vendredi 27 août 2021

"De la censure facebookienne en l'an de crasse 2021"




Il y a quelques jours, les responsables du réseau social "Facebook" anéantissaient le second groupe de "Recensement des effets indésirables du vaccin covid" déjà riche de milliers de témoignages, après avoir déjà supprimé 2 ou 3 semaines plus tôt le premier groupe du même nom, riche lui de centaines de milliers de témoignages sur ces effets très très très indésirables ! 

(Voir article précédent sur "Le petit musée de l'ère vaccinaire")...

Et là ce matin, après m'avoir déjà censuré plusieurs dizaines de posts et même de simples commentaires sur divers sujets de discussions, voilà que ces "abrutis dégénérés de censeurs fous" (Oui c'est un peu long comme description mais c'est ce qui se rapproche le mieux de leur état d'esprit déglingué digne du plus barbare des talibans et autre terroriste de la pensée !!!)... Voilà t'y pas, donc, que ces débiles me censurent aussi une simple photo de mon travail de couvreur, avec force argumentaire pour justifier leur censure.

Voilà toute l'histoire en "captures d'écran" réalisées ce matin même :


         












Bref...

Cette énième censure est la goutte d'eau qui fait déborder le vase...

Aussi les illustrations qui suivent ne seront qu'un aperçu de ce que j'ai pu sauver des témoignages de ces deux groupes pulvérisés par le rayon de la mort de l'étoile noire du seigneur Sith "Macron-Vador (!)

(Eh oui hein, si vous êtes attentif à la présentation d'origine de mon blog, c'est la même arme infernale pour tenter de tuer la véritable liberté de penser, et surtout la liberté de réfléchir par soi-même, et non en soumission absolue aux labos et industries pharmaco-chimiques qui polluent allègrement et notre planète et notre corps !!!!!)

Et encore un exemple affligeant de la censure totalement dingue de Facebook :







Photo déjà intégrée à mon précédent "petit" article sur la dictature vaccinale !!!


Malgré tous mes efforts pour conserver le maximum de témoignages (que les médias officiels s’évertuent à ignorer ou carrément censurer, tels les fameux autodafés nazis (!)), il faut bien comprendre que ce qui suis - ou précédait lors de mes articles antérieurs ! - ne représente qu’une fraction infime de ce qui a disparu dans les limbes d’internet … et de plus, ces témoignages eux-mêmes ne représentent qu’une petite fraction de la réalité ! De nombreuses personnes victimes de ce vaccins se refusant consciemment ou non de reconnaître le lien de cause à effet … et d’autres encore, « pour ne pas avoir encore d’autres problèmes » (!), se refusant à déclarer leurs problèmes post-vaccinaux !…

Pas plus tard qu’hier par exemple, un ami me racontait  le témoignage spontané d’une dame de sa connaissance qu’il avait croisé : « … La pauvre a dû (à cause de son travail) se faire injecter - contre sa volonté - les deux doses, alors que la première injection s'était déjà mal passée : elle s'est retrouvé avec un œil enflé, une oreille devenue complètement sourde durant tout une semaine, avec des problèmes au niveau des intestins, une jambe atteinte de manière horrible (j'ai compris qu'il s'agissait d'éruptions/de manifestations inflammatoires), la dame a dit qu'elle a été piquée en dépit du fait que le médecin (qui parait-il s'en fiche) savait qu'il y avait chez elle une contre-indication évidente due à ses antécédents allergiques dont une reconnue comme ayant un potentiel de pouvoir l'envoyer en réa ou lui coûter la vie. La victime a déclaré avoir beaucoup souffert durant une dizaine de jours et que son problème à la jambe ne s'est pas arrangé, elle a toujours des séquelles. Elle a dit qu'elle ne pouvait pas faire autrement vu la pression qu'on lui a fait subir du côté de son travail. Rien de tout ce qu'elle a subi n'a été remonté à la pharmacovigilance. »

Bref, à ce tarif-là, il est facile de parler de rapport bénéfice-risque largement positifs des injections géniques expérimentales.... 😠😠😠

Tiens …. Là encore une amie qui témoigne :

• Ce soir je suis triste . 
Je me suis rendue comme chaque samedi à la manif après mon travail , il était 19h45 quand j'y suis arrivée comme chaque samedi (la manif commence à 17h , mais moi je bosse jusqu'à 19h30) (…) Il y avait encore une ou deux poignées de soignants en blouse blanche qui faisait signer une pétition de soutien (que j'ai signée).

Et puis une petite dame s'est approchée et m'a abordée , croyant que j'étais professionnelle de santé, et m'a demandé si elle pouvait me poser une question. C'était une femme simple, sans doute peu instruite, m'a-t-il semblé, elle portait un masque rose.
Sa question était simple. Voilà, elle avait ses papiers avec elle, elle m'a expliqué qu'elle s'était faite vacciner, parce qu'elle avait subi plein de pressions, elle ne voulait vraiment pas au départ , mais le centre d'aide pour les handicapés comme elle lui ont vraiment forcé la main , prenant les rendez-vous à sa place , et lui disant que si elle persistait à ne pas se faire vacciner , elle ne pourrait plus se présenter au centre .... 
Elle a reçu une dose en juin , après avoir fait un PCR négatif ( un nième ...) puis une seconde dose fin juillet . 
Et depuis sa première dose et encore plus depuis la seconde , elle me dit qu'elle ne se sent pas comme avant , elle me dit être très fatiguée , ne plus arriver à faire son ménage comme avant , avoir eu plein de symptômes très différents ( douleurs dans tous les muscles , diarrhées violentes pendant 15 jours juste après la première dose , perte du goût , plus d'appétit , douleurs violentes au bas ventre , cauchemars ,douleurs thoraciques et angoisse de mort ) elle a l'impression que si elle reste chez elle , elle va mourir là , toute seule . 

Je lui ai dit deux fois très clairement que non je n'étais pas du tout soignante , mais je lui ai conseillé d'aller voir son médecin traitant pour qu'il prescrive les examens nécessaires pour tâcher de comprendre le pourquoi de tous ses symptômes et voir si on pouvait la traiter pour aller mieux . Et qu'après les résultats d'examens elle pouvait aussi faire une déclaration à la pharmacovigilance pour signaler tout ce qu'elle sent . Si possible avec des résultats d'examens pour que ça soit pris au sérieux . 

Elle s'en foutait cette pauvre dame d'avoir un passe , elle ne va pas au restaurant , ne prend ni l'avion ni le train , ne voyage pas , le seul truc c'était cet odieux chantage du centre d'aide pour handicapés . Ce n'est pas avec sa maigre pension qu'elle peut se payer des cinémas ou musées , de toutes manières . 

Elle a cédé par lassitude , elle a cédé par culpabilisation, elle a cédé par peur d'ostracisme , elle a cédé devant le harcèlement permanent tous azimuts . 

Cerise sur le gâteau , le 10 août le chu lui a fait une sérologie elle a des anticorps dirigés contre la protéine spike au plafond mais depuis ...son test PCR est ...positif . 
Du coup , la pauvre a cru qu'elle avait la Covid et du coup qu'elle était contagieuse !
Son fils refuse de la voir de peur d'attraper la Covid . 

Elle qui craignait être traitée comme une pestiférée parce que non vaccinée , du fait du test PCR positif , même doublement vaccinée , elle est bel et bien traitée comme une pestiférée . .
Son médecin refusait du coup de la recevoir , vu le test positif . 
Et tout ce beau monde la laisse seule face à ces symptômes et ses angoisses . 
Combien y en a-t-il comme ça des Sofiane qui subissent cette double peine , et qu'on laisse tomber ? Elle a 58 ans , son handicap est en partie du à un bégaiement ( et je pense un léger handicap mental aussi ) . Comment qq'un comme ça peut se débattre dans cet océan d'inhumanité du monde du pass sanitaire , face à des " soignants " qui lui ont tordu le bras pour la vacciner , et qui maintenant ne l'aident pas dans sa situation médicale emberlificotée ? 

Même pas sûre qu'elle ait un ordinateur ou qu'elle sache s'en servir . Comment peut elle faire un signalement à la pharmacovigilance ? 
À la fin , je lui ai expliqué qd même deux ou trois trucs qu'elle semble avoir compris , notamment que ce n'était pas parce qu'elle avait un PCR positif qu'elle était malade ni même contagieuse . Elle était contente , enfin , un peu de ciel bleu . Elle m'a demandé si elle pouvait me prendre dans ses bras , je sentais que ça lui manquait tellement ça , le contact , la chaleur humaine , que j'ai dit oui , bien sûr . 
On s'est donné rendez vous samedi prochain, j'espère que d'ici là elle aura réussi au moins à avoir une consultation . …


[Alors ce sera peut-être un peu dans le désordre - désolé… je ne peux pas faire le tri avec mon portable (et mon ordi n’est pas disponible actuellement (!))…]

















































Et ce n’est là qu’un échantillon !

J’en ai encore des dizaines …. Que dis-je, des centaines  en attente dans mes archives !!!

(Ah au fait comme je m’en doutais, le site internet de « Recensement des effets indésirables du vaccin Covid » a aussi été supprimé suite à des menaces judiciaires !

Après les autorités vont clamer qu’il n’y a quasi pas d’effets indésirables au vaccin … facile en supprimant quasiment tous les témoignages attestants de la fausseté  de ces assertions d’Etat !!! 😡😡😡








Ah tiens, en guise de conclusion, l’un de mes nombreux articles censurés par fb (mais que j’avais évidemment conservé dans mes archives, vu que les inquisiteurs de fb, en bons disciples des nazis, n’en sont pas pas à leurs premiers autodafés virtuels (!))…

Il y a quelques années déjà, dans "La Lettre de l'AGNVS", j'évoquais ce témoignage typique de la non prise en compte des problèmes post-vaccinaux :
<< ... Alors que de nombreux chercheurs ont déjà démontré que la présence d’hydroxyde d’aluminium dans les vaccins n’est certainement pas innocente dans le déclenchement de graves complications post-vaccinales - notamment l’apparition de cette nouvelle maladie : la myofasciite à macrophages -, ce lien reste controversé par d’autres prétendus scientifiques, tel le médecin conseil et responsable du dossier sur la sécurité vaccinale au ministère de la santé et des services sociaux du Québec, qui prétend que si on utilise également chez lui des adjuvants à base d’aluminium : 
« On n’a pourtant observé aucun cas de cette maladie ici, ni ailleurs dans le monde, sauf en France »... 

Ben voyons... on ne peut évidemment pas observer ce que l’on se refuse à voir !... 
Comme l’explique si bien ce témoignage de notre amie canadienne : 
« J’enrage !!!... Je sais pourquoi ils n’ont observé aucun cas de cette réaction au Québec. Parce que lorsqu’on leur déclare que notre enfant, vacciné à six mois, en est presque mort (chirurgie, etc., pour faire une histoire courte), tout le personnel médical qui a travaillé avec mon fils a renié ce fait (c’est seulement un étrange hasard, m’a-t-on répondu). 
Ensuite, essayant de porter plainte à la Direction de la Santé, on m’a répondu que ces effets secondaires ne sont pas répertoriés, donc que c’était impossible. 
Je leur ai demandé de répertorier le cas de mon fils, ainsi il y aurait des antécédents si une autre plainte venait... Mais se battre contre le collège des médecins, avec tout ce que ça coûte en frais juridiques, est une tâche herculéenne pour une maman monoparentale avec un poupon sérieusement malade sur les bras. 
J’ai essayé tout ce qui était en mon pouvoir avec les moyens que j’avais à l’époque pour faire reconnaître - juste reconnaître ! - ce que mon fils a vécu comme effets secondaires dans les 24 hrs après sa vaccination. Pour que cet enfer ne soit pas vécu par d’autres familles...

 Voilà pourquoi étrangement au Québec il n’y a pas de cas de mauvaises réactions aux vaccins. Parce qu’on les ignore !... » :( :( :( >>

[C'était dans "La Lettre de l'Agnvs" en 2002. 
A noter que "se battre contre le collège des médecins, avec tout ce que ça coûte en frais juridiques", n'est pas qu'une tâche herculéenne "pour une maman monoparentale avec un poupon sérieusement malade sur les bras." ... C'est aussi une tâche herculéenne pour tout citoyen lambda qui se retrouve souvent soit lui-même gravement affaibli par son vaccin, soit avec un proche, voire très proche, durement affecté par le vaccin :(
Le combat est herculéen même pour les très rares journalistes encore honnêtes et intègres (ceux qui, comme le disait de manière si imagée Blanche Gardin : "sucent plus de bites encore que les prostituées" (!))
Un autre exemple avec ce que "La Lettre de l'AGNVS" relatait également par ailleurs (il y a une petite vingtaine d'années :/ ) :
•    • Pouvoir et médias semblent totalement soumis au lobby vaccinaliste, d’où la remarquable "Conspiration du Silence" et la désinformation cultivée, tous azimuts : Il existe le politiquement correct et aussi le médicalement correct !

    Tous travaux, toutes déclarations de professionnels de la science, toutes découvertes, constats, réflexions, observations, qui n’entrent pas dans le cadre du "médicalement correct" ou risquent de ternir l’image trompeuse du vaccin-miracle, sont systématiquement occultés ou présentés comme élucubrations de cinglés, d’originaux débiles, d’arriérés mentaux ou, le fin du fin, comme issus de cerveaux dont les propriétaires sont membres d’une secte complotiste… 
C’est du marketing mais certainement pas de l’information !...

    Malheur à celui qui, tel un Giordano Bruno ou un Galilée, ose braver les "Grands Inquisiteurs" de la religion du Microbisme !!!
    (Les "Conquistadors" du vaccinalisme, les "Dictateurs" du pasteurisme, les "Seringueros" sans pitié, inhumains...)

    Voici deux petits exemples qui illustrent l’emprise totale d’une véritable maffia médicale :
    - Le Dr. Léon Daudet, dans son livre Les Morticoles, devenu introuvable, fustige la tyrannie d’une caste toute puissante, ayant droit de vie et de mort, manipulant à son gré le Pouvoir politique. Ce récit satirique, plus que jamais d’actualité, concerne notre pays.

    Les Editions GRASSET, éditeur détenteur les droits d’auteur, ayant déclaré à Michel Chavanon qu’elles ne désiraient pas rééditer cet ouvrage - un peu trop suggestif, évidemment! -, très agréable et facile à lire, lui ont refusé l’autorisation de le faire lui-même.
    Cet éditeur très puissant, bloquant ainsi la diffusion d’une œuvre embarrassante pour la maffia vaccinaliste aurait-il, lui aussi, l’obligation de se soumettre aux conspirateurs du silence ? Simple question...

    - En 1975, le Rédacteur en Chef d’un journal, Le Courrier du Val de Marne, Edouard Reveyrand, demande à Michel Chavanon de lui écrire un article à propos des accidents consécutifs aux vaccinations obligatoires.
    Ce dernier hésite et met en garde E. Reveyrand, lui garantissant que s’il passe l’article dans son canard il sera mis à pied dans les jours suivants.
    L’article paraît.
    Quinze jours après sa parution Edouard Reveyrand est licencié.
    Il ne retrouvera jamais d’emploi et décèdera après une dizaine d’années de chômage… ]


Et là tout récemment - en mai 2021 -, extrait un long article de Xavier Bazin (*) :
• Cher(e) ami(e) de la Santé,

Le 18 mars dernier, un jeune Français de 24 ans est mort à cause du vaccin AstraZeneca.

Il s’appelait Anthony, il était étudiant en médecine… et était en parfaite santé. 

Quelques jours après s’être fait vacciner, il a développé une thrombose à l’estomac, et est décédé d’une grave hémorragie. 

L’autopsie a confirmé que c’est bien le vaccin qui a causé sa mort[1]. 

C’est tragique, car il n’avait strictement aucun risque de mourir du coronavirus.

Et il n’est pas le seul dans ce cas.

Le 29 mars, une assistante sociale toulousaine de 38 ans est morte d’une thrombose, quelques jours après avoir été vaccinée par AstraZeneca.

Sa famille a porté plainte pour « homicide involontaire ». Le Pôle de santé du parquet de Paris a été saisi[2].

Combien y a-t-il de cas comme ceux-là ?

On ne sait pas.

Mais ces deux cas ne sont que la partie émergée de l’iceberg.

Car il ne faut pas croire que le vaccin AstraZeneca est le seul vaccin en cause. 

On a toutes les raisons de penser que Pfizer et Moderna causent autant de morts, car ce sont des vaccins basés sur la protéine S, comme AstraZeneca – et cette protéine cause des dégâts sanguins et cardiaques à elle-seule[3,4].

Ainsi, une étude a trouvé autant de thromboses suite à AstraZeneca que suite aux vaccins Pfizer/Moderna[5].

Récemment, les Israéliens ont détecté un lien entre le vaccin Pfizer et les myocardites, l’inflammation du cœur, chez les moins de 30 ans[6].

Donc, ces vaccins peuvent causer des morts, liées à des dégâts cardiaques.

Le problème est que les autorités font TOUT pour ne pas les détecter.

Dès le mois de janvier, au tout début de la vaccination en France, un homme en bonne santé de 75 ans est mort 2 heures après l’injection de Pfizer.

Conclusion des autorités de santé ? Cela n’a rien à voir avec le vaccin ! 

Ce serait drôle si ce n’était pas si tragique.

Avec les thromboses d’AstraZeneca, les autorités ont utilisé la même technique, au départ : « circulez, il n’y a rien à voir » ont-elles dit.

Puis, devant les preuves écrasantes, les autorités européennes ont dû reconnaître que ce vaccin causait bien des thromboses mortelles.

Mais elles l’ont fait pour une seule raison : il est rarissime d’avoir des thromboses à l’estomac ou dans le cerveau – c’est pourquoi les autorités ont été obligées de reconnaître l’évidence.

Ces thromboses mortelles étaient donc hyper « spécifiques », rares, et faciles à lier au vaccin.

Le problème est que les vaccins ne tuent pas forcément de façon aussi « caractéristique ».

On sait par exemple que le vaccin Pfizer peut causer des hausses brutales de tension[7]. 

Et il est probable qu’une forte poussée de tension sur un cœur fragile puisse causer un arrêt cardiaque.

Mais si le patient vacciné meurt d’un « banal arrêt cardiaque », même 2 heures après son vaccin, les autorités diront que c’est une « coïncidence ».

Simplement parce qu’il n’est pas mort de façon « caractéristique », d’une façon qui pourrait être liée directement au vaccin, sans contestation possible.

Des coïncidences comme celle-là, il y en a beaucoup, à travers le monde : 

Une Américaine de 16 ans en pleine santé, Kamrynn Thomas, morte d’arrêt cardiaque 10 jours après avoir reçu le vaccin Pfizer[8] ? Une coïncidence !
 
Une Japonaise d’une soixantaine d’années morte après le vaccin Pfizer d’une hémorragie cérébrale[9] ? « Pas de lien prouvé » !
 
Un enfant handicapé de 20 ans est mort 12 heures après avoir reçu le vaccin Pfizer[10] ? Une coïncidence ! 
 
Drene Keyes, une femme de 58 ans, morte d’un caillot sanguin dans les heures qui ont suivi son vaccin Pfizer[11] ? Une mort « naturelle » !
 
Sonia Acevedo, une Portugaise de 41 ans en pleine santé, mère de 2 enfants, morte subitement 2 jours après le vaccin Pfizer[12] ? Un hasard !
Alors, comment en avoir le cœur net ? 

Comment savoir si ce sont des « coïncidences »… ou si ces vaccins causent des morts ? 

Eh bien il faut prendre les chiffres globaux… et ils sont à mon avis dévastateurs.

Les indicateurs sont EXTRÊMEMENT inquiétants

Aux États-Unis, il existe un système de notification des accidents graves après des vaccinations.

Ce qui est intéressant, c’est de comparer les vaccins entre eux. 

Après le vaccin contre la grippe, donné à 165 millions d’Américains chaque année, le système enregistre la notification de 100 à 200 morts en moyenne.

On ne sait pas si ces morts sont dues aux vaccins ; tout ce qu’on sait c’est qu’elles sont « suspectées » d’être liées au vaccin. 

C’est peut-être une coïncidence, on ne sait pas. Mais le chiffre de 100 à 200 morts sur 165 millions est plutôt faible.

Problème : avec les vaccins contre la Covid-19, les chiffres ne sont pas du tout aussi rassurants[13] !

Sur 95 à 100 millions d’Américains vaccinés à la mi-avril, le système de notifications avait déjà rapporté… 3 500 décès[14] !!

Cela fait au moins 50 fois plus de décès « suspects » par rapport au vaccin contre la grippe !

Voilà un indice très clair que ces vaccins causent beaucoup plus de morts qu’on ne le dit !

Et en Europe, alors ? 

Eh bien c’est à peu près la même chose… en pire.

Le système EudraVigilance a reçu plus de 10 000 notifications de décès après une vaccination.

Plus de 4 000 de ces décès étaient liés au vaccin Pfizer. Plus de 2 000 au vaccin Moderna. 

Là encore, les autorités vous diront que ces décès post-vaccinaux sont des « coïncidences ».

Mais ce n’est pas crédible, car cela n’explique pas pourquoi on enregistre 50 à 100 fois plus de décès après un vaccin Covid qu’après un vaccin contre la grippe !

Et en plus, il faut savoir que ces morts « notifiées » ne sont probablement qu’une petite partie de l’iceberg !

Une étude de 2010 avait conclu que 1 à 13 % seulement des effets indésirables graves des vaccins étaient notifiés aux autorités[15]. 

Donc la plupart des morts après vaccination ne sont jamais enregistrées nulle part !

La preuve, avec ce qui est arrivé à Laetitia, 23 ans.

C’est le journaliste Yves Rasir, qui a raconté son histoire, dans une excellente infolettre[16].

Je la cite ici en quasi-intégralité, car cette affaire est emblématique :

Un cas d’école : une joggeuse noyée dans son sang – par Yves Rasir

« Laetitia était une étudiante française de 23 ans accomplissant ses études dans la bonne ville wallonne de Liège. 

Le 2 mai dernier, cette jeune fille a voulu profiter des premiers « assouplissements » du confinement et elle a participé à une course à pied de 15 km dans un parc de la Cité Ardente. Quelques mètres après la ligne d’arrivée, elle s’est écroulée inanimée et les sauveteurs n’ont pas réussi à relancer son cœur. 

Le drame a été relaté dans cet article de la presse locale. Par le plus grand des hasards, il se trouve que l’organisateur de ce jogging populaire n’est autre qu’un de mes amis journalistes, Gilles Goetghebuer, rédacteur en chef des magazines Zatopek et Sport & Vie. Il se trouve aussi que Gilles est le capitaine de mon équipe de foot et que, dans un message ému au groupe, il nous a raconté l’événement choquant auquel il avait assisté aux premières loges puisque Laetitia a quasiment expiré dans ses bras. 

Deux détails ne figurant pas dans le journal m’ont immédiatement fait sursauter: d’abord la jeune Française terminait des études d’infirmière, et ensuite son « arrêt cardiaque » n’était pas un infarctus. La vraie cause de sa mort est une « dissection aortique », autrement dit une déchirure de la grosse artère quittant le cœur et traversant le thorax. Comme Gilles en a été le témoin éclaboussé, la malheureuse joggeuse s’est littéralement noyée dans son sang et le défibrillateur n’a été d’aucun secours. 

Une infirmière ? Une dissection aortique ? Vérification faite sur le site d’Eudravigilance, cette urgence médicale a été rapportée 11 fois en Europe après l’administration du seul vaccin Pfizer. Et pour 10 de ces cas, la victime était un « professionnel de santé ». Deux cas mortels ont été recensés en France, comme en atteste cette publication de l'ANSM. 

Ayant découvert cette relation éventuelle, j’ai demandé à Gilles si Laetitia, qui faisait des stages en hôpital, avait déjà été vaccinée contre le covid comme beaucoup de soignants. Renseignements pris auprès de son frère, elle avait effectivement accepté le vaccin et elle avait reçu sa deuxième dose du Pfizer un mois avant le jogging fatidique. C’est ce que la médecine vaccinaliste appelle une « coïncidence temporelle » mais dont on peut sérieusement mettre en doute le caractère fortuit si l’on possède un minimum d’honnêteté intellectuelle. 

C’est juste que les médecins accourus sur place n’ont pas fait le lien et que ni les autorités judiciaires ni les journalistes liégeois n’ont fait leur boulot en enquêtant sur ce décès inopiné et cette pathologie insolite chez une jeune fille sportive. L’affaire a été classée sans même avoir été instruite !

Enquête éloquente – la réalité de la « pharmacovigilance »

Laissez-moi vous raconter aussi la petite enquête menée par mon ami Gilles car elle est édifiante. (…) Ne voulant pas lâcher le morceau, il a alors contacté l’AFMPS, l’agence belge de pharmacovigilance, pour demander si le drame survenu à Liège leur avait été signalé et, le cas échéant, ce qu’il était advenu de ce signalement. 

À son grand étonnement renouvelé, le journaliste a encore une fois été éconduit et envoyé sur les roses. Ses interlocuteurs n’ont rien voulu dire et ont tenu des propos l’assimilant également à un fouineur malveillant, voire à un dangereux complotiste conspirant contre l’État. « Cette réaction m’a vraiment choqué car je me faisais une toute autre idée d’un service public récoltant les effets secondaires des vaccins et médicaments. En principe, cette administration doit agir en procureur, défendre la société et demander des comptes au secteur pharmaceutique lorsqu’il est fautif. Ici, j’ai eu plutôt le sentiment qu’elle se comportait en avocat de Big Pharma ». 

Pour en avoir souvent discuté avec lui, je peux certifier que Gilles Goetghebuer n’a rien d’un antivax comme moi. Il est d’avis que certains vaccins doivent susciter méfiance et prudence mais il ne remet nullement en cause la médecine pasteurienne dans son ensemble. Cet homme est la nuance et l’équidistance incarnées. 

Cette fois-ci, derrière son agacement, j’ai cependant perçu qu’il prenait conscience d’une indéniable réalité : le système est ainsi fait que les accidents et les décès suspects ne sont pas toujours rapportés comme ils le devraient.

Combien de Laetitia ?

Gilles a donc fait chou blanc auprès de l’AFMPS mais il y avait un autre moyen de ponctuer son enquête avortée. En fouillant sur le site de l’Agence, j’ai trouvé que la Belgique n’avait introduit aucun cas de dissection aortique dans le système de pharmacovigilance européen. Elle a répertorié plus de 500 effets secondaires post-vaccinaux, dont certains gravissimes comme des myocardites, des thromboses cérébrales et des thromboses oculaires ayant entrainé la cécité, ainsi que 38 cas de … covid sévères, mais pas une seule déchirure de l’artère principale du corps humain. Indirectement, nous avons ainsi la preuve que la tragique disparition de Laëtitia a échappé aux radars et que son dossier n’a même pas été ouvert par les instances chargées d’évaluer les dangers de la campagne vaccinale anti-covid.

On peut par conséquent et légitimement se poser la question : n’y a-t-il pas beaucoup d’autres drames ignorés et faussement attribués à la fatalité ? Laetitia est-elle la pointe d’un iceberg dissimulé aux regards ? Combien de victimes du vaccin sont-elles ainsi enterrées ou incinérées en catimini sans autopsie ? 

Comme je l’ai déjà écrit, certaines analyses scientifiques laissent à penser que les effets indésirables des vaccinations sont largement sous-notifiés. C’est notamment le cas de ce rapport établi aux États-Unis en 2007. Dans ce document, les auteurs estiment qu’à peine 0,3 % des « réactions adverses » aux vaccins et aux médicaments sont rapportées à la Food and Drug Administration américaine. Et seulement 1 à 13% des effets graves lui sont signalés. 

Si ces proportions sont correctes et transposables en Europe, ça signifie que le nombre de morts réellement survenues après vaccination anti-covid se situe peut-être entre 100 000 et 1 million ! Bien sûr, de nombreux décès peuvent raisonnablement être attribués à d’autres causes. Tout comme une écrasante majorité de covidécédés sont morts de vieillesse et de leurs morbidités préalables, et non par la faute du virus, beaucoup de vaccinés âgés sont vraisemblablement morts avec le vaccin et pas du vaccin. 

Il n’empêche que ses funestes effets à court terme sont fort probablement supérieurs à ce qui est officiellement admis par les vaccinateurs. Et c’est sans parler des effets à moyen et long terme, que le système de surveillance est encore moins capable de repérer. 

Hommage à Laetitia, à toutes les autres victimes récentes et à toutes celles qui vont malheureusement mourir prématurément dans les mois et les années qui viennent, sans que leur assassinat par injection létale soit reconnu. À la libération, lorsque la dictature covidiste aura été renversée, il faudra songer à leur dresser un monument commémoratif. Et il faudra juger tous ceux qui auront fermé les yeux. » - fin de l’article de Yves Rasir

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Merci Yves pour cette enquête.

Il est grand temps d’ouvrir les yeux.

Bonne santé, 

Xavier Bazin

(*) Cf. https://www.sante-corps-esprit.com/combien-de-morts-causees-par-les-vaccins-experimentaux/


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