« J'aimerai toujours le temps des cerises.
C'est de ce temps-là que je garde au coeur, une plaie ouverte...
Et Dame Fortune, en m'étant offerte, ne saura jamais calmer ma douleur.
J'aimerai toujours le temps des cerises.
Aaaaah…
Les fans de Pfizer Sanofi Pasteur Merieux et compagnies reprochent d'ailleurs souvent ça aux "antivaccins" !!!
[En fait ceux qui osent critiquer l'argumentation fallacieuse des labos et leurs thuriféraires ; il est plus probable en fait que ce soit ceux qui les accusent de leurs prétendus "biais de confirmation" qui le pratiquent le plus !] ...
Enfin bref,.... pour en rester à cette vision orthodoxe des choses, trier ses cerises, pour n'en choisir que les bonnes, est-ce vraiment un mal ?
La définition officielle (cueillie sur wiki 😏) :
• En rhétorique ou dans toute forme d'argumentation, le cherry picking (litt. « cueillette de cerises »), ou picorage, est la mise en avant des faits ou données qui donnent du crédit à son opinion en passant sous silence tous les cas qui la contredisent. Ce procédé trompeur, pas nécessairement intentionnel, est un exemple typique de biais de confirmation.
L'expression est basée sur une analogie avec la cueillette de fruits, comme les cerises : le cueilleur sélectionne les fruits les plus mûrs et les plus sains, si bien qu'un observateur qui ne voit que les fruits sélectionnés peut à tort conclure que la plupart, voire la totalité, des fruits sont mûrs et sains.
Le cherry picking peut se retrouver dans de nombreuses erreurs de logique.
Bon ok.... Vu sous cet angle, rien à redire ; mais vous connaissez certainement l'histoire des aveugles et de l'éléphant hein 😉
Pour en revenir à notre analogie de la cueillette des cerises :
N'est-ce pas sain au contraire de le choisir pour s'en nourrir que les plus belles cerises, les plus mûres, achevées, sucrées à souhait ?
Qui sérieusement pourrait ne remplir son panier que de cerises vertes, ou pourries, ou infectées ?
Celui qui bouffe ça aurait sans le moindre doute de terribles crises digestives et peut-être même pire encore. Mettant sa vie en danger !
Alors oui, avoir un panier rempli de belles cerises ne signifie évidemment pas que toutes les cerises de tous les arbres fruitiers sont belles.
Ben voilà. Il faut justement savoir choisir ses infos, comme ses cerises !
Sinon, si l'on ingurgite tout ce qui passe à notre portée sans sélection, on risque vite de s'étouffer si ce n'est carrément de s'intoxiquer !!!
... A noter qu’au cours de mai 2008, Sanofi-Avantis - qui vient aussi d’absorber “Hoechst Marion Roussel” - se trouvait dans les journaux (assez discrètement faut dire, les soi-disants “dangers mortels” des médicaments Solomidès ayant fait évidemment plus de tapages médiatiques, la répression policière aveugle s’acharnant sur son prétendu “laboratoire criminel” (!!!)) car il avait été démontré dès le début de ce mois que son médicament vedette contre l’obésité “l’Acomplia” avait déjà tué au moins 5 personnes et provoqué des centaines d’effets secondaires chez un nombre incalculable d’autres malheureux cobayes : “720 cas de réactions allergiques” selon la conclusion de l’Agence Britannique des Médicaments, et parmi les nombreux effets secondaires : “dépression, anxiété et pensées suicidaires” !...
Et quelques jours plus tard, vers la mi-mai, on apprenait (toujours aussi discrètement bien-sûr), que 11 lots de son anticoagulants vedette - le “Lovenox” - avait été retirés du marché par suite de la découverte de “substances potentiellement dangereuses” (sic)
(A noter que ce médicament qui représentait une recette mondiale de 2,6 milliards d’euros en 2007 - le C.A. étant de 28 milliards -, est fabriqué à partir des muqueuses intestinales des porcs, notamment des élevages chinois...)
Vers la fin du même mois, autre information toujours très discrète annonçant l’INTERDICTION de 42 médicaments du Paludisme... où l’on retrouve “Sanofi-Aventis” pas moins de 4 fois dans la liste de ces médicaments interdits !
Et c’est pas fini : que dire encore de son tout nouveau vaccin miracle contre le “papilloma virus” qui serait responsable du cancer du col de l’utérus. Tout nouveau tout beau - et très cher - ce vaccin baptisé “Gardasil”... et déjà responsables de la mort de plusieurs jeunes femmes : « mortes juste après le vaccin “de façon subite et inexpliquée” sans que l’on puisse faire le moindre rapprochement de cause à effet entre le vaccin et ces décès. » (sic)
Mais que voulez-vous braves gens, ce nouveaux vaccin représente quand-même pour Sanofi-Aventis « un CA espéré d’UN MILLIARDS D’EUROS sur trois ans » ; pas question donc de s’apitoyer sur le destin broyé de quelques jeunes femmes.
- « En 1998, le budget annuel de l’Institut Pasteur atteignait 1 milliard de francs - dont 38% payés par les contribuables ! - (...) Longtemps associé à “l’Institut”, Alain Mérieux (fortune personnelle évaluée à 17 milliards de francs), qui fut le propriétaire du “Laboratoire Mérieux” devenu “l’Institut Mérieux” puis “Pasteur-Mérieux”, revendit son entreprise à “Rhône-Poulenc” et elle devint “Aventis-Pasteur” (actionnaire majoritaire de “Transgènes” et de “Bio Mérieux Alliance”) (...)
Siègent également au conseil d’administration de l’Institut Mérieux : Charles René Recordon, qui représente le groupe “Rhône-Poulenc” - aujourd’hui “Aventis”, et qui, selon “The Guardian” du 13-02-2001, réalisait en l’an 2000 un bénéfice de presque six milliards de dollars - (Ce trust posséderait 51% des actions de “l’Institut Mérieux”), administrateur d’une bonne douzaine de filiales de ce trust ou de sociétés alliées....».
On peut lire également dans le très intéressant journal de Christian Jacques “Le Consommateur actif” d’octobre 2001 :
« Attention aux nouvelles stratégies des marchands d’OGM...
L’une s’appelle le “Council for Biotechnology Information” qui siège à Washington et a été fondée en avril 2000 par Aventis, Crop Sciences, Bayer, Monsanto, (...). Curieusement, le “C.B.I.” compte parmi ses membres l’association de l’industrie de la viande américaine (“American Meat Industry”) qui aimerait tant nous fourguer sa viande aux hormones... (...) »
Pendant le mois d’août 2001, donc, le groupe pharmaceutique “Bayer”, après avoir été vigoureusement accusé par les apiculteurs français de décimer les ruches avec son insecticide dit “systémique” (le “Gaucho”, provisoirement (!) interdit en France, mais déjà rebaptisé “Regent” par “Aventis” !!), était cette fois la cible judiciaire des survivants de son médicament anti-cholestérol, commercialisé sous des noms divers tels Baycol (ou Bacyol), Staltor, Cholstat, Lipobay,...
Nous étions alors de passage dans le sud de la France, et, les 24 et 25 août 2001, nous avions pu lire dans le journal “Nice Matin” :
- « Traité au Cholstat, Frédéric, un retraité niçois, a perdu l’usage d’un oeil et souffre de douleurs musculaires. (...) Un autre Niçois, M. Jean L., traité au Staltor, marche aujourd’hui avec des béquilles, et souffre de douleurs épouvantables (...) Près de six millions de patients étaient traités dans le monde avec ce type de produit utilisant une même molécule, la cétivastatine.
Une récente étude allemande a recensé deux cent trente quatre (234) effets secondaires indésirables... »
(Et il y en a malheureusement dans le monde des millions dans ce cas là, leur vie à tout jamais démolie par cette criminelle industrie de la maladie dont la santé en Bourse est plus important que la santé des êtres humains !)
Bref, comme l’écrivait aussi notre ami le Docteur Christian Tal Schaller :
« Si l’on étudie le problème à fond, on s’aperçoit que la disparition des maladies épidémiques est due à l’amélioration des conditions d’hygiène et pas du tout aux campagnes de vaccinations !... »
(*) https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=588328134886034&id=100011265574907
Tiens .... Par exemple, ce que je publiais en janvier 2018 (petit extrait juste (!)) :
•... En 2016, la branche GSK Vaccines a réalisé 4,59 milliards de livres de CA (5,09 milliards d’euros), soit 16,5 % du chiffre d’affaires global du groupe qui a atteint 27,9 milliards de livres (30,9 milliards d’euros).
Du côté de Sanofi, les vaccins comptent pour près de 13,5 % du chiffre d’affaires : 4,58 milliards d’euros sur 33,8 milliards de CA global.
Tandis que chez Pfizer, ce chiffre est de 11,5 % soit 6,07 milliards de dollars (5,12 milliards d’euros) pour un CA global de 52,8 milliards de dollars (44,6 millions d’euros).
(...) Ce qui est sûr, en revanche, c’est que, de 2011 à 2016, les ventes mondiales de vaccins sont passées de 26 milliards de dollars à 42,3 milliards. Et elles vont « doubler d’ici à 2025 », estime encore Frédéric Bizard, pour atteindre près de 80 milliards de dollars ! (...)
Le professeur Robert Cohen (invité à répétition de tous les médias) est directeur scientifique d’Activ, association écran (appelée interface par ses fondateurs) de soutiens financiers de l’industrie de groupes de médecins et / ou chercheurs. Il est président du Groupe de Pathologie Infectieuse Pédiatrique et référent scientifique de l’Association française de pédiatrie ambulatoire, trois associations soutenues par l’industrie pour promouvoir les vaccins et rattachées à Activ.
François Vié le Sage est expert pour l’association Infovac, créée et soutenue par les laboratoires pour promouvoir les vaccins. Membre influent de l’Association française de pédiatrie ambulatoire (qui vit principalement de l’industrie) il a personnellement reçu entre 2012 et 2016 plus de 18400€ de cadeaux de la part de laboratoires pharmaceutiques, (dont plus de 13 800 € de la part de Sanofi) et signé 37 contrats avec : GSK, Novartis, et Pfizer, Sanofi-Pasteur MSD, (montants non publiés mais dont le total dépasse vraisemblablement les 150.000 euros)
Le professeur Odile Launay, patronne du CIC (centre d’investigation clinique de Cochin, APHP) voyage habituellement aux frais des fabricants de vaccins (GSK, Sanofi Pasteur, Pfizer, Bristol Myers Squibb, MSD) qui prennent en charge également ses congrès, la rémunère pour les nombreux essais de vaccins dont elle est investigateur principal (montants des rémunérations non publiés) et sponsorisent son institution. Elle oublie habituellement de signaler ces liens lorsqu’elle fait la promotion de vaccins dans les revues françaises de pédiatrie. ...
Philippe Sansonetti, chouchou lui aussi des médias, Professeur à l’Institut Pasteur ( dont les revenus dépendent à près de 50% de l’industrie ) et Directeur de l'unité INSERM 786 de Biologie Cellulaire et Infection de cet institut, a reçu en 1997 un prix de 100 000€ de la fondation Robert Koch (financée essentiellement par GSK, Bayer, Novartis, Pfizer, Roche, Sanofi Aventis), et a aussi été coordonnateur de Stopenterics, réseau d’innovation vaccinale contre les infections entériques pédiatriques dont Sanofi-Pasteur et Novartis étaient partenaires (contrat commercial non déclaré comme le décret de MS Touraine le permet). Il s’est illustré lors de la grippe H1N1 annonçant sur les ondes une probable hécatombe qui ne fut que la grippette attendue par le professeur B Debré. Reste -t-il notre expert si fiable ?
Alain Fischer, Directeur de l'Unité d’Immunologie Pédiatrique à l’Hôpital Necker-Enfants malades à Paris, Inserm, et Professeur à l’Université Paris Descartes, a partagé en 2004 un prix de 100 000 € de la même Fondation Robert Kock et a reçu en 2013 un prix de 100000€ de Sanofi et l’Institut Pasteur pour ses travaux en immunologie. Lors de la concertation nationale sur les vaccinations de 2016 dont il fut le président, il a constamment orienté les débats en faveur de l’obligation et dans ses compte rendus n’a pas hésité à travestir les conclusions des jurys et en particulier celui des professionnels qui s’était prononcé clairement contre l’obligation vaccinale.
Brigitte Autran, a reçu, entre 2012 et 2016, 8 avantages de la part de l’industrie pharmaceutique, dont 930 € de MSD France et signé 9 conventions en tant qu’expert ou orateur toujours pour la société MSD France, mais aussi BMS (montants non publiés), mais ses liens d’intérêt ne sont pas transparents pour les auditeurs de ses émissions radios ou lors de vidéos enregistrées en différents congrès. Dommage ! (...)
• Et là c'était en août 2017 :
Des études scientifiques sponsorisées par Pfizer sont accompagnées de mesures éducatives de façon à produire des recommandations en faveur de la vaccination (...) SANS PREUVE que le vaccin est sûr et efficace.
Ils utilisent des termes comme "susceptibles de" ou "semble" pour expotentialiser le bénéfice de la vaccination non-existant en fait.
Ils disent que ces vaccins sont apparemment efficaces ; ils éliminent de leurs écrits tous les faits négatifs, en affirmant que les données publiées qui valideraient ces soucis sont manquantes, car il n'y a aucun organisme indépendant qui pourrait publier quoi que ce soit sur les réactions aux vaccins !...
• ... Les défenseurs des vaccins sont grassement payés !
Cette industrie distribue des millions de dollars à l’Academy of Pediatrics pour des conférences, des dons, l’éducation des étudiants, et même la construction et l’aménagement de ses bureaux.
Le secret reste absolu sur les sommes totales versées, mais des documents publics laissent filtrer quelques informations.
Ainsi, le laboratoire Wyeth, fabricant du vaccin contre le pneumocoque, dont les ventes s’élèvent à deux milliards par an, a versé 342.000 dollars à l’Académie.
Pour sa part, Merck lui a versé 433 000 dollars, l’année où l’Académie a fait la promotion du vaccin HPV qui représente un chiffre d’affaires d’un milliard et demi par an.
Quant à Sanofi Aventis, qui fabrique 17 vaccins différents ainsi qu’un vaccin hexavalent qui vient d’être ajouté au programme vaccinal des enfants, il fait partie des généreux donateurs de l’Académie.
Every Child By Two est un groupe sponsorisé par Rosalynn Carter, épouse de l’ancien président des Etats-Unis, et Betty Bumpers, épouse de l’ancien gouverneur de l’Arkansas, qui vante, sur tous les tons et à travers les médias, les bienfaits des vaccinations précoces pour tous les enfants.
Enfin, Paul Offit, patron du service des maladies infectieuses à l’hôpital pour enfants de Philadelphie et professeur de pédiatrie à la Penn’s medical school, sans doute le plus acharné et le plus plébiscité de tous les défenseurs des vaccins et de leur sécurité absolue, a refusé d’être interviewé par CBS News.
Il faut savoir qu’il s’est permis d’affirmer qu’un bébé pouvait supporter 10 000 vaccins en même temps !
Il a des liens très étroits avec l’industrie des vaccins, il en fait même partie.
Merck lui a octroyé un budget de recherche à l’hôpital pour un million et demi de dollars et il détient, en partenariat avec le laboratoire, le brevet du Rotateq, un vaccin antidiarrhée.
Bon ben après cette saine nourriture intellectuelle, on recommence notre dégustation des bonnes et meilleures cerises du net.
(**) À propos (de notre « temps des cerises ») :
🍒 Une raison stylistique explique cette assimilation du Temps des cerises au souvenir de la Commune de Paris : son texte suffisamment imprécis qui parle d'une « plaie ouverte », d'un « souvenir que je garde au cœur », de « cerises d'amour [...] tombant [...] en gouttes de sang ».
Ces mots peuvent aussi bien évoquer une révolution qui a échoué qu'un amour perdu.
On est facilement tenté de voir là une métaphore poétique parlant d'une révolution en évitant de l'évoquer directement, les cerises représentant les impacts de balles ; balles auxquelles il est fait aussi allusion sous l'image des « belles » qu'il vaut mieux éviter.
La coïncidence chronologique fait aussi que la Semaine sanglante fin mai 1871 se déroule justement durant la saison, le temps des cerises. …
(Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Temps_des_cerises)
🍒 Surtout, moins guerrière que La Marseillaise, moins engagée que L'Internationale, la ritournelle incarne à merveille l'esprit français, ce mélange de gaieté, de légèreté et de romantisme, mâtiné d'une indicible nostalgie. Chant de ralliement - parmi d'autres - durant la Seconde Guerre mondiale, elle fut reprise par Charles Trenet en 1942 (version swing) pour narguer les nazis, puis par Yves Montand, Juliette Gréco, Léo Ferré... Michel Fugain, lui aussi, célébra le poète montmartrois en chantant Les Cerises de Monsieur Clément.…
(Cf. https://www.lexpress.fr/actualite/societe/1871-on-aimera-toujours-le-temps-des-cerises_1748336.html)
🍒 Cette chanson est devenue l'hymne de la Commune de Paris.
Pourquoi ? Comment ?
Voici la thèse la plus répandue : la chanson est l'oeuvre d'Antoine Renard pour la musique et de Jean-Baptiste Clément pour les paroles. Le texte daterait de 1866, soit cinq ans avant la Commune.
Le lien entre la chanson et les événements du printemps 1871 aurait été fait par l'auteur du texte lui même.
En 1885, il publie un recueil de ses textes, Chansons Choisies, et dédie Le Temps des cerises "à une vaillante fille qui, elle aussi, a couru les rues à une époque où il fallait un grand dévouement et un fier courage !"
Il évoque un épisode datant du 28 mai 1871 : "Alors que tout Paris était au pouvoir de la réaction victorieuse, quelques hommes luttaient encore dans la rue Fontaine-au-Roi.
Une jeune ambulancière d'une vingtaine d'années avait alors fait son apparition, un panier au bras, proposant ses services, et avait soigné quelques uns des blessés jusqu'à ce que le groupe abandonne la barricade. …"
(Cf. https://www.franceinter.fr/musique/le-temps-des-cerises-une-chanson-chere-au-coeur-de-jean-pierre-darroussin)
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