Voilà une belle image - en fait une carte postale que j'ai affichée dans mon bureau depuis près de 20 ans déjà (!) -, qui me rappelle toujours cette magnifique chanson dont je parlais déjà dans un article de ce blog "L'Effet Miroir" : "Regard impressionniste" d'Yves Duteil ! Le monde a la beauté du regard qu'on y pose. Le jardin de Monet, le soleil de Renoir, Ne sont que le reflet de leur vision des choses, Dont chacun d'entre nous peut être le miroir... => https://m.youtube.com/watch?v=zI5ih9jlaLI |
Mon hommage FB à notre Président de la République Française Jacques Chirac :
Jacques Chirac en 2002 (eh oui, 17 ans déjà .... Et c'est quasiment de pire en pire malgré toutes les dénégations de nos "climato-réalistes" (sic) :
« Notre maison brûle et nous regardons ailleurs.
La nature, mutilée, surexploitée, ne parvient plus à se reconstituer, et nous refusons de l'admettre.
L'humanité souffre.
Elle souffre de mal-développement, au Nord comme au Sud, et nous sommes indifférents.
La Terre et l'humanité sont en péril, et nous en sommes tous responsables. »
On pourrait le répéter encore aujourd'hui et ce serait malheureusement toujours d'actualité 😥
D'ailleurs, au Forum économique mondial de Janvier 2019, la jeune militante suédoise Greta Thunberg utilise une formulation similaire en déclarant :
« Notre maison est en feu.
Je veux que vous ressentiez la peur que je ressens chaque jour.
Nous n'avons plus que douze ans pour agir.
Et on ne fait rien !!!! »
« Notre maison brûle et nous regardons ailleurs » est une phrase que prononça le Président Jacques Chirac, en ouverture du discours qu'il fit devant l'assemblée plénière du IVe Sommet de la Terre le 2 septembre 2002 à Johannesburg, en Afrique du Sud, et qui sert à présent à désigner cette prise de parole.
A noter que la phrase « Notre maison brûle… » a été écrite par Jean-Paul Deléage (physicien, géopolitologue, maître de conférences aux universités d'Orléans et de Paris, militant et historien de l'écologie) spécialement pour le discours du président français de l'époque, à ce sommet mondial.
Cette phrase a été inspirée par la chanson Beds are Burning de Midnight Oil en 1986 (extrait : « How do we sleep while our beds are burning »).
À l'époque, l'Australie était en proie aux feux de forêt.
Le réchauffement climatique en était la cause selon les militants écologistes...
En se référant en particulier au réchauffement climatique, la déclaration du chef de l'État français fait à la fois le constat de la destruction de la Nature et la critique de l'indifférence des habitants de la Terre face à cette catastrophe qui mettrait pourtant à l'épreuve et en danger l'espèce humaine tout entière.
Selon les commentateurs, qui apprécièrent les intentions de l'orateur, mais qui regrettèrent aussi sa prise de conscience tardive, elle ne fut que très peu suivie d'effet de la part de ce dernier, de son auditoire et de ses cibles.
Le RCA "Un mensonge qui arrange" ?
Récemment, une "amie" FB m'a interpellé sur sa page infestée de "climato-sceptiques" pour m'imposer notamment un très long texte d'un certain Antoine Calandra, militant anti-nucléaire de choc mais aussi malheureusement militant climato-négationniste encore plus choquant !
😞😕😒😖😓
Plusieurs pages quasiment de grand délire où chaque ligne comporte une ânerie, une contre-vérité, ou un mensonge caractérisé !!!
Cet article sur le blog "2013 Continuum" est en fait la réponse - en plusieurs posts - que j'ai fait sur ma page Facebook (Et pas sur celle de mon amie qui, même si elle avait publié intégralement ce texte d'Antoine Calandra "Un mensonge qui arrange", n'a pas voulu au contraire de mes réponses, jugeant qu'il convenait de passer à autre chose et que de toute façon mes commentaires déplaisaient à ses amis FB (!))
["La raison pour laquelle il y a autant de climato-sceptiques, c’est qu’en matière de changement climatique, il faut quelques mots seulement pour affirmer une ânerie, et plusieurs pages pour expliquer pourquoi c’est une ânerie !"
Ah ben je n'avais eu droit qu'au texte en plusieurs posts sur FB, et sans aucun lien....
Mais je découvre grâce à Google sa version en ligne intégrale (*)
Moi, avant d'entamer la moindre recherche sur cette prose et le pedigree de son auteur, j'avais déjà répondu du tac au tac :
- J'ai vu l'article anti-GIEC de l'autre zigoto : c'est du pur délire !
Du grand n'importe quoi !
Le plus affligeant ce n'est pas que quelqu'un ose écrire des conneries pareilles mais que des gens gobent toutes ces inepties :(
Oui c'est bidon tout ça : des mensonges caractérisés des négationnistes du RCA qui racontent n'importe quoi, mais vraiment n'importe quoi !!!
Tout ça n'est qu'un ramassis de conneries toutes plus débiles les unes que les autres. Ce ne sont que des contre-vérités et des bobards !
[Prétendre que ces milliers de tonnes de CO2 larguées dans l'atmosphère serait bon pour la planète est une contre-vérité absolue !
De même que prétendre que le réchauffement climatique actuel ne serait dû qu'à des cycles naturels ; c'est faux !
Les "scientifiques" qui sortent ce genre de connerie ne sont pas dignes de ce titre .... Ou alors mentent sciemment pour toucher leur petit pécule de l'industrie chimico-pétrolière !!! :(
Oui, il y a bel et bien un réchauffement climatique, c'est un fait indéniable ! (Malgré que certains persistent encore à le nier ... Comme d'autres nient que la Terre soit ronde (!))
Et non, ce n'est pas la faute au soleil ou à un pseudo "basculement radiatif" ou à un quelconque "changement de la position de la Terre dans le système solaire" !
La seule explication sensée à ce réchauffement c'est bel et bien nos rejets de GES, dont le CO2 est l'un des plus emblématiques !
Le GIEC a raison, comme la quasi totalité des scientifiques du monde entier qui mènent ces études et recherches !
Les autres ne racontent bien souvent que des conneries ou des croyances passéistes de la science du siècle dernier !...
Tiens, en passant :
- Si l’un des arguments principaux du climatoscepticisme consistait à avancer que ces cycles étaient normaux pour la planète, une nouvelle étude vient définitivement enterrer cet argument. En effet, une nouvelle recherche vient de démontrer qu’au cours des 3 derniers millions d’années, le climat n’a jamais été aussi perturbé que depuis l’émergence de l’ère industrielle.
Bref, quelques recherches via Google et j'ai déjà trouvé ça en 10 minutes :
D'autres réponses déjà en ligne depuis plus de deux ans [Re: "Les négateurs du RC anthropique ... du 06 janv. 2017" (http://www.oleocene.org/phpBB3/viewtopic.php?t=4600&start=1500)]
"Mobar a écrit : Un panorama des arguments à charge sur Mediapart qui m'avait échappé, par Antoine Calandra :...."
Il me semble que vous aviez déjà posté ce lien qui n'est qu'un ramassis de crétineries, en plus très mal écrites...
Quand à contester les élucubrations contenues dans cet article, je vous retourne la maxime bien connue :
- "Il faut 1 minute à un sceptique pour écrire une imbécilité, et 15 minutes pour lui expliquer pourquoi c'en est une".
Contrairement à vous, je n'ai pas le temps, ni la volonté d'ailleurs, d'user de mon temps à répondre à des arguments aussi stupides.
24h d'une journée n'y suffiraient pas - Je confirme ! 😛 Il ma fallu pas mal d'heures pour concocter tous ces posts, sans parler de leur transhumance sur ce blog !!! - et les effets seraient quasiment nuls puisqu'il suffit de vous lire pour constater qu'aucun élément objectif vous contredisant vous amène à une once de retournement de veste. Autant pisser dans un violon.
Mais comme j'ai quelques minutes présentement devant moi pour pianoter un peu, je vais prendre deux éléments de ce torchon pour vous montrer que le lien que vous postez est totalement inepte :
Antoine Calandra a écrit :
"AR4 affirmait entre autres que les glaciers de l'Himalaya pourraient disparaître en 2035 voire avant. Le GIEC dût démentir en 2010 suite aux protestations des scientifiques. Des études ont confirmé qu'il n'y avait aucun recul inquiétant des glaciers en Himalaya et plusieurs scientifiques et ex-experts du GIEC démissionnèrent pour exprimer leurs désaccords quant aux méthodes de travail et ses conclusions."
=> Une simple recherche google vous aurait montré que cette date de 2035 est une erreur de frappe dans le rapport. Il fallait lire en fait "2350".
Utiliser ce 2035 pour attaquer la pertinence scientifique du rapport du GIEC est donc soit de l'ignorance, soit de la mauvaise foi totale !...
Antoine Calandra a écrit :
"Pourquoi le CO2 a t-il augmenté ? la raison principale semble avoir peu de lien avec les activités humaines, mais venir surtout des cycles solaires ; le soleil ayant connu une période d'activité intense depuis 1950, cause non prise en compte par le GIEC."
=> C'est là qu'on voit que l'auteur est soit un ignare qui ne comprend même pas les éléments qu'il écrit et qui conteste un rapport qu'il n'a jamais lu, soit un manipulateur.
Premièrement le CO2 anthropique est tracé via les isotopes du carbone, cf. Jancovici à ce sujet.
Deuxièmement, concomitamment à la hausse de la concentration de CO2 dans l'atmosphère, on constate une diminution de la concentration en O2, ce qui accrédite le fait que ce CO2 provient d'une combustion, re-cf. Janco.
Troisièmement, bien entendu que l'activité solaire est prise en compte dans l'évaluation des causes de l'élévation de la température moyenne en surface. cf. AR5 - Résumé technique - Figure RT6 et chapitre RT3.5.
Ce chapitre nous explique que la TSI est légèrement en diminution depuis 1980 et que le forçage radiatif induit est neutre, à l'opposé des GES.
Il nous apprend également que les rayons cosmiques issus de l'activité solaire ont eu un effet négligeable sur le climat via la formation de noyaux de condensation !...
Voilà, il m'a fallu 1/4h pour répondre à deux âneries contenues dans votre article, vous m'excuserez de ne pas répondre à toutes les autres...
Et pour finir :
"Mobar a écrit : Je ne crois que ce que je vois et surtout pas ce que professent en chaire, les prosélytes, subventionnés par la politique et la manipulation"
Cette phrase est une insulte à l'intelligence !...
Vous pensez qu'il a fallu attendre les première images satellites pour que l'on sache que la Terre est ronde ?
Remarquez que si ces images n'existaient pas, on aurait encore des Mobar sur des forums pour nous expliquer que "voyons, la Terre est plate bien sûr, il suffit de regarder devant soi pour le constater, c'est du simple bon sens, on ne va pas croire des professeurs en chaire".
Nous n'avons pas besoin d'observation directes pour établir des preuves, on peut user de son cerveau et raisonner.
Heureusement que certains le font !...
Heureusement que certains le font !...
(*)
• http://coordination-antinucleaire-sudest.net/2012/index.php?post/2016/01/07/un-mensonge-qui-arrange
(Et il y en a malheureusement bien d'autres encore 😡)
A noter que son auteur se justifie notamment par :
"L'industrie nucléaire, civique et militaire, est une menace imminente mettant gravement en péril l'avenir de l'humanité, plus encore que le pétrole.
Si nous diminuons nos dégagements de CO2, les effets positifs seront rapidement visibles.
Ce qui n'est pas le cas avec l'industrie nucléaire.
Nous ne pouvons là que limiter les dégâts en stoppant son emploi au plus vite, ses dégâts étant d'ores et déjà irréversibles pour des milliers d'années !"
Oui bon OK... Le nucléaire c'est vraiment pas bien. Pas bien du tout !
Mais quoi.... Le CO2 non plus c'est pas bien !!
Et c'est une très mauvaise stratégie que de dénigrer ce combat contre les produits pétroliers au nom de la défense du combat contre le lobby nucléaire !!!
Enfin, quelques rares bonnes réactions tout de même sur le site d'origine de cet article.
En voici le condensé :
• Je suis en désaccord formel, total, absolu avec votre article" un mensonge qui arrange". Moi aussi je suis anti nucléaire mais ce n'est pas une raison pour dédouaner le pétrole !...
... Bravo pour le copier coller d'un inepte ramassis climatosceptique ! Hallucinant !
La publication de tels propos négationnistes par la coordination du Sud-Est me déçoit très fortement. Etre anti-nucléaire (et je le suis) ne signifie pas être aveugle et raconter n'importe quoi.
Mettre en cause en particulier le développement d'énergies renouvelables telles que le photovoltaïque et l'éolien (comme dans un des commentaires ci-dessus) me parait complètement injustifié.
Un tel article est loin de défendre la cause anti-nucléaire, bien au contraire. A se demander même si celui qui l'a écrit est vraiment anti-nucléaire !
Lire quand même "Les Marchands de doute" de Naomi Oreskes et Erik M. Conway pour comprendre comment la plupart des arguments climato-sceptiques sont construits et mise en scene par les maîtres en manipulation que sont les lobbies conservateurs et des énergies fossiles.
L'argument qui tient à dire que le GIEC serait un lobby assez puissant pour réaliser une propagande mondiale en faveur du réchauffement climatique et donc du nucléaire me semble ahurissant. En effet le lobby du pétrole est mille fois plus influent que celui du nucléaire. La société toute entière est organisée autour des énergies fossiles et les enjeux économiques liés au pétrole sont pharaoniques.
Et puis j'ai vu le reportage TV de la chaîne planète, et là j'émets de très sérieux doutes quant à la véracité des propos tenus.
D'abord, si l'on admet que le CO2 produit par les activités humaines n'as pas d'influence sur le réchaufement climatique, c'est pas une raison pour dédouaner l'industrie et les bagnoles individuelles de la pollution atmosphérique incontestable qu'ils entrainent. Or l'amalgame est volontairement entretenu tout au long du reportage : puisque le CO2 rejeté n'impacte pas le climat, on peut continuer nos activités la conscience tranquille. C'est le message subliminal.
Ensuite, ils font témoigner Patrick Moore, un des fondateurs de Greenpeace, qui depuis qu'il a retourné sa veste est un vendu à la solde des multinationales. Vous pouvez le voir dans un TB reportage de spécial investigation sur les OGM en flagrant délit de mensonge, puisque ce monsieur n'hésite pas à dire qu'on peut boire du Roundup sans rien craindre pour sa santé! mais refuse d'en boire un verre !...
Enfin, il y a un argument abject à la fin du reportage ; ils essayent de culpabiliser le spectateur en disant que les partisans de la théorie du réchauffement climatique, en sponsorisant les énergies renouvelables, sont inhumains car ils empêchent le développement du tiers-monde ! Et que le pétrole est une énergie bien plus adaptée pour eux ! Comme si l'économie mondiale actuelle en avait quelque chose à foutre de sauver les africains ! pathétique. Si ça c'est pas de la propagande aussi, je veux bien me faire curé !
(Le laïus "climato-réaliste" de janvier 2016 d'Antoine Calandra)
... La création du GIEC Le GIEC fut créé en 1988 à la demande du G7 (G20 aujourd’hui) sous la pression de Ronald Reagan et Margaret Thatcher. Dans les années 1970 Thatcher, premier ministre, était en difficulté à cause des mineurs britanniques qui menaient de fortes grèves générant coupures d'électricité. Elle n'avait pas confiance dans les compagnies pétrolières ; sa préférence était l'énergie nucléaire. En 1979, à Genève, se tient la première Conférence mondiale sur le climat. Alors que la crainte dans ces années-là était celle d'un refroidissement planétaire, est déclaré que le dioxyde de carbone(CO2) émis par les activités humaines pourrait réchauffer la planète et avoir de graves conséquences. Très opportuniste, Margaret Thatcher s'empare de cette pensée nouvelle pour faire la promotion de l'énergie nucléaire. La France déjà très engagée dans le nucléaire, sous la présidence de François Mitterrand, avec Jacques Delors président de la Commission européenne et représentant la France lors des grands sommets internationaux, appuie cette ligne politique. Et le GIEC (Groupe Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) va naître en novembre 1988 et tout faire pour prouver la véracité de ce réchauffement climatique anthropique. Le lobby nucléaire y est dès le départ très présent. Il est amusant de constater que le GIEC s'est renommé « Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat » dans les traductions suivantes. L'appellation anglophone IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) ne contient pas ce mot. Le GIEC est un « Groupe Intergouvernemental » c'est à dire avant tout une structure soumise aux forces politiques. Depuis sa création le GIEC publie tous les six ans environ un épais rapport de plusieurs milliers de pages, ainsi qu'un « résumé pour les décideurs » de 20 à 40 pages servant de base aux négociations climatiques internationales. Le cinquième et dernier rapport date de 2014. Au fil des ans, ces résumés sont devenus de plus en plus illisibles. Les trois premiers rapports du GIEC restaient prudents. En 1995, le GIEC concluait en disant qu'aucune des études n'avait apporté la preuve que le changement climatique puisse être attribué aux gaz à effet de serre. En 2001, le GIEC soulignait qu'en matière de modélisation du climat, ils étaient face à un « système chaotique couplé et non linéaire » et que les prédictions à long terme s'avéraient impossibles. Mais dés le 4 ème rapport (AR4), fin 2007, sans aucune donnée nouvelle, le GIEC affirme que la réalité et l'ampleur du réchauffement climatique sont « sans équivoque ». L'effet de serre du CO2 serait la cause d'un réchauffement pouvant atteindre 6,4° en 2100 si rien n'était fait; cela provoquerait aridité, désertification, catastrophes climatiques et montée des océans. Des prédictions avec un écart allant de 0,2° à 6,4°! Une marge d'incertitude invalidant leurs conclusions. AR4 affirmait entre autres que les glaciers de l'Himalaya pourraient disparaître en 2035 voire avant. Le GIEC dût démentir en 2010 suite aux protestations des scientifiques. Des études ont confirmé qu'il n'y avait aucun recul inquiétant des glaciers en Himalaya et plusieurs scientifiques et ex-experts du GIEC démissionnèrent pour exprimer leurs désaccords quant aux méthodes de travail et ses conclusions. En tant que vice-président dans l'administration Clinton, Al Gore aida à promouvoir le protocole de Kyoto en 1997, traité international visant à réduire les émissions de CO2. En 2006, dans son film « une vérité qui dérange », Al Gore se met en scène pour expliquer la future catastrophe planétaire liée aux activités humaines. Ce film quasi hollywoodien très médiatisé, avec ses images d'apocalypse et sa courbe impressionnante « en crosse de hockey » pour illustrer le réchauffement depuis la période industrielle, eut un retentissement international. Mais cette courbe était fausse ! (et ce n'était pas la seule erreur). Elle avait été sciemment falsifiée. Ce mensonge scandaleux à des fins idéologiques aurait dû entraîner la dissolution du GIEC. Mais non, le GIEC admit son «erreur», la courbe disparut du rapport suivant et le film reçut 5 prix, 2 nominations et le prix Nobel de la paix fut attribué en 2007 au GIEC et à Al Gore !! Puis il y eut en 2009, peu avant le sommet de Copenhague, la « Climategate », autre affaire très grave. Des hackers avaient diffusé plus de 5000 e-mails de hauts membres du GIEC. Dans ces échanges apparaissaient clairement les manipulations des données scientifiques pour les faire coller à leur théorie réchauffiste, ainsi que des rapports de scientifiques censurés « comme non conforme » à la version officielle du GIEC. On y vit aussi leurs méthodes d’intimidation contre ces scientifiques « dissidents ».
Le président du GIEC, Rajendra Pachauri, faisant l’objet d’une plainte pour harcèlement sexuel, dût démissionner le 24 Février 2015. Ce n'était pas le seul scandale le concernant; il était également visé par des accusations de conflits d'intérêts et d'enrichissement personnel. Dans le 5ème et dernier rapport (2014), sans nouvelles données scientifiques, le GIEC devient plus affirmatif encore : le réchauffement du système climatique est dû aux activités humaines (probabilité de plus de 95 %) et il faut mettre fin à l’utilisation des énergies fossiles, principales responsables. Qu'en est-il de ce soi-disant réchauffement climatique anthropique dû au dioxyde de carbone (CO2) ? Tout d'abord, il est bon de rappeler que le climat de la Terre n’a jamais été constant et a sans cesse changé.
De plus la climatologie est une science récente qui ne s'est développée qu'après la seconde guerre mondiale. L'atmosphère de la Terre se compose d'une multitude de gaz dont une petite partie sont des gaz à effet de serre. Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d'eau (H20). Heureusement qu'elle est là sinon il y aurait sur Terre 30°C de moins, soit une température moyenne de -18°C. Le C02 est un gaz à effet de serre assez mineur ; c'est le seul qui augmente de façon significative. Depuis 20 ans, son augmentation semble se limiter d'elle-même dans une période pourtant fortement émettrice. Pourquoi le CO2 a t-il augmenté ? la raison principale semble avoir peu de lien avec les activités humaines, mais venir surtout des cycles solaires ; le soleil ayant connu une période d'activité intense depuis 1950, cause non prise en compte par le GIEC. La hausse des températures, du niveau des océans et le recul des glaciers seraient liés à la lente récupération de la Terre depuis 1715, fin du dernier « petit âge glaciaire ». Cette alternance entre petits âges glaciaires et périodes plus chaudes a pu être observée dans l'histoire de la Terre grâce à l'analyse des carottes glaciaires sur une période de 600 000 ans. Le CO2 suit les changements de températures. Il est une conséquence et non une cause. Quand il fait froid, les océans absorbent plus de CO2, et quand il fait chaud, c'est l'inverse, ils en rejettent davantage. Le taux de CO2 d'origine anthropique dans l'atmosphère serait d'environ 5 %. Les océans représentent la majeure partie de la surface du globe et constituent un immense réservoir de CO2 contenant 60 fois sa quantité dans l'atmosphère. Depuis 2003, 3000 balises Argo sont installées sur tous les océans du globe et leurs données sont transmises par satellite. Ces capteurs ne constatent aucune évolution significative de la température des océans depuis leur mise en place. Depuis le début du XXIème siècle, les instituts spécialisés parlent de « pause », le GIEC emploie le mot « hiatus ». Le taux de réchauffement durant la période 1970-1998 était d'environ 0,17°C par décennie, alors que durant 1998-2012, ce taux est passé à environ 0,04°C par décennie (chiffres du MET Office, un des 3 plus importants centres de météorologie mondiale, utilisés par le GIEC). Des records de température sont toujours observés, ce qui n'est pas en contradiction avec l'ambiance de fond qui elle est quasi stationnaire. Il y a aussi le phénomène El Nino qui est à l'origine de phénomènes météo exceptionnels perturbant le climat planétaire. Il est particulièrement puissant en 2015-début 2016. Son influence reste faible en Europe. Les mesures récentes, en particulier celles provenant des satellites et des balises Argo, sont trop éloignées des projections du GIEC pour valider leur théorie. De plus leurs modélisations ne concordent pas avec les cycles du passé. Comment pourraient-ils faire des prédictions justes pour l'avenir !? Un rapport très complet datant de 2009, signé par 37 spécialistes internationaux concluaient par : les causes anthropiques du changement climatique restent marginales devant les causes naturelles. Le soleil sortirait d'un cycle d'environ 60 ans d'activité intense et la tendance pourrait s'inverser et amener alors un refroidissement jusqu'en 2030. De nombreux facteurs ont une influence sur le climat : les cycles solaires, le rayonnement cosmique (c'est à dire les particules chargées d'énergie qui pénètrent dans l'atmosphère terrestre), la formation des nuages, la dynamique des océans, le volcanisme et d'autres encore. Les phénomènes météorologiques sont de nature chaotique et d'une prédiction aléatoire. La prévision climatique est complexe. Personne n'est en mesure de savoir vers quoi évoluera le climat d'ici la fin du XXIème siècle. L'être humain et l'animal ne peuvent vivre sans oxygène comme les plantes ne peuvent se passer de CO2. Le CO2 est couramment utilisé dans les serres pour accroître le rendement des cultures. Aujourd’hui, le pourcentage de CO2 est de 0,04%. Un humain peut vivre dans une atmosphère contenant jusqu’à 5% de CO2. A ne pas confondre avec le monoxyde de carbone (CO), gaz toxique qui résulte de la combustion incomplète du bois, charbon, pétrole, gaz, etc... Que penser de tout ça ? Tout d'abord, les différentes affaires, erreurs et mensonges montrent qu'il n'y a aucune rigueur scientifique dans les travaux du GIEC, une structure pourtant censée synthétiser les travaux de qualité de nombreux scientifiques. Nous subissons une effroyable propagande idéologique. Il est d'ailleurs politiquement très incorrect de contester leurs thèses et tout est fait pour discréditer les contradicteurs en les raillant ou en censurant leur travail. D'où les départs de scientifiques du GIEC ( comme Judith Curry, une des climatologues les plus emblématiques ) Et surtout, il apparaît clairement qu'il y a de graves problèmes bien plus urgents à se préoccuper que cet éventuel réchauffement climatique futur. Le matraquage permanent des médias autour de ce « global warming » anthropique sert à tout justifier : une inondation inédite, une tornade comme jamais auparavant, des sécheresses dévastatrices de plus en sévères, des ouragans plus puissants que jamais, et même des truffes en baisse et des chenilles processionnaires en plus ! Diantre, vivrions nous les débuts de l'apocalypse ! Tout est pain béni pour servir ce dogme. Face au GIEC, certains « climato-sceptiques » ont des intérêts politiques et financiers aussi peu louables. L'enjeu climatique oppose l'industrie pétrolière et l'industrie nucléaire. S'y ajoute le récent enjeu des énergies renouvelables et les affrontements entre multinationales sont impitoyables. Cette fixation sur le CO2 est aussi un moyen de tenir à distance l'émergence économique des nouvelles puissances. Le GIEC tente de donner à l'industrie nucléaire une dernière chance. Concernant la France, il est peu probable qu'elle soit économiquement en mesure d’investir les sommes énormes qu’elle a dépensées depuis les années 1970 pour renouveler son parc nucléaire vieillissant. D'autant plus qu'il n'y a rien de nouveau depuis longtemps sur le plan technologique. Les EPR sont très coûteux, d'une technologie ancienne, dangereuse et pas au point. Quant au projet expérimental ITER à Cadarache sur la fusion nucléaire, il ne verra probablement jamais le jour. C'est un projet pharaonique des années 80, complètement obsolète, au coût faramineux encore inconnu, qu'ils n'arriveront pas même à construire. Une majorité de scientifiques n'y croit pas. (Je reviendrai prochainement sur ITER)
Le nucléaire produit aujourd'hui à peine plus de 10% de l'électricité mondiale et ne représente que 1,8% de la consommation mondiale d'énergie. Malgré l'alibi d'être une « énergie décarbonée » pouvant lutter contre le réchauffement climatique, un nouvel essor de l'énergie nucléaire semble peu probable. La France se trouve donc dans une impasse avec des centrales dangereuses et vieillissantes qui fournissent 77 % de son énergie électrique. Mais une nouvelle économie repeinte en vert se porte bien et mise sur de juteux profits futurs grâce aux thèses du GIEC. Les cabinets et consultants sur « l'empreinte carbone » prospèrent. La vente des voitures électriques espère décoller. De nombreuses institutions environnementalistes (WWF, Réseau Action Climat, Greenpeace, Réseau Sortir du nucléaire,…) se sont bien sûr ralliées au discours dominant et à cette croisade, rejoignant ainsi pronucléaires et autres lobbies malpropres, et détournant les militants écologistes des vrais combats à mener. WWF et Greenpeace ont été associés au GIEC dès sa création. Le matraquage autour de ce réchauffement idéologique a réussi à formater la pensée de nombreux militants qui sont devenus les relais zélés de cette propagande. Les personnes contestant ce dogme, ont vite droit à des insultes et se voient même traiter de révisionnistes ! Le capitalisme industriel fait des ravages sur la planète et de vraies catastrophes sont devant nos yeux. Le danger de la science comme de la religion est de faire d'une théorie une grille de lecture unique et imposée. Les croyances ne devraient pas avoir leur place dans une étude scientifique. Cette propagande sur une catastrophe climatique à venir permet de laisser dans l'ombre les catastrophes mondiales bien réelles, catastrophes à la fois humaines et environnementales : les guerres et la faim dans le monde, la pollution de l'air, des sols, des mers et des rivières (par des composants chimiques plus problématiques que le CO2), l'appauvrissement de la biodiversité, les déchets nucléaires, ... Impossible de passer sous silence la terrible catastrophe nucléaire en cours à Fukushima. Matsuhei Murata, ancien ambassadeur du Japon en Suisse, parlait il y a quelques jours, d’un accident encore jamais vécu par l’humanité et toujours pas maîtrisé. Les cœurs fondus des réacteurs restent inaccessibles à cause de leur niveau de radiation, détruisant même les robots envoyés. De grandes quantités de radionucléides mortels sont rejetés sans cesse dans la mer et dans l’atmosphère, et ont atteint l'ouest des États-Unis. Aucune perspective de solution à ce jour. M.Murata souhaite que le Japon se retire de l'accueil des jeux Olympiques de 2020 pour consacrer tous les efforts à la crise de Fukushima. Fera t-il beau demain ? La COP21, à Paris en décembre 2015, a coûté plus de 180 millions € et s'est terminée par un accord international, qualifié d'historique, ratifié par 195 États : stabiliser le réchauffement climatique dû aux activités humaines bien en dessous de 2°C d’ici à 2100 (sans aucun engagement chiffré des États). Quel gaspillage d'argent public et quel égarement ! L'Homme ne commande quasiment rien du climat de la Terre. Ce sont là des forces naturelles bien plus puissantes qui sont à l’œuvre. Qu'en sera t-il du climat et de la température de la fin du siècle ? Fera t-il plus chaud ou plus froid ? Nous l'ignorons ! Le GIEC devrait être dissous. Rester aussi influent sur la scène internationale après une telle accumulation de mensonges, d'erreurs et de manipulations, montre la puissance des lobbies et forces politiques qui sont derrière cette structure. Si l'ONU et ses agences se démenaient autant pour le bienfait de l'humanité qu'elles le font pour le monde des affaires, nous pourrions être confiants dans l'avenir. Les multinationales ont pris le pouvoir et mènent le monde. Les dirigeants ne sont que des marionnettes pour les servir et nous endormir. Ils se plient aux impératifs du monde économique et délaissent les vrais problèmes de notre siècle. Il est urgent de remettre en cause nos sociétés occidentales, qui tirent le monde vers le pire, et de revoir radicalement leur fonctionnement (production, consommation, distribution) Parler du temps permet souvent de ne pas aborder les choses essentielles !
Le président du GIEC, Rajendra Pachauri, faisant l’objet d’une plainte pour harcèlement sexuel, dût démissionner le 24 Février 2015. Ce n'était pas le seul scandale le concernant; il était également visé par des accusations de conflits d'intérêts et d'enrichissement personnel. Dans le 5ème et dernier rapport (2014), sans nouvelles données scientifiques, le GIEC devient plus affirmatif encore : le réchauffement du système climatique est dû aux activités humaines (probabilité de plus de 95 %) et il faut mettre fin à l’utilisation des énergies fossiles, principales responsables. Qu'en est-il de ce soi-disant réchauffement climatique anthropique dû au dioxyde de carbone (CO2) ? Tout d'abord, il est bon de rappeler que le climat de la Terre n’a jamais été constant et a sans cesse changé.
De plus la climatologie est une science récente qui ne s'est développée qu'après la seconde guerre mondiale. L'atmosphère de la Terre se compose d'une multitude de gaz dont une petite partie sont des gaz à effet de serre. Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d'eau (H20). Heureusement qu'elle est là sinon il y aurait sur Terre 30°C de moins, soit une température moyenne de -18°C. Le C02 est un gaz à effet de serre assez mineur ; c'est le seul qui augmente de façon significative. Depuis 20 ans, son augmentation semble se limiter d'elle-même dans une période pourtant fortement émettrice. Pourquoi le CO2 a t-il augmenté ? la raison principale semble avoir peu de lien avec les activités humaines, mais venir surtout des cycles solaires ; le soleil ayant connu une période d'activité intense depuis 1950, cause non prise en compte par le GIEC. La hausse des températures, du niveau des océans et le recul des glaciers seraient liés à la lente récupération de la Terre depuis 1715, fin du dernier « petit âge glaciaire ». Cette alternance entre petits âges glaciaires et périodes plus chaudes a pu être observée dans l'histoire de la Terre grâce à l'analyse des carottes glaciaires sur une période de 600 000 ans. Le CO2 suit les changements de températures. Il est une conséquence et non une cause. Quand il fait froid, les océans absorbent plus de CO2, et quand il fait chaud, c'est l'inverse, ils en rejettent davantage. Le taux de CO2 d'origine anthropique dans l'atmosphère serait d'environ 5 %. Les océans représentent la majeure partie de la surface du globe et constituent un immense réservoir de CO2 contenant 60 fois sa quantité dans l'atmosphère. Depuis 2003, 3000 balises Argo sont installées sur tous les océans du globe et leurs données sont transmises par satellite. Ces capteurs ne constatent aucune évolution significative de la température des océans depuis leur mise en place. Depuis le début du XXIème siècle, les instituts spécialisés parlent de « pause », le GIEC emploie le mot « hiatus ». Le taux de réchauffement durant la période 1970-1998 était d'environ 0,17°C par décennie, alors que durant 1998-2012, ce taux est passé à environ 0,04°C par décennie (chiffres du MET Office, un des 3 plus importants centres de météorologie mondiale, utilisés par le GIEC). Des records de température sont toujours observés, ce qui n'est pas en contradiction avec l'ambiance de fond qui elle est quasi stationnaire. Il y a aussi le phénomène El Nino qui est à l'origine de phénomènes météo exceptionnels perturbant le climat planétaire. Il est particulièrement puissant en 2015-début 2016. Son influence reste faible en Europe. Les mesures récentes, en particulier celles provenant des satellites et des balises Argo, sont trop éloignées des projections du GIEC pour valider leur théorie. De plus leurs modélisations ne concordent pas avec les cycles du passé. Comment pourraient-ils faire des prédictions justes pour l'avenir !? Un rapport très complet datant de 2009, signé par 37 spécialistes internationaux concluaient par : les causes anthropiques du changement climatique restent marginales devant les causes naturelles. Le soleil sortirait d'un cycle d'environ 60 ans d'activité intense et la tendance pourrait s'inverser et amener alors un refroidissement jusqu'en 2030. De nombreux facteurs ont une influence sur le climat : les cycles solaires, le rayonnement cosmique (c'est à dire les particules chargées d'énergie qui pénètrent dans l'atmosphère terrestre), la formation des nuages, la dynamique des océans, le volcanisme et d'autres encore. Les phénomènes météorologiques sont de nature chaotique et d'une prédiction aléatoire. La prévision climatique est complexe. Personne n'est en mesure de savoir vers quoi évoluera le climat d'ici la fin du XXIème siècle. L'être humain et l'animal ne peuvent vivre sans oxygène comme les plantes ne peuvent se passer de CO2. Le CO2 est couramment utilisé dans les serres pour accroître le rendement des cultures. Aujourd’hui, le pourcentage de CO2 est de 0,04%. Un humain peut vivre dans une atmosphère contenant jusqu’à 5% de CO2. A ne pas confondre avec le monoxyde de carbone (CO), gaz toxique qui résulte de la combustion incomplète du bois, charbon, pétrole, gaz, etc... Que penser de tout ça ? Tout d'abord, les différentes affaires, erreurs et mensonges montrent qu'il n'y a aucune rigueur scientifique dans les travaux du GIEC, une structure pourtant censée synthétiser les travaux de qualité de nombreux scientifiques. Nous subissons une effroyable propagande idéologique. Il est d'ailleurs politiquement très incorrect de contester leurs thèses et tout est fait pour discréditer les contradicteurs en les raillant ou en censurant leur travail. D'où les départs de scientifiques du GIEC ( comme Judith Curry, une des climatologues les plus emblématiques ) Et surtout, il apparaît clairement qu'il y a de graves problèmes bien plus urgents à se préoccuper que cet éventuel réchauffement climatique futur. Le matraquage permanent des médias autour de ce « global warming » anthropique sert à tout justifier : une inondation inédite, une tornade comme jamais auparavant, des sécheresses dévastatrices de plus en sévères, des ouragans plus puissants que jamais, et même des truffes en baisse et des chenilles processionnaires en plus ! Diantre, vivrions nous les débuts de l'apocalypse ! Tout est pain béni pour servir ce dogme. Face au GIEC, certains « climato-sceptiques » ont des intérêts politiques et financiers aussi peu louables. L'enjeu climatique oppose l'industrie pétrolière et l'industrie nucléaire. S'y ajoute le récent enjeu des énergies renouvelables et les affrontements entre multinationales sont impitoyables. Cette fixation sur le CO2 est aussi un moyen de tenir à distance l'émergence économique des nouvelles puissances. Le GIEC tente de donner à l'industrie nucléaire une dernière chance. Concernant la France, il est peu probable qu'elle soit économiquement en mesure d’investir les sommes énormes qu’elle a dépensées depuis les années 1970 pour renouveler son parc nucléaire vieillissant. D'autant plus qu'il n'y a rien de nouveau depuis longtemps sur le plan technologique. Les EPR sont très coûteux, d'une technologie ancienne, dangereuse et pas au point. Quant au projet expérimental ITER à Cadarache sur la fusion nucléaire, il ne verra probablement jamais le jour. C'est un projet pharaonique des années 80, complètement obsolète, au coût faramineux encore inconnu, qu'ils n'arriveront pas même à construire. Une majorité de scientifiques n'y croit pas. (Je reviendrai prochainement sur ITER)
Le nucléaire produit aujourd'hui à peine plus de 10% de l'électricité mondiale et ne représente que 1,8% de la consommation mondiale d'énergie. Malgré l'alibi d'être une « énergie décarbonée » pouvant lutter contre le réchauffement climatique, un nouvel essor de l'énergie nucléaire semble peu probable. La France se trouve donc dans une impasse avec des centrales dangereuses et vieillissantes qui fournissent 77 % de son énergie électrique. Mais une nouvelle économie repeinte en vert se porte bien et mise sur de juteux profits futurs grâce aux thèses du GIEC. Les cabinets et consultants sur « l'empreinte carbone » prospèrent. La vente des voitures électriques espère décoller. De nombreuses institutions environnementalistes (WWF, Réseau Action Climat, Greenpeace, Réseau Sortir du nucléaire,…) se sont bien sûr ralliées au discours dominant et à cette croisade, rejoignant ainsi pronucléaires et autres lobbies malpropres, et détournant les militants écologistes des vrais combats à mener. WWF et Greenpeace ont été associés au GIEC dès sa création. Le matraquage autour de ce réchauffement idéologique a réussi à formater la pensée de nombreux militants qui sont devenus les relais zélés de cette propagande. Les personnes contestant ce dogme, ont vite droit à des insultes et se voient même traiter de révisionnistes ! Le capitalisme industriel fait des ravages sur la planète et de vraies catastrophes sont devant nos yeux. Le danger de la science comme de la religion est de faire d'une théorie une grille de lecture unique et imposée. Les croyances ne devraient pas avoir leur place dans une étude scientifique. Cette propagande sur une catastrophe climatique à venir permet de laisser dans l'ombre les catastrophes mondiales bien réelles, catastrophes à la fois humaines et environnementales : les guerres et la faim dans le monde, la pollution de l'air, des sols, des mers et des rivières (par des composants chimiques plus problématiques que le CO2), l'appauvrissement de la biodiversité, les déchets nucléaires, ... Impossible de passer sous silence la terrible catastrophe nucléaire en cours à Fukushima. Matsuhei Murata, ancien ambassadeur du Japon en Suisse, parlait il y a quelques jours, d’un accident encore jamais vécu par l’humanité et toujours pas maîtrisé. Les cœurs fondus des réacteurs restent inaccessibles à cause de leur niveau de radiation, détruisant même les robots envoyés. De grandes quantités de radionucléides mortels sont rejetés sans cesse dans la mer et dans l’atmosphère, et ont atteint l'ouest des États-Unis. Aucune perspective de solution à ce jour. M.Murata souhaite que le Japon se retire de l'accueil des jeux Olympiques de 2020 pour consacrer tous les efforts à la crise de Fukushima. Fera t-il beau demain ? La COP21, à Paris en décembre 2015, a coûté plus de 180 millions € et s'est terminée par un accord international, qualifié d'historique, ratifié par 195 États : stabiliser le réchauffement climatique dû aux activités humaines bien en dessous de 2°C d’ici à 2100 (sans aucun engagement chiffré des États). Quel gaspillage d'argent public et quel égarement ! L'Homme ne commande quasiment rien du climat de la Terre. Ce sont là des forces naturelles bien plus puissantes qui sont à l’œuvre. Qu'en sera t-il du climat et de la température de la fin du siècle ? Fera t-il plus chaud ou plus froid ? Nous l'ignorons ! Le GIEC devrait être dissous. Rester aussi influent sur la scène internationale après une telle accumulation de mensonges, d'erreurs et de manipulations, montre la puissance des lobbies et forces politiques qui sont derrière cette structure. Si l'ONU et ses agences se démenaient autant pour le bienfait de l'humanité qu'elles le font pour le monde des affaires, nous pourrions être confiants dans l'avenir. Les multinationales ont pris le pouvoir et mènent le monde. Les dirigeants ne sont que des marionnettes pour les servir et nous endormir. Ils se plient aux impératifs du monde économique et délaissent les vrais problèmes de notre siècle. Il est urgent de remettre en cause nos sociétés occidentales, qui tirent le monde vers le pire, et de revoir radicalement leur fonctionnement (production, consommation, distribution) Parler du temps permet souvent de ne pas aborder les choses essentielles !
OUF !!!
😡😡😡😡😡
*************
Bon, comme je ne sais évidemment pas quoi faire de mon temps de sommeil 😉 ....
J'ai pris la peine de commencer à répondre à ce si triste fatras d'inepties [et ça me fait bien de la peine aussi de devoir critiquer un militant anti-nucléaire, en étant un moi-même (**)]...
Voici pour la mise en bouche, les premiers propos de l'article texto avec { entre parenthèses } mes observations :
La COP21 qui s'est tenue à Paris en décembre 2015, pour accoucher d'une broutille {ce qui ne prouve qu'une seule chose, c'est que les Etats n'ont pas vraiment l'intention d'agir}, a remis la question du climat sur le devant de la scène politico-médiatique et m'a donné envie de faire le point sur ce sujet controversé {certainement pas controversé dans la communauté scientifique}.
Le dernier « résumé pour les décideurs » de 2014 publié par le GIEC, agence de l'ONU {NON, le GIEC n’est pas une agence de l’ONU, il a été co-créé par l’OMM et le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) et il n’a pas de compte à rendre à l’ONU !!!}, a servi de base de travail lors de cette grande foire internationale {quand on utilise des mots dépréciatifs comme « foire » c’est en principe qu’on n’a pas grand-chose à dire d’intelligent}.
L'ONU (Organisation des Nations unies) est une organisation internationale censée apporter la paix dans le monde.
Elle comprend de nombreuses agences qui sont malheureusement au service des multinationales et des élites politiques, et pas au service des peuples {affirmation gratuite ; même si l’ONU n’est pas parfaite, la considérer comme étant à la botte des multinationales et des élites politiques est une idiotie !!}...
L'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) par exemple, suite à un accord de 1959, n'a pas le droit de s'exprimer, ni d'agir en faveur des populations contaminées par la radioactivité sans l’aval de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique)
{Sources ? évidemment il n’y en a pas de sérieuses, est-ce étonnant ?
Par contre voir :
{Sources ? évidemment il n’y en a pas de sérieuses, est-ce étonnant ?
Par contre voir :
https://www.who.int/ionizing_radiation/pub_meet/statement-iaea/fr/
Ainsi que :
http://independentwho.org/media/Documents_Autres/Texte_complet_de_L_accord_OMS_AIEA.pdf }
Ainsi que :
http://independentwho.org/media/Documents_Autres/Texte_complet_de_L_accord_OMS_AIEA.pdf }
L'AIEA est un autre exemple de structure de l'ONU peu indépendante, à la fois gendarme (très gentil) et complice de la prolifération nucléaire dans le monde. Fukushima en est une illustration magistrale {Illustration de quoi ?} : depuis le 11 mars 2011, début de ce terrible accident nucléaire, l’AIEA s’emploie à minimiser la gravité de la catastrophe pour ne pas nuire au développement de l'énergie nucléaire dans le monde.
Je pense aussi à la FAO (Organisation des Nations-Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture) qui prend comme alibi la faim dans le monde (qu'elle a peu combattu) pour promouvoir le développement des OGM. {Ah bon ? c’est pourquoi la FAO publie par exemple ceci http://www.fao.org/french/newsroom/focus/2003/gmo8.htm ; cependant, même si la FAO se trompe au sujet des OGM, quel rapport avec le GIEC et le climat ?}
Mais revenons au GIEC, l'agence de l'ONU la plus médiatisée ces dernières années.
{Non, non et non ! voir https://www.un.org/fr/sections/about-un/funds-programmes-specialized-agencies-and-others/ ou https://fr.wikipedia.org/wiki/Système_des_Nations_unies, à aucun moment le GIEC ne figure dans la liste des programmes affiliés à l’ONU}
Il y a en effet un enjeu financier colossal autour des choix énergétiques, et bien sûr un lobbying effroyable. {oui, surtout du côté des énergies fossiles}
(**) Mes articles sur le nucléaire dans ce blog :
A SUIVRE ...
*************
ET ON CONTINUE (l'exploration critique de ce texte - un mensonge qui arrange -, "qui n'est qu'un ramassis de crétineries" (!)) [Cf. https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=910211512697693&id=100011265574907 ] :
... La création du GIEC
{Aaaaaaah ;)
En fait le "GIEC" - "Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat" -, c'est la traduction française. Son appellation d'origine étant : "IPCC", pour "Intergovernmental Panel on Climate Change".
Le rôle du GIEC est “d’expertiser l’information scientifique, technique et socio-économique qui concerne le risque de changement climatique provoqué par l’homme”.
A savoir que le GIEC n’est pas une association de personnes physiques, mais une association de pays ! Ses membres sont des nations, non des personnes physiques...
Aucun individu – et en particulier aucun chercheur – ne peut donc être "membre du GIEC" : les personnes qui siègent aux assemblées du GIEC ne font que représenter des pays membres.
Il ne s’agit donc pas d’un laboratoire de recherche, mais d’un organisme qui effectue une évaluation et une synthèse des travaux de recherche menés dans les laboratoires du monde entier.
En gros, le GIEC effectue une revue de presse d’un genre très particulier : il examine et synthétise ce qui s’est publié dans la littérature scientifique sur la question de l’influence de l’homme sur le climat (et par voie de conséquence sur le fonctionnement du climat, avec ou sans hommes).
C’est un point important, car tout chercheur travaillant dans un des domaine concernés – même quelqu’un qui tenterait de remettre en cause l’influence de l’homme sur le climat – verra ses travaux pris en compte dans le cadre des procédures d’expertise organisées par le GIEC dès lors que cela a donné lieu à publication dans une revue scientifique (par contre le GIEC ne tient aucun compte, et c’est normal, de ce qui est publié dans la presse « ordinaire », sur les sites internet, etc ; seules les revues scientifiques à comité de lecture ou les travaux en cours dans les laboratoires de recherche sont pris en compte)...
Mais revenons-en aux propos de notre navrant anti-nucléaire de choc :
... Le GIEC fut créé en 1988 à la demande du G7 (G20 aujourd’hui) sous la pression de Ronald Reagan et Margaret Thatcher.
{Ben non ! Il a bien été créé en 1988, oui, et certes nos deux politiciens cités ici y ont plus ou moins contribué... mais c'était plutôt déjà "sous la pression" d'une certaine prise de conscience écologique - dont je parle notamment dans mon "Bonus" ("Une page d'histoire climatologique") - et surtout sous l’égide de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et du Programme des Nations unies pour l’environnement (Pnue).
Et comme le dit notamment Hervé Le Treut dans cet article de "Reporterre" :
-... À l’époque, on n’observait pas encore le changement climatique mais on savait que des gaz à effet de serre commençaient à s’accumuler dans l’atmosphère.
En 1979 est sorti le rapport de Jule Charney sur le réchauffement climatique.
Ce chercheur très respecté, inventeur des équations du tourbillon quasi-géostrophique, y annonçait qu’un doublement de la concentration atmosphérique de dioxyde de carbone (CO2) entraînerait une hausse des températures comprise entre 1,5 et 4,5 °C.
On savait déjà que ces chiffres étaient énormes, équivalents à une transition glaciaire-interglaciaire. À l’époque, on émettait moins de gaz à effet de serre qu’aujourd’hui et cet horizon semblait encore assez lointain. Mais il n’a cessé de se rapprocher depuis.
En 1980, a été mis en place le Programme mondial de recherche sur le climat. Il s’est ajouté à un programme de recherche sur l’atmosphère déjà existant, le Garp (Global Atmospheric Research Program).
Tous deux étaient sous l’égide de l’Organisation météorologique mondiale, avec des participations de l’Unesco et de l’Icsu (Conseil international pour la science).
Ces programmes ont été l’occasion de commencer à lier les disciplines les unes aux autres : des liens ont été établis entre atmosphère et océans, entre disciplines d’observation et de modélisation.
Le Giec a été créé huit ans plus tard, à la fois d’une initiative de scientifiques conscients d’être face à un problème difficile et important à médiatiser, et d’une décision politique — quand on ne sait pas quoi décider quand on est interpellé sur un problème, on crée une commission (rires).
À l’époque, ce groupe était très confidentiel. J’étais déjà engagé dans l’étude du changement climatique. Je travaillais depuis dix ans au Laboratoire de météorologie dynamique (LMD). J’avais commencé à faire des simulations de changement climatique grâce au premier modèle climatique, en 1986. C’est pourquoi j’ai fait partie des chercheurs sollicités à la création du Giec. J’avais été invité à assister à une réunion à New York et je n’ai jamais trouvé de financement pour m’y rendre ! ...
(Cf. https://reporterre.net/Le-Giec-a-trente-ans-son-histoire-son-role-et-un-climat-toujours-plus-chaud)}
Dans les années 1970 Thatcher, premier ministre, était en difficulté à cause des mineurs britanniques qui menaient de fortes grèves générant coupures d'électricité. Elle n'avait pas confiance dans les compagnies pétrolières ; sa préférence était l'énergie nucléaire.
{Ah bon .... (???)
Et quand bien-même ce soit vrai ce qui est écrit ici (ce dont je doute - eh oui je suis très sceptique moi-aussi :D -, où sont les preuves et démonstrations de ces assertions ???), quel est le rapport avec les études scientifiques poussées de milliers de spécialistes internationaux ?
Qu'untel ou untelle personnalité politique ait des préférences envers les sources énergétiques - pétrole, nucléaire, solaire, éolien, etc. -, ça influe en quoi sur des milliers de recherches climatologiques sur toute la planète ?
Franchement quoi 😕 ....}
En 1979, à Genève, se tient la première Conférence mondiale sur le climat. Alors que la crainte dans ces années-là était celle d'un refroidissement planétaire {N’importe quoi !!!!!! Mais où notre antinucléaire est allé chercher ça ? Ah oui.... Dans les élucubrations des professionnels du scepticisme climatique rémunérés par les industries fossiles (!) (Alors oui quelquepart, si l'on veut faire du sophisme, il y avait bien chez certaines personnes, la pensée vague que l'on pourrait retrouver un semblant d'âge glaciaire - notamment si tous les volcans du monde entraient subitement tous ensemble en éruption, mais bon... 👻 }, est déclaré que le dioxyde de carbone (CO2) émis par les activités humaines pourrait réchauffer la planète et avoir de graves conséquences.
{Ben oui... C'était la réalité. Et cela n'a pas été inventé par Miss Maggie - comme le chantait Renaud 😉-, mais déjà par nombre de scientifiques déjà préoccupés par cette pollution de l'atmosphère de notre planète !
La preuve du RCA a été faite bien avant la création du GIEC !!!
Notamment le fonctionnement du CO2, cela dès Arrhenius en 19......
Un bref résumé historique :
- Dès 1824 Joseph Fourier a démontré le mécanisme de l'effet de serre !!!
- Puis, en 1859 John Tyndall eut l'intuition que le CO2 jouait un rôle important dans cet effet de serre !...
- Enfin, à la fin du XIXème siècle Svante Arrhenius détermina une sensibilité climatique de 5 à 6 degré en cas de doublement du taux de CO2 dans l'atmosphère (la sensibilité a été depuis réduite, mais Arrhenius a fait ses travaux il y a plus de cent ans !...)
Tout cela sans compter les très nombreux chercheurs qui se sont succédé pour affiner les résultats sans jamais remettre en question les principes de base !
Pour information on consultera avantageusement cet article (http://23dd.fr/climat/histoire-rechauffement-climatique/99-histoire-de-la-decouverte-du-rechauffement-climatique-i) dans lequel on peut lire :
• Vers la fin du XIXe siècle Svante Arrhenius reprit ce questionnement [entamé par Tyndall] et se tourna vers le CO2.
Pourquoi ce gaz et pas la vapeur d’eau, qui est beaucoup plus abondante ?
Parce que cette dernière fluctue quotidiennement tandis que le CO2 évolue sur des temps géologiques.
[...] un début de réchauffement initié par le CO2 provoquerait une hausse de la quantité de vapeur d’eau, et donc un réchauffement plus important encore. Ainsi le CO2 pouvait avoir un rôle pilote dans les changements climatiques !...}
Très opportuniste, Margaret Thatcher s'empare de cette pensée nouvelle pour faire la promotion de l'énergie nucléaire.
La France déjà très engagée dans le nucléaire, sous la présidence de François Mitterrand, avec Jacques Delors président de la Commission européenne et représentant la France lors des grands sommets internationaux, appuie cette ligne politique.
Et le GIEC (Groupe Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) va naître en novembre 1988 et tout faire pour prouver la véracité de ce réchauffement climatique anthropique. {N’importe quoi ! comme déjà dit plus tôt : la preuve du RCA a été faite bien avant la création du GIEC !!!
(Et puis vous pouvez aussi consulter le "bonus" de cet article - "Une page d'histoire climatologique" -, on ne peut mieux édifiant sur le propos !)}
Le lobby nucléaire y est dès le départ très présent.
{Ah bon ! Et comment ? Mais où sont donc les sources sérieuses de ce genre d'assertion ???
Moi je pourrais par exemple évoquer ici l'un de mes vieux articles (du 22 avril 2014 selon mes archives) :
<< "Très mauvaise nouvelle !"
... me disait ce matin même un ami écolo ; je le cite :
- Le GIEC continue à prôner les énergies renouvelables (très bien), mais aussi le recours de plus en plus massif à l'énergie nucléaire pour lutter contre le réchauffement climatique (catastrophique) !
Ce n'est malheureusement pas une erreur ou un canular, mais une info très sérieuse tout à fait officielle ... Pfffff. Je vois mal l'humanité d'aujourd'hui léguer aux générations futures un parc de centrales nucléaires trois, voire quatre fois plus important que celui d'aujourd'hui qui a déjà occasionné les multiples et terribles problèmes que nous connaissons !
Bravo aux VRAIS écologistes (http://observ.nucleaire.free.fr/giec-avec-nucleaire.htm) :
- ... En réalité, pour offrir un avenir à nos enfants, il faut certes promouvoir les alternatives au trio pétrole-gaz-charbon, tant pour des raisons géopolitiques qu'écologiques, mais il faut aussi accélérer le déclin du nucléaire dont la part dans l'électricité mondiale est passée de 17% en 2001 à environ 9% à ce jour : c'est la bonne direction, il faut aller au plus vite à 0%.
L'industrie nucléaire mondiale, en particulier la WNA (World nuclear association) tente par tous les moyens de cacher à l'opinion publique le déclin de ses activités, par exemple en autocensurant ses propres documents.... Il est déplorable de voir le Giec voler au secours de l'industrie atomique, surtout sous prétexte de "sauver la planète" : catastrophes comme à Fukushima, déchets radioactifs, mines d'uranium, prolifération à des fins militaires, etc : aucune personne sensée ne peut prétendre que le péril nucléaire est moins grave que le problème climatique... >>
Ouf !
Que voilà des infos choc encore 😛😜😛
Oui mais...
De même que "la carte n'est pas le territoire" (!).... :
- Le résumé n’est pas le rapport !!! ;)
En d'autres termes :
Il ne faut pas confondre le véritable rapport du GIEC avec son résumé qui est donné dans les médias .... (Donc rédigés par les journalistes et non par les scientifiques !)
Car là alors c'est un peu plus nuancé ;)
Voir par exemple ce site où l'on peut lire :
- Le nouveau rapport insiste sur le fait que les énergies renouvelables représentent la plus grande partie de ces changements, qu’elles sont de plus en plus intéressantes, en particulier si les gouvernements mettent en place les mesures d’accompagnement nécessaires.
Le rapport met très peu l’accent sur l’énergie nucléaire, qui fait face à des difficultés importantes au niveau mondial et stagne dans les bilans. Par contre, l’éolien et le solaire ont une place de choix dans les avenirs soutenables possibles....
Enfin, le rapport parle du nucléaire et de la capture et du stockage du carbone (CSC). Mais le rapport insiste sur le fait que le nucléaire est cher, et qu’il pose de nombreux risques. Le CSC de son côté est encore plus théorique que pratique et n’a pas été prouvé à grande échelle.
A la différence du nucléaire et de la CSC, les renouvelables (ENR) sont la seule voie abordable pour les options à zéro carbone. Des rapports mondiaux comme un précédent rapport du Giec montrent que le potentiel des renouvelables suffira à couvrir l’ensemble des bilans énergétiques...
- C’est la première fois que le Giec est si explicite contre les fossiles et pour les « bas carbone » qui sont surtout les énergies renouvelables si on lit les chapitres. ...
Pour le Giec, le nucléaire est une énergie non carbonée… mais ce n’est pas une énergie d’avenir.
Sa part de marché est décroissante depuis 1993. Il pourrait contribuer à l’objectif, mais de fortes barrières et des risques s’y opposent. ....
Au final, pour résumer, le commentateur ONG peut remarquer que la politique proposée par le Giec n’est pas très éloignée d’un scénario de type “Négawatt” ou “Virage Energie”, ou encore les scénarios proposés par le WWF ou Greenpeace au niveau mondial !...
A noter aussi mes propres articles personnels sur ce sujet :
- UNE PAGE D'HISTOIRE... CLIMATOLOGIQUE !
- UNE PAGE D'HISTOIRE... CLIMATOLOGIQUE ! (complément)
(Voire dans le "BONUS", quelques extraits choisis - oui oui oui, c'est plus court 😉- où l'on comprend mieux encore pourquoi et comment a été initié ce fameux "GIEC / IPCC" (1))}
[Elle était longue cette aparté 😜
Mais ça illustre bien encore ce que je disais dans mon premier paragraphe consacré à ce sujet :
- "La raison pour laquelle il y a autant de climato-sceptiques, c’est qu’en matière de changement climatique, il faut quelques mots seulement pour affirmer une ânerie, et plusieurs pages pour expliquer pourquoi c’est une ânerie !"
(Ou encore :
- "Il faut 1 minute à un sceptique pour écrire une imbécilité, et 15 minutes pour lui expliquer pourquoi c'en est une" !...)]
A SUIVRE ...
*************
ET ON CONTINUE ENCORE ! (Seconde suite de notre exploration critique de ce texte - un mensonge qui arrange -, qui, comme disait l'autre : "n'est qu'un ramassis de crétineries" ;) )
On retrouve donc les propos chocs de notre militant anti-nucléaire :
Il est amusant de constater que le GIEC s'est renommé « Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat » dans les traductions suivantes.
L'appellation anglophone IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) ne contient pas ce mot...
{Euh... un panel, c'est bel et bien un groupe de gens qui se réunissent pour discuter d’un sujet, en l’occurrence ce sont bien des experts et pas des entrepreneurs multi-services "boulangers-charcutiers-maçons-charpentiers" 😉 }
Le GIEC est un « Groupe Intergouvernemental » c'est à dire avant tout une structure soumise aux forces politiques.
{Détournement de la finalité du GIEC, qui est effectivement un organisme destiné à s’adresser aux gouvernements afin de les informer, mais on voit le peu d’effet que cela a eu depuis sa création, ce qui prouve que les recommandations du GIEC ne sont pas dictées par les gouvernements !
{Détournement de la finalité du GIEC, qui est effectivement un organisme destiné à s’adresser aux gouvernements afin de les informer, mais on voit le peu d’effet que cela a eu depuis sa création, ce qui prouve que les recommandations du GIEC ne sont pas dictées par les gouvernements !
Et c'est vraiment triste ...
Si c'étaient les gouvernements avec leurs politiques anti-écolos qui soumettaient le GIEC, notre jeune autiste suédoise Greta Thunberg n'auraient pas eu besoin de leur déclarer tout récemment :
« Je ne devrais pas être là, je devrais être à l’école, de l’autre côté de l’océan. […]
Comment osez-vous ? Vous avez volé mes rêves et mon enfance avec vos paroles creuses (...)
Les gens souffrent, les gens meurent. Des écosystèmes entiers s’effondrent, nous sommes au début d’une extinction de masse et tout ce dont vous pouvez parler, c’est de l’argent et du conte de fées d’une croissance économique éternelle. Comment osez-vous ? » }
« Je ne devrais pas être là, je devrais être à l’école, de l’autre côté de l’océan. […]
Comment osez-vous ? Vous avez volé mes rêves et mon enfance avec vos paroles creuses (...)
Les gens souffrent, les gens meurent. Des écosystèmes entiers s’effondrent, nous sommes au début d’une extinction de masse et tout ce dont vous pouvez parler, c’est de l’argent et du conte de fées d’une croissance économique éternelle. Comment osez-vous ? » }
Depuis sa création le GIEC publie tous les six ans environ un épais rapport de plusieurs milliers de pages {écrites par des scientifiques et non dictées par les gouvernements}, ainsi qu'un « résumé pour les décideurs » de 20 à 40 pages servant de base aux négociations climatiques internationales {Exactement, c’est bien pour cela que le GIEC a été créé !
(Pour ceux qui l'auraient zappé, je ne peux que leur suggérer à nouveau de consulter le "bonus" de cet article :
"Une page d'histoire climatologique" (1))}...
(Pour ceux qui l'auraient zappé, je ne peux que leur suggérer à nouveau de consulter le "bonus" de cet article :
"Une page d'histoire climatologique" (1))}...
Le cinquième et dernier rapport date de 2014. Au fil des ans, ces résumés sont devenus de plus en plus illisibles. {Euh... oui, illisibles uniquement pour ceux qui ne veulent pas se donner la peine de comprendre ; ou manquent cruellement des bagages scientifiques de base !!! 😓 }
Les trois premiers rapports du GIEC restaient prudents {Ben oui, et ils sont toujours très prudents, bien plus que ce que pensent beaucoup de climatologues !}.
En 1995, le GIEC concluait en disant qu'aucune des études n'avait apporté la preuve que le changement climatique puisse être attribué aux gaz à effet de serre.
{N’importe quoi !!!!!
Dès le début il était clair que nos rejets de CO2 étaient préjudiciables à l'équilibre de notre système atmosphérique et climatique ...
Ce qui manquait surtout, c'était la quantification et la précision des données pour affiner les prévisions à moyen et long terme !}
En 2001, le GIEC soulignait qu'en matière de modélisation du climat, ils étaient face à un « système chaotique couplé et non linéaire » et que les prédictions à long terme s'avéraient impossibles.
{Encore une fois du grand n’importe quoi ; on ne parle pas de « prédictions » mais de « projections » en fonction de scénarios économiques qui donnent une idée de ce que pourrait être le climat de la fin du siècle, dire que ces projection sont impossibles est une idiotie sans nom !...}
Mais dés le 4 ème rapport (AR4), fin 2007, sans aucune donnée nouvelle {N’importe quoi encore - mais de toute façon TOUT cet article n'est qu'un profond et colossal délire ! -, comme si la science n’avait pas avancé d’un pouce !}, le GIEC affirme que la réalité et l'ampleur du réchauffement climatique sont « sans équivoque » {Ben oui, ça c'est une triste réalité ! Et il va falloir se faire à cette idée !!!}...
L'effet de serre du CO2 serait {Non, pas « serait », mais « est » !} la cause d'un réchauffement pouvant atteindre 6,4° en 2100 si rien n'était fait {Simplification abusive qui ne fait état que du scénario le plus pessimiste qui n’est pas forcément le plus "réaliste" (Tout dépend en fait de notre comportement industriel et commercial : on peut aussi bien amplifier les dégâts que les amoindrir. Et si effectivement "rien n'était fait", c'est bel et bien ce que risque notre planète :( (!))}; cela provoquerait aridité, désertification, catastrophes climatiques et montée des océans...
{Ben oui, et c’est déjà le cas aujourd’hui dans de nombreux endroits ; on parle même déjà des "réfugiés climatiques" 😟 }.
{Ben oui, et c’est déjà le cas aujourd’hui dans de nombreux endroits ; on parle même déjà des "réfugiés climatiques" 😟 }.
Des prédictions avec un écart allant de 0,2° à 6,4°!
Une marge d'incertitude invalidant leurs conclusions.
{Aaaaargh !!! Mais vraiment n’importe quoi !... Il ne s’agit pas d’une marge d’incertitude mais de plusieurs scénarios allant du plus pessimiste (appelé "business as usual") à celui où nous ferions des efforts gigantesques pour limiter nos émissions !!! Merde alors, c'est pourtant clair et net ...}
AR4 affirmait entre autres que les glaciers de l'Himalaya pourraient disparaître en 2035 voire avant.
{Pfffff... Il s’agit de la seule et unique "erreur" figurant dans le rapport ; et encore, ce n'était rien d'autre qu'une erreur de frappe, et elle était juste dans le rapport du groupe II et non dans celui du groupe I (qui est celui qui compte vraiment pour les aspects scientifiques !)
Donc en réalité : Aucune erreur n’a été relevée de nature scientifique !!!}
Donc en réalité : Aucune erreur n’a été relevée de nature scientifique !!!}
Le GIEC dût démentir en 2010 suite aux protestations des scientifiques.
{ Ah bon ? 😄😆😃😀
{ Ah bon ? 😄😆😃😀
Mais non voyons. Le GIEC n’a rien démenti du tout, il a seulement reconnu qu’il y avait eu une couille ... euh, une coquille 😁 , il fallait lire en fait 2350 et non 2035 !
(Et les négateurs de la réalité du réchauffement climatique, c'est quand, eux, qu'ils démentent toutes leurs inepties passées et présentes qui se comptent par dizaines ???????)}
Des études ont confirmé qu'il n'y avait aucun recul inquiétant des glaciers en Himalaya et plusieurs scientifiques et ex-experts du GIEC démissionnèrent pour exprimer leurs désaccords quant aux méthodes de travail et ses conclusions.
{Voila bien encore un exemple de grand n’importe quoi :
Aucun scientifique n’a jamais « démissionné » du GIEC étant donné qu’aucun scientifique n’est appointé par le GIEC, leur contribution est purement bénévole !
Par ailleurs les glaciers de l’Himalaya, à quelques rares exceptions près, sont tous en recul inquiétant, comme tous les glaciers de la planète ! ...
(Et maintenant... C'est carrément le Groenland qui fait presque pousser salades, framboises et tomates en plein air ... Bientôt, les inuits pourront même aller bronzer sur leurs plages avec le parasol pour se protéger des rayons dardants du soleil ! 😬 )
Pour approfondir le sujet :
-... Des chercheurs, dont le glaciologue américain Graham Cogley (Trent University), ont remonté le fil jusqu’à la source de l’erreur. Dans une lettre adressée à la revue Science, Cogley et ses collègues expliquent que ce passage ne s’appuie pas sur des études publiées dans des revues à comité de lecture mais sur un rapport du Fond mondial pour la nature (WWF), reprenant lui-même des données non publiées d’un glaciologue indien, Syed Iqbal Hasnain, sur la vitesse de recul des glaciers de l’Himalaya.
Quant à la date de 2035, elle serait une double coquille. La phrase complète du rapport, prédisant un recul de «500.000 à 100.000 km2 d’ici 2035», serait un mauvais copier-coller d’un document évoquant le recul de l’ensemble des glaciers du globe (la surface des glaciers de l’Himalaya étant d’environ 30.000 km2) d’ici 2350, et non 2035, souligne Cogley. (...)
Cette affaire rappelle que les processus de relectures et de vérification des sources imposées aux rédacteurs du Giec doivent être strictement suivis.
Cependant elle ne remet pas en cause la conclusion majeure du rapport du Giec de 2007, contenue dans la contribution du groupe de travail I sur les bases scientifiques des changements climatiques :
=> Depuis la révolution industrielle, les activités humaines ont entrainé une augmentation rapide des concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, ce qui est la cause du réchauffement global de la planète !
En tant que vice-président dans l'administration Clinton, Al Gore aida à promouvoir le protocole de Kyoto en 1997, traité international visant à réduire les émissions de CO2.
En 2006, dans son film « une vérité qui dérange », Al Gore se met en scène pour expliquer la future catastrophe planétaire liée aux activités humaines.
Ce film quasi hollywoodien très médiatisé, avec ses images d'apocalypse et sa courbe impressionnante « en crosse de hockey » pour illustrer le réchauffement depuis la période industrielle, eut un retentissement international.
Mais cette courbe était fausse !
{ 😀😀😀
Ben oui, c’est pourquoi elle a été validée à de multiples reprises par la suite par des équipes scientifiques indépendantes…}
(et ce n'était pas la seule erreur) {Ah bon ? et quelles sont les autres erreurs svp ?}
Elle avait été sciemment falsifiée
{Mais où est la preuve de la falsification ?
{Mais où est la preuve de la falsification ?
Totalement introuvable !
Seuls les sites complotistes imaginent que Mann a truqué ses données} ...
Ce mensonge scandaleux à des fins idéologiques aurait dû entraîner la dissolution du GIEC.
{C’est cela, oui, et la marmotte qui enrobe le chocolat devrait passer en correctionnelle pour activité illégale !😂}
{C’est cela, oui, et la marmotte qui enrobe le chocolat devrait passer en correctionnelle pour activité illégale !😂}
Mais non, le GIEC admit son «erreur» {Ah bon ???}, la courbe disparut du rapport suivant {La courbe a simplement été remplacée par des courbes actualisées montrant la même forme…en crosse de hockey ! c’est ballot, non ? 😎} et le film reçut 5 prix, 2 nominations et le prix Nobel de la paix fut attribué en 2007 au GIEC et à Al Gore !! {Et c’était bien mérité !!!}
{Ah oui, à propos tiens de "ce mensonge scandaleux à des fins idéologiques qui aurait dû entraîner la dissolution du GIEC" :
• "And Then There's Physics" (https://andthentheresphysics.wordpress.com/2018/04/22/20-years-of-hockey-sticks/) nous rappelle que la courbe de Mann, en forme de crosse de hockey, a été diffusée pour la première fois il y a 20 ans, en avril 1998.
Michael Mann lui-même nous rappelle la forme originale de la courbe, parue dans Nature le 23 avril 1998 (...) A noter qu'elle s'étendait sur une période de 600 ans « seulement » et qu'elle comportait quelques imperfections que certains ont cru transformer en manipulations à des fins peu avouables ; comme si Michael Mann et son équipe (n'oublions pas qu'il n'était pas tout seul) avaient pris le risque idiot de truquer leurs données alors qu'ils se doutaient bien du retentissement qu'aller provoquer la conclusion [A savoir que nous vivions depuis les débuts de l'ère industrielle un réchauffement inédit depuis au moins 600 ans !!!]
Un an après, en 1999 donc, Michael Mann publiait avec Raymond Bradley une courbe qui allait, elle, jusqu'en l'an mil de notre ère ! (...)
C'est ce deuxième graphique qui fut inclut dans le troisième rapport du GIEC en 2001 ; le site hockeygods nous explique que c'est un certain Jerry Mahlman (un autre man...) qui baptisa cette courbe « crosse de hockey » en raison de sa forme !
[Il faut ici noter que cette courbe venait remplacer, plutôt avantageusement, la piteuse courbe de Lamb qui figurait dans le premier rapport du GIEC et que nos amis climatosceptiques vénèrent encore pour beaucoup d'entre eux (...) Seul petit problème, cette courbe ne représentait que la température du centre de l'Angleterre et s'arrêtait en 1965 ; en fait le rapport du GIEC utilisait cette courbe (très) imparfaite à défaut d'autre chose à l'époque. (...) On ne peut que constater la grande différence entre la courbe de Lamb et les autres concernant deux périodes remarquables : l'optimum médiéval et le petit âge glaciaire, qui sont de toute évidence exagérés chez Lamb, ce qui est peut-être normal pour le centre de l'Angleterre à ces époques mais ne peut être transposé à l'ensemble de la planète !!! ]
Alors la question à se poser est celle-ci :
Est-ce que la courbe en crosse de hockey a résisté à l'épreuve du temps ?
Est-ce que la courbe en crosse de hockey a résisté à l'épreuve du temps ?
De nombreux climatosceptiques (pour ne pas dire tous, je suis généreux) clament haut et fort que cette courbe a été trafiquée par Mann, comme dit plus haut, et de plus qu'elle n'a pas été reprise dans les rapports suivants du GIEC, et notamment dans le dernier.
Ah bon !
Il suffit pourtant de fureter un peu dans les nombreux graphiques de ce dernier rapport pour en trouver non pas un, non pas deux, non pas trois, non pas quatre, mais au moins cinq (je me suis arrêté à ce chiffre, il y en a probablement d'autres) qui contiennent parfois pour certains plusieurs courbes en crosse de hockey !
Et en prime 💋 :
(Passionnante petite vidéo de 27 mn sur le sujet)}
Et on revient dans notre « ramassis de crétineries » 😇 :
Puis il y eut en 2009, peu avant le sommet de Copenhague, la "Climategate", autre affaire très grave. {Qui a rapidement fait pschittt, mais chut, les climatosceptiques ne sont toujours pas au courant, ne les réveillons pas de leur long sommeil 😉}
Des hackers avaient diffusé plus de 5000 e-mails de hauts membres du GIEC.
Dans ces échanges apparaissaient clairement les manipulations des données scientifiques pour les faire coller à leur théorie réchauffiste, ainsi que des rapports de scientifiques censurés « comme non conforme » à la version officielle du GIEC.
On y vit aussi leurs méthodes d’intimidation contre ces scientifiques « dissidents ».
{Évidemment il n’en est rien, et notre si déplorable militant antinucléaire de choc n’a aucune source sérieuse à nous montrer !
Déjà, dans mon article de juillet 2010 (eh oui, il y a plus de 9 ans), "CLIMATEGATE... CE QUE LES NÉGATEURS ÉVITERONT DE VOUS DIRE !" (https://groups.google.com/forum/m/?hl=fr#!topic/destination2013/42sCeenKICo), on pouvait lire notamment :
• Vous vous souvenez.... à la fin de l'année 2009 éclatait un "scandale" sur la prétendue fraude du GIEC....
Les Négationnistes de la réalité du réchauffement climatique hurlant à un "WaterGate du climat" !
Déjà à l'époque, ma position était claire et nette, comme on pouvait le lire par exemple dans mes messages sur "Culture Net 2013" du 4 et du 8 décembre 2009 :
- Je ne vois là que des accusations non-fondées... et très orientées ! Notamment par les amis de la mafia Bush qui veulent pas que l'on touche à leurs puits de pétrole et à toutes leurs industries annexes !
Tout le monde peut accuser untel ou untel de fraude ou je ne sais quel autre turpitude...
On avait aussi accusé Einstein et ses amis "relativistes" d'avoir fraudé ses expériences... et Semmelweis aussi... et plus loin encore Galilée et Copernic !
(De plus... Cheminade - le parti "solidarité et progrès" (!) - est un anti "réchauffement climatique" primaire.... Peu importe pour lui les réalités scientifiques et écologiques... lui, il milite juste pour une << pure >> idéologie politico-économique : "le libéralisme" !!!)
(De plus... Cheminade - le parti "solidarité et progrès" (!) - est un anti "réchauffement climatique" primaire.... Peu importe pour lui les réalités scientifiques et écologiques... lui, il milite juste pour une << pure >> idéologie politico-économique : "le libéralisme" !!!)
Juste deux phrases pour faire réfléchir :
EN 100 ANS, NOUS AVONS DÉGAGÉ AUTANT DE CO2
QUE LA TERRE NE LE FAIT NATURELLEMENT EN 20.000 ANS !
PRÉTENDRE QUE CE CONSTAT
EST SANS CONSÉQUENCE SUR NOTRE CLIMAT
EST UN "NON-SENS" !!!
[Cf. "FRAUDES CLIMATIQUES ?"
(Où déjà aussi je parlais de la fameuse courbe de Mann en forme crosse de hockey ;) )]
Connaissez-vous "EFFETS DE TERRE" ?
Le passionnant site de Denis Delbecq, qui vient juste de fêter ses trois ans en ce mois de juillet 2010
(A noter que mon "DESTINATION 2013" a lui fêté ses 3 ans le 2 juin dernier...Tandis que mon "CULTURE NET 2013" passait le cap des 7 ans le 18 mars 2010 !)
Voilà l'un de ses tout derniers articles :
-... C’était la dernière enquête qui collait aux basques de Phil Jones, le patron du Climate research unit de l’université britannique d’East Anglia. Accusé par certains de manipulation de données et d’entrave à la circulation des résultats scientifiques, après le vol et la publication de la correspondance email du CRU, Phil Jones est désormais totalement blanchi.
Après six mois passés dans le placard qu’il s’était lui-même construit pour ne pas gêner les enquêtes en cours, Jones en ressort par la grande porte.
Il a immédiatement été réintégré au sein du CRU, dont il sera désormais directeur de la recherche...
Cette troisième enquête, de loin la plus approfondie, visait à étudier de près le contenu du millier de mails jetés à la vindicte populaire, et à déterminer si Jones s’est rendu coupable de faux, de réseaux d’influence et autres joyeusetés. (*)....
La commission Muir avait aussi lancé un appel à contributions, auquel les détracteurs de Jones, climato-sceptiques pour la plupart, avaient répondu en nombre. Les enquêteurs ont aussi passé les papiers de Jones au crible, comparé ses jeux de données avec ceux disponibles dans les grands organismes (Nasa, etc.) pour déterminer s’il s’est livré à une quelconque manipulation.
De tout cela, Jones est blanc comme neige.
«Il n’y a pas de fondement pour l’affirmation que le CRU a fait des ajustements de nature à influencer de manière significative les moyennes globales et ainsi à fabriquer des preuves d’un réchauffement récent», écrivent les enquêteurs à propos des reconstructions de température à partir des stations météorologiques terrestres. Idem pour les reconstructions de température passées, qui ont servi d’appui au dernier rapport du Giec.
Jones est aussi lavé des accusations d’avoir perverti ou détourné le système de relecture par les pairs, pour parvenir à ses fins.
«Il n’y a pas de preuve directe et évidente que les chercheurs du CRU ont abusé de leur position au Giec pour empêcher la publications d’idées
contradictoires [dans le rapport du Giec de 2007].»
Seul un graphique publié dans un rapport de l’Organisation météorologique mondiale est mis en cause. Non pas parce qu’il est faux, mais que sa légende est incomplète, et de nature à induire le lecteur en erreur. (...)
Reste une question désormais.
Quid de la quatrième enquête ?
Car il y a eu effraction dans les ordinateurs du CRU, et violation de correspondance privée. Et cette enquête-là avance moins vite que les péripéties de notre ministre Worth et de sa bienfaitrice Bettencourt.
De ce point de vue là, l’affaire était rondement menée : un casse au CRU, un millier de mails jetés sur la place publique, la réputation de Jones salie et l’homme blessé… L’université d’East Anglia ira-t-elle poursuivre en diffamation les principaux acteurs de cette chasse à l’homme ?
Salissez, salissez, il en restera toujours quelque chose.
Comme je l’ai écrit dès le 2 décembre dernier, «le climategate a fait long feu», un «pschiiiiit chiraquien».
Certains confrères s’étaient élevés pour demander la démission de Jones, comme le chroniqueur George Monbiot du Guardian. Aujourd’hui, il fait amende honorable, même si c’est du bout des lèvres.
Tout cela confirme s’il en était besoin que la théorie du grand complot au sein du Giec avancée par notre mammouth du déni climatique n’était qu’un château de cartes. Ce n’est pas la climatologie qui est une imposture, c’est le climategate et tout ceux qui se sont appuyés sur ce braquage pour salir la réputation d’un honnête chercheur et de l’ensemble des climatologues !
BREF... comme je l'écrivais aussi dans mon article du 8 décembre 2009 intitulé "SCANDALE AU GIEC ?" (Cf. "http://groups.google.fr/group/destination2013/browse_thread/thread/c59633de648015e3# ") :
VOILÀ ENCORE UN GROS BIDONNAGE....
NON PAS DU GIEC... MAIS DE TOUS CES NOUVEAUX "THÉORICIENS DE LA TERRE PLATE" QUI, PROBABLEMENT LASSÉS DE VOULOIR NOUS FAIRE CROIRE QUE LA TERRE EST PLATE ET QUE TOUS CEUX QUI PRÉTENDENT LE CONTRAIRE SONT DES IMPOSTEURS (Eh oui, ce sont bel et bien ces brillants théoriciens qui accusaient les partisans de "la théorie globulaire" d'être des menteurs, des affabulateurs, des charlatans et même carrément "des démons" !) (**) ... TENTENT MAINTENANT DE NOUS FAIRE CROIRE QUE CONTRAIREMENT À CE QUE RACONTENT CES "AFFABULATEURS DU GIEC" : LA TERRE SE REFROIDIT ALORS QUE LE SOLEIL LUI SE RÉCHAUFFE !!! (....)
LA MANIPULATION NE VIENT PAS DU GIEC...
MAIS DES PSEUDO "ANTI-CONFORMISTES" QUI CROIENT AVOIR TROUVÉ DANS LA NÉGATION DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE UNE CAUSE NOBLE...
MAIS SE FOURVOIENT TOTALEMENT !!! (.....)
MAIS DES PSEUDO "ANTI-CONFORMISTES" QUI CROIENT AVOIR TROUVÉ DANS LA NÉGATION DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE UNE CAUSE NOBLE...
MAIS SE FOURVOIENT TOTALEMENT !!! (.....)
LA MANIPULATION EST DU CÔTÉ DES NÉGATIONNISTES DU RÉCHAUFFEMENT, QUI
PASSENT LEUR TEMPS À RACONTER N'IMPORTE QUOI ET AFFIRMER LES PIRES CONTRE-VÉRITÉS ET INEPTIES !!!
[Voir aussi le passionnant blog de mon ami "Ged" et ses chroniques du têtard mouillé : https://sogeco31.blogspot.com/2018/10/le-climategate-des-marchands-de-doute.html
Extrait :
- La gent climatosceptique nous bassine régulièrement avec le Climategate de 2009 qui était venu très opportunément pourrir la COP15 qui devait se tenir à Copenhague à peine un mois plus tard.
Malgré le fait que ce Climategate (mot singeant le Watergate révélant les turpitudes de Nixon) ait été purement fabriqué à partir de quelques bribes d'emails frauduleusement piratés sorties de leur contexte (les fameux « hide the decline » et « Mike's trick ») et que les chercheurs « impliqués » aient été blanchis, nous voyons encore aujourd'hui, neuf ans après, des abrutis nous ressortir cette arnaque afin de discréditer les climatologues en général et Michael Mann en particulier. (...)
Mais quand on porte des accusations il faut faire attention à ce qu'elles ne vous reviennent pas dans la tête tel un boomerang.
Ainsi le site climatefiles nous rappelle un autre Climategate dont les climatosceptiques ne se sont pas vantés et qu'ils se sont empressés d'oublier, et vous ne verrez rien dans Skyfall, Contrepoint ou Mythes et mancies etc. concernant ces emails, car évidemment ce n'est pas à leur avantage.
Climatefiles dans 2014 Fred Singer “Merchants of Doubt” Emails exhume les emails de Fred Singer qu'il rédigea en 2014 afin de tenter d'empêcher la sortie du film « Les marchands de doute » ; Singer demandait à nul autre que Christopher Monckton comment il pourrait trainer Naomi Oreskes en justice (pour diffamation ou pour dire la vérité sur lui ?) (...)
Bon nombre des personnes copiées sur le fil de courrier électronique, telles que Singer et le spécialiste en communication Steven Milloy, ont des liens financiers avec les industries du tabac, des produits chimiques, du pétrole et du gaz et ont travaillé pour les défendre depuis les années 1990. D'autres semblent relativement nouveaux dans le camp des négationnistes, comme la climatologue Judith Curry. Cependant, tous se sont exprimés devant le Congrès, à la télévision ou sur Internet en affirmant que l'activité humaine n'est pas le principal facteur du changement climatique. :( ] ...}
Voyez bien que cet article de notre antinucléaire Antoine Calandra, n'est vraiment, mais vraiment « qu'un véritable ramassis de crétineries », pour ne pas dire... 💩💩💩 :
Le président du GIEC, Rajendra Pachauri, faisant l’objet d’une plainte pour harcèlement sexuel , dût démissionner le 24 Février 2015.
{Mince alors, c’est bien la preuve que le réchauffement climatique est une arnaque ou je n’y connais rien ! 😈
A noter en passant que M. Pachauri, lui, dément ces accusations et affirme que sa messagerie électronique et son téléphone portable ont été piratés.
["Le scientifique indien, qui présidait le Giec depuis 2002, est accusé par une jeune femme qui travaille dans son centre de recherche de New Delhi, l'Institut de l'énergie et des ressources (TERI). La police indienne a ouvert une enquête pour harcèlement sexuel à son encontre. Son accusatrice, âgée de 29 ans, l'accuse de l'avoir harcelée par textos, courriers électroniques et messages sur l'application WhatsApp.
M. Pachauri, qui est âgé de 74 ans, rejette ces accusations. Il affirme que des pirates informatiques ont piraté son ordinateur et son téléphone portable pour lui nuire en envoyant ces messages !"]
Alors, bon, cela ne prouve pas qu'il soit innocent...
Alors, bon, cela ne prouve pas qu'il soit innocent...
Mais rien ne prouve non plus qu'il doit coupable ; il est bien probable que l'on soit là encore dans le même cas de figure que le fameux "climategate" 😕 (?!?)
En tout cas, coupable ou non, quel rapport cela peut bien avoir dans le problème du réchauffement climatique et son débat scientifique ???}
En tout cas, coupable ou non, quel rapport cela peut bien avoir dans le problème du réchauffement climatique et son débat scientifique ???}
Ce n'était pas le seul scandale le concernant; il était également visé par des accusations de conflits d'intérêts et d'enrichissement personnel. {Ah oui ? Des sources nom d’un chien, des sources ! Et des preuves aussi ... Pas juste des médisances, diffamations et calomnies !!!!!!!}
Dans le 5ème et dernier rapport (2014), sans nouvelles données scientifiques {C’est cela, oui, la science n’a pas avancé d’un iota}, le GIEC devient plus affirmatif encore : le réchauffement du système climatique est dû aux activités humaines (probabilité de plus de 95 %) et il faut mettre fin à l’utilisation des énergies fossiles {Euh non, jamais le GIEC n’a dit qu’il fallait mettre fin aux énergies fossiles !}, principales responsables. {Là c’est vrai, enfin quelque chose de correct dans ce tissu d’âneries...}
Qu'en est-il de ce soi-disant réchauffement climatique anthropique dû au dioxyde de carbone (CO2) ?
Tout d'abord, il est bon de rappeler que le climat de la Terre n’a jamais été constant et a sans cesse changé. {Aaaah, l’une des plus belles stupidités qu’un climatosceptique puisse proférer, comme si les climatologues n’étaient pas au courant ! 😏}...
ET ON CONTINUE ENCORE ET ENCORE ! (Troisième suite de notre exploration critique de ce texte - un mensonge qui arrange -, qui, comme disait l'autre avec pertinence : "n'est qu'un ramassis de crétineries" ;) ) [Voir la précédente ici : https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=911921809193330&id=100011265574907 ] :
... De plus la climatologie est une science récente qui ne s'est développée qu'après la seconde guerre mondiale. {Et alors ? les fondamentaux sont connus depuis près de 200 ans !
J'ai déjà rappelé plus tôt le travail notamment de Svante Arrhenius... l'aïeul de la jeune Greta Thunberg 💓 }
L'atmosphère de la Terre se compose d'une multitude de gaz dont une petite partie sont des gaz à effet de serre...
{Et alors ? Tous les climatologues savent parfaitement cela, ils savent aussi que c’est l’augmentation, même minime, des gaz à effet de serre qui produit une hausse des températures jamais vue depuis que l’homme existe sur Terre ; en fait, cette contagion de climatosceptite nous démontre surtout amèrement la grande faillite de l'Education nationale notamment en matière de sciences : les bases scientifiques manquent cruellement à nos contemporains, sinon ils ne passeraient pas ainsi leur temps à croire, dire ou colporter en masse ce genre d'inepties et "crétineries" !!! 😒😒😒}.
Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d'eau (H20) {Vrai et faux à la fois : H2O est bien plus puissant que le CO2, mais c’est l’augmentation du CO2 qui est problématique, car ce gaz reste dans l’atmosphère beaucoup plus longtemps (plus de 100 ans) que H2O qui sature rapidement en quelques jours maximum ; de plus le CO2 se répartit de façon homogène sur la planète alors que H2O se trouve en concentrations très inégales étant donné que la vapeur d’eau précipite rapidement, certaines zones sont donc très sèches quand d’autres sont très humides !} .
Heureusement qu'elle est là sinon il y aurait sur Terre 30°C de moins, soit une température moyenne de -18°C. {Pour une fois c ’est à peu près exact (l’écart est plutôt de 33-34°C) mais l’augmentation de CO2 de 280ppm à 410ppm a déjà provoqué une hausse de température de 1°C qui ne va pas s’arrêter là, alors que la seule vapeur d’eau ajoutée aux autres gaz à effet de serre comme le CO2 et le CH4 a permis à l’humanité de prospérer avec une température ne variant que dans une fourchette d’environ seulement 2°C}
Le C02 est un gaz à effet de serre assez mineur ; c'est le seul qui augmente de façon significative. Depuis 20 ans, son augmentation semble se limiter d'elle-même dans une période pourtant fortement émettrice.
{ 😠😠😠 Grrrrrrrr
Mais n’importe quoi !!!
Le CO2 augmente toujours à peu près au même rythme ; nous en sommes aujourd’hui à environ 405-410ppm et voici le lien vers la courbe qui est censée « se limiter » d’après notre militant anti-nucléaire qui était peut-être pertinent et efficace dans son domaine, mais ici complètement à côté de la plaque (!) : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Mauna_Loa_CO2_monthly_mean_concentration_FR.svg?uselang=fr
[Il s'agit de l'évolution de la teneur atmosphérique en dioxyde de carbone, mesurée depuis le volcan Mauna Loa, dans l'île de Hawaï.
La courbe de cette évolution est connue sous le nom de « courbe de Keeling » et est une des preuves de la production humaine de gaz à effet de serre et de son impact sur le réchauffement climatique.
C'est sur le Mauna Loa que les taux directs sont mesurés depuis le plus longtemps, mais on retrouve la même évolution sur d'autres sites dans le monde !...
L'évolution de la concentration en CO2 est suivie à Mauna Loa depuis 1958 (données jusqu'à juin 2019)]}
Pourquoi le CO2 a t-il augmenté ? la raison principale semble avoir peu de lien avec les activités humaines {C’est cela, oui, et la marmotte… ;) }, mais venir surtout des cycles solaires {C’est pour cela que le rayonnement solaire est à la baisse, ça explique bien sûr la hausse des températures !!!} ; le soleil ayant connu une période d'activité intense depuis 1950, cause non prise en compte par le GIEC.
{Bon sang mais c'est bien sûr,... le GIEC nous cache des choses, le soleil par exemple ! 😂
J'y ais déjà consacré maints articles publiés sur des forums divers depuis 2007 (dont mon blog, depuis sa création en 2010) , et tout récemment encore :
Bref extrait :
-... Bon, en l'occurrence, ce "soleil" invoqué par les incantations de nos gourous climato-négationnistes ne brille guère ; ce serait même plutôt un soleil obscur !
Pas un trou noir non - quoi que nos olibrius semblent vraiment avoir un trou-noir dans leur cerveau qui absorbe impitoyablement la moindre lueur d'intelligence et de conscience (!) -, mais un soleil obscur comme "obscurantisme" !
Car oui, c'est bien d'obscurantisme qu'il s'agit là. Et ce n'est guère étonnant de rencontrer parmi maints apôtres du prétendu "climato-réalisme", des adeptes tout aussi farouches de la Terre plate et du prétendu "vaste complot reptilien sioniste franc-maçon et évidemment sataniste et pédophile" ! 😎 (...)
Eh oui... Le verdict est tombé :
Il montre une année 2018 où cela a chauffé fort sur la Terre.
Et ce n’est pas la faute au Soleil, précisent les scientifiques, puisque l’astre du jour était… au creux de son cycle ! (Eh oui, encore !!!)...
[Encore oui, parce que ce fait n'est pas nouveau ; on en avait déjà une belle trilogie en mai 2010 sur mon forum "Destination 2013" :
- LE SOLEIL VOUS DIS-JE !
- LE SOLEIL VOUS DIS-JE...
LE SOLEIL, ET PAS AUTRE CHOSE !!!
- LE SOLEIL VOUS DIS-JE...
LE SOLEIL, ET PAS AUTRE CHOSE !!!
(suite n°1)
Très très très bref extrait :
.... Déjà, dans mon précédent dossier daté du 15 mars 2007 "Quand le soleil nous tape sur le système... Les esprits s'échauffent !" (http://fr.groups.yahoo.com/group/culturenet2013/), on pouvait lire :
- Même si les certitudes sont parfois dangereuses en matière de sciences, y a un moment où il faut arrêter de dire (pire, d'écrire...) n'importe quoi...
Quand je lis : "Le réchauffement global a finalement été expliqué : la Terre se réchauffe parce que le soleil produit plus de lumière qu'à n'importe quel moment dans les 1000 dernières années, selon la nouvelle recherche"... Il y a de quoi rester sur le c... !!!
Quand aujourd'hui, certains remettent en cause ce qui apparait comme un quasi consensus... je m'inquiète de leur motivation réelle... et des conséquences à moins de 50 ans... pour notre Terre et la génération à venir ! Même s'il arrive à Claude Allègre de confondre "météorologie" avec "climatologie" il serait plus prudent de lire en détail le rapport du GIEC !
L'histoire climatique de la Terre a toujours connu des hauts et des bas, toujours.... mais jamais dans ces proportions là et jamais sur une période de temps aussi courte !
La courbe du CO2 colle aux fesses de celle de la température moyenne depuis les origines... et l'activité humaine a produit 400 x plus de CO2 en 50 ans que notre belle planète l'aurait fait en 1000 ans... Et cela, notre belle étoile n'y est pour rien !
Si certains phénomènes astronomiques naturels ont pu ou peuvent avoir une incidence (minime en terme de moyenne sur le temps) ce n'est, encore une fois, sans aucune commune mesure avec ce qui se passe aujourd'hui. Mais là, j'ai vraiment l'impression d'enfoncer des portes ouvertes. (...)
La vérité, c'est que le Soleil est à son MINIMUM d'activité depuis des années ! Et il n'y a pas la moindre autre planète dans le système qui se "réchauffe". (...)
De plus, non seulement l'activité solaire est à son grand minimum, mais même si ce n'était pas le cas, il ne faut pas croire que c'est l'activité solaire et elle seule qui a l'impact le plus important sur l'équilibre climatique de la troisième planète du système solaire... Ce sont bel et bien la présence de tel ou tel "gaz" dans les couches atmosphériques qui jouent le rôle essentiel ! ...]}
De plus, non seulement l'activité solaire est à son grand minimum, mais même si ce n'était pas le cas, il ne faut pas croire que c'est l'activité solaire et elle seule qui a l'impact le plus important sur l'équilibre climatique de la troisième planète du système solaire... Ce sont bel et bien la présence de tel ou tel "gaz" dans les couches atmosphériques qui jouent le rôle essentiel ! ...]}
La hausse des températures, du niveau des océans et le recul des glaciers seraient liés à la lente récupération de la Terre depuis 1715, fin du dernier « petit âge glaciaire »
{ Pffffff...
Désespérant vraiment. Et affligeant et consternant et tout ce qu'on veut !
Mais je comprend que les climatologues - où même les scientifiques en général (!) - n'ont pas envie de répondre à ce genre d'articles bourrés d'inexactitudes (pour être gentil 😇😇😇), et surtout de mensonges et de contre-vérités caractérisés !!!
Enfin bref, je m'y colle vu que comme l'ont déjà dit certains de mes détracteurs "j'ai rien d'autre à foutre de ma vie que de soutenir les fraudes du GIEC et du complot sioniste franc-maçon" 😘 :
- La « récupération » du PAG (Petit Âge Glaciaire) est déjà terminée depuis longtemps, aujourd’hui d’ailleurs selon tous les paramètres purement naturels nous devrions voir une baisse de la température... Mince alors, c'est pas vraiment ce que l'on constate !}.
Cette alternance entre petits âges glaciaires et périodes plus chaudes a pu être observée dans l'histoire de la Terre grâce à l'analyse des carottes glaciaires sur une période de 600 000 ans.
{Merci de l’information !
[En fait ce n’est pas 600 000 ans mais 800 000 ans, notre brave militant ne sait même pas s’informer correctement 😐 ]
Information que nous devons à qui ?
À Jean Jouzel et Claude Lorius !
Et qui nous disent quoi ?
Que le réchauffement actuel est d’origine purement humaine et anormal !}
Le CO2 suit les changements de températures. {Non, « suivait » à l’imparfait, comme l’ont démontré Jouzel et Lorius, aujourd’hui c’est le CO2 qui précède la hausse des températures !...}
Il est une conséquence et non une cause. {Il « était » une conséquence qui amplifiait la cause par un effet de rétroaction positive ; sans le CO2, que les océans dégazaient suite à la légère hausse de température provoquée par les cycles de Milankovic, la température n’aurait pas augmenté autant !
"Les paramètres de Milanković" est le nom donné aux paramètres astronomiques terrestres qui ont un effet sur les changements climatiques. On parle aussi de cycles de Milanković. Ces paramètres sont l'excentricité, l'obliquité et la précession !]
Aujourd’hui ce ne sont certainement pas les cycles astronomiques qui peuvent produire une hausse de 1°C en si peu de temps !...}
Quand il fait froid, les océans absorbent plus de CO2, et quand il fait chaud, c'est l'inverse, ils en rejettent davantage. Le taux de CO2 d'origine anthropique dans l'atmosphère serait d'environ 5 %.
{C’est à peu près cela, mais ce que notre clown ignore c’est le cycle du carbone !
Sans ce 5% produit par l’homme il y a équilibre quasi parfait.
Sans ce 5% produit par l’homme il y a équilibre quasi parfait.
C'est ce que je disais par ailleurs dans mon bonus "Une page d'histoire climatologique" :
"ÉQUILIBRE"... TOUT N'EST QU'ÉQUILIBRE !!!
(On pourrait aussi évoquer l'image du petit domino, dont le simple déséquilibre peut alors faire s'écrouler à lui seul toute la structure... Idem pour la carte maladroitement ajustée en haut "d'un château de carte" !)
C’est bien pour cela que la température a très peu varié avant la révolution industrielle, seule la variabilité naturelle du climat (volcanisme, El Niño, l’irradiance solaire et un peu de cycles astronomiques) la faisait évoluer dans une fourchette de 2°C environ...
Avec la production de gaz à effet de serre depuis 200 ans, l’équilibre est rompu, c’est bien pour cela que la concentration en CO2 est passée de 280ppm à 410ppm, soit une hausse de 46% !!!}
Les océans représentent la majeure partie de la surface du globe et constituent un immense réservoir de CO2 contenant 60 fois sa quantité dans l'atmosphère.
{Oui et heureusement que nous avons les océans qui absorbent à eux-seuls 93% de la chaleur additionnelle, autrement nous serions cuits !
Mais cette opportunité salvatrice commence à sérieusement saturer de nos jours ; preuve en est le tout dernier bilan de la centaine de scientifiques œuvrant pour le fameux rapport du Giec :
• Sous l’effet du changement climatique, les océans deviennent à la fois plus chauds, plus acides, plus salés et moins riches en oxygène. Leur rôle d’absorbeur carbonique s’en trouve de plus en plus affecté, limitant leur action bénéfique et aggravant encore le bilan carbone mondial. La capacité du puits de carbone de l'océan austral est par exemple dix fois inférieure aux précédentes estimations !
Depuis 1993, le réchauffement des océans a plus que doublé. Le nombre de vagues de chaleur marine a été multiplié par deux depuis les années 1980 et elles devraient être de 20 à 50 fois plus importantes.
La concentration en oxygène a baissé de 2 % en 50 ans, avec des effets dévastateurs sur les écosystèmes marins.
D’ici 2100, les récifs coralliens – qui abritent un tiers des espèces et dont dépendent 500 millions de personnes – pourraient ainsi disparaître dans un scénario 2°C et la biodiversité marine décliner de 17 %. Les stocks halieutiques s’en trouvent également modifiés et migrent vers l’hémisphère Nord, privant certaines régions de ressources essentielles.
Par ailleurs, le réchauffement des océans risque d’augmenter la fréquence et l’intensité d’événements météorologiques extrêmes qui se produiront une fois par décennie voire une fois par an dans le pire des cas.
Des phénomènes comme El Niño seront deux fois plus fréquents et les cyclones tropicaux seront toujours plus intenses.
Enfin, la hausse de la température à la surface des océans, qui pourrait atteindre +3°C d’ici 2100, a pour effet une dilatation de l’eau et donc une hausse du niveau des mers. Celle-ci aggrave encore les impacts des événements extrêmes. ...
Mais, c’est la fonte des glaciers qui préoccupe surtout les scientifiques. Elle est en effet devenue le premier facteur de la hausse du niveau des mers. On s’attend à une élévation de 43 centimètres en moyenne dans un scénario 2°C, et de 84 centimètres (et jusqu'à 110 centimètres) avec un réchauffement compris entre 3 et 4°C.
Les glaciers européens devraient perdre 80 % de leur volume.
En Arctique, la banquise a déjà perdu 96 % de sa surface au cours des 35 dernières années et les glaces devraient disparaître une année sur trois dans un scénario 2°C.
Or, les glaciers sont eux aussi des garants climatiques car ils réfléchissent les rayons du soleil dans l'espace. Une planète sans glaciers est une planète qui se réchauffe encore davantage.
À cela vient s’ajouter l’impact de la fonte du permafrost. Entre 25 % et 70 % de ce pergélisol pourrait disparaître d’ici 2100 libérant des quantités très importantes de CO2 et de méthane (un gaz au pouvoir réchauffant 25 fois plus important que le carbone) et faisant dangereusement grimper le thermomètre. ...
Et encore là dans le blog de mon ami "le têtard mouillé" (https://sogeco31.blogspot.com/2019/09/ca-chauffe-ca-surchauffe-meme.html) :
Au fur et à mesure que la planète se réchauffe, divers écosystèmes - des glaciers de montagne à l'Arctique glacial en passant par les océans - subissent déjà les effets dangereux du changement climatique.
Le réchauffement futur menacera l'approvisionnement alimentaire, forcera la migration d'innombrables espèces et changera radicalement les régions glacées du monde.
Les changements arrivent. C'est à nous de décider [de l'importance de ces changements], préviennent les scientifiques dans un nouveau rapport publié mercredi par les Nations Unies. (...)
Donc nos arrière-arrière...arrière-petits-enfants « bénéficieront » d'une montée des eaux d'au moins 1 mètre si nous faisons ce qu'il y a à faire dès maintenant, autrement ce sera plutôt entre 2 et 5 mètres et on leur souhaite bien du courage ; une remarque quand même, toute notre civilisation depuis plusieurs milliers d'années s'est basée sur le niveau que nous connaissons actuellement (qui a déjà augmenté de plus de 20 centimètres), donc même un petit mètre se fera sentir pour toutes les zones côtières habitées !...
[A noter que ce rapport n'est en rien catastrophiste, il est simplement alarmiste ; c'est comme quand un avion a un moteur en feu et que le pilote décide de revenir se poser, les passagers peuvent s'alarmer, l'avion se posera quand même, ou pas…
Ou comme votre médecin qui vous dit que vous avez un polype dans le côlon, il vous alarme et c'est à vous de décider, soit vous pensez qu'il est catastrophiste et vous ne faites rien, soit vous l'écoutez et ça vous sauve la vie.
En matière de climat les rapports du GIEC ne font que résumer ce que disent l'immense majorité des scientifiques sur le sujet, la science avance et à chaque rapport on s'aperçoit que le précédent était trop « optimiste » sur bien des points...] }
Depuis 2003, 3000 balises Argo sont installées sur tous les océans du globe et leurs données sont transmises par satellite. Ces capteurs ne constatent aucune évolution significative de la température des océans depuis leur mise en place.
{Aaaaaaaaaaargh !
Mais n’importe quoi de chez n'importe quoi là !!!!
C'est pour ça que le tout dernier rapport du GIEC dont je viens de parler dans la dernière parenthèse conclu que les océans et la cryosphère - glaciers, banquise, sols gelés… - (qui sont les régulateurs du climat et sont essentiels à la vie sur notre planète, fournissant 50 % de l'oxygène que nous respirons, et absorbant jusqu'à un tiers du carbone que nous émettons et plus de 90 % de la chaleur emmagasinée sur Terre sous l’effet de serre), souffrent eux aussi du changement climatique et risquent de l’amplifier à leur tour si nous ne réduisons pas nos émissions !
=> Un cercle vicieux infernal dans lequel l’humanité est déjà entrée, prévient ce rapport, adopté par la communauté internationale le 24 septembre et publié ce mercredi 25 septembre 2019 !
Pour info complémentaire, voici le profil de température dans diverses couches de l’océan au cours des dernières décennies : https://climatedataguide.ucar.edu/climate-data/ocean-temperature-analysis-and-heat-content-estimate-institute-atmospheric-physics
Eh oui, apparemment, seuls notre militant antinucléaire et ses amis "climato-réalistes" sont capables de raconter de véritables mensonges à l’attention des pauvres gogos incultes en sciences (!) 😠😞😠}
Depuis le début du XXIème siècle, les instituts spécialisés parlent de « pause », le GIEC emploie le mot « hiatus ».
{Pfffff... Et revoila le hiatus qui ressort du placard !
Évidemment il n’y a eu aucune pause, les températures n’ont jamais cessé de monter en tendance longue, les dernières années sont les plus chaudes jamais enregistrées et l’été 2019 a battu tous les records, tout cela sans aucune aide d’El Niño qui était absent et n’a pas pu transférer de chaleur de l’océan vers l’atmosphère...}
Le taux de réchauffement durant la période 1970-1998 était d'environ 0,17°C par décennie, alors que durant 1998-2012, ce taux est passé à environ 0,04°C par décennie (chiffres du MET Office, un des 3 plus importants centres de météorologie mondiale, utilisés par le GIEC).
{Mais pourquoi ne prendre que cette petite période de seulement 14 ans qui part, quel hasard, d’un événement El Niño exceptionnel en 1998 ? Et pourquoi s’arrêter soudainement à 2012 ? Les autres années ne comptent pas ???}
{Mais pourquoi ne prendre que cette petite période de seulement 14 ans qui part, quel hasard, d’un événement El Niño exceptionnel en 1998 ? Et pourquoi s’arrêter soudainement à 2012 ? Les autres années ne comptent pas ???}
Des records de température sont toujours observés, ce qui n'est pas en contradiction avec l'ambiance de fond qui elle est quasi stationnaire.
{On rêve !!!! Les records n’arrêtent pas de tomber partout sur la planète mais à part cela la situation est « stationnaire » !
Non mais à ce stade c'est même plus du rêve, c'est carrément de l'hallucination !!!!!!! .... }
Il y a aussi le phénomène El Nino qui est à l'origine de phénomènes météo exceptionnels perturbant le climat planétaire. Il est particulièrement puissant en 2015-début 2016. Son influence reste faible en Europe.
{Euh oui, et celui de 1998 qui a servi à notre guignol un peu plus haut, il est passé aux oubliettes ?
Et 2017-2018-2019 qui ne bénéficient pas de ce Niño exceptionnel mais qui sont plus chaudes que les années précédentes à part 2015-2016, on en parle quand ? Et quand une année avec La Niña sera plus chaude que 2015-2015 avec El Niño que va dire notre clown ?}
A SUIVRE
*************
ET ON CONTINUE ENCORE ET ENCORE ... ET ENCORE ! (Quatrième suite, et toujours pas la fin, de notre exploration critique de ce texte - un mensonge qui arrange -, qui, comme disait l'autre avec pertinence et concision : "n'est qu'un ramassis de crétineries"🙈🙉🙊) [Voir la précédente ici : https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=913449765707201&id=100011265574907 ] :
Les mesures récentes, en particulier celles provenant des satellites et des balises Argo, sont trop éloignées des projections du GIEC pour valider leur théorie.
{Euh.... Ben non !
Les "sondes Argo" - à ne pas confondre avec les "balises Argos" (*) - ont bel et bien des mesures fidèles aux "projections" du GIEC :
•... Pour étudier le réchauffement climatique, rien de tel que le milieu marin, dont la température est bien moins sujette aux variations annuelles que celle du milieu terrestre. Les océans mondiaux constituent par ailleurs le plus grand puits du réchauffement, dont ils absorbent 93 % de celui lié au gaz à effet de serre d’origine anthropique.
Problème : le réseau de balises Argo n’a été déployé qu’au début des années 2000. Avant cela, les chercheurs recouraient à des bathythermographes, dont la fiabilité et la précision sont sujettes à caution. De ce fait, les observations ne sont pas en phase avec les prévisions du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), dont les calculs concluaient à un réchauffement marin plus élevé que celui effectivement mesuré...
Dans une étude publiée le 10 janvier dans la revue Science, Lijing Cheng, de l’Institut de physique atmosphérique de Pékin, et ses collègues réanalysent quatre études récentes, dont les auteurs ont utilisé de nouvelles méthodes statistiques permettant de gommer les biais de mesure et donc de pouvoir aligner les deux jeux de données.
Bilan : ces nouveaux calculs réconcilient températures mesurées et modèles climatiques !
Les résultats confirment que le hiatus climatique, prétendue pause dans le réchauffement observée entre les années 1990 et 2000, n’a jamais existé !... Au grand désespoir des climatosceptiques, qui y voyaient un argument de poids à l’appui de leurs thèses.
Pire, le réchauffement marin semble s’être récemment accéléré !
Et encore, sur le site "http://www.journaldelenvironnement.net/article/rechauffement-le-hiatus-climatique-est-officiellement-mort,77643" :
• Dans leur étude, les experts de la NOAA (Administration américaine en charge de l’océan et de l’atmosphère) avaient déjà montré que le réchauffement marin n’avait pas décéléré !...
L’apparente baisse de rythme était due à un changement dans les techniques de mesure, qui ont nettement évolué ces deux dernières décennies : en 1990, 80% des mesures étaient effectuées par bateau, alors qu’en 2015 80% d’entre elles l’étaient par des bouées automatiques.
Or l’eau analysée par les bateaux circule à travers la salle des machines, engendrant un léger réchauffement, tandis que la température mesurée par les flotteurs robots reflète bien mieux la réalité. C’est cette transition qui a donné l’illusion d’une décélération du réchauffement. (...)
Avec l’étude publiée par l’équipe de Robert Rohde, de l’université de Berkeley (Californie), dans "Science Advances", les chercheurs ont évité le mélange des données, analysant séparément celles obtenues par satellite, par balise Argo et par bouée dérivante.
Leurs résultats sont sans appel :
- Depuis 1998, le rythme du réchauffement marin s’est bien maintenu à 0,12°C par décennie.
La NOAA avait donc raison !...
(*) [« Depuis quinze ans, des milliers de sondes Argo (à ne pas confondre avec les balises Argos) sillonnent l'océan, se laissant dériver et plongeant régulièrement jusqu'à 2.000 m avant de remonter pour transmettre leurs données vers des satellites. Ce réseau sans équivalent est devenu la principale source d'informations pour comprendre les relations complexes entre océan et climat. Guillaume Maze, de l'Ifremer, nous racontent ces sondes qui ont révolutionné l'océanographie. Rien de moins !»
Un dernier extrait :
• Le réseau Argo est complémentaire d'autres instruments, embarqués à bord de bateaux ou de satellites. L'utilisation conjointe d'outils spatiaux et des sondes Argo « permet d'avoir des vues complémentaires de la circulation des océans et de sa dynamique ».
On utilise aussi les données de surface d'Argo pour calibrer et valider les mesures acquises par les satellites qui sont seulement « capables de mesurer l'information réfléchie par le premier micron de la surface, alors qu'Argo peut mesurer les premiers mètres de la couche d'eau ».
Les mesures d'Argo sont ainsi à l'origine de plus de 2.000 publications scientifiques dont beaucoup révèlent le réchauffement des océans depuis le début du XXe siècle !...
Exemple de résultats significatifs : le réseau Argo est le principal fournisseur de données océaniques in situ. On lui doit notamment des mesures très précises qui ont permis de déterminer que « 93 % de l'excès de chaleur introduit dans le système terrestre par l'intensification de l'effet de serre depuis 1971 a été stocké dans les océans ».
C'est aussi la principale source d'information pour « établir ce chiffre de manière fiable avec une marge d'erreur historiquement faible et d'en étudier la distribution géographique ».
Avec Argo, les climatologues ont aussi déterminé que le « tiers de la hausse moyenne du niveau de la mer entre 1993 et 2010 était dû au réchauffement de l'océan » !!!
Enfin, au début de la mise en place des sondes Argo, la « communauté n'avait pas encore idée du rôle majeur que joue l'océan austral dans la dynamique globale ».
En couvrant la totalité des océans de l'hémisphère sud et sans biais saisonniers, les sondes Argo ont corrigé ce défaut. Les océanographes se sont ainsi rendu compte qu'ils avaient « probablement sous-estimé l'ampleur du changement du contenu de chaleur dans l'océan austral ». ...]}
De plus leurs modélisations ne concordent pas avec les cycles du passé. Comment pourraient-ils faire des prédictions justes pour l'avenir !?
{Affirmations purement gratuites sans aucun fondement ; les modèles climatiques retrouvent assez fidèlement les températures du passé, quant à celles du futur il faudrait une machine à voyager dans le temps pour vérifier, mais si le passé est bien reconstitué, il y a des chances pour que le futur ne soit pas trop faux !
Et comme le dit encore avec grande pertinence mon ami Ged dans ses "Chroniques du têtard mouillé" :
=> On rappellera utilement que les modèles climatiques (notamment ceux exposés dans les rapports du GIEC) ne prévoient pas le temps qu'il va faire en 2100 et encore moins la semaine ou l'année prochaine ; ils n'effectuent ni prédictions ni prévisions, ils se contentent de faire des projections qui sont fonction de scénarios différents, essentiellement d'émissions de CO2 selon l'activité économique prévue (ce qui en soi prouve qu'il ne faut pas s'attendre à des miracles...), et ne prennent à ma connaissance pas en considération les événements purement naturels comme les éruptions volcaniques ou les phénomènes Niño/Niña ; ces derniers ne sont que temporaires et n'influent pas sur les tendances à long terme, comme peut le faire le CO2 dans l'atmosphère dont le temps de résidence peut atteindre plusieurs siècles.
=> On rappellera utilement que les modèles climatiques (notamment ceux exposés dans les rapports du GIEC) ne prévoient pas le temps qu'il va faire en 2100 et encore moins la semaine ou l'année prochaine ; ils n'effectuent ni prédictions ni prévisions, ils se contentent de faire des projections qui sont fonction de scénarios différents, essentiellement d'émissions de CO2 selon l'activité économique prévue (ce qui en soi prouve qu'il ne faut pas s'attendre à des miracles...), et ne prennent à ma connaissance pas en considération les événements purement naturels comme les éruptions volcaniques ou les phénomènes Niño/Niña ; ces derniers ne sont que temporaires et n'influent pas sur les tendances à long terme, comme peut le faire le CO2 dans l'atmosphère dont le temps de résidence peut atteindre plusieurs siècles.
Il sera également utile de rappeler que les phénomènes chaotiques qui empêchent de faire des prévisions météo fiables à plus d'une semaine n'entrent pas en jeu pour les projections climatiques ; les premières sont extrêmement dépendantes des conditions initiales et plus le temps passe et plus les prévisions deviennent hasardeuses, la moindre "erreur" entrainant des déviations entre prévisions et réalité ; pour les projections climatiques les conditions initiales ne jouent pas, peu importe que le calcul soit lancé le jour ou la nuit, par temps de pluie ou grand beau temps, l'hiver ou l'été, etc., ce sont donc les conditions "aux limites" qui sont à l'oeuvre ...
Et comme l'écrivait encore une scientifique américaine :
=> Les modèles climatiques ne cherchent pas à prévoir ce qui va se passer à un endroit et à un point précis. Donc ils ne peuvent pas produire une prévision pour, par exemple, le 15 mars 2077, ou même demain !
Au lieu de cela, les modèles climatiques sont utilisés pour déterminer comment les conditions moyennes vont changer - comme par exemple, fera-il en moyenne plus chaud ou plus frais, plus humide ou plus sec, à Tucson au cours des 50 prochaines années ?
Et ce sont les informations dont nous avons besoin si nous voulons planifier des choses comme la pénurie d'eau, les incendies plus fréquents ou tout autre impact sur le Sud-Ouest qui pourrait résulter des effets locaux du changement climatique mondial.
Pour gérer les opérations du réservoir dans le lac Mead, par exemple, le Bureau of Reclamation des États-Unis ne se soucie pas des conditions exactes le 15 mars 2077. Ils s'intéressent de savoir si sur une période de 5 à 10 ans il y aura assez d'eau pour répondre aux exigences des usagers de l'eau du fleuve Colorado... }
Un rapport très complet datant de 2009, signé par 37 spécialistes internationaux concluaient par : les causes anthropiques du changement climatique restent marginales devant les causes naturelles.
{Ouais ouais ouais ...
On serait bien content de savoir quels sont ces « spécialistes » et par qui ils ont été rémunérés pour sortir ce rapport ! 🙇
"Le rapport de 2009, signé par 37 spécialistes internationaux" ????? ....
Là j'avoue j'ai cherché 👀
Et j'ai bien eu du mal à trouver de quoi notre militant de choc voulait parler.
(Évidemment, c'est toujours difficile quand on n'a que des affirmations gratuites, sans aucune référence, et que l'auteur de ce pamphlet anti-GIEC a sans doute reprises sans se poser de question (!))
Enfin bref, réponse donc en deux temps :
=> 1). Alors, pour 2009 il s'agirait en fait du si fumeux "climategate" !
Climategate dont j'ai déjà très amplement parlé plus tôt ; mais l'affaire est vraiment trop grave pour ne pas insister à nouveau.
Comme je le disais déjà à l'époque (en décembre 2009), ma position était claire et nette :
- « Je ne vois là que des accusations non-fondées... et très orientées !
Notamment par les amis de la mafia Bush qui veulent pas que l'on touche à leurs puits de pétrole et à toutes leurs industries annexes ! »
Notamment par les amis de la mafia Bush qui veulent pas que l'on touche à leurs puits de pétrole et à toutes leurs industries annexes ! »
[Et j'y rajouterai ici un extrait du passionnant article que lui avait consacré le journaliste du monde Gary Dagorn (Cf. https://www.lemonde.fr/cop21/article/2015/10/27/hoax-climatique-4-le-giec-manipule-les-donnees-sur-le-climat_4797774_4527432.html) :
• Au cœur de toutes les accusations et théories des climatosceptiques se trouve le GIEC.
Cet organisme chargé de synthétiser l’état des connaissances scientifiques sur le changement climatique est une cible privilégiée pour tous ceux qui tentent de jeter le discrédit sur les sciences du climat. Pour y parvenir, les climatosceptiques n’hésitent pas à accuser les scientifiques de manipuler les données, et notamment les relevés de températures.
L’épisode le plus spectaculaire et le plus connu, le « climategate », remonte au mois de novembre 2009, lorsque plusieurs milliers de documents et de courriels dérobés fuitent sur Internet. Les données proviennent de l’université d’East Anglia (UEA) de Norwich, en Angleterre, et plus précisément de son centre de recherche climatique (CRU), dont plusieurs membres sont également des contributeurs importants des rapports du GIEC.
A trois semaines seulement de la conférence climat de Copenhague (la COP15), la fuite de ces documents va faire l’effet d’une bombe médiatique. Car la sélection de plus de mille courriels publiés contient plusieurs passages embarrassants repris très rapidement par les blogs climatosceptiques, qui y voient une preuve de la fraude scientifique qu’ils soupçonnent sur l’augmentation des températures de la Terre.
Correction des températures ?
Un courriel du directeur du centre, Phil Jones, va retenir toute l’attention des climatosceptiques. Dans une correspondance avec ses pairs, Jones écrit : « J’ai utilisé l’astuce de la publication de Mike dansNature consistant à ajouter les températures réelles pour chaque série afin de masquer le déclin. »
La phrase, sortie de son contexte, est rapidement interprétée par les climatosceptiques et les politiques conservateurs comme une démonstration que les scientifiques truquent les données.
Bien loin d’être une manipulation, « l’astuce » est en fait une correction des températures déduites d’après les cernes des arbres en les remplaçant par des données plus fiables mesurées par des thermomètres.
Des travaux publiés en 1998 dans la revue Nature ont en effet démontré que la croissance des arbres dans les hautes latitudes ne reflétait plus les températures relevées par les thermomètres depuis les années 1960. Les températures déduites d’après les cernes des arbres baissaient alors que celles mesurées augmentaient. Le« déclin » des températures n’a donc jamais existé qu’au travers de relevés dont la fiabilité est désormais infirmée.
Le CRU de Norwich n’est pas le seul à relever les températures moyennes à la surface du globe puisque plusieurs autres instituts scientifiques disposent de données collectées indépendamment. Or les résultats entre les principaux « thermomètres » de la planète sont si proches qu’une manipulation des données à Norwich serait immédiatement visible...
Les climatosceptiques tenteront d’instrumentaliser les propos d’un autre chercheur pour montrer que les températures ont cessé d’augmenter. En effet, dans un échange avec des collègues, Kevin Trenberth, chercheur spécialiste de l’atmosphère au National Center for Atmospheric Research, écrit : « Le fait est que nous ne comprenons pas le manque de réchauffement pour le moment. »
Là encore, les climatosceptiques y verront l’aveu, de la part des scientifiques, que le réchauffement n’est pas ou plus réel.
En réalité, la phrase de Trenberth fait référence à un problème bien connu des climatologues mais n’ayant rien à voir avec une pause ou une absence de réchauffement climatique. Bien que les satellites enregistrent une accumulation de chaleur à la surface du globe d’année en année, on ne parvient toujours pas à mesurer l’absorption de cette chaleur par tous les composants du climat. L’addition de l’excès d’énergie reçue par les océans, les terres émergées, la banquise et l’atmosphère n’est pas égale à la totalité de la chaleur accumulée sur le globe. D’où le « manque » dont parle Trenberth.
Le problème a d’ailleurs été partiellement résolu depuis, car, d’après une étude de 2013 menée, entre autres chercheurs, par Trenberth, le reste de cette chaleur « manquante » dans les mesures effectuées serait absorbé et séquestré dans les profondeurs des océans, loin de nos instruments de mesures placés à des profondeurs modérées.
En outre, une étude publiée en juin parScience et menée par des chercheurs de la National Oceanic and Atmospheric Administration américaine (NOAA) a mis en évidence des biais de mesure de la température terrestre, remettant en cause une nouvelle fois la théorie d’une pause du réchauffement...
A la suite de ce « climategate », pas moins de quatre enquêtes indépendantes ont été diligentées, deux par l’université de Norwich, une par le Parlement britannique et une par l’université de Pennsylvanie. Toutes ont conclu à la probité des chercheurs du CRU et à l’exactitude des données produites et publiées, notamment les fameux relevés de températures.
Aucune preuve d’une quelconque manipulation n’a été relevée.
La commission Russell, mandatée par l’UEA, a déclaré que « la rigueur et l’honnêteté des scientifiques du CRU ne font pas de doute » !!!]
=> 2). Tandis que la référence aux "37 spécialistes internationaux" semble plutôt, elle, se référer à l'année 2008, et à la "Déclaration de Manhattan", quand "des économistes, décideurs et dirigeants d'entreprises" (!), réunis à Times Square à New York, décrètent que "le climat global a toujours changé et changera toujours, indépendamment des actions de l'homme, et que le dioxyde de carbone (CO2) n'est pas un polluant, mais plutôt une nécessité pour toute forme de vie" (SIC) 👼
On peut avoir une idée de ces "spécialistes internationaux" en s'égarant par exemple sur le site de ces "idéologues du libéralisme"
(Dans ce magma à la fois informe et multiforme surnage notamment le très politisé "Contrepoints", spécialisé comme par hasard dans le discours climato-négationniste et actuellement très "anti-Greta" (!)) :
[A propos de cette jeune autiste asperger suédoise, ne manquez pas mon article : Greta Thunberg et le CO2, ou : "Quand le climat médiatique s'échauffe" (!)]
On y retrouve une sacrée tripotée de "clown", souvent épinglés par notre têtard mouillé dans ses chroniques ; n'hésitez pas à utiliser son moteur de recherche interne sur sa version web (Cf. https://sogeco31.blogspot.com). De vraies stars pour la plupart :
- Khabibullo Abdusamatov par exemple ! :D
C'est le tout premier clown que j'avais déjà allumé en 2007 (comme quoi, c'est pas récent 😖 ) (*)
J'en reparlais aussi en décembre 2013 en découvrant cette si affligeante liste de négationnistes climatiques :
- Mort de rire cette liste des prétendus scientifiques sceptiques (tous les scientifiques sont par nature sceptiques .... Ceux qui nient le RCA sont juste des négationnistes et rien d'autre : ils nient la réalité des faits !)
Tiens .... Juste le tout premier de cette liste :
- "Khabibullo Abdusamatov, mathématicien et astronome à l'observatoire de Pulkovskaya de l'académie des sciences russe : il montre que l'évolution de la température peut être majoritairement imputée à l'activité solaire, qui a été inhabituellement élevée."
TOUT FAUX !!!!
Il n'y a jamais eu d'activité solaire "inhabituellement élevée"...
C'est tout l'inverse même !
C'est tout l'inverse même !
Mensonge caractérisé donc...
Quand au reste, ben voilà quoi :
« Le gaz carbonique absorbe assez fort l’infrarouge.
Donc, quand il y a beaucoup de gaz carbonique dans l’atmosphère, cela tend à empêcher la chaleur accumulée par la terre pendant la journée de s’échapper pendant la nuit.
La chaleur s’accumule... »
La chaleur s’accumule... »
Eh oui, on sait cela depuis plus de 30 ans... et il y a encore aujourd’hui en 2013 - et 2019 (!!!) - de prétendus scientifiques qui s’obstinent dans un déni de réalité des plus affligeants et consternants à l’ignorer et prétendre que tout est de la faute au soleil.... ou à autre chose (!) (???)...
(*) [Voilà... Et justement, dans mon journal associatif de 2007 :
« “Les hommes ne sont pas en mesure d’influer d’une manière tant soit peu substantielle sur le réchauffement climatique global...” estime Khabiboullo Abdoussamatov, chef du Laboratoire d’études spatiales de l’Observatoire principal de l’Académie des sciences russe de Poulkovo.
“C’est pourquoi l’application du protocole de Kyoto n’est pas nécessaire actuellement et doit être reporté d’au moins une centaine d’années : une baisse de la température globale de la Terre interviendra même si les pays industriellement développés (dont la Russie évidemment ! (NDLR)) ne limitent pas leurs rejets de gaz à effet de serre (...) C’est le soleil qui est responsable du réchauffement climatique global” !... » (sic)
Nous verrons plus loin que cette assertion est totalement mensongère.
Notre soleil n’a jamais eu “d’activité plus intense” contrairement à ce que prétend notre “chef du Laboratoire d’études spatiales de l’Observatoire principal de l’Académie des sciences” !
Et non seulement il n’a jamais eu “d’activité plus intense” permettant d’expliquer le phénoménal “réchauffement de la planète” observé de plus en plus précisément depuis des années, mais il ne peut non plus en aucun cas être accusé de ce réchauffement : le Soleil a exactement la même activité depuis que l’on est capable d’analyser ses impacts passés.
Certes, il a depuis toujours des cycles d’activité variables : un de 11 ans, un autre d’une centaine d’années, et d’autres plus ou moins espacés !
Mais tout cela est parfaitement connu des astronomes et astrophysiciens, et évidemment des scientifiques du GIEC.
Ce qu’il est important de savoir, c'est que l'on a accès à des mesures précises de la valeur de la constante solaire pendant à peu près la même période.
Or, cette dernière a été CONSTANTE alors que la Terre, elle, continuait de se réchauffer !...
Mais alors... pourquoi un mensonge si osé de ce “savant” (qui n’est malheureusement pas le seul à affirmer ce genre d’ineptie) ?
Comme l’écrivait l'un de nos amis :
« J'ai pour ma part l'intime conviction que l'on ne peut pas faire confiance aux Russes, surtout en ce qui concerne ce qui est autorisé sur leurs médias. A l'Est, les régimes passent mais restent coercitifs et menteurs. Le système actuellement en place en Russie est carrément mafieux.
Le territoire regorge d'énormes richesses énergétiques dont l'oligarchie russe se partage la rente. Que nombre de serviteurs, dont ce Khabiboullo Abdoussamatov, protègent cette rente et soient prêts pour cela à “nous faire prendre des vessies pour des lanternes”, quoi de plus normal ? »...
Et n’ignorons pas non plus ce que révélait “Courrier International” dans son numéro 881 du 20 septembre 2007 :
« Un lobby conservateur longtemps financé par la compagnie pétrolière ExxonMobil offre 10.000 dollars à des scientifiques pour rédiger des articles critiquant le rapport du GIEC ! »
Franchement, comment peut-on prendre ces prétendus “scientifiques” au sérieux, quand on sait par ailleurs comment, dans le passé, ce même genre d’ “ Hommes de Science” (soumis aux politiques, aux industriels et à leurs financiers) ont su si odieusement truquer leurs recherches et manipuler leurs résultats, pour étouffer aux yeux des consommateurs les dangers réels - mais niés obstinément pendant des décennies - de l’amiante, des vaccins, des pesticides, de la viande, du tabac, etc. ?!...
- Claude Allègre aussi 😂😂😂
[Là, j'en ai parlé sur mon Blog :
Allez, un petit extrait - on n'est plus à quelques pages près :) - :
« FRANCE... TERRE D'ASILE ?
Les malades mentaux s'y promènent en toute liberté !!!
C'est effectivement la réflexion que je me faisais en entendant hier soir sur Europe 1 - vendredi 15 avril 2011 - l'inénarrable Claude Allègre se répandre une fois encore contre "l'imbécile Nicolas Hulot" (sic)...
Et ces autres "imbéciles d'écolos" qui veulent fermer les centrales nucléaires alors que les centrales françaises sont "sans danger" !!!
Je cite : "Les centrales nucléaires françaises sont sans danger.... Au Japon ce n'est pas une catastrophe nucléaire mais une catastrophe naturelle" (sic) ...
Cela m'a inspiré cet allègre bêtisier :
- "L'Amiante est sans danger" !
- "La planète ne se réchauffe pas" !
- "La planète se réchauffe peut-être... mais c'est la faute du soleil !"
(Hier soir, il n'a d'ailleurs pas pu s'empêcher de récidiver dans la connerie, en affirmant :
"Vous voyez bien que la planète ne se réchauffe pas... La preuve : il a fait froid cet hiver" (SIC))
Notre très brillant scientifique a évidemment oublié que l'année 2010 a justement été scientifiquement reconnue comme :
"La plus chaude depuis 130 ans" !!!
(Et pourquoi pas depuis 140 ans ? Parce qu'on ne faisait pas les mesures avant !...)
Voir par exemple : http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/01/13/l-annee-2010-a-ete-la-plus-chaude-sur-le-globe-ex-aequo-avec-2005_1464887_3244.html)
- "Le nucléaire n'est pas dangereux" !
???
Finalement, au vu de toutes les crétineries précédentes d'Allègre, cette dernière "fout plutôt les boules", et tendrait à confirmer que le nucléaire est vraiment très dangereux !!! ...... »]
- Benoît Rittaud ? [http://sogeco31.blogspot.com/2017/02/benoit-rittaud-se-plante-en-beaute.html]
- Vincent Courtillot ? [http://sogeco31.blogspot.com/2018/10/benoit-rittaud-sextasie-la-conference.html]
- François Gervais ? [http://sogeco31.blogspot.com/2019/03/le-reveilleur-en-soupe-de-francois.html]
- Marcel Leroux ? [http://sogeco31.blogspot.com/2017/01/francis-richard-le-bon-apotre-du-dieu.html]
Pfffffffiou...
Euh, comment dire, que des personnages peut-être excellents dans leur spécialité oui -à voir :/ -, mais qui auraient franchement mieux fait de rester à leur domaine de compétence... Et de ne pas extrapoler leurs connaissances sur des sujets qu'ils ne maîtrisaient vraiment pas bien. Pas bien du tout !}
(Cinquième suite, et enfin la fin, de notre exploration critique de ce texte - un mensonge qui arrange -, qui, comme disait l'autre avec une concision des plus pertinentes : "n'est qu'un ramassis de crétineries" 😏)
[Voir la précédente ici : https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=914667672252077&id=100011265574907 ]
Le soleil sortirait d'un cycle d'environ 60 ans d'activité intense et la tendance pourrait s'inverser et amener alors un refroidissement jusqu'en 2030.
{C’est cela, oui, allons vite acheter des doudounes en prévision ! 😂
Bon, on ne va pas revenir sur ce sujet, qui a déjà été amplement commenté plus tôt !
« Il n'y a jamais eu d'activité solaire "inhabituellement élevée" - ni "d'activité intense" (!) -...
C'est tout l'inverse même !!!
Mensonge caractérisé donc. »
[Et comme je l'écrivais il y a 8 ans déjà (en octobre 2011) :
- ... Depuis plus d'une douzaine d'années, non seulement la température globale de notre planète de cesse de monter inexorablement... mais en plus, cela s'est fait dans une période où notre soleil, lui, était dans son activité la plus basse jamais observée !
- Ni les autres planètes de notre système solaire, ni le système solaire lui-même n'est en train de se réchauffer !
Tout cela n'est que du "baratin négationniste" sans le moindre fondement scientifique !!!
- L'activité humaine envoie bel et bien chaque année dans l'atmosphère des millions de tonnes de CO2 (et de bien d'autres GES), qui provoquent indéniablement un effet de serre nettement accru à l'effet de serre naturel ! (Cf. http://2013-continuum.blogspot.fr/2011/10/climatonegator.html)]}
De nombreux facteurs ont une influence sur le climat : les cycles solaires, le rayonnement cosmique (c'est à dire les particules chargées d'énergie qui pénètrent dans l'atmosphère terrestre), la formation des nuages, la dynamique des océans, le volcanisme et d'autres encore. {Oui, et surtout pas le CO2, hein ! ;) }
Les phénomènes météorologiques sont de nature chaotique et d'une prédiction aléatoire. {Oui, et alors ?} La prévision climatique est complexe {Il n’y a pas de « prévision » climatique, les climatologues effectuent seulement des projections en fonction de différents scénarios de concentrations de CO2 issues de l’activité économique...
Mais on a déjà parlé de tout cela plus tôt aussi !}
Personne n'est en mesure de savoir vers quoi évoluera le climat d'ici la fin du XXIème siècle. {Oui, parce que cela dépend de notre activité pendant le temps qui nous reste d’ici 2100, ce qui est effectivement difficile de prévoir, mais pour un scénario donné les résultats peuvent être considérés comme valables même s’il y a une marge d’incertitude (pour ceux qui auraient lu en diagonale ou zappé des chapitres, le sujet a également déjà été abordé plus tôt ! :) )}
L'être humain et l'animal ne peuvent vivre sans oxygène comme les plantes ne peuvent se passer de CO2 {Euh oui et alors ?}. Le CO2 est couramment utilisé dans les serres pour accroître le rendement des cultures. {Euh oui et alors ?}
Aujourd’hui, le pourcentage de CO2 est de 0,04% {Euh oui et alors ?}. Un humain peut vivre dans une atmosphère contenant jusqu’à 5% de CO2 {Euh oui et alors ?} A ne pas confondre avec le monoxyde de carbone (CO), gaz toxique qui résulte de la combustion incomplète du bois, charbon, pétrole, gaz, etc... {Euh oui et alors ?}
Que penser de tout ça ?
{Aaaaah.... Nous y voilà 😁
Toutes ces banalités pour préparer et mieux orienter la pensée du lecteur lambda vers la conclusion que c'est bien le CO2. Et donc que c'est très bien aussi probablement que nos industries pétrolières - et automobiles et aériennes et maritimes et touristiques (!) -, en relâchent chaque année des dizaines de milliards de tonnes supplémentaires dans l'atmosphère !!! (???)
[36.3 milliards de tonnes en 2015 - en hausse de 61% par rapport à 1990, année de référence du protocole de Kyoto -... En 2013 aussi, dans les "40 milliards" de tonnes : c’est plus de 100 fois ce que les volcans rejettent !
En 2017, les émissions étaient de 36,8 milliards et en 2018 de 33,1 milliards de tonnes !!!
(Cf.
Tout d'abord, les différentes affaires, erreurs et mensonges montrent qu'il n'y a aucune rigueur scientifique dans les travaux du GIEC, une structure pourtant censée synthétiser les travaux de qualité de nombreux scientifiques.
{ ???
Mais quelles « affaires » ?
Quelles « erreurs » ?
Quels « mensonges » ?
Tout cela est faux et archi-faux comme on a déjà pu le constater tout au long de cet article. Ça ne relève que du pur délire "climato-négationniste" (terme bien plus réaliste pour nos prétendus "sceptiques" que "climato-réaliste")}
Nous subissons une effroyable propagande idéologique !
{Oh que oui !!!!!
Là il dit vrai ... Mais c'est de la part des climatosceptiques, manipulés par les industries fossiles et leurs lobbys, c’est certain !}
Il est d'ailleurs politiquement très incorrect de contester leurs thèses et tout est fait pour discréditer les contradicteurs en les raillant ou en censurant leur travail {Comme on le fait avec les terreplatistes par exemple ;) }. D'où les départs de scientifiques du GIEC (comme Judith Curry, une des climatologues les plus emblématiques)
{Pfffffff !...
Encore une fois, Curry N'EST PAS « partie » du GIEC puisqu’elle n’y est jamais entrée !
Par ailleurs, si Curry est connue ce n’est certainement pas parce qu’il s’agit d’une « climatologue les plus emblématiques » mais uniquement parce qu’elle conteste le consensus scientifique pour des motifs probablement purement idéologiques, elle est donc devenue une icône (je n’ai pas écrit e-conne… ;) ) pour les climatosceptiques.
On a d'ailleurs déjà étudié son cas plus tôt hein !....
Dans la même veine en France, il y a le "célèbre" Benoit Rittaud, le gourou de la secte climato-négationniste ayant pour nom Skyfall - qui a également son propre blog qu'il a pompeusement nommé "Mythes, Mancies & Mathématiques" -, qui s’est fait un nom dans le petit monde dit « climatosceptique », mais qui serait autrement resté dans le plus pur anonymat...
[Voir par exemple à son sujet "http://sogeco31.blogspot.com/2015/10/benoit-rittaud-le-mathematicien-egare.html"
Extrait :
... Bref, nous tenons en la personne de Benoit Rittaud le digne successeur de Vincent Courtillot, qui lui-même avait repris le flambeau lâché par Claude Allègre pour cause de grosse fatigue.
Mais qu'est-ce qui motive en fait un mathématicien à se fourvoyer dans un domaine qui n'est pas le sien et à aller à contre-courant de la quasi totalité des scientifiques spécialisés dans l'étude du climat, qu'ils soient glaciologues, océanographes, dendrologues, paléo climatologues, biologistes, etc. ?
Benoit Rittaud n'étant pas un expert en ce domaine de la climatologie, il reste donc deux hypothèses comme pour notre ami Jean-Pierre Bardinet :
1• C'est un menteur/charlatan/escroc, c'est à dire quelqu'un qui sait pertinemment qu'il trompe son monde mais le fait pour poursuivre un objectif précis : gagner plus d'argent grâce à la vente de ses livres...
2• C'est un idiot utile, c'est à dire quelqu'un qui croit savoir mieux que les spécialistes et se laisse leurrer par des scientifiques pseudo-sceptiques tels que Fred Singer qui ne sont motivés que par leur idéologie néo/ultra libérale.
Il est d'ailleurs assez significatif que Benoit Rittaud soit essentiellement reconnu dans la sphère libérale francophone - il est totalement inconnu ailleurs -, il a son "wikiberal" mais pas de wikipedia à l'horizon !
(Bon, cela dit, être sur wiki n'est pas un gage de quoique ce soit ; c'est certes un bon outil d'information, mais pas exempt d'erreurs et carences :/ )
Il publie régulièrement sur "Contrepoint" et on peut le voir ou l'entendre dans quelques autres médias clairement libéraux comme "l'Opinion" ou "Libertarien TV". ...] }
Et surtout, il apparaît clairement qu'il y a de graves problèmes bien plus urgents à se préoccuper que cet éventuel réchauffement climatique futur.
{Poncif habituel :
Il y a la faim dans le monde, la guerre, l'esclavage des enfants, la pollution des pesticides, les inégalités sociales, la surpopulation et la PMA pour toutes, le racisme, le sexisme, le spécisme,.... Et aussi la préservation des pandas, la déforestation, la parité des femmes en politique, l'installation des compteurs Linky, le bio dans les cantines... ou même encore l'important débat entre "pain au chocolat" et "chocolatine" ;)
Tout ça bien sûr avant la menace existentielle que constitue le dérèglement climatique !
C’est logique, non ?}
Le matraquage permanent des médias autour de ce « global warming » anthropique sert à tout justifier : une inondation inédite, une tornade comme jamais auparavant, des sécheresses dévastatrices de plus en sévères, des ouragans plus puissants que jamais, et même des truffes en baisse et des chenilles processionnaires en plus ! Diantre, vivrions nous les débuts de l'apocalypse !
{Bingo !!!
Il vient peut-être soudainement de réaliser ce qui nous attend ! :/ }
Tout est pain béni {On écrit pain bénit, andouille ! (Mais cela n'est qu'un détail sans importance hein... Comme le fait que la température globale de la planète n'augmente que de 1, 2, 3, ... ou 7 degrés (!) :/ )} pour servir ce dogme {comparer ce que dit la science à un dogme, il faut oser}.
Face au GIEC, certains « climato-sceptiques » ont des intérêts politiques et financiers aussi peu louables {Oh que oui ! Enfin une constatation lucide et intelligente :)
« Certains "climato-sceptiques" ont des intérêts politiques et financiers peu louables ! »}
. L'enjeu climatique oppose l'industrie pétrolière et l'industrie nucléaire {Voilà bien une simplification outrancière qui prouve que notre militant de choc n’a pas compris grand-chose au problème :'(
Il est vrai que certaines personnes nucléophiles avaient osé profiter de l'aubaine pour vanter les mérites de leur si chère industrie prétendument peu émettrice de CO2 - ce qui est faux aussi d'ailleurs ! (Il suffit de s'intéresser à l'extraction du minerai, son acheminement, puis la construction des centrales et leur futur démantèlement, et aussi l'enfouissement des déchets radioactifs en toute sécurité, etc) -... Mais ça reste marginal, et on l'a vu plus tôt avec Allègre : le chef de file des climato-sceptiques français est aussi un pro-nucléaire acharné ! Donc... }.
S'y ajoute le récent enjeu des énergies renouvelables et les affrontements entre multinationales sont impitoyables
{Whaou !!!
C’est vrai que les renouvelables, face aux industriels du fossile, se montrent impitoyables, il n’y a qu’à regarder les sommes dépensées par chaque camp pour se faire une idée…
(Voir par exemple : https://www.lemondedelenergie.com/investissements-energies-fossiles-hausse/2018/08/20/)}
Cette fixation sur le CO2 est aussi un moyen de tenir à distance l'émergence économique des nouvelles puissances
{Ah bon ? et comment svp ? Comme si l’Inde et la Chine étaient « tenues à distance » par une soi-disant « fixation sur le CO2 » ! :/ }
Le GIEC tente de donner à l'industrie nucléaire une dernière chance {Où donc a-t-il vu cela ???
Ben non. Certaines personne oui ont pu tenter de redorer le blason bien terni déjà du nucléaire, mais pas le GIEC. On a d'ailleurs vu plus tôt que c'était même plutôt l'inverse :
« Pour le Giec, le nucléaire est une énergie non carbonée… mais ce n’est pas une énergie d’avenir. (...) Au final, pour résumer, la politique proposée par le Giec n’est pas très éloignée d’un scénario de type “Négawatt” ou “Virage Energie”, ou encore les scénarios proposés par le WWF ou Greenpeace au niveau mondial !... »}
Concernant la France, il est peu probable qu'elle soit économiquement en mesure d’investir les sommes énormes qu’elle a dépensées depuis les années 1970 pour renouveler son parc nucléaire vieillissant {Quel est le rapport avec le débat sur le rôle du CO2 dans le changement climatique ?}.
D'autant plus qu'il n'y a rien de nouveau depuis longtemps sur le plan technologique. Les EPR sont très coûteux, d'une technologie ancienne, dangereuse et pas au point. {Bon, oui et alors ?}
Quant au projet expérimental ITER à Cadarache sur la fusion nucléaire, il ne verra probablement jamais le jour. C'est un projet pharaonique des années 80, complètement obsolète, au coût faramineux encore inconnu, qu'ils n'arriveront pas même à construire. Une majorité de scientifiques n'y croit pas. (Je reviendrai prochainement sur ITER)
{Oui, ok ... et alors, où veut en venir notre "antinuke" ? Bon j’ai ma petite idée, voyons si elle est correcte en allant plus loin (Oui, bon, je connais déjà la suite bien-sûr ;) )}
Le nucléaire produit aujourd'hui à peine plus de 10% de l'électricité mondiale et ne représente que 1,8% de la consommation mondiale d'énergie. Malgré l'alibi d'être une « énergie décarbonée » pouvant lutter contre le réchauffement climatique, un nouvel essor de l'énergie nucléaire semble peu probable. {Oui, OK... Et alors ?}
La France se trouve donc dans une impasse avec des centrales dangereuses et vieillissantes qui fournissent 77 % de son énergie électrique. {Oui oui oui.... Mais quel rapport avec le climato-scepticisme ?}
Mais une nouvelle économie repeinte en vert se porte bien {Ah bon ?} et mise sur de juteux profits futurs grâce aux thèses du GIEC
{Sans blague ! 😀😀😀
Le GIEC n’a aucune thèse, il ne fait que résumer l’immense littérature scientifique sur le sujet très complexe du climat ; il ne fait par ailleurs pas de recommandation, seul le groupe III donne des pistes sans qu’il n’y ait la moindre contrainte à la clé (!)
Et d'ailleurs il suffit de regarder ce qui se passe politiquement depuis des décennies pour nous protéger de ce réchauffement climatique anthropique .... RIEN !!!
(Ou presque rien :( ... Le monde tout entier s'embrase, mais on continue plus que jamais de regarder ailleurs. En tout cas surtout pas du côté de Greta mais plutôt de Onfray, Trump ou Bolsonaro :( :( :( )
Il y a déjà quelques années - en 2004 -, Nicolas Hulot avait titré l'un de ses livres "Le syndrome du Titanic" (puis un reportage du même nom 5 ans plus tard (https://m.youtube.com/watch?v=I3rJhC8OGnI))
[« Les jours du monde tel que nous le connaissons sont comptés. Comme les passagers du Titanic, nous fonçons dans la nuit noire en dansant et en riant, avec l’égoïsme et l’arrogance de ceux qui sont convaincus d’être « maîtres d’eux-mêmes comme de l’univers ».
Et pourtant, les signes annonciateurs du naufrage s’accumulent : dérèglements climatiques en série, pollution omniprésente, extinction exponentielle d’espèces animales et végétales, pillage anarchique des ressources, multiplication des crises sanitaires. Nous nous comportons comme si nous étions la dernière génération d’hommes à occuper cette Terre : après nous, le déluge…
Le livre de Nicolas Hulot est un ultime cri d’alerte : si nous tous, riches comme pauvres, ne modifions pas immédiatement notre comportement pour faire « mieux avec moins » et mettre l’écologie au centre de nos décisions individuelles et collectives, nous sombrerons inéluctablement.»
Et c'est une excellente analogie avec notre époque ; imaginons justement Greta sur le Titanic, avec certains de nos acteurs contemporains :
Une toute aussi excellente parabole :
"Greta sur le Titanic" !!!
• Imaginons que par un mystérieux paradoxe temporel, notre Greta Thunberg et d'autres acteurs de notre temps se retrouvent projetés un siècle plus tôt, embarqués en 1912 sur le voyage inaugural du Titanic, fonçant tout droit vers un gigantesque iceberg que personne ne semble voir à l'horizon, sauf justement quelques personnes éveillées et lucides comme Greta :
- "Attention !!!
Si l'on continue à avancer comme ça tout droit vers l'iceberg devant nous au loin, on va le percuter à coup sûr et là, on risque fort de couler !
Il fait absolument ralentir ou au moins changer de trajectoire !"
Et les intervenants alors d'entamer le débat :
Le capitaine lui, au lieu d'être à la barre, est en perpétuelles conférences avec ses matelots pour décrire le plus scientifiquement possible la vitesse, la taille, le poids et même la composition ultra précise de l'iceberg, en retraçant sa genèse et toute son histoire ...
Et il s'oppose notamment à des sceptiques dont certains doutent non seulement de toutes les données dont ils disposent, mais même de l'existence de l'iceberg !
Et ceux-là de se lancer notamment dans de grandes théories socio-pathologiques sur les hallucinations collectives ou les croyances de certains qui selon eux "imaginent des choses dans leur esprit" (!) ....
[Beaucoup de passagers, même, prenant part aux débats, affirment que Greta est manipulée par le lobby des bateaux à voile et même peut-être des avirons et des pédalos, et qu'il ne faut surtout pas l'écouter car elle veut juste faire couler les compagnies maritimes propriétaires de paquebot et toutes les usines de construction affiliées à cette industrie navale !
Certains même renchérissant sur le fait qu'il y a d'autres problèmes plus urgent sur le paquebot : par exemple que l'eau de la piscine est trop chlorée et certains maillots de bain des femmes trop petits, ou encore que le foie gras servi sur les toasts trop tiède (!) 😅 ]
Pendant que d'autres sur le bateau ne nient certes pas l'existence des icebergs, ni même de leur éventuelle présence proche et potentiellement risquée, mais estiment par de complexes calculs très savants - comme avant l'éruption de la montagne pelée qui détruisit St-Pierre (!) -, que leurs trajectoires respectives éviteraient aisément celle du navire !
[Voir à ce propos "ÇA SENT LE SOUFFRE !" (https://2013-continuum.blogspot.com/2019/08/sulfureux.html)]
M'ouais ....
D'autres encore assurant que le bateau lui, est insubmersible, pouvant même carrément "défier Dieu", et donc résister à tous les iceberg réunis des 2 pôles, et qu'il n'y a donc vraiment pas du tout lieu de s'inquiéter ...
Tandis que d'autres encore pensent certes qu'il y a bel et bien un risque de collision , mais qu'il n'y a pas non plus à s'affoler - ni prendre des mesures simples comme par exemple virer de bord (!) (ou ne serait-ce que ralentir :/ ) - parce qu'il y avait largement de canots de sauvetage pour tous si jamais une collision devait arriver et que les multiples coques de sécurité venaient à céder. Chose de toute façon impossible et impensable !
D'autres encore ajoutant que, de toute façon, les hommes savent nager et que tout ira très bien (comme pour la jument de Madame la Marquise ;) )
Il y en avait même quelqu'uns pour affirmer haut et fort que même avec une violente collision avec un iceberg, ce serait leur super paquebot le plus fort et que ce bloc de glace serait pulvérisé sans problème !
Et quelques autres encore qui, quoique bien conscients du problème, se prennent pour des "apprentis-sorciers" en pleine science-fiction, imaginant toutes sortes de moyens technologiques révolutionnaires pour dissoudre par exemple les icebergs en installant sur le ponton de gros canons laser, ou même des projecteurs soniques pour les fracasser et les éparpiller aux quatre coins de la planète façon puzzle !!!!!
Et certains ont même affirmés avec foi et conviction que, "qui sait si, à la suite d'un changement de direction inopinée de l'iceberg, nous ne saurons pas sauvé de la collision promise", et qu'il vaut mieux donc continuer sans rien changer !!! :/ (*)
Enfin bref...
On y retrouve un peu tous les discours affligeants que l'on nous inflige aussi dans ce débat sur le RCA (qui je le rappelle signifie "Réchauffement Climatique Anthropique".... C'est à dire provoqué par le comportement humain, notamment ses émissions frénétiques de CO2 et autres GES !)
Les dernières minutes sur le Titanic ont notamment été imaginées ici : https://positivr.fr/greta-thunberg-a-bord-du-titanic/
=> « Sur le Titanic juste avant le choc :
• Greta : On va couler
• Fink : On ne va pas écouter une enfant. Ce navire mérite mieux que ça
• Le capitaine : elle a raison on va couler
• Bruckner : Elle est MA-NI-PU-LÉE
• Le Capitaine : je viens de vous dire qu’on va couler
• Trullemans : Je veux pas vous interrompre mais l’homme peut tout à fait vivre sous l’eau
• Greta : Bon, donc on va couler, on fait quelque chose ?
• Onfray : Espèce de cyborg dégénéré, je te hais
(Et un quelconque passager d'extrême-droite de surenchérir : "Ce n'est qu'une gamine handicapée mentale ! Qu’on lui donne donc un sucre d’orge et qu’on la ramène dans son école, ça nous reposera." (Sic))
• Le capitaine : Puisque je vous dis qu’on va vraiment couler, ça a déjà commencé
• Fink : Arrêtons d’écouter cette gamine et écoutons le capitaine
• Le capitaine : ON VA COULER !!!!!!
Onfray : Pffff il est dommage de voir que même le capitaine se prosterne devant Greta
Le capitaine : Je m’en fous de Greta, ON COULE !!!!!!!!!
Bruckner : Stop au semeurs de peur, on ne va pas retourner au Moyen-Âge
Le capitaine : Et voilà, on coule !...
Fink, Onfray et Bruckner : On l’avait bien dit qu’il ne fallait pas écouter Greta… »
[Mathieu Peltier est chroniqueur pour la RTBF. Dans ce texte, il a imaginé Greta Thunberg sur le « Titanic » en compagnie d’Alain Finkielkraut, de Michel Onfray, de Pascal Bruckner et de Luc Trullemans (climato-sceptique belge). Résultat ?
Cette conversation surréaliste et sans queue ni tête qui ne ressemble malheureusement que trop à ce qu’on entend aujourd’hui… :( ]
(*) (Cf. "Qui sait si, à la suite d'une baisse inopinée de l'activité solaire entraînant une brutale baisse des températures, nous ne serons pas sauvés par les 7°C en plus qu'on nous promet d'ici la fin du siècle ?" (SIC)
En plus c'est complètement illusoire car comme on l'a déjà vu plus tôt, le soleil est DÉJÀ en activité minimale depuis bien des années !!!
Donc, à moins qu'il s'éteigne carrément, je vois pas comment cela serait possible. C'est comme pour le changement de direction inopiné de l'iceberg juste pour éviter de heurter le Titanic :/ ) }
Les cabinets et consultants sur « l'empreinte carbone » prospèrent {Peut-être, et alors ? je me souviens que le passage à l’an 2000 avait fait la fortune des consultants en informatique alors que le risque était minime voire inexistant, la vie est comme ça :) }.
La vente des voitures électriques espère décoller.
De nombreuses institutions environnementalistes (WWF, Réseau Action Climat, Greenpeace, Réseau Sortir du nucléaire,…) se sont bien sûr ralliées au discours dominant et à cette croisade, rejoignant ainsi pronucléaires et autres lobbies malpropres, et détournant les militants écologistes des vrais combats à mener. WWF et Greenpeace ont été associés au GIEC dès sa création
{Sans blague !
Mais quelle imagination !!!
On peut se demander ce que serait pour les écologistes "les vrais combats à mener" ...
La protection des oiseaux et des lapins de garenne ?
Tout ce qu'on veut mais surtout pas celui, majeur et vital, du réchauffement climatique, dont l'impact sur notre écosystème est prépondérant ! :/
Alors oui, le nucléaire aussi est un grave problème - surtout quand les centrales pètent, comme à Three Mile Island, Erwin, Tomsk, Kychtym, Tchernobyl, Tokaimura, ou encore Fukushima (parmi les plus emblématiques (!)) -, mais Greenpeace s'est largement impliqué aussi dans ce noble combat antinucléaire !
Par exemple :
Le matraquage autour de ce réchauffement idéologique a réussi à formater la pensée de nombreux militants qui sont devenus les relais zélés de cette propagande {En matière de "formatage de la pensée" notre brave militant est un véritable expert qui a expérimenté le concept sur lui-même, et ça marche ! 😖
(Eh oui, encore un coup du fameux "Effet Miroir" 😝 }
. Les personnes contestant ce dogme, ont vite droit à des insultes et se voient même traiter de révisionnistes ! {Eh oui, voilà ce qui arrive quand on déconne trop !}
Le capitalisme industriel fait des ravages sur la planète et de vraies catastrophes sont devant nos yeux. {On est donc bien d’accord, c’est surprenant ! ;) }
Le danger de la science comme de la religion est de faire d'une théorie une grille de lecture unique et imposée. Les croyances ne devraient pas avoir leur place dans une étude scientifique. {Encore une fois on est d’accord, mais alors pourquoi notre brave Calandra se complait-il dans cette pseudo-science et idéologie climato-négationniste ???}
Cette propagande sur une catastrophe climatique à venir permet de laisser dans l'ombre les catastrophes mondiales bien réelles, catastrophes à la fois humaines et environnementales : les guerres et la faim dans le monde, la pollution de l'air, des sols, des mers et des rivières (par des composants chimiques plus problématiques que le CO2), l'appauvrissement de la biodiversité, les déchets nucléaires, ...
{Euh... Oui.
À part peut-être les déchets nucléaires, tout ce qui vient d’être cité va être exacerbé par le réchauffement de la planète causé par nos activités humaines puissamment génératrices de Gaz à Effet de Serre comme le CO2 …}
Impossible de passer sous silence la terrible catastrophe nucléaire en cours à Fukushima
{Oh oui, terrible !
Mais combien de morts à Fukushima et ses environs ? Et combien de morts futures qui seront provoquées par le changement climatique ?
Pour rester dans notre "Syndrome du Titanic" relaté plus tôt, ce serait en quelque sorte comme dire que faire virer de bord trop rapidement le navire risque de provoquer des chutes et des fractures chez les passagers ... Et qu'il vaut donc mieux continuer à laisser le paquebot foncer droit sur l'iceberg en espérant que celui-ci changera de route de lui-même avec l'aide de Dieu (!!!) :/ :(
[À ce propos.... Voici l'une de mes vieilles discussions - il y a plus de 12 ans déjà - avec un ami victime de cette idéologie climato-négationnistes qui a tant fait de ravages dans les esprits :
• Tu m'accuses notamment de n'être "qu'un fouteur de trouille" et "un pessimiste arrogant qui ne fait pas assez confiance à Dieu et à la Nature pour se rééquilibrer toute seule"..
Ben voyons....
Et les 1.500 passagers du Titanic ?
Et les 30.000 citoyens de St-Pierre alors, eux aussi c'est parce qu'ils étaient pas assez optimistes ou assez confiants en Dieu qu'ils ont été décimés ?
Comme encore les 230.000 personnes mortes lors du fameux Tsunami de Noël 2004 ?
Trop optimistes et confiantes en la nature et en Dieu elle aussi ???
Et je ne parle même pas de ces dizaines de millions de réfugiés climatiques, qui touche des populations qui ne sont même pas responsables de la moindre émission de CO2
(Voir par exemple : "Les réfugiés climatiques seront 50 millions en 2010"
Extrait : « L'île de Kiribati risque de disparaître sous les flots alors que ses habitants ont une empreinte carbone quasi nulle. Les 600 habitants du petit village de Shishmaref, près du cercle polaire, ont pris leur décision : ils déménageront bientôt. Le littoral, qui héberge leur culture depuis des millénaires, est en passe de disparaître. Mangé par les flots. Ce cas n'est pas unique. Du pôle Nord aux petites îles de l'océan Pacifique, en passant par les Andes et l'Afrique, des populations entières sont affectées par le réchauffement climatique... »)
Pas assez optimistes elles aussi peut-être ?
Elle sont peut-être trop à l'écoute des "fouteurs de trouille" ??
Ou alors pas assez confiantes en l'aide de Dieu (ou des extraterrestres) ???
Matsuhei Murata, ancien ambassadeur du Japon en Suisse, parlait il y a quelques jours, d’un accident encore jamais vécu par l’humanité et toujours pas maîtrisé. Les cœurs fondus des réacteurs restent inaccessibles à cause de leur niveau de radiation, détruisant même les robots envoyés.
De grandes quantités de radionucléides mortels sont rejetés sans cesse dans la mer et dans l’atmosphère, et ont atteint l'ouest des États-Unis. Aucune perspective de solution à ce jour. M.Murata souhaite que le Japon se retire de l'accueil des jeux Olympiques de 2020 pour consacrer tous les efforts à la crise de Fukushima.
{Ben oui c'est grave ! Mais qui dit le contraire ?
Certainement pas Greenpeace qui a toujours dénoncé le nucléaire depuis ses débuts à nos jours - on l'a déjà vu plus tôt -....
Mais même le WWF est lui aussi anti-nucléaire :
(Donc, si comme le dit Antoine Calandra « WWF et Greenpeace ont été associés au GIEC dès sa création ! », c'est donc que le GIEC est bel et bien lui aussi anti-nucléaire comme ses associés WWF et Greenpeace ! :) )}
Fera t-il beau demain ?
La COP21, à Paris en décembre 2015, a coûté plus de 180 millions € et s'est terminée par un accord international, qualifié d'historique, ratifié par 195 États : stabiliser le réchauffement climatique dû aux activités humaines bien en dessous de 2°C d’ici à 2100 (sans aucun engagement chiffré des États).
Quel gaspillage d'argent public et quel égarement ! {En matière d’égarement j’en connais maintenant un qui en tient une sacrée couche, et même très radioactive ... :P }
L'Homme ne commande quasiment rien du climat de la Terre {C’est bien pour cela qu’il a réussi à faire monter la température de 1°C avec ses petits bras musclés, et ce n’est pas fini, il peut faire bien mieux, s’il y met de la bonne volonté il pourra atteindre +6 ou +7°C ! Mais à part ça il ne commande pas au climat :/
[Et comme je le disais par ailleurs dans le «bonus» de cet article publié en premier, "UNE PAGE D'HISTOIRE CLIMATOLOGIQUE !" :
« ... À PREMIÈRE VUE, LE SYSTÈME OCÉANIQUE PEUT SEMBLER - TOUT COMME L'AIR ET LE CLIMAT - INFINIMENT AU-DELÀ DE LA MINIME INFLUENCE DE L'HOMME. (...)
EN FAIT, LES HOMMES SONT ENCORE TRÈS - TROP (!) - FORTEMENT INFLUENCÉS PAR LA CONCEPTION MÉDIÉVALE D'UN OCÉAN SANS LIMITES !
Nous avons tous tendance à imaginer que lorsqu'un fleuve pollué se déverse dans la mer, lorsque nous évacuons le contenu des égouts d'une ville assez loin de la terre, tous les déchets industriels et urbains disparaîtront comme par enchantement dans l'azur qui se trouve au-delà de l'horizon, comme s'ils étaient définitivement éliminés de la planète...
Nulle part, la vulnérabilité et l'interdépendance de l'ensemble de la biosphère ne sont plus évidentes que dans l'enveloppe atmosphérique sur laquelle les activités industrielles de l'homme sont en train d'empiéter de plus en plus.
Personne ne se représente que le firmament lui-même pourrait devenir vulnérable à nos intrusions. Et pourtant, si l'on souhaite élucider cette question, il est utile de se reporter un instant à notre connaissance des alphabets
de l'espace et du temps : le spectre électromagnétique et l'évolution de la terre au cours des millions d'années.
Repensons par exemple à l'effet de l'écran solaire sur l'atmosphère terrestre.
Au cours des siècles, le niveau général de la chaleur sur terre a été maintenu à une certaine uniformité par un équilibre critique.
Les radiations solaires en provenance de l'astre, associées à la réabsorption par la terre de la chaleur qu'elle dégage elle-même, équivalent à peu près à la quantité de radiations qui sont bloquées "en route" ou renvoyées par les nuages et la surface terrestre dans l'espace.
Bien entendu, les différentes parties de la planète sont chauffées ou refroidies à des degrés différents, et leurs échanges - par le truchement des vents et des courants aériens, ainsi que la médiation universelle des océans - constituent ce qu'on peut appeler le climat d'ensemble de notre planète, climat donc totalement interdépendant.
Aux tropiques, davantage de chaleur s'absorbe que dans les régions polaires qui ont un pouvoir de réflexion beaucoup plus élevé. La chaleur engendrée au centre tend à s'écouler vers les pôles et l'air plus froid de ceux-ci est renvoyé vers le centre.
L'effet général en est de mitiger les extrêmes de température.
Mais ce mouvement, relativement simple et direct, est fortement compliqué par la rotation de la terre sur son axe, par le fait que les terres sont massées dans certaines zones et les eaux dans d'autres, par les dimensions des hautes chaînes montagneuses et par la répartition des forêts pluviales et des déserts...
Avec tant de variables, il n'est pas surprenant que les systèmes météorologiques locaux présentent d'importantes variations par rapport aux "normes attendues".
Il est également peu étonnant que le climat global de la terre, dans son ensemble, puisse lui-même subir de profondes modifications. ....
Il est bien évident que l'homme n'a rien eu à voir avec ces vastes changements climatiques dans le passé. Et vu l'envergure des systèmes énergétiques en jeu, IL SEMBLERAIT RAISONNABLE DE SUPPOSER qu'il ne pourra probablement pas non plus les influencer dans l'avenir...
MAIS C'EST LÀ QUE NOUS NOUS TROUVONS FACE À L'AUTRE ASPECT DE NOTRE EXISTENCE PLANÉTAIRE :
LA FRAGILITÉ DES ÉQUILIBRES qui permettent au monde naturel que nous connaissons de survivre !...
En ce qui concerne le climat, les radiations solaires, les émissions de la terre, l'influence universelle des océans et celle des glaces sont incontestablement importantes et échappent à toute influence - directe (!) - de l'homme...
Mais l'équilibre entre les radiations reçues et émises, l'interaction de forces qui maintient le niveau moyen global de températures semblent être si unis, si précis, QUE LE PLUS LÉGER CHANGEMENT DANS L'ÉQUILIBRE ÉNERGÉTIQUE EST CAPABLE DE PERTURBER L'ENSEMBLE DU SYSTÈME !
LE PLUS PETIT MOUVEMENT DU FLÉAU D'UNE BALANCE SUFFIT À L'ÉCARTER DE L'HORIZONTALE.
IL POURRAIT SUFFIRE D'UN TRÈS PETIT POURCENTAGE DE CHANGEMENT DANS L'ÉQUILIBRE ÉNERGÉTIQUE DE LA PLANÈTE POUR MODIFIER LES TEMPÉRATURES MOYENNES DE DEUX DEGRÉS CENTIGRADES !!!... »
(Et ces propos ne sont pas récents : ils datent d'une publication de 1972 !] }.
Ce sont là des forces naturelles bien plus puissantes qui sont à l’œuvre {Ah oui.... Donc pas celles décrites par des milliers de scientifiques spécialisés depuis des décennies !
Ces forces naturelles seraient des "forces divines", peut-être ? ;) }.
Qu'en sera t-il du climat et de la température de la fin du siècle ? Fera t-il plus chaud ou plus froid ? Nous l'ignorons !
{« Tu » l’ignores, nuance !}
Le GIEC devrait être dissous {Dans l’eau, comme le CO2 ?}.
Rester aussi influent sur la scène internationale après une telle accumulation de mensonges, d'erreurs et de manipulations {il parle bien des climatosceptiques, là ?}, montre la puissance des lobbies et forces politiques qui sont derrière cette structure {Oui... par exemple Trump ou Bolsonaro, entre autres. Et nombre de politiciens ou militants d'extrême-droite aussi (2)}.
Si l'ONU et ses agences se démenaient autant pour le bienfait de l'humanité qu'elles le font pour le monde des affaires, nous pourrions être confiants dans l'avenir.
Les multinationales {"des fossiles" (admirez le jeu de mot quand-même ;) )} ont pris le pouvoir et mènent le monde. Les dirigeants ne sont que des marionnettes {Cf. Trump et Bolsonaro pour ne citer que les plus décérébrées} pour les servir et nous endormir {et c’est réussi pour certains qui arrivent à dire des énormités tout en dormant…}. Ils se plient aux impératifs du monde économique et délaissent les vrais problèmes de notre siècle.
Il est urgent de remettre en cause nos sociétés occidentales, qui tirent le monde vers le pire, et de revoir radicalement leur fonctionnement (production, consommation, distribution) {Enfin quelque chose de sensé, mais pas pour les bonnes raisons, malheureusement}
Parler du temps permet souvent de ne pas aborder les choses essentielles !
{Ouais. Plutôt "perdre du temps" à "parler pour ne rien dire", et surtout à devoir répondre à tout ce tissu d'inepties et de conneries toutes plus affligeantes les unes que les autres ... Mais malheureusement partagées des milliers de fois sur les réseaux sociaux, alors que cet article de debunkage n'a même pas un like 😡😡😡}
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(1) J'ai déjà publié mon BONUS dans l'article précédent (http://2013-continuum.blogspot.com/2019/10/climat-origine.html)...
(2) Et voici là en quelque sorte le MALUS ;) :
=> Ah ben j'ai trouvé une autre site reprenant ce délire de notre militant antinucléaire : un site d'extrême-droite comme par hasard ...
(Publié en mars dernier :
Et même il en rajoute encore plus dans les conneries et inepties :( :( :(
Je ne mentionne là qu'un "petit" extrait :
<< ... Rappel : le GIEC n’est pas un organisme scientifique, mais une institution politique de l’ONU.
Il a été créé à la demande de Margaret Thatcher qui, dans les années 70, pour justifier sa promotion de l’industrie nucléaire dé-carbonée, a eu l’idée d’inverser le discours scientifique de l’époque.
{C'est du copié-collé de l'article de Calandra, et on a déjà vu que tout cela est complément bidon ; comme d'ailleurs tous le reste avec nos négationnistes effrénés !}
Celui-ci disait que nous sommes, c’est parfaitement exact {Ben non, pas du tout}, à la fin d’un cycle de réchauffement déca-millénaire, commencé à la fin de la dernière glaciation globale il y a 12 000 ans et que nous devons nous attendre prochainement à une nouvelle ère glaciaire. Ce qui est confirmé par les observations de la NOAA américaine et la météo russe, depuis 1999 le réchauffement s’est arrêté.
{Ben non, ça aussi c'est totalement faux ... Et on l'a déjà bien vu dans les détails ici !}
Nous sommes au sommet d’une courbe de Gauss. {??? Quelle imagination fertile ont ces prétendus "climato-réalistes" (!)} Ce que le GIEC confirme dans son rapport partiel d’octobre 2018 {FAUX} mais qui a été zappé dans le résumé de quelques pages qu’en a fait la commission politique du GIEC pour la distribution aux États membres afin de ne pas contrarier les politiques fiscales « vertes » qui passent mal dans les couches les moins riches des populations comme les Gilets jaunes.
{Ah, manquait plus qu'eux tiens... Mais quel racolage de "putaclic" !!! :(
Pfffffff}
Thatcher a donc promis des financements importants aux services météo anglais à condition qu’ils « prouvent » qu’un réchauffement était toujours en cours, ce qui fut facilement fait en modifiant quelques paramètres dans les modèles informatiques. Le budget de la météo anglaise fut multiplié par presque huit ! ... Et BLA BLA BLA bla bla bla bla.... >>
Pfiouuuuu
Là franchement je craque :P
On nage en pleine paranoïa complotiste.
Enfin bref, comme pour le texte de Calandra, c'est de la grosse, très grosse merde !!!
Il n'y a là que des bobards ineptes et affligeants .... Et je n'ai vraiment plus envie de perdre davantage de temps à y répondre !
Un véritable ramassis de conneries, de mensonges, de contre-vérités et même de délires caractérisés ...
Un vrai "Bullshit" encore :
C'est tout !!!!!!!!!!!!!
OUF... FINI !
Marie-Reine et Henri-Charles Geffroy en pleine lecture... Cliquez sur cette image pour accéder au sommaire du blog ! |
*************
La vraie raison pour laquelle il y a autant de climato-sceptiques, c’est qu’en matière de changement climatique, il faut quelques mots seulement pour affirmer une ânerie, et plusieurs pages pour expliquer pourquoi c’est une ânerie !!!
;) (*)
Le pire du pire, c'est quand les climato-négationnistes vous assènent plusieurs pages de laïus où quasi à chaque ligne il y a une erreur, un mensonge ou une contre-vérité !
Aaaaaaaargh !!!!!!!!!!!!!
Comment pouvez-vous alors y répondre ; c'est quasi du "Mission Impossible"... :( :( :(
Bon, mon speech date déjà de quelques années, mais il est malheureusement toujours autant d'actualité :
==> « Après avoir tenté de nous embrouiller avec du baratin scientiste pour tenter de nous démontrer que le réchauffement planétaire n'était surtout pas lié aux pollutions industrielles (du pétrole, de la bagnole, du transport aérien, de la chimie et de la bidoche)... mais plutôt "au basculement radiatif de l'axe de rotation terrestre" (!)...
(Dans la même veine, on a essayé aussi de nous "bourrer le mou" en incriminant, toujours avec un splendide baratin scientiste, "les changements du champ magnétique terrestre" (ben voyons))...
... Il y-en a maintenant qui prennent le relais en tentant cette fois de nous démontrer avec le même genre de baratin scientiste que le réchauffement planétaire n'est surtout pas lié aux activités humaines polluantes..., mais plutôt à :
- "La rotation du Système Solaire dans la Voie Lactée" !...
😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
Whaou !...
A quand la faute de galaxies ennemies qui seront accusées à leur tour d'être la cause de ces millions et millions de tonnes de pesticides et de gaz à effet de serre que nous relâchons si ALLÈGREment sur notre pauvre planète à l'agonie ??? (...)
Ah là là... combien ces "climato-sceptiques" s'enfoncent davantage chaque année dans l'absurde le plus total pour continuer à nier l'indéniable :
Ils ont d'abord tenté de nous faire croire que la planète ne se réchauffait pas... et que toutes les constatations écolos n'étaient que délires de paranos...
Puis, devant l'évidence, ils ont alors cherchés à nous faire croire que la planète se réchauffait parce qu'elle avait basculé un peu sur son axe de rotation...
Puis enfin, devant le peu de succès de cette thèse, qu'elle se réchauffait parce que le soleil était dans une activité phénoménale qui réchauffait aussi toutes les planètes du système solaire....
Alors là, succès immédiat chez une grande partie de la population dont la science n'est pas la tasse de thé... On en a même vu qui renchérissaient sur l'idée que c'était en fait toute notre galaxie qui se réchauffait, "à cause de l'approche d'un gigantesque nuage de gaz interstellaire chargé d'ondes cosmiques et spirituelles annonçant la venue de l'Apocalypse" (Voir notamment : "NIBIRU ET 2012")...
EH OUI.... QUE DE L'INTOX !!!
Maintenant que nos "climato-sceptiques" doivent de nouveau se plier à l'évidence que depuis plusieurs années déjà notre soleil est en fait dans sa période d'activité la plus basse que l'on ait jamais constaté....
Ils voudraient nous faire croire aujourd'hui qu'en fait la température tend à descendre depuis ces dix dernières années...
Alors que l'année dernière encore les mêmes tentaient de nous faire croire que le système solaire était quasiment en train de bouillir à cause d'un soleil plus chaud que jamais et que c'est seulement ce qui expliquait le réchauffement climatique !
Et pendant que d'autres, plus malins, ne nient certes pas que le soleil est en activité minima - comme lors des précédents "minimums de Maunder ou de Dalton" -... mais que c'est justement pour ça - notamment parce que le rayonnement solaire repousserait moins le rayonnement cosmique - que notre planète se réchaufferait !!!
On se demande bien cela dit qu'est-ce qu'ils foutaient ces bons vieux rayonnements cosmiques pendant les fameux Minimum de Dalton et Maunder qui furent à l'origine du "petit âge glaciaire" entre le XV et XIX siècle ! ;)
Mon Dieu mon dieu...
Heureusement que le ridicule ne tue pas... ce serait une véritable hécatombe ! » (**)
*************
Voir par exemple pour approfondir la réflexion ;) :
- "Effet de serre: chimère notoire ?"
Et aussi :
- UNE PAGE D'HISTOIRE... CLIMATOLOGIQUE !
- UNE PAGE D'HISTOIRE... CLIMATOLOGIQUE ! (complément)
...
Et encore :
==> L'Effet de serre existe-t-il ? (1)
==> L'Effet de serre existe-t-il ? (2)
==> L'Effet de serre existe-t-il ? (3)
*************
*************
En bonus :
Extrait du dernier commentaire de mon article sur "Climatonegator" (http://2013-continuum.blogspot.fr/2011/10/climatonegator.html) :
-... Bon, c'est ce que je répète et explique depuis des années déjà (...) Ça fait plaisir de voir que je ne suis pas la seule personne encore lucide dans le petit monde des écolos (à force de recevoir des messages - et tant d'insultes et de moqueries (!) - de correspondants dits "climatosceptiques", je commençais vraiment à douter de l'état mental de mes contemporains 😏) :
- "Cette universitaire américaine – elle est professeur d'histoire des sciences de la Terre à l'université de Californie à San Diego – a enquêté pendant plusieurs années sur les réseaux scientifiques et industriels qui, outre-Atlantique, remettent en cause la thèse du réchauffement climatique.
Avec de nombreuses preuves irréfutables – ses notes sourcées occupent presque 100 pages de son livre de 500 pages ! - elle montre qu'Outre Atlantique les lobbys qui sont à l'oeuvre pour dénoncer « la supercherie du réchauffement » sont rigoureusement les mêmes que ceux qui ont contesté la dangerosité du tabac, du DDT, de l'amiante ainsi que la réalité du trou dans la couche d'ozone, ou encore les pluies acides.
Pour Naomi Oreskes, aucun doute, ce sont des « marchands de doute », dont le but avéré est d'introduire l'incertitude et la confusion dans l'opinion publique. Cela afin de retarder des mesures contraignantes contre les industriels (du tabac, du pétrole, de la chimie...)."
*************
Et en bonus du bonus😉:
=> POUR MÉMOIRE (ET MÊME "DEVOIR DE MÉMOIRE" !!!)
LES ARTICLES 2010 DE "DESTINATION 2013", CONSACRÉS AU SEUL PROBLÈME DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE (CLASSÉS PAR ORDRE CHRONOLOGIQUE DÉCROISSANT (C'EST À DIRE DU DERNIER AU PREMIER)) (*) :
- CO2 : PAS ENNEMI PUBLIC NUMÉRO UN ?
- CLIMAT... toujours chauds les débats ! :D
- Morts aux "écolo-sceptiques" ???
- Le CO2... c'est SIMPLE !!!
- Le fameux "Mythe du CO2" !
- Hubert Reeves et le CO2
- Overdose de CO2 !!!
- CLIMAT : Plus chaud mais pas plus vert ! (+ La dissonnance cognitive)
- "CLIMATEGATE"... CE QUE LES NÉGATEURS ÉVITERONT DE VOUS DIRE !
- L'IMPOSTURE DU RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE...
- L'IMPOSTURE CLIMATIQUE ?
- Blague "anti-sceptique"
- LE SOLEIL VOUS DIS-JE... LE SOLEIL, ET PAS AUTRE CHOSE !!! (suite n°1)
- UNE PAGE D'HISTOIRE... CLIMATOLOGIQUE ! (complément)
- UNE PAGE D'HISTOIRE... CLIMATOLOGIQUE !
- DANGER : Pandémie de Climatosceptite ! (Suggestion de vaccins "anti-sceptiques" :oD)
- BILAN CLIMATIQUE : Records de chaleur pour activité solaire minimum !!!
- LE SOLEIL VOUS DIS-JE... LE SOLEIL, ET PAS AUTRE CHOSE !!!
- Réchauffement climatique : NIBIRU ET 2012 ?
- LE SOLEIL VOUS DIS-JE !
- Réchauffement climatique...
- Quand le soleil se réveillera ! (suite)
- Quand le soleil se réveillera !
- Révélations : éoliennes et réchauffement climatique !!!
(C'était un message du 1er avril...)
- "Dinosaurus Sceptiquus"... une nouvelle espèce en voie d'extinction ?
- Attention, ca tourne !...
(Celui-là ne concerne pas vraiment le problème du réchauffement
climatique...
... mais par contre le problème des "climato-sceptiques", qui ne
comprennent plus grand chose, et, comme la planète, ont la tête qui tourne ! :D)
- "Gogos écolos bien pensant..." ?
- "Changements climatiques"... LE DÉBAT ! (1)
- Climat... ben, c'est encore très chaud ! :oD
- Chimère "l'Effet de serre" ?.... (2)
- Chimère "l'Effet de serre" ?
(ou : "Quand le soleil nous tape sur le
système !" :D)
- Service Minimum ?
- Service Minimum !
(A NOTER QU'IL Y A EU EN 2010, ET MÊME LES ANNÉES PRÉCÉDENTES, BEAUCOUP D'AUTRES ARTICLES ENCORE - TANT SUR "DESTINATION 2013", QUE SUR "CULTURE NET 2013" OU "PLANÈTE-VIVANTE" -, ... ET SUR BIEN D'AUTRES SUJETS : DEPUIS LE PROBLÈME DES VACCINS, À CELUI DE LA RÉINCARNATION, OU DE L'ÉCOLOGIE POLITIQUE - ET DE LA MÉDISANCE "ANTI-ÉCOLO" -,... EN PASSANT PAR CELUI DU VÉGÉTARISME - OU PLUTÔT DU VIANDISME ! ;) -, DU FREUDISME, DU SIONISME, DU "MÉDICAMENTISME" (!)... ET MÊME DU "COMPLOTISME"... NOTAMMENT AVEC CES FAMEUX "CHEMTRAILS" !!!... (ET MÊME SUR LE FAMEUX "MYTHE DE LA GIRAFE" ! :D))
•••••••••••••
Et là enfin, les tout derniers :
91 - Greta Thunberg et le CO2 (ou : "Quand le climat médiatique s'échauffe" (!))
92 - De Marcel Leroux à Greta Thunberg (ou l'inverse (!) :P )
93 - LA TERRE EN FEU
[À propos de nos grandes forêts mondiales en flammes et de la responsabilité directe de notre alimentation carnée (!)]
94 - "Occultez ce soleil qui nous chauffe la couenne !"
"L'Antarctique se refroidit" (refroidi... rait ;) ), et du coup ce serait la preuve qu'il n'y a pas de réchauffement climatique ?
RépondreSupprimerBen .... Non !
(Encore l'un des si nombreux "bullshit" de nos climato prétendument réalistes :D )
« On entend régulièrement répéter que l'Antarctique se refroidit, or ce n'est pas le cas », insiste Eric Steig, directeur du département Quaternaire à l'université de Washington à Seattle, co-auteur avec Drew Shindell, de l'Institut des Sciences spatiales de l'université Columbia, d'une étude publiée dans Nature.
Il n'y a pas d'exception antarctique... L'ensemble du continent blanc se réchauffe bel et bien à l'instar du reste du globe, et non sa seule partie occidentale contrairement à ce que certains chercheurs pensaient ...
« Une des raisons principales pour lesquelles on pensait que la plus grande partie de l'Antarctique Est refroidissait, c'est la présence du trou dans la couche d'ozone protectrice qui apparaît à partir du printemps dans la région polaire de l'hémisphère sud. Ce phénomène est responsable de la baisse des températures dans la partie orientale. Or, la situation dans cette zone Est a été extrapolée à la totalité du continent sans que rien ne vienne corroborer cette idée !...
Et si le trou dans la couche d'ozone disparaît au milieu de ce siècle, comme il est envisagé par les scientifiques, l'Antarctique dans son ensemble pourrait se réchauffer comme le reste du monde »...
Cf. https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/climatologie-oui-antarctique-rechauffe-18037/
A lire aussi attentivement ;) :
RépondreSupprimer• https://www.letemps.ch/sciences/pole-sud-debacle-saccelere
• https://www.pourlascience.fr/sd/environnement/la-peninsule-antarctique-ne-se-rechauffe-plus-12384.php
• https://www.lemonde.fr/planete/article/2008/08/27/le-refroidissement-de-l-antarctique-une-bizarrerie-elucidee_1088465_3244.html
• ...
Bref :
En résumé, la banquise de l'océan Austral est un phénomène unique et complexe. Une interprétation simpliste qui consisterait à dire que la température autour de l'Antarctique se refroidit est fausse. Un réchauffement est observé mais ses conséquences sur certaines régions sont complexes et multiples.
Cf. http://ecologiesurleweb.free.fr/infos15-6-rechauffement_climatique.html
• https://www.lefigaro.fr/environnement/2012/12/24/01029-20121224ARTFIG00263-l-antarctique-se-rechauffe-plus-vite-que-prevu.php
SupprimerEt plus récemment (l'année dernière) :
=> L'Antarctique a perdu 3000 milliards de tonnes de glace depuis 1992, assez pour faire monter le niveau global des océans de presque 8 millimètres et cette tendance s'est accélérée de façon spectaculaire au cours des cinq dernières années, selon une étude parue aujourd'hui...
Cf. https://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/06/13/97001-20180613FILWWW00324-l-antarctique-fond-a-un-rythme-accelere.php
BONUS :
RépondreSupprimer(Offert par mon ami "Ged", auteur du blog "Chroniques du têtard mouillé") (*)
« Regarde :
https://en.wikipedia.org/wiki/Global_warming_in_Antarctica :
« The effects of global warming in Antarctica may include rising temperatures and increasing snow melt and ice loss. [1] A summary study in 2018 incorporating calculations and data from many other studies estimated that total ice loss was 43 gigatons per year on average during the period from 1992 to 2002 but has accelerated to an average of 220 gigatons per year during the five years from 2012 to 2017. »
Traduction : Les effets du réchauffement en Antarctique pourraient comprendre une hausse des températures et une augmentation de la fonte des neiges et de la perte de glace [1] Une étude sommaire réalisée en 2018, comprenant des calculs et des données provenant de nombreuses autres études, a estimé que la perte totale de glace était de 43 gigatonnes par année en moyenne pendant la période allant de 1992 à 2002 mais a atteint une moyenne annuelle de 220 gigatonnes pendant les cinq années de 2012 à 2017.
Comme tu peux le constater la fonte s'accélère, donc le réchauffement aussi, sauf que l'Antarctique fond surtout « par en dessous », c'est la mer en se réchauffant qui fait fondre les langues de glace ; quant à la température de l'atmosphère en Antarctique elle peut très bien se refroidir légèrement par moments, cela ne prouve rien, seulement que l'Antarctique est un continent bien particulier qui n'a rien à voir avec le reste de la planète. »
Par ailleurs je ne connais pas d'information récente de la NASA selon laquelle l'Antarctique se refroidirait - comme le prétendent nos bons "sceptiques" :/ - , bien au contraire !!!
Exemple : https://www.nasa.gov/topics/earth/features/warming_antarctica.html ou https://earthobservatory.nasa.gov/images/36736/antarctic-warming-trends
Extrait : « For a long time, it seemed that Antarctica was immune to global warming. But a new analysis of satellite and weather station data has shown that Antarctica has warmed on average since 1957. »
[« Pendant longtemps, il a semblé que l'Antarctique était à l'abri du réchauffement climatique. Mais une nouvelle analyse des données des stations satellites et météorologiques a montré que l’Antarctique s’était réchauffé en moyenne depuis 1957. »]
(*) https://sogeco31.blogspot.com/2018/12/ca-chauffe-aussi-pour-les-glaciers-de.html
{Et sinon, j'aime bien ça aussi :)
«... Notre Nobel en épistémologie de comptoir fait un caca nerveux sur le terme « incontrovertible » que l'on peut traduire par indéniable ou incontestable ; il est assez étrange qu'il butte sur ce mot alors qu'il a lui-même reconnu, sans avoir été soumis à la torture, que la température avait augmenté de 0,8°C depuis un siècle... On peut par conséquent en déduire qu'il est d'accord pour dire que « indéniablement » la température a bien augmenté.
Il semble cependant faire une fixation sur le mot « evidence » qui signifie preuve mais qu'on peut aussi traduire par indice ou faisceau d'indices équivalent quasiment à une preuve (c'est comme en criminologie, quand il y a de nombreux indices concordants on finit par les qualifier de preuve pour condamner le coupable) ; ainsi le faisceau d'indices est tel que oui nous pouvons dire que le réchauffement climatique est bien une réalité, et ajouter, car cela a été prouvé formellement, que le CO2 additionnel est bien d'origine humaine, et que oui, c'est bien ce CO2 additionnel d'origine humaine qui est à l'origine du réchauffement climatique constaté, toutes les autres options ayant été considérées et écartées !.... »
(Cf. https://sogeco31.blogspot.com/2018/05/ivar-giaever-ou-la-decheance-dun-prix.html)}
Effet de serre et cycle du carbone : deux clés indispensables pour bien comprendre les variations climatiques...
RépondreSupprimerTrès très très loooooooooooooong, mais très bon :)
Les deux clés essentielles ;)
• https://planet-terre.ens-lyon.fr/article/serre-carbone-climat-FT2015.xml
Et ça aussi :
• https://planet-terre.ens-lyon.fr/planetterre/objets/Images/serre-carbone-climat-FT2015/effet-de-serre-cycle-du-carbone-climat.pdf
Qui sont les « 500 scientifiques » qui affirment qu’il n’y a « pas d’urgence climatique » ?
RépondreSupprimerLe 23 septembre dernier, une lettre signée par plus de 500 personnes, affirmant qu’il n’y a « pas d’urgence climatique », a été envoyée au secrétaire général des Nations unies. Sa publication coïncidait avec l’allocution de la militante suédoise Greta Thunberg à l’ONU.
Une enquête conjointe de médias membres de l’International Fact-Checking Network, a permis de constater que très peu de signataires ont une expertise en climatologie !...
En outre, bon nombre d’entre eux ont des liens étroits avec l’industrie des énergies fossiles !!!
{Ben oui... Rien de neuf sous le soleil :D }
Cette lettre a été brandie comme une preuve que le consensus scientifique sur les changements climatiques est remis en question. Mais...
• Bien que le texte affirme qu’il s’agit de « 500 scientifiques et professionnels du climat et de domaines connexes », cette lettre a depuis souvent été présentée comme étant signée par « 500 scientifiques ».
Pourtant, non seulement peu de signataires sont climatologues, mais un grand nombre ne sont carrément pas des scientifiques !
{Eh oui, est-ce si étonnant ? ;) }
• Qui est à l'origine de cette initiative ?
La lettre compte 506 signataires, dont 14 qui se présentent à titre d'ambassadeurs de cette initiative, et plusieurs sont connus pour leurs prises de position niant les changements climatiques.
L’instigateur de la lettre, le physicien néerlandais Guus Berkhout, a travaillé durant une dizaine d’années pour la pétrolière Shell !
[M. Berkhout est spécialisé dans l’exploration géologique de gisements de combustibles fossiles. Il est aussi le fondateur de l’organisation qui chapeaute cette initiative... Il a même reçu plus de 700.000 $ du milliardaire climatosceptique néerlandais Niek Sandmann (!)] (...)
Deux Canadiens font partie des 14 ambassadeurs de ce projet, dont le Québécois Reynald Du Berger, professeur retraité de l’Université du Québec à Chicoutimi. Cet expert en séismes affirme que la température terrestre n’a pas augmenté depuis 15 ans (!) :/ :/ :/ (...)
L’autre ambassadeur canadien du projet est Jeffrey Foss, professeur de philosophie à l’Université de Victoria en Colombie-Britannique. Il travaille également pour le Frontier Centre for Public Policy, un groupe de réflexion canadien qui a déjà dénoncé les prétendus « dommages causés par [...] le lobby des énergies vertes. » (sic)...
On note également parmi les principaux signataires le Britannique Christopher Monckton.
Non seulement il n’est pas un scientifique !
Mais il a aussi faussement déclaré être lauréat d’un prix Nobel, et il s’est autoproclamé membre de la Chambre des lords, une affirmation qui lui a valu une mise en demeure de l’institution parlementaire !!!...
Les autres ambassadeurs sont le physicien américain Richard Lindzen — dont certains articles scientifiques ont déjà été réfutés par ses pairs en raison d’erreurs et d’inexactitudes —, le géologue australien Viv Forbes, le professeur de philosophie suédois Ingemar Nordin, l’ex-journaliste néo-zélandais Terry Dunleavy, l’ingénieur électricien irlandais et consultant pour le secteur énergétique Jim O’Brien, le géologue italien Alberto Prestininzi, le mathématicien français Benoît Rittaud, le biologiste norvégien Morten Jødal, le chimiste allemand Fritz Vahrenholt, qui a travaillé avec l’industrie des énergies fossiles, et l’ingénieur civil belge Rob Lemeire...
RépondreSupprimerCe genre d’initiative ne surprend pas le géologue Michel Jébrak, professeur émérite au Département des sciences de la Terre et de l’atmosphère de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). « Ça fait des années qu’on voit des groupes de petits scientifiques qui font des lettres de ce type-là », dit-il.
[Selon Climate Feedback, les deux groupes de professionnels les plus représentés parmi les signataires sont les ingénieurs (21 %) et les géologues (19 %).
Lui-même géologue de formation, Michel Jébrak ne remet pas en question le consensus scientifique sur les changements climatiques. Toutefois, il n’est pas surpris de voir autant de ses confrères se ranger du côté des climatosceptiques. « Les géologues ont tendance à avoir un certain recul par rapport à l’évolution de la planète. L’échelle de temps, c’est le million d’années. Ce qui se passe sur une échelle de 10 ans ou de 100 ans, c’est un détail pour certains géologues. »
C’est pour ça que certains géologues se disent : “Ce n’est pas grave pour la planète, elle va continuer à tourner”.
Oui, mais pour les gens qui vivent dessus, c’est un peu différent !...]
=> Très peu de climatologues :
RépondreSupprimerClimate Feedback, un site de vérifications de faits spécialisé en climat, a analysé le document et souligné que, parmi les 506 signataires de la lettre, 10 se décrivent comme des chercheurs en climat, soit moins de 2 % des signataires.
Là-dedans, il y a des gens qui n’ont jamais travaillé sur les changements climatiques. [...] N’ayant pas travaillé sur la réalité physique des changements climatiques, on est dans le domaine du commentaire éditorial.
D’autres se présentent comme chercheurs en climat sans expertise académique dans le domaine, tels que le Canadien Paul MacRae qui a signé la lettre à titre de « chercheur en climat indépendant », mais qui est instructeur d’anglais à l’Université de Victoria. Il a confirmé à Radio-Canada ne pas avoir étudié en sciences.
Sept des signataires indiquent avoir été « réviseur expert » pour le Groupe d’experts intergouvernemental sur le climat (GIEC).
Cependant, cette désignation ne signifie pas qu’ils ont fait partie des auteurs des rapports du Groupe, mais simplement qu’ils ont formulé des commentaires sur les rapports. Pour être réviseur auprès du GIEC, il ne suffit que de fournir une autodéclaration de son expertise.
Les auteurs des rapports du GIEC, quant à eux, sont sélectionnés sur la qualité de leurs publications scientifiques.
Michel Jébrak mentionne que, bien qu’ils ne soient pas tous climatologues, les auteurs du GIEC ont tous une expertise pertinente à la compréhension des causes et des conséquences des changements climatiques.
« À chaque fois, ils prennent la meilleure recherche de pointe dans le monde », explique-t-il. (...)
On retrouve également dans la liste des scientifiques de domaines non reliés au climat, tels que des généticiens et des médecins. D’autres ne travaillent pas du tout dans le domaine scientifique.
On recense notamment 15 économistes, 3 journalistes, 7 relationnistes, 1 historien, 1 architecte et 1 pilote de ligne à la retraite.
=> Des liens avec l’industrie énergétique :
Bon nombre des signataires de cette lettre travaillent dans le secteur des énergies fossiles.
{Comme par hasard :D :D :D }
« Dans cette liste de gens, on voit qu’il y a des gens qui ont des intérêts, note M. Jébrak. [...] Évidemment, c’est très difficile pour ces gens-là d’admettre qu’ils sont en fait complices. »
RépondreSupprimerLe professeur trace un parallèle avec les scientifiques qui émettaient des doutes sur la nocivité du tabac, alors qu’ils étaient financés par des fabricants de cigarettes.
Un des signataires de cette lettre, Viv Forbes, est un géologue australien qui a travaillé 40 ans pour l’industrie du charbon.
Un autre, Michael Seymour, également géologue, a occupé un poste de direction pour la pétrolière britannique Trajan Oil and Gas.
Cinq des signataires indiquent avoir travaillé pour la pétrolière Shell.
L’ingénieur canadien Allan MacRae a, de son côté, une entreprise active dans l’industrie des sables bitumineux.
Les trois signataires polonais sont quant à eux des représentants syndicaux de travailleurs de l’industrie du charbon ! (...)
Plusieurs des signataires sont aussi affiliés à des groupes de pression qui rejettent le consensus scientifique sur les changements climatiques et qui défendent les intérêts des entreprises, comme l’a démontré le média d’enquête britannique DeSmog.
On compte notamment plus de 20 signataires affiliés à des groupes tels que le Heartland Institute, le Cato Institute et le Competitive Enterprise Institute, trois organisations membres du réseau Atlas, dont la mission est défendre le libre-marché.
Le réseau Atlas a notamment reçu des fonds de la pétrolière Exxon Mobil ainsi que de Koch Industries qui possède des filiales dans le domaine pétrolier.
Quatre des signataires canadiens sont affiliés au groupe de réflexion Global Warming Policy Foundation, fondé par le politicien britannique Nigel Lawson, qui nie le rôle de l’activité humaine sur le réchauffement climatique. ...
Outre le philosophe Jeffrey Foss et le géologue-sismologue Reynald Du Berger, quinze autres Canadiens ont signé la lettre, dont :
- Patrick Moore, écologiste de formation. Il dit être cofondateur de Greenpeace, mais l’organisation a indiqué que, bien qu’il ait joué un rôle à Greenpeace, IL N'EST PAS L'UN DES FONDATEURS !
Il a collaboré avec deux groupes climatosceptiques : le Global Warming Policy Foundation et le Heartland Institute.
Outre le philosophe Jeffrey Foss et le géologue-sismologue Reynald Du Berger, quinze autres Canadiens ont signé la lettre, dont :
RépondreSupprimer- Patrick Moore, écologiste de formation. Il dit être cofondateur de Greenpeace, mais l’organisation a indiqué que, bien qu’il ait joué un rôle à Greenpeace, IL N'EST PAS L'UN DES FONDATEURS !
Il a collaboré avec deux groupes climatosceptiques : le Global Warming Policy Foundation et le Heartland Institute.
- Ian Clark, professeur du Département des sciences de la Terre et de l’environnement, à l’Université d’Ottawa. Il se spécialise en hydrogéologie, géochimie et paléoclimatologie. Il est affilié à l’organisation climatosceptique Heartland Institute.
- Madhav Khadekar, météorologue et ancien chercheur à Environnement Canada. Il est l’auteur d’un rapport pour l’organisation climatosceptique Global Warming Policy Foundation.
- Kees (G. Cornelis) Van Kooten, professeur d’économie à l’Université Victoria). Il est aussi affilié à l’Institut Fraser.
- Allan MacRae, ingénieur à la retraite. Il a travaillé dans le domaine des sables bitumineux.
- Paul MacRae, ex-journaliste et enseignant d’anglais à l’Université de Victoria et à l’Université Canada West. Il se définit en tant que chercheur indépendant en climat, mais il a mentionné à Radio-Canada ne pas avoir de formation scientifique.
- Brian R. Pratt, professeur de géologie à l’Université de la Saskatchewan. Il a contribué à un rapport du Global Warming Policy Foundation.
- Peter Salonius, chercheur en microbiologie retraité de Ressources naturelles Canada.
- Ian Semple, géologue à la retraite. Il travaille présentement comme artiste visuel à Vancouver.
- William van Wijngaarden, professeur de physique à l’Université York, avec une spécialisation en optique et en laser.
(À Radio-Canada, il a concédé le fait que l’utilisation de combustibles fossiles a eu une influence sur l’augmentation des gaz à effet de serre, mais il a affirmé que cela a eu une influence minime sur le réchauffement de la planète.)
Il a collaboré avec le Global Warming Policy Foundation. (...)
Cf. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1402070/lettre-500-scientifiques-urgence-climatique?
Encore un petit extrait ;)
RépondreSupprimer=> Des arguments contredits par la science !
Le site de vérifications de faits scientifiques Climate Feedback a fait analyser les arguments de la lettre par une équipe de scientifiques.
Les auteurs de la lettre de Clintel avancent que le réchauffement actuel fait partie d’un cycle naturel qui serait peu influencé par l’activité humaine, qu’il serait plus lent que prévu et que les modèles climatiques seraient défaillants.
Ces affirmations sont toutes contredites par de nombreuses études scientifiques, telles que recensées par Climate Feedback !
Ils prétendent également que le dioxyde de carbone (CO2) ne serait pas un polluant, mais plutôt « la base de toute vie sur Terre ».
S’il est vrai que le CO2 est utilisé par les plantes, il est aussi responsable de l’effet de serre, et des études démontrent qu’un excès de CO2 dans l’atmosphère aura un effet néfaste sur l’agriculture.
La lettre avance de plus que le réchauffement climatique n’aurait pas eu d’effet sur les catastrophes naturelles.
Les travaux du GIEC démontrent au contraire que les changements climatiques causent à la fois plus d’inondations en raison de l’élévation du niveau de la mer et plus de sécheresses. ...
Les auteurs de la lettre concluent en soutenant qu’il n’y a pas d’urgence.
Les récents rapports du GIEC indiquent plutôt qu’il faudra réduire les émissions de gaz à effet de serre de moitié pour limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degrés Celsius, et que de manquer cette cible entraînera des conséquences significatives, notamment sur la désertification et la sécurité alimentaire.
Michel Jébrak souligne que des initiatives comme la lettre de Clintel donnent faussement l’impression qu’il y a un débat autour de la réalité des changements climatiques.
NON !!!!
Il n’y a pas deux opinions.
Il y a un consensus scientifique fort, et il y a des dissidents qui n’ont pas d’arguments solides à apporter.
Bien qu’il existe des climatologues qui rejettent le consensus scientifique, les études publiées ces dernières années précisent qu’entre 90 % et 100 % des chercheurs en climat sont d’avis que l’activité humaine a un impact sur le réchauffement planétaire !...
ACTU :
RépondreSupprimerLes concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère ont de nouveau atteint des niveaux record, selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM). Cette tendance à long terme signifie que les générations futures seront confrontées à une aggravation des conséquences du changement climatique, y compris la hausse des températures, l’augmentation du nombre et de l’intensité des phénomènes météorologiques extrêmes, le stress hydrique, l'élévation du niveau de la mer et la perturbation des écosystèmes marins et terrestres.
Cf. https://public.wmo.int/fr/medias/communiqu%C3%A9s-de-presse/la-tendance-%C3%A0-la-hausse-se-poursuit-les-concentrations-de-gaz-%C3%A0-effet?
Selon le Bulletin de l’OMM sur les gaz à effet de serre, à l’échelle du globe, les concentrations de dioxyde de carbone (CO2) ont atteint 407,8 parties par million (ppm) en 2018, alors qu’elles étaient de 405,5 ppm en 2017.
L’augmentation des concentrations de CO2 de 2017 à 2018 a été très proche de celle observée de 2016 à 2017 et juste au-dessus de la moyenne des 10 dernières années. Pour mémoire, les concentrations mondiales de CO2 ont franchi le seuil, symbolique, de 400 ppm en 2015.
Le CO2 persiste pendant des siècles dans l’atmosphère et encore plus longtemps dans les océans. ...
(Genève, le 25 novembre 2019)
... Dans les années 1970 la société Imperial Oil ne faisait pas mystère de son engagement environnemental et notamment des problèmes liés à la pollution qui n'étaient nullement niés par elle ; elle était allée jusqu'à éditer une brochure dans laquelle ses préoccupations environnementales sont sans équivoque aucune, la responsabilité des activités humaines, notamment celles relatives à l'extraction pétrolière, étant clairement soulignée.
RépondreSupprimerCitons par exemple :
- 1970 Pollution is Everybody’s Business (mentionnant le CO₂ comme un polluant, le sujet de mon précédent billet) ;
- 1973 Review of Environmental Protection Activities, Imperial Oil Ltd ;
- 1975 Oil and the Environment Pamphlet, Imperial Oil Ltd
dans les années 1980 le changement climatique (et plus seulement de simples problèmes environnementaux) fait nettement son apparition dans les rapports d'Imperial Oil, avec une prise de conscience par celle-ci que les médias commencent à s'inquiéter du sujet en évoquant de plus en plus fréquemment la relation CO₂/effet de serre ; l'un des sujets était d'ailleurs relatif aux pluies acides (voir Acid rain causes effects history), dont la plupart des climatosceptiques actuels contestent pourtant toujours la réalité, pour lequel le discours de la société était « étrangement » similaire à celui que l'on entend aujourd'hui concernant le changement climatique : « il y avait trop d'incertitudes » et la responsabilité humaine versus celle de la nature était questionnée (...)
Dans les années 1990, la société se proposait rien de moins que fournir son assistance pour aider à mettre en place des stratégies d'adaptation et d'atténuation (to provide assistance within the company to help design and implement the best mitigation and adaptive strategies) ! La société s'interrogeait même sur son rôle dans l'Arctique au regard des sérieux problèmes que pourraient poser ses activités dans cette région (voir page 51 de Response to a Framework for Discussion on the environment) ; c'est dans ces années-là que l'écart entre la position d'Imperial Oil et celle de ExxonMobil s'est fortement agrandi, cette dernière niant par ses actions intensives de lobbying toute la littérature scientifique afin de faire obstruction aux législations envisagées pour réduire les émissions de gaz à effet de serre...
Ainsi, Imperial Oil contredisait frontalement ce que prétendait ExxonMobil, par exemple dans Discussion Paper on Potential Global Warming (...)
Mais nous avons vu qu'Imperial Oil s'est finalement rangée (le pistolet sur la tempe ?) aux côtés d'ExxonMobil avec notamment la déclaration en 1998 de son PDG Robert Peterson (voir A Cleaner Canada déjà mentionnée dans mon précédent billet), mais il est vrai que la société est devenue...la filiale d'ExxonMobil, il aurait donc été inconvenant que deux discours diamétralement opposés cohabitent au sein du même groupe ! (...)
There is no doubt, il n'y a aucun doute, à la fois sur la réalité de la responsabilité humaine dans le réchauffement de la planète, mais également dans le fait que ceux qui la nient aujourd'hui savaient parfaitement de quoi il retournait à une époque où ils pensaient pouvoir régler le problème facilement avec les merveilleux ingénieurs dont ils disposaient !
Cf. https://sogeco31.blogspot.com/2019/12/il-ny-aucun-doute-quils-disaient.html