Les dragonnades vaccinales !
("Encyclopédie galactique de l'an 3021")
[Article d'anticipation ; je précise hein pour le cas où... 😉]
Tandis que tout le clergé de l'Eglise de Vaccinologie lance des missions de conversion des protestataires contre les dogmes de la SSS (la "Sainte Seringue Salvatrice"), Macron 1er met en œuvre une politique visant à réduire puis à faire disparaître ce protestantisme antivax de la Ripoublique française !
En 2021, la première dragonnade est expérimentée en France à l’initiative du Président de la "République Vaccinaliste Française" Emmanuel Macron [intendant de Sanofi-Pasteur-Pfizer de 2016 à janvier 2025 où il mourra bêtement après sa 13ème injection expérimentale "anti-covid", variants Omega 5 et 6.
En 2021, la première dragonnade est expérimentée en France à l’initiative du Président de la "République Vaccinaliste Française" Emmanuel Macron [intendant de Sanofi-Pasteur-Pfizer de 2016 à janvier 2025 où il mourra bêtement après sa 13ème injection expérimentale "anti-covid", variants Omega 5 et 6.
(En fait, il reçut sans le savoir les vaccins réservés à la populace, les doses de sérum physiologique prévus pour les membres des conseils d'administration des labos s'étant malencontreusement égarés dans plusieurs vaccinodromes (!))]...
Macron ayant donc envoyé des régiments de Forces de l'ordre "anti-gilets et étoiles jaunes" dans toutes les régions françaises, ils logent principalement chez les protestants au passeport sanitaire (hérétiques évidemment non-vaccinés (ou qui, devant les nombreuses complications des premières campagnes de vaccinations, ont osé refuser de se vacciner régulièrement tous les 6 mois !)), avec l'autorisation de piller et de ruiner leurs hôtes.
Les "dragons de la sainte seringue" se font ainsi nourrir et payer.
Et quand l’argent est épuisé, les dragons seringueros vendent leurs meubles ou les mettent en morceaux avant de les dépouiller totalement de tous leurs bien !
(Si l’hôte protestant s’obstine à ne pas se convertir à l'Eglise de Vaccinologie, il est alors impitoyablement maltraité, frappé et devient le jouet de brutes qui inventent des supplices allant jusqu’à faire souffrir les enfants !
Ils font aussi subir aux femmes toutes les exactions possibles.
Quand le malheureux abjure enfin - s'il n'est pas déjà mort (!) -, les dragons lui injectent alors le saint-vaccin salvateur puis passent chez le voisin...
En quelques mois, les "curés du saint vaccin salvateur" enregistrent 380.000 conversions et inoculations !!!
Le bon sens et la raison triomphe ainsi de l'abominable obscurantisme hérétique des opposants aux vaccinations bienfaitrices !...
Voilà :)
Macron ayant donc envoyé des régiments de Forces de l'ordre "anti-gilets et étoiles jaunes" dans toutes les régions françaises, ils logent principalement chez les protestants au passeport sanitaire (hérétiques évidemment non-vaccinés (ou qui, devant les nombreuses complications des premières campagnes de vaccinations, ont osé refuser de se vacciner régulièrement tous les 6 mois !)), avec l'autorisation de piller et de ruiner leurs hôtes.
Les "dragons de la sainte seringue" se font ainsi nourrir et payer.
Et quand l’argent est épuisé, les dragons seringueros vendent leurs meubles ou les mettent en morceaux avant de les dépouiller totalement de tous leurs bien !
(Si l’hôte protestant s’obstine à ne pas se convertir à l'Eglise de Vaccinologie, il est alors impitoyablement maltraité, frappé et devient le jouet de brutes qui inventent des supplices allant jusqu’à faire souffrir les enfants !
Ils font aussi subir aux femmes toutes les exactions possibles.
Quand le malheureux abjure enfin - s'il n'est pas déjà mort (!) -, les dragons lui injectent alors le saint-vaccin salvateur puis passent chez le voisin...
En quelques mois, les "curés du saint vaccin salvateur" enregistrent 380.000 conversions et inoculations !!!
Le bon sens et la raison triomphe ainsi de l'abominable obscurantisme hérétique des opposants aux vaccinations bienfaitrices !...
Voilà :)
Un peu d'histoire plus ancienne ?
Tandis que le clergé catholique lance des missions de conversion des protestants, Louis XIV met en œuvre une politique visant à réduire puis à faire disparaître le protestantisme du royaume. Il commence par des restrictions à l’édit de Nantes. Il se lance ensuite dans une campagne d’intimidation avec les dragonnades qui consistent à loger des troupes chez les protestants en les maltraitant jusqu’à ce qu’ils abjurent.
=> En juillet 1685 Foucault, intendant du roi à Pau, reçoit l’autorisation d’utiliser des soldats contre les réformés. Il perfectionne la méthode inaugurée par Marillac en Poitou. Dès l’annonce de l’arrivée des dragons des bourgs entiers se convertissent.
Foucault annonce des milliers de conversions sans violence.
Il passe ensuite dans le Poitou, où il laisse les dragons se livrer à des sévices et exactions terribles.
Devant le succès rencontré, Louvois envoie les dragons auprès d’intendants d’autres provinces : les dragons passent à Bergerac, à Montauban puis à Castres, dans la vallée du Rhône et en Dauphiné. Devant la terreur qu’ils inspirent, les réformés de Montpellier et de Nîmes abjurent sans attendre les violences, de même que dans les Cévennes : ils se convertissent avant l’arrivée des soldats. Les trois quarts des huguenots ont abjuré grâce aux « missionnaires bottés » c’est-à-dire les dragons. ..
Les régions du nord de la Loire subissent aussi les dragonnades, mais après la révocation de l’édit de Nantes.
La Normandie, la Brie puis la Champagne ne sont pas épargnées. En novembre 1685, les régions du Nord et de l’Est, celles de Chartres, Rouen, Dieppe, Caen, Nantes sont assaillies, puis c’est le tour du diocèse de Meaux, de la Champagne et de Sedan.
À Rouen, fin octobre 1685, en quatre jours de brutalité, douze compagnies de cuirassiers forcent les chefs de famille à abjurer. Toutes les villes du pays de Caux cèdent et le Havre capitule avant l’arrivée des dragons. Une forte émigration vers l’Angleterre ou les Pays-bas, via les îles anglo-saxonnes, dépeuple la région.
La Brie est dragonnée en décembre 1685, jusqu’à Soissons mais, malgré Bossuet, évêque de Meaux, exhortant les « nouveaux convertis », le protestantisme ne disparaît jamais complètement.
Les réformés de Metz, que les traités de Westphalie mettent à part, bénéficient de la part de Louis XIV d’un délai de dix mois après l’Édit de Fontainebleau (1685) pour se convertir. Metz sera la dernière ville de France à être dragonnée en août 1686. En moins de trois jours, Metz était soumise, et la déportation met fin aux derniers résistants en 1687.
Cependant, malgré les violences des dragonnades, l’esprit de la Réforme subsiste et les N.C. (nouveaux convertis) de façade vont rapidement organiser la résistance.
Afin de mettre à exécution sa politique de réduction de la « religion prétendue réformée » (R.P.R.), le roi Louis XIV utilise d’abord des moyens pacifiques et juridiques, puis il aura recours à la force.
À la révocation de l’Édit de Nantes, les trois quarts des protestants restent en France et abjurent.
Mais très vite ils défient le roi en s’assemblant dans des lieux reculés pour célébrer leur culte : ce sont les assemblées clandestines.
(...)
À la révocation de l’édit de Nantes, presque tous les protestants qui restent en France ont abjuré : ce sont les « nouveaux convertis ».
Leur participation aux cérémonies catholiques est surveillée et leur absence soumise à des sanctions. Mais beaucoup tentent par divers moyens de se soustraire à l’obligation catholique. ...
En 1681, la première dragonnade est expérimentée en Poitou à l’initiative de l’intendant René de Marillac (intendant du Poitou de 1677 à janvier 1682), encouragé sans doute par Louvois.
Louvois lui ayant envoyé un régiment de cavalerie pour ses quartiers d’hiver, Marillac les loge principalement chez les réformés en leur permettant de piller et de ruiner leurs hôtes. Les dragons se font nourrir et payer. Quand l’argent est épuisé, les dragons vendent les meubles ou les mettent en morceaux. Si l’hôte protestant s’obstine à ne pas se convertir, il est maltraité, frappé et devient le jouet de brutes qui inventent des supplices allant jusqu’à faire souffrir les enfants. Ils font subir aux femmes toutes les exactions possibles. Quand le malheureux abjure, les dragons passent chez le voisin.
En quelques mois, les curés enregistrent 38 000 conversions. La région Poitou est ruinée, les habitants s’enfuient vers l’Angleterre, la Hollande. La nouvelle suscite l’indignation de l’Europe protestante. Les soldats sont rappelés et Marillac est déplacé. ...
La trêve de Ratisbonne en 1684 avait rendu des troupes disponibles. En juillet 1685 Foucault, intendant du roi à Pau, reçoit l’autorisation d’utiliser des soldats contre les réformés. Il perfectionne la méthode inaugurée par Marillac en Poitou. Dès l’annonce de l’arrivée des dragons des bourgs entiers se convertissent.
Foucault annonce des milliers de conversions sans violence (!!!)
Il passe ensuite dans le Poitou, où il laisse les dragons se livrer à des sévices et exactions terribles.
Devant le succès rencontré, Louvois envoie les dragons auprès d’intendants d’autres provinces : les dragons passent à Bergerac, à Montauban puis à Castres, dans la vallée du Rhône et en Dauphiné. Devant la terreur qu’ils inspirent, les réformés de Montpellier et de Nîmes abjurent sans attendre les violences, de même que dans les Cévennes : ils se convertissent avant l’arrivée des soldats. Les trois quarts des huguenots ont abjuré grâce aux « missionnaires bottés » c’est-à-dire les dragons. ..
Les régions du nord de la Loire subissent aussi les dragonnades, mais après la révocation de l’édit de Nantes.
La Normandie, la Brie puis la Champagne ne sont pas épargnées. En novembre 1685, les régions du Nord et de l’Est, celles de Chartres, Rouen, Dieppe, Caen, Nantes sont assaillies, puis c’est le tour du diocèse de Meaux, de la Champagne et de Sedan.
À Rouen, fin octobre 1685, en quatre jours de brutalité, douze compagnies de cuirassiers forcent les chefs de famille à abjurer. Toutes les villes du pays de Caux cèdent et le Havre capitule avant l’arrivée des dragons. Une forte émigration vers l’Angleterre ou les Pays-bas, via les îles anglo-saxonnes, dépeuple la région.
La Brie est dragonnée en décembre 1685, jusqu’à Soissons mais, malgré Bossuet, évêque de Meaux, exhortant les « nouveaux convertis », le protestantisme ne disparaît jamais complètement.
Les réformés de Metz, que les traités de Westphalie mettent à part, bénéficient de la part de Louis XIV d’un délai de dix mois après l’Édit de Fontainebleau (1685) pour se convertir. Metz sera la dernière ville de France à être dragonnée en août 1686. En moins de trois jours, Metz était soumise, et la déportation met fin aux derniers résistants en 1687.
Cependant, malgré les violences des dragonnades, l’esprit de la Réforme subsiste et les N.C. (nouveaux convertis) de façade vont rapidement organiser la résistance. ...
L’Édit de Fontainebleau suscite en France une approbation quasi-unanime, tandis qu’ au-delà des frontières, l’opinion internationale est réservée sinon indignée !
(Pour les sources vous avez Google... par exemple 😉)
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
BONUS
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire