samedi 24 novembre 2012

VEGAN... LE CHOIX DE LA VIE !


Tout le monde sait qu’Albert Einstein était un génie doublé d’un visionnaire.
Peu connaissent, en revanche, le positionnement du Prix Nobel en faveur d’un monde végétarien.
Celui-ci a en effet déclaré : « Je pense que les transformations et les effets purificateurs d’un régime végétarien sur l’homme sont très bénéfiques à l’espèce humaine. Par conséquent, en choisissant le végétarisme, on sera à la fois heureux et paisible. ... »

Pourquoi un tel parti pris ?
Sans doute parce que, comme l’explique le site "vegplanete.com" :
- La consommation de viande constitue l’une des principales menaces à la survie de la planète !!!

L’élevage intensif demande en effet de cultiver de plus en plus de végétaux pour nourrir le bétail ainsi que de plus en plus d’eau pour les faire pousser (en plus d’hydrater les animaux).
A titre d’illustration, l’élevage représente 70% de la consommation d’eau en France.
Par ailleurs, 20% des émissions nationales de gaz à effet de serre sont le fait des élevages et de la dégradation des engrais minéraux.

Face à ce constat alarmiste, de nombreuses voix s’élèvent pour dire que stopper la consommation de produits d’origine animale permettrait notamment de résoudre une partie du problème du réchauffement climatique ou encore de mettre fin à la pollution des nappes phréatiques.

Mais si la consommation de viande constitue à ce jour un fléau pour la planète, elle est également néfaste pour la santé.
Outre les scandales alimentaires à l’origine de la maladie de Creuzfeld-Jacob dont l’impact est aujourd’hui encore loin d’être mesuré, le site "One Voice" avance l’hypothèse qu’il y a « certainement d’autres risques infectieux encore inconnus, dont des équipes spécialisées de l’INRA surveillent l’apparition... »

Et quand on sait que le bétail d’élevage est en plus boosté aux hormones et antibiotiques, il ne faut pas s’étonner de voir se développer lesdits risques infectieux auxquels s’ajoutent des intoxications alimentaires.

De nombreuses études scientifiques démontrent par ailleurs régulièrement le lien entre maladies cardiovasculaires (première cause de décès en Europe et aux Etats-Unis), cancers, attaques cérébrales ou diabète et la consommation de viande.
Un constat pas vraiment étonnant avec une consommation qui a augmenté de 60% en 50 ans en Europe !!!

Le mot de la fin revient cependant aux conclusions d’une étude britannique de 1986 qui affirmait déjà que « sur une vie entière, les végétariens coûtaient aux services de santé environ cinq fois moins, en termes de coûts de traitements, que les consommateurs de viande !.... »


(Dans les commentaires de cet article, on peut y lire bien des bêtises ...
J'avais tenté d'y apporter mon propre grain de sel... mais il n'est bizarrement pas passé (!) :
- « Excellent article, certes, mais chers "viandosaures", il serait enfin temps que vous compreniez que l'être humain n'a AUCUN BESOIN DE VIANDE pour se nourrir, et que l'alimentation "Bio-Végétalienne" est la plus parfaite, tant pour notre santé, que celle de notre planète et de tous ses enfants !!!!

Etre "VEGAN" - puisque c'est désormais le nouveau nom à la mode pour désigner ces consommateurs éveillés et responsables pour lesquels avait tant et tant oeuvré le fondateur de "La Vie Claire" Henri-Charles Geffroy - :
C'est s’éveiller à sa propre conscience, et abattre d’abord en soi-même les frontières érigées à l’aune de critères égoïstes et illusoires.
Logiquement vient ensuite le combat pour le respect de la nature, de la planète, et en définitive de l’Homme lui-même !...

Le Véganisme est une clameur qui s’élève de toutes les nations :
Juste du bon sens, l’amour de la justice, du prochain et le respect du Vivant, quelqu’il soit. ... »


Comme Catherine Hélayel l'écrit dans son livre "Vegan, le choix de la vie" (en librairie dès janvier 2013), je suis née sur la planète VEGAN :
Une planète située en dehors du système solaire, et qui n’est pas encore, heureusement, répertoriée par ceux qu’on appelle les « humains ».
Sur VEGAN, tous les êtres vivants naissent égaux en droits, et aucune discrimination n’a été créée entre les différentes espèces, races, sexes, classes sociales, etc.
Ce dernier terme ne doit même pas exister si mes souvenirs sont bons. Chez nous, on différencie ceux qui marchent ou rampent, volent ou nagent, donc ceux qui peuvent se déplacer, ce qui représente pour vous les animaux et dont les hommes font partie, et ceux qui n’avancent pas, mais qui poussent ou grandissent en hauteur ou sous la terre.
Pour vous il s’agit de l’espèce « végétale ».

D’ailleurs, à la différence des animaux, beaucoup de végétaux ont besoin d’être taillés. Ils repoussent même mieux après.
Ainsi, en coupant une plante en partie, on ne lui supprime aucunement la vie, mais au contraire, on la lui prolonge souvent, on la rend plus belle, plus forte.

Nous avons besoin de manger pour vivre, tout comme les terriens, car nous sommes exactement constitués pareils, tout du moins physiquement, car de toute évidence notre fonctionnement est très différent.
Nous mangeons uniquement les végétaux.
Si nous ne mangions pas les fruits, ils tomberaient et pourriraient.

Nous cultivons des terres où nous faisons pousser toutes sortes de légumes, légumineuses et céréales, sans aucun engrais chimique ni aucun pesticide. 
En revanche nous n’utilisons pas, ou rarement, les plantes qui poussent naturellement sans notre intervention, hormis celles à fruits, les champignons, et à la condition de ne jamais tout prendre.
Lorsque nous cultivons la terre, nous ne cueillons ou ne ramassons jamais la totalité de ce que nous avons semé ou planté, afin que les végétaux puissent ainsi avoir une vie indépendante, et pousser comme bon leur semble.
C’est notre manière de les remercier.

Nous ne mangeons aucun « animal », pour reprendre votre vocabulaire.
Nous n’acceptons pas plus le lait de leurs mères, ou leurs œufs.
Nos propres mères nous allaitent, nous n’avons pas besoin du lait des petits des autres espèces.
Comme nous ne faisons pas d’élevage, les animaux à poil, à plumes ou à écailles s’autorégulent d’eux-mêmes, et cohabitent paisiblement avec nous.

Nous cultivons l’harmonie, la liberté, l’indépendance, et la responsabilité.
Nous savons nous distraire sans faire souffrir.
Sur notre planète, la cruauté est absente, elle n’est ni dans notre culture, ni dans notre éducation.
Nous n’avons pas de « cirque avec animaux », de « corrida », de chasseurs ni de chassés, ni même de sport utilisant l’asservissement ou la douleur d’un être pour notre seul plaisir....

Nous avons l’électricité, mais nous n’avons pas de centrales nucléaires, ni de pétrole.
Enfin si, nous devons en avoir sous notre terre, mais nous utilisons uniquement les ressources naturelles non transformées, et notamment l’énergie solaire, ainsi qu’une autre provenant du vent, et dont les installations pour l’apprivoiser ressemblent un peu à vos éoliennes.

Nous n’avons pas peur de la maladie, de la vieillesse et de la mort.
Pourtant nous avons un cycle de vie similaire au vôtre et quelques pathologies identiques.
En fait notre alimentation est saine, notre vie paisible, et notre esprit serein et en paix.
Le stress, responsable sur votre planète de si nombreux maux, est souvent associé à une alimentation composée de graisses animales provenant d’organismes torturés, et dont la vie n’a été que souffrances.

Il est étrange que vous occultiez sciemment l’agonie que vous avalez, que vous ne compreniez pas que stress et alimentation cruelle, créent en vous de véritables bombes à retardement.

Pour nous soigner, nous utilisons des remèdes élaborés et complexes provenant de plantes en tout genre. Ils sont issus de sagesses séculaires, et nos scientifiques s’en inspirent chaque jour.
Nous avons des personnes qui sont appelées les « aidants » (qui ressemblent un peu à vos « naturopathes »). Ils nous apprennent à connaître le fonctionnement de notre organisme, à l’écouter, et à en respecter l’équilibre.
Ils ont un serment fondamental identique à celui de vos médecins, et ils le respectent.
Il s’agit de « Primum non nocere », d’abord ne pas nuire.
Autant vous dire que nous ne testons pas nos remèdes en torturant des animaux et en créant des Organismes « Génétiquement Modifiés ».
Il ne viendrait à l’esprit d’aucun de nos chercheurs de martyriser des petits pour soigner les plus forts, et chaque remède est bien sûr spécifique à l’espèce à laquelle il est destiné.

Notre science ne s’érige pas sur une utilité ou un besoin profitable à notre espèce, mais sur une utilité profitable à l’ensemble d’un système dont l’équation est complexe, et dont une unité ne peut se substituer à la multitude :
- La vie de chacun ne prend pleinement son sens qu’en tenant compte de la globalité des êtres animés et inanimés qui l’entourent.

Ainsi s’érige notre civilisation.
En 1961, pour une raison que j’ignore toujours, je me suis retrouvée sur Terre et je ne suis jamais retournée sur ma planète d’origine....
J’ai bien essayé lorsque j’étais petite, d’expliquer à mes parents et à tous les autres terriens que je rencontrais, que ce monde m’était étranger, et que je devais venir d’ailleurs, mais comme personne ne me croyait, ne m’entendait, j’ai fini par ne plus en parler et je me suis mise à vivre presque comme les autres. J’ai mangé comme les autres, vécu tant bien que mal comme eux.
Vers l’âge de quarante ans, je suis devenue végétarienne, puis graduellement, je suis retournée à mes sources véritables, le « veganisme ». 

(En France, nous serions moins de 0,5 % de la population.
En revanche, plus de 2 % viendrait de la planète « VÉGÉTARIENNE », qui est située à peu près à égale distance entre la TERRE et VEGAN...

A noter que le mot « vegan » est d’origine anglaise, et n’a pas vraiment de traduction en français. Vous ne le trouverez pas encore dans notre dictionnaire... Certains le traduisent par « végétalien », mais cela est incomplet : le Véganisme n’est pas un simple comportement alimentaire, mais un véritable mode de vie utilisant une conscience élargie, basée sur la responsabilité et l’empathie !...

Et si le végan, sur le plan alimentaire est bien un végétalien, il va beaucoup plus loin :
Il change complètement, et souvent progressivement, sa manière de vivre, de consommer, et d’appréhender la réalité de la souffrance et de l’exploitation animale, entre autres....
(La définition que Catherine donne là de "l'esprit VEGAN", rejoint exactement celle que le fondateur de LA VIE CLAIRE dès les années 40 en France, Henri-Charles Geffroy, donnait de ce qu'il appelait "LE VIVRE CLAIR"...
(Manger clair, Penser clair, Agir Clair, Vivre Clair... c'est ça la vraie "Vie Claire" (!)))


J’ai donc vécu comme une petite fille presque normale, suivi des études de droit puis ouvert un cabinet d’avocat pour gagner ma vie.
Mais au fond de moi, je savais que j’étais différente, et que jamais je ne pourrais accepter le sort que les humains réservaient à mes frères et sœurs les animaux.
J’ai toujours su que je ne serai jamais comme la majorité d’entre eux : sans compassion pour les espèces qui ne leur ressemblent pas, et qui ne parlent pas.
La parole est si importante pour eux, et pourtant la plupart du temps ils racontent n’importe quoi.

Ayant très peu de souvenirs de VEGAN où je suis née...
C’est donc de ce que j’ai vu sur cette planète appelée TERRE dont je vais maintenant parler !



Amoureuse de la liberté et respectueuse d’autrui, je pourrai me dire à propos du fait de manger du cadavre ou non, que chacun fait comme il le veut.

Mais en m’interrogeant plus loin, en cherchant à dépasser cette limite, et motivée par l’amour que j’ai pour les animaux comme pour les humains, je peux comprendre qu’une liberté basée sur le meurtre et la torture n’est pas une liberté, et n’a aucun droit d’être invoquée pour se justifier.

La liberté basée sur un conditionnement erroné n’en est pas une non plus.
C’est pour cela qu’en toute conscience je me permets de militer pour le « Véganisme », et de manière non violente.
On pourrait également m’opposer que chacun est responsable de ses actes, et des conséquences qui en découlent. Je suis pleinement d’accord sur le principe.
Là où je ne suis pas d’accord, c’est sur ce que sous entend ce que je résumerai par « chacun son karma », ou plus précisément « chacun sa merde ».
En effet, si je vois quelqu’un se faire agresser, et m’appeler à l’aide, cela n’arrive pas qu’à lui, cela m’arrive aussi ! Dès lors que je suis témoin, je fais partie intégrante de l’évènement.

Ma lâcheté, mon indifférence, mon altruisme, ou mon courage devant cet évènement font partie de ma vie, et non de celle ou celui qui se fait agresser. Cela engendre ma responsabilité. 
Ce qui se passe pour les animaux est identique.
Nul ne peut l’ignorer. C’est de la responsabilité de chacun !...



Le Roi Lear, tard dans la nuit, sur la falaise, demanda au comte de Gloucester, aveugle :
« Comment voyez-vous le monde ? »
Et l’aveugle lui répondit
« Je le vois par ce que je ressens »...

Ne devrions-nous pas tous le voir ainsi ?

"La viande est une industrie
qui tue les animaux,
qui nous tue,
et qui est en train de tuer nos économies."
(Philip Wollen) (*)


Nous pouvons faire de notre vie un véritable enfer...
Ou au contraire une vie paisible,
remplie d'amour et de compassion !!!

Quelle image auront les générations futures de notre temps sanguinaire et primitif ?
De notre temps où le fait d’acheter dans la propreté d’un magasin et d’un emballage lave hypocritement les pires ignominies commises dans l’ombre ? ....

Nous avons le pouvoir de changer les choses en acceptant de commencer par changer nos petites habitudes, qu'elles soient alimentaires, vestimentaires, puis progressivement c'est toute notre vie qui prendra un sens nouveau, car nous aurons arrêté de nous plaindre en nous regardant le nombril. La Terre est notre "propriété commune", prenons en soin ainsi que tous les êtres vivant qui l'occupent.



Végan... le choix d'une vie !!!!
(Le choix d'une authentique et véritable "VIE CLAIRE"...
Telle que l'avait enseigné Henri-Charles Geffroy depuis déjà près de 70 ans (!))

Ce livre est avant tout basé sur l'existant, sur cette simple vérité cachée par une cellophane civilisée, par une publicité bucolique, ou par un discours matraqué :
Le massacre sans vergogne d'êtres sensibles par d'autres, à une monstrueuse échelle industrielle et planétaire. Voilà ce que je dénonce, parmi d'autres voix de plus en plus nombreuses, mais toujours pas assez.

C’est aussi un témoignage.
Mais soyons clair, je me refuse de juger les gens sur leur manière de se nourrir ou de se vêtir, je souhaite juste, tant bien que mal, attester d’un chemin sans violence, parmi un monde meurtri d’intolérance et d’aveuglement à l’autre.

Il explique comment et pourquoi je suis devenue Végan.
Il répond, dans les différents chapitres, à la foule de questions que l'on se pose généralement à ce sujet. Il décrit aussi la souffrance animale, et recueille de nombreux textes, afin d’illustrer et de corroborer mes propos.
L’avant-dernière partie sera consacrée à des témoignages d'autres végan qui, par un parcours différent, en sont arrivés aux mêmes conclusions, au même regard sur ce monde.
Le Docteur Jérôme BERNARD PELLET, médecin généraliste et végétalien a notamment accepté de nous livrer, pour ce livre, son témoignage et son expérience de médecin. 

Dans la dernière partie, vous trouverez des liens rassemblés par thème, afin de vous permettre si le cœur vous en dit, d’aller plus loin sur le chemin du « Véganisme ». 

Je dédie ce livre à tous les êtres vivants. 

Puissent les consciences et la compassion s’éveiller à chaque instant.



Commentaires de ses premiers lecteurs :

- Un hymne à l'amour, à la compassion, à la Vie !...

Ce livre est un vibrant et efficace plaidoyer pour la vie, l’amour, le respect de toutes les vies.
Sans tomber dans la culpabilisation des individus, il dénonce sans complaisance la machine à désinformer qu’est cette société productiviste, de consommation à outrance, de profit sur la vie, l’enfermement des idées, du libre penser, et du libre aimer par des années et des années de religion, de tradition.

Il démonte par l’information claire, sans trop de chiffres, soutenue par des témoignages et des réflexions personnelles, point par point, souffrance par souffrance les arguments des lobbies, des égoïsmes, les idées reçues ou implantées de force dans les esprits par la publicité mensonge, manipulation. 

Aux végans, végétaliens, il permet de se reconnaître, de partager des émotions, des ressentis, et une bonne synthèse qui peut être reprise utilement dans les actions, démarches militantes d’information.
Aux végétariens, il ouvre le chemin vers le végétalisme, car comment s’arrêter en chemin ?

Pour les autres , si certains s’en détourneront car pas prêts à se sentir menacés dans un système qu’ils ne veulent pas remettre en cause, trop égoïstes, trop fermés, d’autres esprits plus ouverts sensibles à la souffrance animale par ailleurs ne manqueront pas d’être interpellés je pense par ce qui est développé et mis sous leurs yeux, leur cœur avec tant de talent, tant de persuasion, avec les explications nécessaires pour les rassurer sur leur santé notamment, et la capacité de prendre du plaisir à manger et vivre en étant respectueux.

Les témoignages sont là pour montrer que tout est accessible, qu’il n’est pas de barrières qui ne puissent être franchies dans l’intérêt de tous les êtres vivants et de cette planète.

Un ouvrage riche et instructif, qui invite à reconsidérer notre relation avec le règne animal, mais aussi l'environnement.
Une invitation à consommer en conscience, avec éthique.

C'est un témoignage magnifique... surtout si l'on n'est pas vegan car tout y est d'une limpidité incroyable. Les mythes s'effondrent, les légendes urbaines et les on-dit sont pulvérisés, la vérité saute à la figure. Ça peut-être violent, mais quelle remise en question ne l'est pas...?

Les mots sont emprunts de douceur mais s'appuient aussi sur des faits et des chiffres qui sont indéniables et indiscutables. Il est bien construit et permet une approche facile de ce mode de vie sain et bourré d'amour et de compassion.

Ce livre est un petit chef-d'oeuvre dans le genre !!! .............

(En attendant de lire le livre vous pouvez toujours écouter l'interview sur Vivre FM ( en podcast)





(Un titre qui me fait inévitablement penser à cette citation de Théodore Monod : 
"On voudrait ne plus voir ressassée indéfiniment, ad nauseam, l'objection banale :
avant de secourir les animaux, il faudrait songer aux hommes (...).
On voudrait être bien certain, que les infatigables ressasseurs de ce misérable et si commode argument, s'ils refusent la pitié pour les bêtes au nom d'une autre priorité, se trouvent bien eux-mêmes aux avant-postes dans le combat pour l'Homme : ce n'est pas tout à fait évident.
Pour beaucoup d'entre eux, ce n'est pas, on peut le craindre, l'un ou l'autre, mais bien :
ni l'un, ni l'autre." )


Il est très difficile de nos jours, de se présenter comme une « combattante » pour les animaux, pour tous les animaux.
On passe alors pour une « illuminée », voire une « pauvre fille », qui n’a rien de plus important à faire que de se battre pour ceux que l’on considère communément comme des objets, des outils, de la nourriture, des jouets, de la décoration, du matériel médical, du matériel à spectacles...
Pourtant défendre les animaux, c’est défendre la vie. Avoir de la compassion pour eux, ce n’est pas ne pas en avoir pour les humains, bien au contraire.
C’est les inclure dans un apprentissage du respect, de l’écoute, de la non-discrimination arbitrairement faussée par des préjugés éthiquement insoutenables.
Cela serait une erreur de prendre ce combat pour celui de personnes désœuvrées et déconnectées de la « nécessaire » réalité, « nécessité » que la société de consommation, rouleau compresseur, titan sans tête, souhaite nous imposer.

Cette bataille, je la mène depuis que je suis toute petite.
Déjà dans la cour de récréation, je sauvais les insectes.
J’essayais d’empêcher mes camarades de classe d’écraser l’araignée qui avait eu le malheur de passer sous leurs regards de petits humains déjà sanguinaires, déjà tueurs, déjà aveugles, déjà conditionnés à chercher la supériorité. Je n’ai jamais accepté que mes semblables prennent un malin plaisir à écraser avec la semelle de leur chaussure en cuir, donc déjà issue de domination, de prédation et de mort, des minuscules êtres vivants qui ne leur avaient rien fait, et dont le seul tort était, à leurs yeux, de n’être « que des insectes ».

Mais on nous apprend enfant qu’il y a des espèces importantes, et d’autres que l’on peut écraser, enfermer, exploiter, tuer, manger, utiliser, disséquer, éviscérer, exhiber... (...).

Oui, le processus de discrimination abusive s’enseigne par le degré de faiblesse des victimes.
Car parmi ces êtres vivants que l’on nomme « animaux », alors même qu’il fait partie intégrante du même règne « animal », l’Homme s’est érigé en juge et a établi ses hiérarchies, en se plaçant bien sûr au sommet du règne, avec les pleins pouvoirs sur la création. Qu’en fait-il ?

Les humains, formés à juger, à utiliser et à tuer, continuent en grandissant à former des sous-catégories à l’intérieur même de leur espèce, ségrégations indispensables pour leur mécanisme de justification despotique de leurs craintes ou de leurs désirs.
Je vous laisse donc imaginer ce que représente un asticot pour cet Homme qui ne sait même plus qu’il y a des étoiles au-dessus de sa tête.
Pourtant elles brillent de la même manière pour tous ceux qui sont sur notre Terre, comme le soleil permet la vie de milliards d’êtres sans distinction aucune.
En effet, en regardant tout en bas de l’échelle de ceux qui sont niés dans leur droit même à exister on trouve l’asticot. Il y a aussi le petit ver à soie que l’on étouffe dans des étuves à 80 °C alors qu’il est sans défense dans son cocon, afin de lui prendre son doux fil protecteur, et nous parer d’une sordide beauté volée, arrachée à la vie dans une immonde souffrance, invisible à nos yeux, à nos oreilles, à notre cœur.
Mais qui oserait dire en cette période de crise que même un asticot a le droit simplement d’être ?

Au-delà d’une quelconque utilité même scientifique, dans un système composé, que l’on sait interdépendant, que sa vie est simplement grande, remarquable, riche d’enseignement ? Certains vers ont la capacité incroyable de se métamorphoser en un insecte qui peut voler librement dans le ciel. Ils ont la capacité de naître de la mort. Ils incarnent la renaissance.
Dans les camps de concentration, on a retrouvé de nombreux dessins de papillons faits par les enfants, peut-être mus et inspirés par cette espérance vitale, essentielle, que la délivrance viendra, que demain sera meilleur.

Et si nous commencions par le commencement ?
Si l’apprentissage de la tolérance, de la compassion, de la liberté, commençait par les tout petits, les "sans défense" ? Si de ces tout petits nous agrandissions logiquement et graduellement notre respect aux cas les plus complexes, les plus difficiles : les humains ?
Si le respect des animaux n’était pas le superflu d’un monde submergé de souffrances humaines, mais l’indispensable base pour la construction et l’éducation d’une humanité plus juste ?

N’est-il pas grand temps de reconnaître que, dans la souffrance, comme dans l’intime conviction d’avoir le droit de vivre, nous, animaux non humains comme humains, qui partageons par nos sens la perception de cette terre, nous sommes tous égaux ?

Nous, êtres humains, pouvons-nous encore faire autre chose que de détruire notre propre planète ?
Pouvons-nous encore choisir un chemin différent ?
Sommes-nous encore capables d’effectuer des choix positifs, respectueux et créateurs ?

Oui, il serait temps d’honorer le ver. Le monde s’en porterait sans doute mieux, et la douceur de sa soie serait palpable bien autrement....


« L’envie de nuire ou de blesser d’autres êtres vivants
prend généralement sa source dans la haine ou la peur.
Lorsque nous tuons délibérément des êtres vivants,
même de petites créatures telles que des insectes,
nous diminuons notre respect pour toute vie...
et par suite pour nous-mêmes ! »

(Cf. Bhante Hénépola Gunaratana : Les huit marches vers le bonheur
(éd. Albin Michel, Paris, mai 2008))



(*) Formidable discours de Philip Wollen :

Extrait :
Le Roi Lear, tard dans la nuit, sur la falaise, demanda au comte de Gloucester, aveugle
- « Comment voyez-vous le monde ? »
Et l’aveugle lui répondit
« Je le vois par ce que je ressens ».

Ne devrions-nous pas tous le voir ainsi ?

Les animaux doivent être retirés des menus, parce que ce soir ils hurlent de terreur dans les abattoirs, les caisses et les cages, vils et ignobles goulags de désespoir.

Vous savez, j’ai entendu les cris de mon père mourant, le corps ravagé par le cancer qui l’a tué.
Et j’ai réalisé que j’avais déjà entendu ces cris : dans les abattoirs, leurs yeux arrachés et leurs tendons tailladés, sur les navires bétaillers à destination du Moyen-Orient, chez la mère baleine mourante, appelant son petit alors qu’un harpon avait explosé dans son cerveau.
Leurs cris étaient les cris de mon père.
J’ai découvert que devant la souffrance, nous étions tous égaux.
Et que dans cette capacité à souffrir, un chien était un cochon, était un ours, était un garçon.

La viande est le nouvel amiante, plus meurtrier que le tabac.
Le CO2, le méthane, et l’oxyde nitreux provenant de l’industrie de l’élevage tuent nos océans, en créant des zones mortes acides et hypoxiques.

Quatre-vingt-dix pour cent des poissons de petite taille sont broyés pour nourrir le bétail.
Les vaches végétariennes sont aujourd’hui les plus grands prédateurs marins.
Les océans meurent.
D’ici 2048 toute nos pêcheries seront mortes, les poumons et les artères de la terre.

Des milliards de petits poussins sautillants sont broyés vivants, simplement parce qu’ils sont de sexe masculin. Seulement cent milliards de personnes ont déjà vécu sur cette terre.
Sept milliards y vivent aujourd’hui.
Et nous torturons et tuons deux milliards d’êtres sentients chaque semaine.
Dix mille espèces entières sont anéanties chaque année par les actions d’une seule.
Nous sommes maintenant face à la sixième extinction de masse de l’histoire cosmologique.

Si un autre organisme agissait ainsi, les biologistes l’appelleraient un virus.
Il s’agit d’un crime contre l’humanité à des proportions inimaginables.

Mais heureusement, le monde change.
Il y a dix ans Twitter était un son d’oiseau, www un clavier bloqué, cloud (nuage) était dans le ciel, 4G était une place de parking, Google était un rot de bébé, Skype une faute de frappe, et Al Qaïda était mon plombier.

Victor Hugo a dit « Rien n’est plus puissant qu’une idée dont l’heure est venue ».
Et bien les droits des animaux sont maintenant les plus grandes questions de justice sociale depuis l’abolition de l’esclavage.

Savez-vous qu’il y a plus de six cents millions de végétariens de par le monde ?
C’est plus grand que les Etats-Unis, l’Angleterre, la France, l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie, le Canada, et l’Australie et la Nouvelle Zélande tous réunis !
Si nous étions une nation, nous serions plus grands que les vingt-sept pays de l’Union Européenne !
Malgré cette empreinte démographique massive, nous sommes toujours noyés par les cartels ravageurs qui chassent, abattent et tuent, par ceux qui croient que la violence est la réponse, alors qu’elle ne devrait même pas être une question !

La viande est une industrie qui tue les animaux, qui nous tue, et qui est en train de tuer nos économies.

Medicare a déjà ruiné les Etats-Unis. Ils auront besoin de huit milliards de dollars investis en bons du Trésor ne serait-ce que pour payer les intérêts. Et ils n’en possèdent précisément aucun !
Ils pourraient fermer toutes les écoles, l’armée, la marine, l’armée de l’air, et les Marines, le FBI et la CIA, qu’ils ne seraient toujours pas en mesure de payer les notes des médecins...
Les universités de Cornell et d’Harvard disent que la quantité optimale de viande pour une alimentation saine, c’est exactement ZERO !

L’eau vous savez, c’est le nouveau pétrole. Les nations partiront bientôt en guerre pour elle. Les aquifères souterrains qui ont mis des millions d’années à se remplir deviennent à sec…
Et il faut cinquante milles litres d’eau pour produire un kilo de viande de bœuf !!!

Aujourd’hui un milliard de personnes ont faim. Vingt millions mourront de malnutrition.
Réduire de 10% seulement la consommation de viande pourrait nourrir cent millions de personnes, et l’élimination de la viande mettrait fin à jamais la famine.

Si le monde entier avait un régime alimentaire occidental, nous aurions besoin de deux planètes Terre pour nous nourrir. Nous n’en avons qu’une, et elle est en train de mourir.
Les gaz à effet de serre provenant du bétail sont de 50% plus élevés que ceux émis par les transports . . . avions, trains, camions, voitures, et bateaux, le tout réuni.

Les pays pauvres vendent leurs céréales à l’occident, alors que leurs propres enfants meurent de faim dans leurs bras. Et l’ouest s’en sert pour nourrir son bétail, et pour que nous puissions manger nos steaks.

Suis-je le seul à considérer cela comme un crime ?

Chaque morceau de viande que nous avalons gifle le visage baigné de larmes d’un enfant affamé.
Quand je regarde dans ses yeux, dois-je rester silencieux ?
La terre peut produire assez pour les besoins de chacun, mais pas assez pour la cupidité de tous !

Nous sommes face à une tempête parfaite.
Si une nation avait développé des armes capables de causer de tels ravages à la planète, nous lancerions contre elle une attaque militaire préventive, et la bombarderions jusqu’à ce qu’elle retourne à l’Age du Bronze.

Mais ce n’est pas un Etat voyou qui agit ainsi. Il s’agit d’une industrie. Les bonnes nouvelles sont que nous n’avons pas à la bombarder, et que nous pouvons tout simplement ne pas l’acheter.
George Bush avait tort. L’Axe du Mal ne passe pas par l’Irak, l’Iran ou la Corée du Nord. Il passe par nos tables ! Les armes de destruction massive sont nos couteaux et fourchettes !

Notre proposition est le couteau suisse de l’avenir : il résout nos problèmes environnementaux, de santé, d’eau et met fin à la cruauté pour toujours.
L’âge de pierre n’a pas pris fin parce que nous avons manqué de pierres.
Cette industrie méprisable et cruelle se terminera parce que nous finirons par manquer d’excuses.

La viande est comme les pièces de un et deux cents. Elle coûte plus cher à faire qu’elle ne vaut.
Et les agriculteurs sont ceux qui ont le plus à gagner.
L’agriculture ne s’arrêterait pas. Elle prospérerait !
Seule la gamme de produits changerait.
Les agriculteurs feraient tellement d’argent qu’ils n’auraient même pas le temps de le compter, et je serai le premier à les applaudir !
Les gouvernements nous aimeraient.
De nouvelles industries émergeraient et s’épanouiraient.
Les primes d’assurance santé seraient en chute libre.
Les listes d’attente dans les hôpitaux disparaîtraient.
Bon sang nous serions en si bonne santé que nous aurions à tirer sur quelqu’un juste pour ouvrir un cimetière !


Alors aujourd'hui, j’ai deux défis pour "l’opposition" :
1. La viande provoque un large éventail de cancers et de maladies cardiaques.
Vont-ils pouvoir nommer une maladie causée par un régime végétarien ?

2. Je finance la trilogie « Earthlings » (Terriens). Si l’opposition est si sûre de son opinion, je la mets au défi d’envoyer le DVD d’ « Earthlings » à tous ses collègues et ses clients.
Allez-y, je vous mets au défi.

Les animaux ne sont pas seulement d’autres espèces.
Ils sont aussi d’autres nations.
Et nous les assassinons à nos risques et périls.
La carte de la paix se dessine sur celle du menu,
car la paix n’est pas seulement l’absence de guerre,
c’est aussi la présence de Justice.

Cette justice doit être aveugle à la race, à la couleur, à la religion et aux espèces.
Si elle n’est pas aveugle à cela, elle sera une arme de terreur.
Et il règne actuellement une inimaginable terreur dans ces horribles Guantanamos que nous appelons fermes industrielles ou abattoirs.
Croyez-moi, si les abattoirs avaient des parois de verre, nous n’aurions pas besoin de ce débat.

Je crois qu’un autre monde est possible. Lors de nuits tranquilles, je peux l’entendre respirer.

Sortons dès aujourd'hui les animaux des menus et des chambres de torture.... Merci !




Par amour de la planète et de tous les êtres vivants qui s’y trouvent !!!

Ce livre ("Vegan, le choix de la vie") s’adresse à des personnes ouvertes d’esprit !
(Déjà habituées à faire des choix éthiques ; déjà habituées à remettre en cause un fonctionnement lorsqu’il est erroné...)
Je dirais donc qu’il s’adresse à tous ceux qui ont déjà aimé, vraiment aimé.

Mais je sais que beaucoup ne pourront pas le lire, l’insulte qu’ils recevraient bien malgré moi ne serait que trop forte ; peu de ceux qui se croient à l’apogée de la civilisation sont prêts à admettre qu’ils font encore partie du règne primitif de l’Homme prédateur, et que ce règne ne fait que s’amplifier jusqu’à l’indicible.
Peu sont prêts à admettre qu’une autre évolution est possible, nécessaire, et encore moins sont ceux capables de l’appliquer à eux-même, pour eux-même, par amour pour leurs enfants, pour la planète, et des êtres vivants qui s’y trouvent.

Peut-être ne savez-vous pas encore que vous êtes prêt.
Peut-être n’avez-vous pas pris profondément le temps d’y réfléchir.
Mais au fond de vous, une voix se fait sûrement entendre quelquefois, une voix que vous ne voulez pas comprendre, mais qui un jour fera un vacarme si assourdissant que vous n’aurez pas d’autre choix que de l’écouter enfin...

Le déni a-t-il jamais rendu quelqu’un pleinement heureux, pleinement vivant ?
Il n’est pas question pour moi de m’ériger en juge ou en « donneuse de leçon ».
Les Vegans ne sont pas des êtres « supérieurs » aux autres, ils ont simplement emprunté un chemin différent, un chemin plus éthique.
Je ne veux pas « convaincre » à tout prix, mais informer et expliquer pourquoi j’ai fait ce choix de vie, le choix de la Vie !
D’expérience, je sais que c’est seulement en prenant conscience de ses propres limites que l’on peut les dépasser.
Je pense profondément que celles qui séparent la barbarie primitive de ce monde de celles du « véganisme » passent par l’information, les témoignages. 

La réalité des faits, que nous partageons tous, a et aura cette force inébranlable d’éclairer les Hommes.
Mais la vérité sur les massacres et tortures des animaux est occultée par une culture basée sur l’asservissement sans limite du monde animal.
Cette culture même, incapable de reconnaître ses crimes inutiles et odieux, tente de les légitimer....



Extrait de la Préface par l'écrivain Chris de la Louiseraie : 
Ce livre est un condensé d’Amour, allant du sacrifice à la jouissance de l’objet convoité.
Tout au long des pages nous lisons entre les lignes les différentes facettes de ce sentiment.
Nous commençons avec l’Amour avec un grand A, celui d’un cœur sans limite qui donne à tous sans compter et sans retenue. Voyant dans l’infiniment petit la même puissance et utilité que celle de l’infiniment grand.

Chaque pièce du puzzle qui nous entoure est d’une importance capitale, restituant dans notre inconscient l’image d’un paradis tel que nous le souhaiterions tous...
Tous ? Oui... car dans ce puzzle certaines pièces qui n’ont pourtant pas la même forme de pensée sont mues par un amour inconditionnel, celui de la jouissance égoïste de l’objet convoité.
Deux formes de sacrifice, la première donne sans compter, dans un respect absolu du monde qui nous entoure, la seconde prend pour compter les billets de banque dans l’unique respect du profit.
Comment deux extrêmes avec des amours aussi puissants peuvent-ils cohabiter sur une petite planète appelée Terre. C’est tout le propos de ce livre qui vous emportera sur le chemin de la découverte des arcanes du Véganisme, en vous donnant les sésames pour ouvrir les portes fermées sur votre route.
Dès les premières pages, vous recevrez la première clef, celle du cœur de l’Auteure, et à ce moment là vous découvrirez comment le terme « aimer » peut avoir une tout autre signification que les définitions habituelles du dictionnaire.

Au fil des pages vous découvrirez que l’amour n’est pas aveugle, bien au contraire, il est d’une clairvoyance et d’une acuité sans limite. Il voit ce qui est caché, il devine ce qui est occulté, il perçoit ce qui est masqué. 
L’Amour ne peut se contenter d’illusions, de sous-entendu, il doit savoir, il doit connaître et à défaut de comprendre il doit voir.

Et quand au fil des mots vous aurez maîtrisé cette nouvelle facette de l’Amour, alors vous aussi vous serez convaincu de pouvoir vivre d’amour et d’eau fraîche, tous deux indispensables pour des cultures abondantes.
La Nature une fois désaltérée et choyée donne sans compter et ne connaît pas le terme avarice.
C’est cette abondance qui est l’essence même du partage équitable, un miracle quotidien pour le bonheur de l’Humanité.
Imaginez un instant être capable comme le maïs de pouvoir offrir quatre cents fois plus à chaque récolte, ou un figuier qui année après année offre ses fruits à profusion. Que feriez-vous ?
Ne répondez pas de suite, attendez d’avoir lu la dernière ligne de ce magnifique livre pour dire comment vous allez utiliser la profusion de nourriture offerte par chaque plante, chaque arbre, chaque racine potagère.
Votre réponse conditionnera toute une chaîne, elle pourra être humanitaire ou égoïste.

C’est le propre de notre société d’avoir le choix de faire des choix, nous pouvons agir ou rester apathique, nous pouvons user de notre empathie ou être tolérant envers les horreurs de ce monde, nous pouvons être actif ou attendre que la vie s’écoule dans le sens souhaité par les lobbies.
Si nous choisissons d’écouter notre conscience, nous pouvons résister à leur toute-puissance car une armée pacifique s’élève à travers le monde, une clameur internationale qui réchauffe le cœur et donne la volonté nécessaire pour tenir ferme nos engagements.

Un grand merci à Catherine pour ce témoignage d’espoir, ouverture vers un monde meilleur, que nous devons construire ensemble en faisant les choix nécessaires pour le bien-être de tous les terriens.
Et au travers de ces écrits elle nous persuade que l’effet papillon n’est pas une légende :
Une larme qui coule sur la joue d’une Européenne
pourra changer la vie d’un jeune Africain
et lui redonner espoir dans l’Humanité...





Articles de "2013 Continuum" consacrés à ce problème humanitaire et planétaire majeur :













Sans oublier cet article de nouveau presque d'actualité :




Suite à la mise en ligne de cet article sur "2013 Continuum"...
Et comme les commentaires y sont toujours improbables - pour ne pas dire impossibles (!) - pour une raison que j'ignore (certainement un bug de "blogspot.fr" lui-même, moi-même ne pouvant pas en laisser, par exemple pour "actualiser" l'article comme je le fais ici (Cela dit, je rappelle que l'on peut m'écrire directement à "DaneelOlivaw13@aol.com" (!!!))... voici celui que voulait y déposer mon ami Delphinus :

- « Salut Daneel...
Sacré article !

Et le livre de Catherine Hélayel a l'air passionnant de sensibilité, d'intelligence et de retenue.
Un livre à offrir pour Noël, à tous ceux qui ne ressentent pas la vie qui nous entoure du microcosme au macrocosme, ni la mort dans leurs assiettes, dont les menus assaisonnés de sauces au poivre vert, tentent de cacher le côté obscur du steak "barbare" ; D'avoir une vision globale, de ce qu'est la vie sur terre, cette belle planète bleue, paradis perdu par les hommes et contre les hommes, d'enfin enlever nos œillères, entretenues par le dieu argent, qui ne sera pas j'espère la dernière chose à manger sur l'autel de notre décadence.

Haut les cœurs, j'espère que le 21 décembre, ce ne sera pas la "faim" du monde, mais le début d'un autre, où le spirituel et l'amour envelopperont enfin notre chère Gaia d'un halo de lumière, et que cette lumière rejaillira sur tout l'univers, car malgré tout "on le vaut bien" :
Tout n'est pas que ténèbres sur notre vaisseau terre, et plein de petites lumières depuis toujours entretiennent cet espoir d'un futur de joie, de respect et d'amour envers toute la création, et donc envers nous-mêmes.
Amitiés
Delphinus »




 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire