    L’infectiologue Suisse Dr. Vernazza a dénoncé un « battage médiatique »autour des masques. Et le Pr. Bhakdi affirmé que les masques étaient des « nids à microbes plus nuisibles qu’autre chose » (*)

    D’autres critiques parlent d’un symbole d’« obéissance forcée, visible par le public ».

    C’est le cas du site Multipolar, qui explique : « L’obligation du port du masque dans les transports publics et lors de l’entrée dans les magasins et les supermarchés est moins une mesure médicale qu’une mesure psychologique : les citoyens sont traités comme des enfants et sont obligés d’obéir publiquement. »

    « Outre l’absence d’intérêt médical, la mesure consiste à forcer tous les citoyens à montrer qu’ils ont peur du virus publiquement et de manière ostensible […]. Sous la menace de sanctions, les personnes sont forcées à signaler [via le port de masque] à leurs concitoyens qu’elles se soumettent volontiers [aux mesures du gouvernement], quelle que soit l’objectivité ou le doute des mesures ordonnées. »

    Cf. https://covidinfos.net/covid19/le-port-du-masque-obligatoire-va-provoquer-plus-dimmaturite-de-passivite-et-de-peur-dans-la-population/487/


    (*) Dans une nouvelle interview à la chaine de télévision allemande Servus TV, le professeur émérite de l’Université Johannes-Gutenberg de Mayence Sucharit Bhakdi dénonce une « campagne de peur intolérable » menée par les médias ainsi qu’une « campagne de désinformation irresponsable ». ...

    Selon le professeur Bhakdi, « les masques pour la population générale ne sont pas nécessaires et peuvent en fait être des « nids à microbes » plus nuisibles qu’autre chose »

    Il explique que « la crise actuelle a été provoquée par les politiciens eux-mêmes et n’a pas grand chose à voir avec le virus » mais également qu’un vaccin contre le coronavirus serait « inutile et dangereux, comme c’était déjà le cas pour la grippe porcine. »

    Il pointe également la responsabilité de L’OMS, qui selon lui « n’a jamais assumé la responsabilité des nombreuses mauvaises décisions qu’elle a prises au fil des ans ».

    Cf. https://covidinfos.net/covid19/pour-le-pr-bhakdi-un-vaccin-contre-le-coronavirus-serait-inutile-et-dangereux/839/

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  2. « Triste régime que celui dont la politique, tantôt à hue, tantôt à dia, ne présente de continuité que dans l’attribution des amendes ! » (*)


    Il y a quelques mois seulement - en plein confinement au cœur de la prétendue pandémie (!) - notre cher, très très cherrrrr gouvernement, menaçait d'une amende les pharmaciens qui voulaient nous vendre des masques (si si !!!) ....
    Et aujourd'hui, alors que l'épidémie est terminée, et que le risque est quasi inexistant mais que les magasins regorgent de millions de masques inutiles - et même nuisibles en fait (!!) -, il menace encore d'une amende ceux qui ne portent pas ce masque maintenant obligatoire même dans la rue en plein air (contre toute logique et même esprit scientifique !!!)

    Si vous croyez qu'il a innové dans la connerie et le grand n'importe quoi.... Ben non. Même pas ;)

    • Extrait d'un article de "La Vie Claire" d'octobre 1947 (éditorial de Henri-Charles Geffroy "Parlons clair - Mystère des famines") :

    « À notre époque de progrès, les famines sont plus difficiles à provoquer.
    « Pour trouver la racine de celle qui nous menace, il faut remonter à plus de 10 ans en arrière, aux dernières années de la précédente République...
    « On n’a pas oublié ces lois qui nous parurent si étranges à l’époque, comme celle du 24 décembre 1934, qui ordonnait la dénaturation d’une partie de notre récolte de BLE. Et celle du 30 juillet 1935, ordonnant l’arrachage de 150.000 hectares de VIGNE. Et ce décret du 27 août 1937, qui interdit de créer des sucreries aux colonies. Et celui du 12 novembre 1938, ordonnant la distillation obligatoire des excédents de pommes et de poires. Et celui de même date, qui frappait d’une amende de 2.000 francs par hectare, les cultivateurs coupables (tenez-vous bien !) D’AVOIR ENSEMENCE TROP DE BLE, et les obligeait à retourner immédiatement leurs champs !
    « Ceci se passait pourtant à la veille d’une guerre facile à prévoir – même pour qui n’avait pas le génie du gouvernement... Nous ne donnons pas les noms des responsables de ces lois (certains n’ont pas encore quitté la scène politique), car nous n’avons d’autre dessein, en rapportant ces faits, que d’apporter un peu de clarté dans ce mystère.
    « N’est-il pas intéressant de les rapprocher de la dernière initiative de l’actuel ministre de l’Agriculture, qui, s’appuyant justement sur cette fameuse année 1938, menace les mêmes cultivateurs, s’ils sèment, cette année, moins de blé qu’en 1938, D’UNE AMENDE DE DIX MILLE FRANCS PAR HECTARE CULTIVE EN MOINS ?
    « Remarquons que ce décret vient un mois trop tard pour pouvoir être observé : ce n’est pas au début d’octobre que les cultivateurs peuvent modifier leurs dispositions pour les emblavements d’automne... Il est vrai qu’il restera toujours, pour les caisses de l’État, le profit des amendes... « Triste régime que celui dont la politique, tantôt à hue, tantôt à dia, ne présente de continuité que dans l’attribution des amendes ! » ...


    [Pour les vaccins ; on sait pertinemment - à part les cons (!) - que ceux-ci sont au mieux inefficaces et donc inutiles, et au pire très dangereux et toxiques .... Mais notre cher gouvernement va pourtant offrir des millions à Sanofi pour leurs merdes vaccinales qui risquent en plus d'être obligatoires !
    (Avec encore des amendes pour ceux qui auront le bon sens et l'intelligence de les refuser :( )]

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    1. - Le 4 mars 2020, la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye éclatait de rire quand on lui demandait si elle comptait acheter des masques.

      - Le 17 Mars 2020, Jérôme Salomon, médecin et Directeur Général de la Santé, s’exprime en point presse, en direct sur BFMTV :
      "Je vois énormément de masques dans la rue, des personnes qui n'ont aucune raison d'en porter et d'être exposés à des malades"
      "Ces masques sont mal portés, mal utilisés, (...) Ne portez pas des masques ", a-t-il poursuivi...

      - S’en suit une période de confinement en France du 17 mars au 11 mai 2020.
      Au début du mois de mai, l’OMS ne recommande pas le port du masque pour l’ensemble du public.
      Voici ce que vous pouvez alors lire sur son site officiel :
      « Si vous êtes en bonne santé, vous ne devez utiliser un masque que si vous vous occupez d'une personne présumée infectée par le Covid-19 », indique clairement sur son site l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Autrement dit, le masque n’est pas recommandé pour l’ensemble du public.
      « Il n'existe aucune preuve que le port d'un masque par des personnes en bonne santé puisse empêcher d'être infecté par des virus respiratoires », insiste l'OMS.
      Or, selon plusieurs spécialistes, les inconvénients des masques l'emportent largement sur ses bénéfices !

      Les jours passent.... Et puis :
      - Le 14 juillet, Emmanuel MACRON annonce que le port du masque sera obligatoire « par exemple » à partir du 1er aout.

      Une semaine plus tard, le port du masque est rendu obligatoire dans tous les « espaces publiques clos » par Jean CASTEX, alors nouveau ministre de l’intérieur !
      :( :( :(

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  3. L'obligation de porter un masque n'a fait baisser le taux de mortalité nulle part !
    Les 20 États américains qui n'ont jamais ordonné aux gens de porter un masque à l'intérieur et à l'extérieur ont des taux de mortalité COVID-19 nettement inférieurs à ceux des 30 États qui ont rendu le port du masque obligatoire. La plupart des États sans masque ont un taux de mortalité COVID-19 inférieur à 20 pour 100 000 habitants, et aucun n'a un taux de mortalité supérieur à 55.
    Les 13 États qui ont un taux de mortalité supérieur à 55 sont des États qui ont imposé le port de masques dans tous les lieux publics.
    Il ne les a pas protégés.

    En Chine, les écoles interdisent désormais aux étudiants de porter des masques pendant l'exercice physique.
    Pourquoi ?
    Parce que cela les tuait.
    Il les privait d'oxygène et les tuait.

    Au moins trois enfants sont morts pendant les cours d'éducation physique, dont deux en courant sur la piste de leur école, alors qu'ils portaient un masque.
    Et un homme de 26 ans a souffert d'un collapsus pulmonaire après avoir couru deux miles et demi en portant un masque.

    Cf. https://laveritesansmasque.blogspot.com/2020/08/lorsque-les-chirurgiens-lors-des.html


    ... "Au lieu de reconnaître les dommages causés par les ondes radio, la société se déchire en instituant des mesures qui ne protègent personne et qui, au contraire, rendent les gens malades et les tuent. Je ne mentionnerai ici qu'une seule de ces mesures: les masques.

    Ayant fait des études de médecine, j'ai été choqué lorsque j'ai lu l'étude de Neil Orr, publiée en 1981 dans les Annales du Collège royal des chirurgiens d'Angleterre. Le Dr Orr était chirurgien à l'unité chirurgicale de Severalls à Colchester. Et pendant six mois, de mars à août 1980, les chirurgiens et le personnel de cette unité ont décidé de voir ce qui se passerait s'ils ne portaient pas de masque pendant les opérations. Ils n'ont porté aucun masque pendant six mois et ont comparé le taux d'infection des plaies chirurgicales de mars à août 1980 au taux d'infection des plaies de mars à août des quatre années précédentes.

    Et ils ont découvert, à leur grand étonnement, que lorsque personne ne portait de masque pendant les opérations, le taux d'infection des plaies était inférieur de moitié à ce qu'il était lorsque tout le monde portait un masque. Leur conclusion: "Il semblerait qu'une contamination minimale puisse être obtenue au mieux en ne portant pas de masque du tout" et que le port d'un masque lors d'une opération chirurgicale "est une procédure standard qui pourrait être abandonnée".

    J'ai tellement été étonné que j'ai parcouru la littérature médicale, sûr que c'était un coup de chance et que les nouvelles études doivent montrer l'utilité des masques pour prévenir la propagation des maladies. Mais, à ma grande surprise, la littérature médicale des quarante-cinq dernières années est cohérente: les masques sont inutiles pour prévenir la propagation des maladies et, au contraire, sont des objets insalubres, qui propagent eux-mêmes des bactéries et des virus !

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    1. - Les masques sont inutiles pour prévenir la propagation des maladies et, au contraire, sont des objets insalubres, qui propagent eux-mêmes des bactéries et des virus !!!

      En 1975, Ritter et al. ont constaté que « le port d’un masque chirurgical n’avait aucun effet sur la contamination environnementale globale de la salle d’opération ».

      Ha’eri et Wiley, en 1980, ont appliqué des microsphères d’albumine humaine à l’intérieur de masques chirurgicaux au cours de 20 opérations. À la fin de chaque opération, les lavages de plaies étaient examinés au microscope. « La contamination de la plaie par des particules a été démontrée dans toutes les expériences. »

      Laslett et Sabin, en 1989, ont découvert que les capuchons et les masques n’étaient pas nécessaires lors du cathétérisme cardiaque. « Aucune infection n’a été trouvée chez aucun patient, qu’un capuchon ou un masque ait été utilisé », ont-ils écrit. Sjøl et Kelbaek sont arrivés à la même conclusion en 2002.

      Dans l’étude de Tunevall de 1991, une équipe de chirurgie générale n’a porté aucun masque pendant deux ans dans la moitié de ses opérations. Après 1 537 opérations réalisées avec des masques, le taux d’infection des plaies était de 4,7 %, tandis qu’après 1 551 opérations réalisées sans masque, le taux d’infection des plaies n’était que de 3,5 %.

      Une étude réalisée par Skinner et Sutton en 2001 a conclu que « les preuves en faveur de l’arrêt de l’utilisation des masques chirurgicaux semblent plus solides que les preuves disponibles pour soutenir leur utilisation continue ».

      En 2001 encore, Lahme et al. ont écrit que « Les masques chirurgicaux portés par les patients lors d’une anesthésie régionale n’ont pas réduit la concentration de bactéries aéroportées sur le champ opératoire dans notre étude. Ils sont donc inutiles ».

      En 2001 toujours, Figueiredo et al. ont rapporté qu’en cinq ans de dialyse péritonéale sans masque, les taux de péritonite dans leur unité n’étaient pas différents de ceux des hôpitaux où les masques étaient portés.

      Bahli a effectué une revue systématique de la littérature en 2009 et a constaté que « aucune différence significative dans l’incidence de l’infection des plaies postopératoires n’a été observée entre les groupes portant des masques et les groupes opérés sans masque ».

      Les chirurgiens de l’Institut Karolinska en Suède, reconnaissant le manque de preuves en faveur du port de masques, ont cessé de les exiger en 2010 pour les anesthésiologistes et autres personnels non masqués en salle d’opération. « Notre décision de ne plus exiger de masques chirurgicaux de routine pour le personnel non opéré est une entorse à la pratique courante. Mais les preuves à l’appui de cette pratique n’existent pas », a écrit le Dr Eva Sellden.

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    2. En 2010, Webster et al. ont fait état de chirurgies obstétriques, gynécologiques, générales, orthopédiques, mammaires et urologiques pratiquées sur 827 patients. Tout le personnel non gynécologue portait un masque dans la moitié des opérations, et aucun des membres du personnel non gynécologue ne portait de masque dans la moitié des opérations. Des infections du site opératoire sont survenues dans 11,5 % des cas pour le groupe « Masques » et dans seulement 9 % des cas pour le groupe « Sans masque ».

      Lipp et Edwards ont passé en revue la littérature chirurgicale en 2014 et n’ont trouvé « aucune différence statistiquement significative dans les taux d’infection entre le groupe masqué et le groupe non masqué dans aucun des essais ». Vincent et Edwards ont mis à jour cette revue en 2016 et la conclusion est la même.

      Carøe, dans une revue de 2014 basée sur quatre études et 6 006 patients, a écrit qu’ »aucune des quatre études n’a trouvé de différence dans le nombre d’infections postopératoires, que vous ayez utilisé un masque chirurgical ou non ».

      Salassa et Swiontkowski, en 2014, ont étudié la nécessité des blouses, des masques et des couvre-chefs dans la salle d’opération et ont conclu que « rien ne prouve que ces mesures réduisent la prévalence des infections du site chirurgical ».

      Da Zhou et al, en examinant la littérature en 2015, ont conclu qu’ »il y a un manque de preuves substantielles pour soutenir les allégations selon lesquelles les masques protègent soit le patient soit le chirurgien de la contamination infectieuse »...

      Voilà voilà ;)

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  4. Au début de l'histoire, il n'y avait - OFFICIELLEMENT hein - Pas Besoin de masque (Inutiles !!!)
    ... Puis alors la scyance fit des progrès !
    La mascarade commença :
    - Obligatoire à l'intérieur "quand on ne pouvait pas respecter les gestes barrières" (s'approcher à moins d'un mètre)
    ... Puis :
    - Obligatoire à l'extérieur ; même si on se promenait seul sur les crêtes de montagnes ou au coeur des forêts (!)
    ... Puis :
    - Obligatoire d'acheter les masques industriels du commerce.... Pas ceux en tissus personnalisés tout beaux et artisanaux !!!
    Et pourquoi en fait ?
    Pour cacher le fait que la première version de l'histoire était la bonne :
    Les masques sont inutiles !
    Eh oui. Mais au lieu de l'avouer, bientôt ce sera aussi le port obligatoire de plusieurs masques superposés !!!!!!!
    Il ne vous restera plus ensuite qu'à vous baisser pour un test anal quotidien
    😃 😃 😃

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  5. "Le masque et la vie" (*)

    Vivre masqué en permanence dans les espaces clos et à l'extérieur alors que ce virus circule à bas bruit est un non sens total.

    Et quoi qu'en pensent les adhérents au masque obligatoire qui n'y voient toujours rien d'autre qu'une simple mesure d'hygiène envers les autres, ce qui reste encore à démontrer, c'est toute la vie quotidienne qui est affectée et durablement.
    Car tout est à présent soumis au règne du masque obligatoire, les moindres gestes, la moindre action, les moindres déplacements, les visites, les rendez-vous, c'est toute notre vie quotidienne qui est à présent régie et rythmée par ce régime du masque : sortir, faire ses courses, aller chez le coiffeur, au restaurant, dans un bar, un musée, au cinéma, faire du sport, de la danse, etc etc.
    Et si ce régime est imposée aujourd'hui dans des conditions sanitaires saines, qu'en sera-t-il lorsque les autres coronavirus mutants et les influenza reviendront bientôt ?

    Au moindre rhume, aux moindres symptômes grippaux, que fera t-on ?

    Si ces contraintes limitantes drastiques sont imposées alors qu'elles ne se justifient pas aujourd'hui, à quelles mesures aurons-nous droit à la saison des grippes ?

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    1. Dans ces conditions, il est clair que ce régime sera maintenu sans aucune limite de temps.
      C'est un peu comme si on avait érigé un immense barrage face à une hypothétique vague démesurée, un tsunami dont la survenue est loin d'être certaine.
      C'est un peu aussi comme le désert des Tartares avec sa forteresse érigée contre un ennemi qui ne venait jamais...

      Nous avons basculé dans un univers de précaution absolue visant l'asepsie et le risque zéro pour préserver la vie et nous sommes en réalité entrain de perdre la vie.

      Car la vie n'est pas la survie.

      Lorsque vous marchez dans une rue commerçante de votre quartier et qu'un inconnu masqué vous fonce dessus pour vous prévenir que la police vient de verbaliser deux personnes pour non port du masque alors que rien n'indique qu'il est obligatoire dans ce secteur, vous réalisez qu'il se passe quelque chose qui n'a strictement rien à voir avec la santé.

      Lorsque vous prenez les transports en commun et que des patrouilles de police sanitaire arpentent la plateforme en dévisageant les passagers, vous comprenez que ce monde est devenu invivable.

      Lorsque vous entrez dans votre bistrot familier et qu'on exige de vous de mettre votre masque pour faire 2m50, et qu'en vous installant, la serveuse masquée vous présente un carnet dans lequel vous êtes invité à indiquer votre nom et votre numéro de téléphone pour être autorisé à manger, vous comprenez que rien ne sera jamais plus comme avant et que la joie, le plaisir de sortir, la convivialité, les échanges et les partages dans ces conditions, c'est terminé.

      {Maintenant on ne peux même plus y entrer :( .... Ils sont fermés par ordre de la déesse ("DS" => "Dictature Sanitaire") Beaucoup déjà ont sombrés ou ce sont suicidés même, face à tout ces coups de massues assenées "pour notre bien" (!)}

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    2. Je suis désolé pour toutes les personnes qui approuvent ce régime de dictature sanitaire, sincèrement, car je pense qu'elles ont perdu leur sens commun, leur bon sens, leur faculté de juger et de discriminer.
      Et je le pense sincèrement.

      Ces personnes qui en insultent d'autres sont en réalité atteintes d'un autre virus bien plus toxique, celui de l'intoxication médiatique et du formatage des cerveaux alimenté et entretenu par la propagande médicale et politique anxiogène et contre lequel il n'y a aucun remède ni aucun vaccin.

      Ce masque qu'ils exigent parfois avec violence au nom de leur santé en masque en réalité un autre, celui qui voile leur conscience et surtout leur liberté de conscience, de penser, d'apprécier et d'évaluer correctement la situation, celui qui voile la raison au profit du fantasme de la maladie mortelle qui rode à chaque coin de rue, celui de la peur panique d'être contaminé par la peste.

      D'abord il y a eu un virus.
      Ensuite des malades, puis des morts.
      Comme chaque année à la même saison, cette année l'aire des morts aura juste été plus concentrée sur une plus courte période. Mais au total, comparé aux pics épidémiques annuels et saisonniers ?

      Prenez la peine honnêtement de regarder un graphique de santé publique étalé sur les dernières années.
      C'est la visibilité de cette épidémie qui a choqué les consciences et construit une image, une représentation erronée de la réalité, une discordance, ce sont les discours et les messages changeants, les injonctions contradictoires et paradoxales, les conflits d'intérêts de toute catégorie, l'instrumentalisation, la récupération et l'exploitation politiques de l'épidémie qui ont brouillé la lisibilité correcte et rationnelle de cet épisode.

      Oui il y a eu une épidémie due à un coronavirus dont l'origine demeure mystérieuse pour moi et pour d'autres.
      Oui les plus fragiles et les plus âgés en ont été victimes. Soit. Et alors ?

      Est-ce une raison suffisante pour imposer ce régime de dictature sanitaire totalement disproportionné au moment où nous avons besoin de légèreté et d'air ?

      Est-ce une raison pour enfermer et astreindre toute une population au moment où rien ne le justifie lorsqu'on regarde les courbes des hospitalisations et des décès ?

      Et après ?
      Le contrôle électronique et numérique des contaminés ?
      Des codes de couleurs ?
      Un bracelet électronique pour les pestiférés ?

      Et puis pourquoi faire croire que ce régime prendra fin avec un vaccin alors que l'on sait parfaitement bien qu'aucun vaccin contre un coronavirus n'a jamais vraiment fonctionné ?
      Si les vaccins contre la grippe saisonnière fonctionnaient massivement, on le saurait me semble t-il. A t-on éradiqué la grippe avec un seul vaccin ?

      Alors j'avoue, oui, j'avoue et je reconnais volontiers que je suis atteint d'un syndrome très connu : celui du canari dans la mine.
      Vous savez, cet oiseau que les mineurs emportaient pour les prévenir du gaz méthane qui s'échappait du charbon, un gaz incolore inodore et indétectable.
      Lorsque que le canari s'endormait, ou mourait, il était temps de sortir...


      (*) (Août 2020)
      © Michel Rosenzweig (philosophe et psychanalyste)

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  6. Juste en passant ;)


    Je suis un des rares médecins à s’intéresser encore à ce qu’était la médecine d’autrefois, notamment ce qui a fait l’origine de la thalassothérapie en France.
    Pendant des décennies, les médecins ont prescrit des environnements, des climats où on savait que les conditions de vent, d’ensoleillement, étaient les meilleures pour prévenir notamment les infections.
    Et il semble qu’en 2021, on ait rayé d’un trait de plume ces connaissances de base.

    On nous demande, lorsqu’on est chez nous, d’aérer nos pièces, et d’un autre côté on n’arrive pas à reconnaître que les lieux extérieurs ne sont pas des lieux de transmission, c’est illogique !...

    ==> https://www.20minutes.fr/societe/2983567-20210223-coronavirus-sortir-epidemie-faut-entrer-logique-aeration-populations


    • Il n’y a aucune étude qui prouve qu’il y a un intérêt à porter un masque en plein air !!!

    Le masque en plein air – bord de plage, campagne et montagne – ne sert à rien.

    On peut être libre de le porter, pourquoi pas, mais je ne comprends pas que l’on continue à obliger quelque chose d’irrationnel scientifiquement.

    On pourrait, à la limite, se poser la question pour certaines rues ultra-fréquentées, même si je n’ai jamais entendu parler d’un cluster ["foyer de contaminations" en français] rue Sainte-Catherine à Bordeaux...

    On se contamine dans un espace fermé où il y a au moins une personne infectée, et quand on n’ouvre pas les fenêtres, alors la charge virale augmente dans la pièce.
    Il faut arrêter de croire que l’on se contamine en respirant une bouffée d’air où il y aurait un coronavirus dedans. Cela ne suffit pas pour s’infecter !...

    Et il faut rappeler que l’air marin, riche en sels minéraux, est bénéfique car il favorise la santé respiratoire.

    (Il faut conseiller le bord de mer...
    Et sans masque !)

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  7. Ah ben ça....
    Si même Martin Blachier le dit hein :D
    ==> https://m.youtube.com/watch?v=s9EQ5kv_s-8


    Eh oui, ce que je répète depuis plus d'un an :
    Les masques ça sert à rien !!!!

    (Juste à nous intoxiquer un peu plus afin de gonfler les statistiques de malades pour continuer à faire croire à la pandémie ; et que les bons moutons apeurés et soucieux d'enlever enfin leurs masques courent se faire vacciner pour bien enrichir au passage tous ces marchands de peurs et de maux ! :( )

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  8. A propos …
    « Le masque est inefficace et même néfaste, indiquent 167 études et articles scientifiques ! »

    (https://www.covidhub.ch/plus-de-150-etudes-comparatives-et-articles-montrent-linefficacite-et-les-effets-nefastes-du-masque/)

    ( Et sur mon actuel profil FB :
    https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=344815474512163&id=100069511384924)

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