jeudi 20 octobre 2011

LE VÉGÉTARISME MENACÉ !!! (VÉGÉTALIENS vs PRÉDATOR)

 

ATTENTION....
VIANDARDS AU POUVOIR !!!

Le gouvernement français,
toujours sous le joug de l’industrie de la viande,
utilise la restauration collective
pour imposer aux élèves
 des produits animaux à tous les repas !


 « Il faut faire quelque chose contre les antiviande », a exhorté Bernard Merhet, président de la Fédération de la boucherie parisienne, lors de la visite inaugurale de Bruno Le Maire...
Le ministre de l’Agriculture, résolu à défendre son modèle alimentaire a donné de sa personne :
« Je suis un grand amateur de viande, je n’hésite pas à le dire. Ces batailles contre la viande ne sont pas acceptables.... » (SIC)


J'aurais pu titrer cet article comme je l'avais fait pour ma précédente publication concernant la mafia de la pollution pétrolière niant que son si cher produit soit le responsable principal du "Réchauffement Climatique" : L'EMPIRE DE "CLIMATO-NÉGATOR" CONTRE-ATTAQUE !...
Mais évidemment cette fois en écrivant L'EMPIRE DE "VÉGÉTO-NÉGATOR".... tant les obscures manoeuvres du gouvernement de Sarko-Vador sont dignes encore d'être illustrées par le si symbolique "Empire de la Mort" de Stars Wars !!!

Comme le l'expliquais déjà en mars dernier dans l'un de mes précédents - et excellent (!!!) dossier sur le sujet :



Amis Végétariens, unissons-nous...
Contre cette nouvelle agression inadmissible des "sanguinaires forces noires de l'Empire" !...




Que vous aimiez la viande ou pas, la loi s’en moque.
Aujourd’hui elle vous oblige à en manger.
Sous couvert d’une mesure de santé publique, la loi française vient en effet, par décret et arrêté publiés au Journal officiel le 2 octobre, d’imposer à toutes les cantines de France de proposer obligatoirement des protéines animales au menu de tous les repas servis dans les établissements scolaires. Rien dans la loi n’a été prévu pour les personnes qui par conviction, ou même par goût, refusent de manger des animaux ou leurs produits dérivés.
Un enfant n’aura pas d’autre choix que de manger de la viande dans son assiette ou… pâtir des carences liés à l’absence de protéines.

Atteinte aux libertés individuelles !!!
Ce décret, qui devrait être bientôt suivi d’une série d’autres visant à faire la loi dans les assiettes des autres établissements pratiquant la restauration collective (hôpitaux, maisons de retraite, etc.), porte atteinte aux libertés individuelles fondamentales telles que définies par les Nations Unies. La liberté « de pensée, de conscience et de religion » ainsi que son exercice « tant en public qu’en privé » est un droit reconnu à chaque être humain.
En France, cette loi empêche de fait tous les végétariens, végétaliens et vegans d’agir selon leur conscience et leur conviction !...

Sous couvert de santé publique, cet arrêté laisse entendre que :
"calcium = produit laitier",
"protéines = protéines animales",
"fer et oligoéléments = viande ou poissons"....

MAIS TOUT CELA N'EST QUE MENSONGES CARACTÉRISÉS !!!

Il répond ainsi beaucoup plus aux volontés des industries agroalimentaires désireuses de placer le produit de leurs élevages intensifs, qu’a de réelles intentions de qualité nutritionnelle !!!

C’est aussi une façon d’imposer un modèle alimentaire dépassé, privilégiant l’élevage animal couteux en terme d’empreinte écologique, au détriment d’une agriculture tout aussi riche en éléments nutritionnels, mais plus respectueuse de l’environnement, et seule capable d’assurer un partage équitable des ressources alimentaires mondiales.




 



Alors que le monde sait aujourd’hui l’impact catastrophique de la consommation carnée sur l’environnement (pollutions, épuisement des sols et des réserves d’eau…) et les conditions ignobles de l’élevage intensif pour les animaux, le gouvernement vient de signer un arrêté (publié le 2 octobre 2011 au JO) prenant en otage les élèves qui devront désormais obligatoirement consommer des produits animaux à tous les repas !

Le ministère de l’Agriculture, qui dépense déjà des fortunes à soutenir les campagnes publicitaires mensongères du CIV et de la filière « lapins », choisit encore une fois de soutenir l’industrie de la « viande » qui condamne des millions d’animaux à souffrir durant leur courte vie passée dans des batteries de cages ou autres systèmes intensifs généralisés en France.

Il est urgent de proposer des alternatives aux jeunes consommateurs, leur donner la possibilité de choisir un régime végétarien ou végétal qui respecte à la fois les animaux, l’environnement et la planète. Il est urgent également de s’informer sur l’impact de la consommation de la viande et autres produits animaux sur nos ressources naturelles : www.viande.info

La Fondation Brigitte Bardot dénonce l’arrêté qui vient d’être publié.
Pour Christophe Marie, porte-parole de la FBB :
« Les élèves doivent entrer en résistance car il n’est pas envisageable de gaver les jeunes générations de produits issus de la souffrance animale. Le ministre de l’Agriculture est téléguidé par les lobbies, après les élèves ce seront bientôt les personnes âgées qui en feront les frais dans les maisons de retraite et les hôpitaux…
Il est urgent, nécessaire, de dénoncer cette prise en otage indigne, contraire au principe de la liberté individuelle qui devrait permettre à chacun de pouvoir choisir une alimentation saine, respectueuse des animaux, de l’environnement et de la santé des consommateurs ».

"Il est injuste, anormal...
D’imposer une consommation de viande
aux élèves qui refusent de cautionner
le martyre des animaux."


Un décret et un arrêté du 30 septembre 2011 réglementent la restauration scolaire.
Sous couvert de santé publique, ces textes :
- constituent une intox nutritionnelle,
- interdisent aux personnes qui refusent de manger de la viande, du poisson et/ou tout produit d'origine animale de bénéficier de repas alternatifs,
- pérennisent un modèle alimentaire basé sur l’hyper consommation de produits d’origine animale.




ALERTE !!!! 
Manger des animaux devient une obligation !

Vous trouverez ci-dessous le texte du tract d'alerte qu'un collectif d'associations et d'individus a rédigé pour le distribuer massivement à partir de fin septembre, notamment au Paris Vegan Day, mais aussi à d'autres occasions comme des foires bios ou autres rencontres. Vous pourrez également télécharger le tract  mis en page, en couleur et en format pdf

Une pétition demandant que des menus végétariens équilibrés et variés soient disponibles chaque jour en restauration collective a déjà recueilli plus de 50 000 signatures.. Pourtant, le gouvernement s'apprête à décréter des mesures totalement abusives qui risquent d’interdire ou d'entraver la présence de l’offre végétarienne en collectivité.
La loi n°2010-874 du 27 juillet 2010 dite « loi de modernisation de l'agriculture et de la pêche » contraint les services de restauration à respecter des « règles nutritionnelles » édictées par décret. Le décret qui sera prochainement promulgué va selon toute probabilité imposer la présence régulière de viande, poisson et produits laitiers dans les menus.

- Produits animaux obligatoires !
Les usagers de la restauration collective se verront contraints de consommer une grande quantité de produits animaux – ou bien réduits à ne pas manger grand chose !
Il sera très difficile aux végétariens d’obtenir une dérogation aux règles communes.
Parmi eux, les végétaliens ont toutes les chances de se voir opposer un refus.

Il sera impossible aux gestionnaires de la restauration collective d’innover en offrant chaque jour un menu végétarien comme menu principal, même si leur initiative est bien accueillie par les usagers. Décret cantines : seront directement concernés six millions d'enfants qui mangent à la cantine, mais aussi les personnes âgées en maisons de retraite, les personnes hospitalisées, celles qui sont incarcérées, les bénéficiaires du portage de repas à domicile...
Ce décret, à paraître cette année, s'inspire des contre-vérités sur le végétarisme propagées depuis plusieurs années par le Plan National Nutrition Santé (PNNS). 

- Une offensive de l'industrie de l'élevage !
Sous couvert de préoccupations diététiques, des choix d'ordre économique et idéologique sont imposés : les filières de l’élevage, qui ont participé à l'élaboration de la recommandation du GEMRCN sur laquelle se fondera le décret, redoutent en effet une baisse de la consommation de produits animaux.

De fait, dès janvier 2010 le Ministre de l’Agriculture Bruno Le Maire avait annoncé la mise en place d'un programme national pour l'alimentation avec pour objectif prioritaire de défendre le secteur agricole, précisant :
« Je suis un grand amateur de viande, je n’hésite pas à le dire.
Ces batailles contre la viande ne sont pas acceptables.... »

Nous y voilà...




Quelques chiffres édifiants que l'on peut trouver par exemple sur le site "PLANETOSCOPE" :
- Il se consomme plus de 9.075 kilos de viande chaque seconde dans le monde, soit 286,2 millions de tonnes pour l'année 2010. Cette consommation a progressé de 2,3% par an au cours de ces dix dernières années...

- L'abattage des animaux pour fournir de la viande représente plus de 1090 animaux par seconde soit 60 milliards d'animaux tués chaque année représentant 280 milliards de kilos (vs. 44 milliards en 1950)...

- 30 000 tonnes de viande cheval sont consommées en France chaque année, ce qui représente 20 000 chevaux abattus par an...

- 2905 kilos de poulets et viande de volailles sont produits et consommés dans le monde chaque seconde, soit 91 600 000 tonnes de viande par an. Cela représenterait 86 milliards de poulets, 1,3 milliards de dindes, 4,2 milliards de canards, etc. ...

- Chaque année, 37 millions de canards et 700.000 oies sont gavées en France. La production de foie gras représente 1,17 kilos par seconde en France, soit 17 000 tonnes et 20 500 tonnes au niveau mondial...

- En 2009, 2923 kilos d'antibiotiques vétérinaires sont vendus chaque jour en France, soit plus de 1067 tonnes d'antibiotiques pour animaux ont été vendues en France, soit 34 g par seconde...

- A apport calorique égale, il faut plus de céréales pour produire de la viande que pour fabriquer du pain : 3 kg de céréales pour 1 kg de porc, 8kg pour 1 kg de bœuf...

- La consommation en viande d’un Français cause la déforestation de 16 m2 en Amazonie. En effet, l’alimentation animale est fortement dépendante du soja, et, 74% du soja, dont une partie est OGM, provient du Brésil...

- L'élevage intensif de bovins occupe 30 % des surfaces émergée de la terre, les animaux laitiers et de boucherie représentent 20 % de toute la biomasse animale. Ce secteur est responsable de 18 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre...

- Chaque seconde ce sont 19 porcs qui sont abattus et consommés en Chine, soit 600 millions de cochons abattus chaque année pour la consommation porcine !... Un Chinois mangeait un peu moins de 14 kg de viande par an en 1980... Déjà 20 kg de viande par an en 1985 contre 50 à 60 kg dès 2005, se rapprochant ainsi des "standards" des pays développés (82 kg) !...

(A noter que, comme l'écrivait déjà "La Lettre de l'AGNVS" en avril 2008 :
« Depuis déjà plusieurs années, la Banque Mondiale, "prête" à la Chine des dizaines de millions de dollars (90 millions en 2003 !) pour : "le développement de centres d’engraissement du bétail et d’abattoirs" ! ...
Imaginez avec cette somme tous les arbres fruitiers, et les bons légumes et céréales BIO que l’on aurait pu planter pour nourrir sainement non seulement toute la population chinoise mais aussi toute la population du tiers-monde !... »)




- Opposons-nous à ce coup de force !
La condamnation du végétalisme par le PNNS et ses propos dissuasifs concernant le végétarisme ne s’appuient sur aucune base scientifique sérieuse...
La réglementation de la restauration collective en préparation va pérenniser le régime actuel d'énorme consommation de produits animaux, avec pour conséquences une souffrance animale extrême, mais aussi une contribution importante au réchauffement climatique, à la pollution de l'eau et de l'air, un gaspillage continu des ressources alimentaires et hydriques mondiales, et des effets alarmants sur la santé publique. Elle empêchera les usagers de la restauration collective de se démarquer concrètement et symboliquement de l’exploitation animale en refusant la consommation de viande, poisson, lait et oeufs.
Si la teneur du décret est conforme à ce qui a été annoncé, il portera ainsi atteinte aux libertés individuelles fondamentales en restreignant le libre exercice des convictions personnelles.

Enfin, en délivrant une telle position officielle,
le gouvernement confirme les préjugés
selon lesquels les alimentations sans produits animaux sont « restrictives »,
compliquées et dangereuses, préjugés que le corps médical,
les professionnels de la restauration, de l'éducation, de l'information,
les assistantes sociales, les juges, etc. risquent fort de relayer.

Pour toutes ces raisons, il importe de nous mobiliser pour refuser toute réglementation de la restauration collective imposant des normes de consommation de produits d’origine animale, alerter l’opinion publique, contester le bien-fondé des positions du PNNS sur le végétarisme, énoncer clairement leurs conséquences.
Des actions sont à mener sur la place publique !
Ensemble, associations, citoyennes, citoyens, nous serons plus forts pour défendre nos droits !
Rejoignez-nous !



Il y a une pétition internationale qui a été mise en place par l'ICDV : http://www.icdv.info/
Il se trouve qu'il ne s'agit pas seulement d'inciter des millions d'écoliers à consommer des produits animaux, mais à ignorer l'alimentation bio, car comme dit, AUCUNE MENTION de la bio dans tout le texte de l'arrêté (ni du décret d'ailleurs).
C'est donc une double-attaque (anti-vg et anti-alimentation bio)...
De la part de qui on sait (!)

 Ce qui est encore plus inadmissible avec cet horrible arrêté c'est que dès début juin 2007, l'Association Végétarienne de France avait donc écrit au Président Sarkozy [...] : " [...] nous espérons que vous aurez à coeur d’accorder à cette question de santé publique toute l’importance qu’elle mérite. Les végétariens de France attendent avec impatience qu’une personnalité politique s’engage pour l’élaboration d’un projet de loi disposant que dans un délai raisonnable, toute structure de restauration collective devra se donner les moyens de proposer une alternative végétarienne équilibrée aux menus habituellement présentés. [...] "

Avant cela l'AVF (qui s'appelait encore Alliance Végétarienne à l'époque) avait déjà lancé une pétition dans ce sens. C'était en 2006 !


Par ailleurs des campagnes pour l'alimentation bio dans les cantines ne datent pas d'hier non plus ! Je connais quelqu'un de Bioconsomacteurs qui m'en parle depuis un bail. Dans une chronique sur Frequenceterre.com on rappelle que le Grenelle de l'environnement avait pour objectif de développer d'ici 2012, plus de 20% des cantines scolaires en cantines bio. Il signale toutefois que l'objectif ne sera pas atteint. Le rédacteur parle d'une conversion de 6% tout au plus (au lieu des 20% escomptés). C'est d'autant plus déplorable que le texte du récent arrêté décrié ne rappelle en rien l'objectif du Grenelle :

Autre article intéressant :

Au menu à la cantine
- Entrée : 128 résidus chimiques
- Plat : 81 substances chimiques
- Légumes : 36 pesticides
- Dessert : 47 substances cancérigènes et 37 perturbateurs endocriniens

Ces chiffres alarmants ne sont pas de la science fiction ni même l’avenir : ils correspondent aujourd’hui au quotidien alimentaire journalier d’un enfant de 10 ans, dans le cadre d’un menu type équilibré non bio selon le Ministère de la Santé !...




Manger les animaux devient une obligation légale !



Les végétariens défendent leur liberté de conviction !
Un décret vient d'être publié rendant obligatoires des règles de composition des repas dans l'ensemble de la restauration scolaire publique comme privée. Ces règles imposent à six millions d'enfants en âge scolaire la consommation de la viande, du poisson, des produits laitiers et des œufs.
Des décrets analogues sont en préparation pour la quasi-totalité de la restauration collective en France, depuis la maternelle jusqu'aux établissements pour personnes âgées, en passant par les restaurants universitaires, les hôpitaux et les prisons.
C'est ainsi que la loi française, sous couvert d'une mesure de santé publique, interdit l'expression concrète d'une conviction.
Les citoyens végétariens se mobilisent pour défendre leur droit au choix alimentaire.

Une bonne nouvelle ? Pas pour les végétariens !
Un décret et un arrêté publiés au Journal officiel du 2 octobre dernier imposent aux cantines scolaires le respect d'un ensemble de normes censées garantir l'équilibre nutritionnel des repas. Chaque repas doit obligatoirement comporter un « plat protidique », dont les protéines sont exclusivement d'origine animale (viande, poisson, œufs ou fromage), en ignorance de l'existence de sources abondantes de protéines végétales, ainsi qu'un produit laitier, supposé représenter le seul moyen de couvrir les besoins en calcium, en ignorance de l'existence d'alternatives végétales et minérales. Une fréquence minimum obligatoire de certaines viandes (bœuf, veau, agneau ou abats de boucherie) et de poisson est spécifiée.

Il sera donc désormais impossible pour les usagers réguliers des cantines d'être végétariens, c'est-à-dire de l'être tous les jours. Quant à être végétalien, ce ne sera pas possible ne serait-ce que le temps d'un seul repas.

L'enfant végétarien qui parviendrait malgré tout à laisser la viande sur le bord de l'assiette serait contraint de consommer des repas carencés ; aucune alternative équilibrée n'étant proposée !...

Une attaque contre la liberté de conviction !!!
De nombreuses personnes dans le monde ont la conviction profonde que la consommation des animaux et des produits de leur exploitation n'est pas légitime. Le végétarisme et le végétalisme sont l'expression concrète incontournable de cette conviction.

Le décret gouvernemental porte atteinte aux libertés individuelles fondamentales en restreignant le libre exercice des convictions personnelles
tel qu'il est proclamé par les Nations Unies :
Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion.
Ce droit implique la liberté d'avoir une religion
ou n'importe quelle conviction de son choix,
ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction,
individuellement ou en commun, tant en public qu'en privé,
par le culte et l'accomplissement des rites, les pratiques et l'enseignement...

Le traitement des animaux fait l'objet d'un débat d'opinion croissant en France, comme en témoigne la parution de plusieurs ouvrages récents mettant en cause, ou au contraire défendant, la légitimité de la consommation de la viande...

La volonté du gouvernement d'imposer dans ce contexte ses propres choix idéologiques et économiques est ouvertement admise :
Le ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, a annoncé la mise en place d'un programme national pour l'alimentation qui vise aussi à freiner l'impact de certains discours, comme celui de l'ex-Beatle Paul McCartney qui a appelé en décembre, en marge du sommet de Copenhague, à une journée hebdomadaire sans viande pour lutter contre le réchauffement climatique.
Cet appel avait suscité une levée de boucliers chez les éleveurs ...







Les végétariens se mobilisent !
Des collectifs et associations végétariens s'organisent partout en France pour exprimer leur indignation face à ce décret, alerter l'opinion publique et contester les affirmations nutritionnelles diffusées par les pouvoirs publics.
Ils appellent toutes les personnes et organisations soucieuses de défendre la liberté de conviction, quelles que soient leurs propres positions concernant l'exploitation animale, à joindre leur voix à ces protestations.
L'Initiative Citoyenne pour les Droits des Végétariens a déjà contacté les Nations Unies en mai dernier pour signaler des épisodes concrets de discrimination à l'encontre de personnes végétariennes en France...

Si le décret n'est pas retiré, l'ICDV annonce une nouvelle plainte contre la France pour violation de la liberté de conviction !... CONTACT : contact@icdv.info




On connaissait déjà "l'homophobie" et la "xénophobie"... (Voire même la "cathophobie" et la "spiritualophobie" chez certains prétendus écolos... qui se croient par surcroît "écorésistants" mais de par leurs outrances misanthopes et profondément haineuses envers ceux qui osent croire en Dieu et avoir de l'Amour pour leur prochain, déservent plus qu'ils ne la servent la cause écologique finalement très chrétienne de RESPECT ABSOLU DU VIVANT (!))....

Mais connaissiez-vous aussi la végéphobie ?
Elle ressort exactement du même état d'esprit lamentable : l'inculture liée à l'arrogance et surtout la bêtise !!!
Voir par exemple :

(Très instructif également pour les profanes :
http://www.planete-attitude.fr/group/promouvoirlevgtarisme/forum/topics/bras-de-fer-pro-et-antiviande)




VIVRE EN HARMONIE... faon et enfant : "TOUS FRÈRES" !!!
A voir en lien avec cette photo : 
"Si les abattoirs avaient des vitres ..."



 La poursuite d'un mensonge nutritionnel institutionnel !
Depuis plusieurs années, à travers notamment des éditions successives du Plan National Nutrition Santé (PNNS) et de son visage public mangerbouger.fr, les pouvoirs publics diffament le végétarisme et le végétalisme.
Il est au contraire reconnu par de nombreuses autorités médicales et sanitaires dans le monde que l'on peut vivre, et bien, sans consommer de la viande et des produits animaux. Par exemple : la position de l'Association Américaine de Diététique est que les alimentations végétariennes (y compris végétaliennes) bien conçues sont bonnes pour la santé, adéquates sur le plan nutritionnel et peuvent être bénéfiques pour la prévention et le traitement de certaines maladies. Les alimentations végétariennes bien conçues sont appropriées à tous les âges de la vie, y compris pendant la grossesse, l'allaitement, la petite enfance, l'enfance et l'adolescence, ainsi que pour les sportifs... (voir lien ci-contre pour la vraie Alimentation saine)

Le débat sur la légitimité de l'exploitation des animaux est de nature philosophique, éthique et politique et doit pouvoir se poursuivre.
Il n'est pas acceptable que l'État français, sous couvert d'une mesure de santé publique fondée sur des contre-vérités nutritionnelles, veuille interdire ce débat par la mise hors-la-loi de l'expression concrète d'une conviction.

 

A l'heure où Sarko-Vador vient d'avoir sa petite princesse Giuléïa (de la reine Carlamidala)...
Qui ne connaît pas encore ce magnifique témoignage raconté par John Robbins ?
Je l'avais publié une première fois sur mon forum "Culture Net 2013" le 27 juillet 2006 :
"Lettre d'un père à sa fille végétarienne"...


Parmi la quantité de lettres que j'ai reçues depuis que j'ai écrit "Se nourrir sans faire souffrir" ("Diet for a New America"), il y en a une que j'aimerais partager avec vous.
Je l'ai reçue au milieu des années 90, d'un homme de San Francisco en Californie.
Elle représente, du moins pour moi, un message d'espoir pour nous tous :

- John Robbins Votre livre "Se nourrir sans faire souffrir" a eu toute une influence sur ma famille.
Il y a deux ans, j'aurais aimé vous tuer à cause d'elle.

Je suis un homme qui a énormément de succès dans la vie.
Je suis habitué à ce que l'on agisse selon mes désirs.
Quand ma fille Julie était adolescente, elle m'a annoncé qu'elle voulait devenir végétarienne.
Elle avait lu votre livre.

J'ai pensé que c'était ridicule et j'ai insisté pour qu'elle arrête ces absurdités.
Lorsqu'elle n'obéissait pas, je me mettais en colère :
« Je suis ton père, lui disais-je, et je sais mieux que toi. »
« Je suis ta fille, me répondait-elle, et c'est ma vie. »

Nous nous sommes querellés souvent à ce sujet.
Nous ne nous entendions pas très bien, il y avait des tensions entre nous, mais elles semblaient toujours survenir à cause de ces débats sur le végétarisme. Ça me rendait fou.
Selon moi, elle était irrespectueuse et obstinée, et elle voulait seulement que l'on agisse selon ses désirs.
Elle disait la même chose à mon sujet.

Au début, ma femme et moi la forcions à manger de la viande, mais elle rouspétait tellement que l'heure des repas était complètement ruinée.
Alors éventuellement, plein de ressentiment, nous avons capitulé et lui avons permis de manger ses repas végétariens.
Mais je lui ai laissé savoir ce que je ressentais à ce sujet :
« C'est correct d'être un idéaliste, lui disais-je, mais tu dois garder les pieds sur terre. »
« C'est correct d'être un avocat, m'a-t-elle dit, mais tu dois garder ton coeur ouvert. »

C'était terriblement exaspérant.
Une année, pour mon anniversaire, elle m'a préparé un petit-déjeuner au lit.
Mais il n'y avait ni bacon, ni saucisse, ni même des oeufs. Cela a fait une autre histoire.
Je lui ai rappelé que c'était mon anniversaire, pas le sien.
Elle a commencé à m'expliquer comment les cochons et les poules étaient traités, citant chapitre et verset de votre livre.
Ceci n'était pas la première chose que je voulais entendre, le jour de mon anniversaire...

Après ses études secondaires, Julie quitta la maison.
En fait, j'en étais content parce que j'en avais par-dessus la tête de cette situation.
Il en était question à chaque repas.
Je voulais qu'elle mange de la viande et elle refusait.
Elle voulait que j'arrête de manger de la viande et je refusais.
Il n'y avait aucun moment de paix.

Mais après son départ, je me suis ennuyé d'elle.
Plusieurs années plus tard, Julie s'est trouvée un mari et peu de temps après le mariage, elle tomba enceinte.
Quand notre petit-enfant est né, j'étais fou de bonheur.
Mais bien sûr, ça ne dura pas.
Comme de fait, Julie voulait que son fils, notre petit-fils, soit végétarien.
Cette fois-ci, je fis acte d'autorité :
« Tu peux ruiner ta vie si tu le veux , lui dis-je, mais tu ne peux ruiner la santé de ce petit garçon innocent. »

Selon moi, ce qu'elle faisait était de l'abus d'enfant.
J'ai même considéré appeler les Services sociaux.
Je croyais qu'ils la forceraient à nourrir convenablement notre petit-fils, ou bien ils enlèveraient celui-ci de sa domination.
Ce n'est seulement parce que ma femme m'en a empêché que je n'ai pas fait cette démarche.

Même si je me rendais compte que je pouvais (à peine) tolérer que Julie soit végétarienne, je ne pouvais simplement pas accepter qu'elle fasse cela à notre petit-fils.
Avec le temps, la situation est devenue tellement horrible qu'elle a totalement refusé de me voir.

Non seulement cette stupide obsession à propos du végétarisme me coûtait-elle ma relation avec ma fille, elle me coûtait aussi ma relation avec mon petit-fils parce qu'elle ne venait maintenant plus nous le porter, ni même me laissait-elle les visiter.
J'étais complètement coupé de sa vie.
Par contre , j'ai pensé que je devrais au moins « garder la porte ouverte », alors, par l'entremise de ma femme (Julie ne voulant même plus me parler), je lui ai demandé ce qu'elle voulait pour son anniversaire.
Elle a dit que ce qu'elle souhaitait le plus était que je lise votre livre, "Se nourrir sans faire souffrir".
Je lui ai dit que cela serait impossible parce que ça demandait beaucoup trop de temps.
Elle me dit alors que si véritablement je le lisais, pour chaque heure que j'y mettrais, elle me laisserait voir mon petit-fils pour le même nombre d'heures. 

Elle est intelligente.
Elle sait où sont mes points faibles.
Alors, Monsieur Robbins, j'ai lu votre livre.
Je l'ai lu au complet, j'ai lu chaque mot.
Ce qui m'a le plus marqué fut votre description du traitement réservé aux animaux à notre époque.
Je n'avais aucune idée que ce fut si grave.
C'est abominable et je suis d'accord avec vous qu'on ne doit pas permettre à ceci de continuer.

Je reconnais la cruauté quand je la vois, et celle-ci est extrême.
Je l'ai appelée quand j'eus terminé ma lecture.
« Je t'ai dit de ne pas m'appeler », m'a-t-elle dit aussitôt qu'elle sut que c'était moi.
« Oui, lui répondis-je, mais j'ai lu le livre, et je veux que tu viennes souper et que tu amènes ton garçon. »

Monsieur Robbins, je suis un homme orgueilleux et ce que j'ai dit ensuite n'a pas été facile pour moi à dire.
Mais je savais ce qu'il me fallait le faire et je l'ai fait :
« Très chère Julie, ai-je dis, s'il te plaît, pardonne-moi.
Il n'y aura pas de dispute si tu viens.
J'ai commis une grave erreur et je le comprends maintenant.
Si tu viens, aucune viande ne sera servie, à personne. »

Il y eu un silence à l'autre bout de la ligne.
J'ai appris plus tard qu'elle pleurait, mais je ne le savais pas à ce moment-là.
Je savais seulement que je devais dire autre chose :
« Et il n'y aura plus jamais de viande servit dans cette maison... »
« Tu blagues ? » demanda-t-elle, n'en croyant pas ses oreilles.
« Je ne blague pas, je suis sincère. » dis-je.
« On viendra » dit-elle.

Et j'étais sincère.
Aucune viande n'a été servit ici depuis.
Nous ne l'achetons simplement pas.
Julie nous enseigne comment manger des végéburgers, du tofu et une variété d'autres choses que j'avais l'habitude de ridiculiser.

Depuis ce temps, ils sont venus partager plusieurs heureux repas, et pleins d'autres occasions heureuses aussi.
Monsieur Robbins, pouvez-vous comprendre ce que cela représente pour moi ?
J'ai retrouvé ma fille, et aussi mon petit-fils.

Ma fille est une personne merveilleuse.
Et notre petit-fils n'a pas encore eu un seul rhume ou otite ou toute autre maladie que les enfants ont l'habitude d'avoir.
Elle dit que c'est parce qu'il se nourrit si bien. Je dis que c'est parce qu'il a la meilleure mère du monde.

Ce qu'on fait à ces animaux est immoral, terriblement et horriblement immoral.
Vous avez raison. Les animaux ne devraient jamais être traités de cette façon. Jamais. Jamais. Jamais. Jamais. Jamais.

Maintenant, quand Julie dit que les animaux sont ses amis et qu'elle ne mange pas ses amis, je n'argumente pas, comme j'avais l'habitude de le faire.
Je ne fais que sourire, heureux de ne plus être en conflit avec une personne aussi spéciale.

Et je suis fier de pouvoir regarder mon petit-fils dans les yeux et de savoir que j'aide à faire de ce monde, un monde meilleur pour lui...






 











NEWS !!!


Qu’est-ce que ce délire ?!?
La loi n°2010-874 du 27 juillet 2010 dite « loi de modernisation de l’agriculture et de la pêche » contraint les services de restauration à respecter des « règles nutritionnelles » édictées par décret. Le décret et l’arrêté publiés le 2 octobre 2011 réglementent la restauration scolaire.
Des décrets et arrêtés analogues sont en préparation pour la quasi-totalité de la restauration collective en France, depuis la maternelle jusqu’aux établissements pour personnes âgées, en passant par les restaurants universitaires, les hôpitaux et les prisons.

Une intox nutritionnelle !!!
Alors que la presse reprend ingénument le communiqué du gouvernement et se réjouit de voir moins de frites à la cantine dans les assiettes des enfants, il apparaît très clairement que cet arrêté est une intox !
Il laisse entendre que le calcium, le fer, les oligoéléments tout comme les protéines se trouvent exclusivement dans les produits animaux. En omettant toute alternative végétale cet arrêté impose des produits animaux et des sous produits animaux à tous les repas et dans la quasi totalité des plats (entrée, plat principal, dessert).

En édictant de telles règles alimentaires comme seul modèle alimentaire possible, le gouvernement confirme les préjugés bien français selon lesquels les alimentations sans produits animaux sont « restrictives », compliquées et dangereuses, préjugés que le corps médical, les professionnels de la restauration, de l’éducation, de l’information, les assistantes sociales, les juges, etc. relayeront.
Alors que des millions de personnes sont végétariennes de par le monde, on continue de nier notre existence !

L’influence de l’agro-business !!!
Les lobbies de l’élevage et de l’agro-business (Centre d’Information des viandes, Syndicat des industries de la viande, Nestlé, etc.) font partie du GEMRCN [1], à l’origine des recommandations en matière de restauration collective....
Si nous ne faisons rien, nous laissons se refermer la porte sur l’éthique végétarienne, végétalienne ou végane en France. Passons en mode action !!!


- "Végétariens, le combat ne fait que commencer !"
(Extrait : "Les végétariens ne décolèrent pas suite à un décret du ministère de l’agriculture sur les repas dans les cantines scolaires. Une preuve de plus de la difficulté des végétariens de se faire entendre dans notre pays !")


- "Contrairement aux mensonges de certains élus (relayés par la fachosphère), les enfants de confession musulmane et/ou juive ne rêvent pas d’un menu halal ou casher, mais simplement d’un menu sans viande !...."

- Article du Monde :
Plusieurs associations, dont celle de protection des animaux L214 et l'Initiative citoyenne pour les droits des végétariens, ont organisé, mercredi 26 octobre, un rassemblement devant la Direction générale de l'alimentation (DGAL) du ministère de l'agriculture pour protester contre le décret et l'arrêté du gouvernement sur les règles nutritionnelles dans le cadre de la restauration scolaire, publiés au Journal officiel du 2 septembre....

Les textes à l'origine de cette mobilisation rendent obligatoire la présence de produits d'origine animale dans chaque repas proposé, qui doit ainsi comporter un "plat protidique", dont les protéines sont d'origine animale (viande, poisson, œuf ou fromage), ainsi qu'un produit laitier pour couvrir les besoins en calcium. Ils précisent également à quelle fréquence minimum certaines viandes et poisson doivent figurer au menu.
Déjà en vigueur dans les structures servant plus de 80 couverts par jour, cette réglementation devrait entrer en application dans les établissements plus petits à compter du 1er septembre 2012 !...
Les associations mobilisées contre le projet sont cependant en train de préparer un recours en annulation devant le Conseil d'Etat.

Certains élus n'ont pas hésité pas à monter au créneau contre cette nouvelle réglementation, à l'instar des écologistes Sylvain de Smet, conseiller régional du Val-d'Oise et Annie Pournisoff, députée des Yvelines, présents mercredi. S'il n'a pu assister au rassemblement, le maire (EELV) du 2e arrondissement de Paris, Jacques Boutault, a réaffirmé au Monde.fr son soutien à la demande d'abrogation des textes, qui ne correspondent selon lui à "aucune nécessité sanitaire et de santé"... Pourtant, "de plus en plus de parents souhaitent que leur enfants mangent moins de viande", explique l'édile. Et d'évoquer les différentes motivations mises en avant par ses administrés : le gaspillage des ressources en eau et la forte émission de CO2 liées à l'élevage. "Cela concourt d'une prise de conscience globale", estime-t-il.

Mais les associations écologistes, végétariennes et des protections des animaux n'étaient pas les seules à protester ce mercredi. Car dans l'argument de la "liberté de conscience" mise en avant par celles-ci, il est aussi question des restrictions alimentaires d'ordre religieuses.
Le Collectif contre l'islamophobie en France, qui a ainsi relayé l'appel à manifester, était représenté lors de ce rassemblement.

Ces dernières semaines, les médias, comme SaphirNews (un site d'informations sur le fait musulman) ou Le Parisien, se sont fait l'écho de plaintes de parents dont les enfants ont été contraints à manger de la viande ou se passer de plat de résistance, faute de repas de substitution. Une problématique confessionnelle à laquelle sont fréquemment confrontés les élus, explique Jacques Boutault. Et de prendre l'exemple d'un lycée professionnel de son arrondissement où une majorité d'élèves mangent halal ou casher :
"Il est impossible pour les restaurants collectifs de remplir toutes ces contraintes alimentaires. Or, les repas végétariens sont adaptés à cette population, souligne-t-il. De fait, proposer des plats sur la base de ce régime offre une solution laïque et œcuménique au problème. Cela éviterait que les jours où l'établissement ne sert pas de poisson, ces élèves soient obligés de grignoter parce qu'ils n'ont pas pu manger suffisamment le midi."

A la suite du rassemblement de mercredi, Brigitte Gothière et une délégation des représentants des autres associations présentes ont été reçues par le directeur général adjoint de la DGAL, Jean-Luc Angot. "Le ministère nous a expliqué qu'il s'agit avant tout d'une question d'interprétation de ces textes, explique la responsable de L214. On nous a assuré de la rédaction prochaine d'une note de service pour faire remonter nos griefs."...
Il devrait notamment être question des modalités de contrôle de l'application de ces textes.
"Nous espérons du concret, précise Mme Gothière. La DGAL a pris nos coordonnées."...

- La députée Anny Poursinoff a saisi le Ministre de l’agriculture pour demander l’abrogation du décret qui impose de façon excessive la présence de produits d’origine animale dans les repas de la restauration collective. Ce décret empêche les cantines qui le souhaitent de proposer des menus végétariens équilibrés et interdit d’élaborer des menus comportant une moindre proportion ou fréquence de produits d’origine animale !

Pour les associations et les édiles qui demandent l'abrogation de ce décret et de cet arrêté, le ministère "impose un modèle alimentaire"."Il n'est pas normal que le gouvernement interdise aux mairies de proposer des menus végétariens, comme le font Strasbourg et Marseille", estime Brigitte Gothière. M. Boutault dénonce quant à lui, sur son blog (http://www.jacques-boutault.fr/article/1401), un système "privilégiant l'élevage animal coûteux en terme d'empreinte écologique, au détriment d'une agriculture tout aussi riche en éléments nutritionnels, mais plus respectueuse de l'environnement". Si le décret en l'état ne prohibe pas de servir un repas végétarien hebdomadaire, il ne permet pas aux structures de restauration collective d'en servir plusieurs sur la semaine, explique l'élu. "Nous avions pour objectif de proposer sur la semaine [dans les cantines du 2e arrondissement de Paris] plusieurs alternatives végétariennes aux repas carnés, dont les apports nutritionnels seraient contrôlés par une diététicienne. Un projet rendu impossible par ces nouveaux textes." ...

(Extrait : "La campagne pour la prochaine élection présidentielle a démarré. Aussi, bien que le magazine soit libre de toute influence politique, nous observons de près les propositions qui seraient favorables aux idées que nous défendons. L'Alliance Écologiste Indépendante est manifestement le seul parti proche des valeurs prônées par VegMag, avec, entre autres : la reconnaissance du régime végétarien en tant qu'alimentation écologique, éthique, avec notamment la présence d'une option végétarienne dans tout menu de restauration collective, la formation des professionnels de la santé à l'alimentation végétarienne et végétalienne....")



A VOIR :












Et sans oublier l'un de nos plus célèbres végétariens contemporains
parti tout récemment presque centenaire :




 










 

2 commentaires:

  1. Bonjour sentinelle végane.

    j'ai récolté plusieurs URL de ton blog.

    Je réfléchi et je recherche de l'information pour la viabilité d'une alimentation végane, végétalienne, végétarienne.
    S'il y a de l'information scientifique sur des sites Internet il faudra les publier.
    apport de protéines végétales complètes (8AAE)avec le Soja, le Quinoa, le Chènevis.
    supplémentation en calcium, vitamine B12 (issu de l'algue Nori)
    Argumenter qu'une alimentation omnivore c'est du mauvais cholestérol et ses conséquences alors qu'une alimentation végétalienne qui n'en contient pas !
    Démonter que le monde végétal contiens tout ce qui est nécessaire au métabolisme humain.
    Informer de façon indéniable que le végétalisme est viable en tant que civilisation sans élevage.
    Je suis sur Facebook
    https://www.facebook.com/Luc.Vegan.Chausse
    amitié végane
    chaussé Luc 1957

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  2. A PROPOS (Pour ceux qui se demanderaient encore quelle est la position de "L'ALLIANCE ÉCOLOGISTE INDÉPENDANTE"... voici deux articles qui l'expriment je crois de manière claire, nette, et sans la moindre ambiguïté) :

    http://www.alliance-ecologiste-independante.com/actualites/positionnement/tribunes/156-good-planet-non-a-la-viande-obligatoire-dans-les-cantines


    http://www.alliance-ecologiste-independante.com/des-ouvrages-a-lire/285-bouffeur-de-salade

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